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[RP] Annonces Officielles

Maistre_de_ceremonie
Citation:






    Quand les haineux font les sourds... ou les muets...



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Pour le bien de la Bourgogne nous avons fait un pas vers Alexandre Olund et ses compères en proposant d'ouvrir une discussion. Les seules réponses furent un silence, la construction d'une armée à Chalon sans même avoir demandé l'autorisation ducal, et l'arrivée d'une armée de pilleurs !
    Quelle honte pour le Bourgogne !

    Nous avons appeler à la Paix, ils ont appeler à la guerre... Il est hors de question de se laisser faire.
    Cela ne prouve qu'une seule chose : L'Usurpateur, ses suiveurs et les étrangers qui le soutiennent sont là pour mettre à feu et à sang la Bourgogne. Ils n'ont que faire de la Bourgogne et de ses habitants, ils veulent attaquer le Château, tuer des bourguignons, prendre le pouvoir, et vendre la Bourgogne à l'Empire ! Pourquoi croyez vous que plus de la moitié des membres de leur armée sont issus de l'Empire ? Parce qu'ils veulent annexer la Bourgogne !

    Chaque écu n'est dépensé que dans un objectif : protéger la Bourgogne et vous protéger de ces traitres mais aussi des pilleurs qui approchent à grands pas. Tenez bon, d'ici quelques jours les taxes seront remises au taux habituel.

    Nous le disions un peu plus haut, une armée du nom de Fatum composée de pilleurs, de brigands, d'hérétiques qui ne vivent que pour voler, s'approche de nos frontières. Ils vont chercher à profiter de la situation et du conflit actuel qui a divisé la Bourgogne en deux pour nous attaquer. Plus que jamais, il faut une Bourgogne unie et solidaire pour faire face à ce danger imminent.

    Nous demandons à tous les bourguignons de se munir, d'épée, de bâton, de hache, de fourche ou de toute autre arme, et de rejoindre Dijon pour protéger nos terres, nos enfants et repousser ces chiens galeux qui sèment le trouble en Bourgogne. N'hésitez pas à nous contacter [Aryanha].

    Bourguignonnes, bourguignons, ouvrez les yeux ! Après il sera trop tard et aucun retour en arrière ne sera possible.


    Que le Très-Haut vienne en aide à la fidèle Bourgogne dans cette guerre qui s'annonce sanglante !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le vingt-cinquième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.






Ambroise.
Felix-Auguste a écrit:

De nous, Félix-Auguste Caedes Amro de Chéroy, Vescoms de Rodelle & Cavalier d'Aristote,
À tout ceux qui verront, liront, ou ouïront,


Annonçons :

    Française, Français,

    Indigne-toi ! Le Roi de France t'a trahi, et continue de te trahir !

    Non content de provoquer la fureur du Ciel et celle de son légitime représentant sur Terre, la Sainte Eglise, Eusaias l'Impie viole aussi la Loi de la France.

    Ce faisant, il trahit son serment, il trahit la France ! Il n'y a d'autre choix que de lui faire entendre raison par le bout de l'épée.

    Peuple, indigne-toi ! Le Roi de France désire s'affranchir de toute limite humaine ou divine en se proclamant lui-même Dieu.

    Par orgueil et par vanité et par soif de pouvoir, Eusaias se dit désormais guide spirituel des Aristotéliciens de France. Si nous le laissons faire, il n'existera plus aucune limite morale que le monarque n'osera franchir, plus aucune loi qu'il n'osera enfreindre! Et la Vertu s'éteindra un peu plus à chaque fois. Et la Liberté, et TA liberté, s'éteindra un peu plus à chaque fois.

    Femme ou homme de Bien, Indigne-toi! Le Roi de France livre son propre pays aux brigands et à la racaille, aux aventuriers et aux soudards car seuls eux ne soulèvent aucune objection pourvu qu'ils puissent se payer sur la terre conquise. Et cette terre conquise, Peuple de France, c'est la TIENNE !

    Après avoir offert l'Anjou à la rapacité de Falco et de Thoros, le Roi s’apprête à donner en pâture la Bourgogne au Fatum. Qui c'est ceux là? Ce sont des brigands, pour la plupart soi-disant Réformés, qui hier rançonnaient et pillaient sans autre but que de piller et de rançonner. Aujourd'hui, ils pillent et rançonnent avec le blanc-seing du Roi de France sur des terres qu'il avait promis de protéger.

    Non content de rendre son règne catastrophique, en faisant cela, Eusaias Sans-Foy-Ni-Loy hypothèque le règne de ses successeurs et plonge durablement la France dans le chaos. Comment ferons-nous demain pour nous débarrasser de larges bandes de bandits, fortement armés et riches de l'or et du blé de provinces entières, confortablement installés dans de lourds châteaux, alors que les pouvoirs publics seront exsangues d'avoir dû payer le prix de leur cupidité ?

    Le Roi, celui qui est censé être au sommet d'un ordre de légalité et de Vertu a rompu tout serment pouvant encore le qualifier légitimement de ce titre. L'Eglise lui dénie ce droit, les faits lui dénient ce droit !

    Ne croyez pas qu'en vous calfeutrant chez vous, il ne vous arrivera rien! Cela est l'affaire de tous! Car aujourd'hui l'Anjou et la Bourgogne, mais demain? S'opposer au Roi Eusaias l'Apostat, par le verbe et par le glaive, en tous lieux et en tous temps, est la chose la plus légale, la plus morale, la plus honorable, la plus vertueuse et la plus salvatrice qui puisse être.

    Le faire n'est pas le devoir de l'Aristotélicien, c'est le devoir de toute femme ou homme d'honneur, désireux du plus grand bien. Ensemble arrêtons la folie de ce Roy! Protégeons nos familles, nos concitoyens et nos soeurs et frères humains contre la folie de cet homme! Ne laissons pas la Loi du plus fort au détriment du faible devenir la triste norme de ce royaume! La croisade n'est pas une croisade pour sauver la Foy, c'est une croisade pour SAUVER la FRANCE !

    Viens, rejoins-moi en Pays Saint & Libre de Navarre, et engage toi dans l'armée Ante Mortem, le genre humain, dans ce qu'il a de meilleur, a besoin de toi !

    Qu'il en soit ainsi.


Fait le 28 janvier 1461, à Auch-En-Navarre,
Félix-Auguste de Chéroy, Vescoms de Rodelle & Cavalier d'Aristote.



_________________
Maistre_de_ceremonie
Citation:






    En hiver, sortez couvert !



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Malgré la situation actuelle pour le moins tendue en Bourgogne, nous nous préoccupons grandement de l'état de votre santé. C'est pour cette raison que nous tenons à diffuser par la voix de cette annonce, un message du Médecin Greatremy.
    Prenez soin de le lire avec attention et suivre ses recommandations pour pouvoir améliorer votre état de santé.

    Citation:
    Bourguignonnes, bourguignons,

    Notre beau duché est actuellement la proie d'une maladie qui sévit dans toutes nos villes, et qui vous touche tous, femmes, hommes, enfants, nobles ou non, artisans et paysans, élites, érudits. Personne n'est épargné.

    vous vous inquiétez de savoir comment faire, comment se soigner, où voir les médecins, et ce qu'ils peuvent faire pour vous.

    Dans l'état actuel de nos connaissances, AUCUN médecin n'est capable de vous guérir. Soigner est possible, pour un laps de temps de 24 heures, mais le coût est tellement prohibitif, pour un effet si limité dans le temps, que dispenser ces soins serait malhonnête.

    Je demande donc aux médecins bourguignons, dont l'éthique n'est plus à démontrer, de se refuser à ouvrir leur cabinet pour effectuer des consultations, simples ou poussées. Cela n'aurait qu'un résultat tangible : vider la bourse des patients, et remplir celle du médicastre. Car une fois la consultation effectuée, ce dernier ne pourrait pas intervenir sur la maladie.

    L'université de Bourgogne travaille d'arrache-pied pour découvrir comment pouvoir soulager le peuple de bourgogne. L'avancement de nos recherche vous sera évidemment communiquée, et dès qu'il sera possible de satisfaire votre légitime attente, vous en serez informés.

    D'ici là, patientez, prenez du repos. Les symptômes connaissent une rémission 3 ou 4 jours après s'être déclarés. Pour vous nourrir, contentez vous de maïs, cette nourriture est mieux acceptée que le reste des aliments et tient mieux au corps.
    Et surtout, ne perdez pas espoir, nous cherchons jour et nuit pour éradiquer ce mal encore inconnu.

    Greatremy, Doyen de l'Université Bourguignonne de Médecine


    Que le Très-Haut protège les bourguignons de la maladie et de la guerre !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le vingt-huitième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.























Citation:






    L'Université bourguignonne perturbée par l'armée étrangère



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Qu'il soit su que suite à la prise récente de Chalon, la Rectrice à savoir la Vicomtesse Saxaltesse de la Clairière Chantante, s'est trouvée en incapacité d'assurer sa fonction. Ceci explique pourquoi aucun cours n'a été organisé en ce début de semaine.

    Messire Gothyra a été nommé Recteur pour assurer l'intérim, et ce jusqu'à ce que Chalon redevienne bourguignonne, et qu'ainsi la Vicomtesse puisse reprendre ses fonctions.
    Ce dernier fait le maximum pour organiser un emploi du temps de cours dans les meilleurs délais. Une fois cela fait, les cours reprendrons donc normalement.

    Une fois de plus, merci à l'armée de l'étrangère Istar pour avoir encore un peu plus, apporté le trouble en Bourgogne.

    Que l'étrangère rentre chez elle et la Bourgogne revivra !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le vingt-huitième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.





Ambroise.
Citation:



    Autun, le 31 Januaris de l’an de grasce MCDLXI.


    Chères Autunoises, Chers Autunois,


    Autun, Autun outragé ! Autun brisé ! Autun martyrisé ! mais Autun libéré !... *


    Après Chalon, c’est au tour de la ville d’Autun, capitale épiscopale du Diocèse d’Autun d’annoncer son passage au statut de ville franche, ceci afin de se retirer du joug du conseil de régence hérétique gouvernant en véritable tyran le Duché de Bourgogne. Autun est et restera ville franche jusqu’à ce qu’un gouvernement légitime soit rétabli à notre capitale de Bourgogne.

    Fini les menaces, fini l’oppression, fini la violence, fini les taxes exorbitantes qui spolie vos revenus. Je vous avais promis de trouver une solution pour Autun. La voici. Qu’est-ce que cela va changer pour vous ? Vous pourrez vivre à nouveau décemment sans avoir à payer les taxes sur les denrées du marché. Vous n’aurez plus de taxes à payer lorsque vous devrez embaucher pour votre champ ou élevage.

    Afin que le marché retrouve des prix normaux, je demande à tous les autunois de retirer vos marchandises du marché et de les remettre en vente à un prix correct pour satisfaire vos voisins. Cela permettra à vos acheteurs de ne plus payer la taxe inique que le conseil de régence vous oblige à faire payer. Le commerce s’en retrouvera plus enrichissant pour tous.

    Ceux qui souhaitent se révolter contre nos oppresseurs peuvent s’engager pour la résistance bourguignonne et rejoindre l’armée La Revanche des Ovins. Vous pouvez dès à présent écrire à Trixolas. Il vous donnera les instructions à suivre. Chaque volontaire est important pour s’assurer la victoire et reprendre le château à ces tyrans et les chasser des terres bourguignonnes.

    Ceux qui veulent rester à défendre leur belle ville d’Autun, peuvent m’écrire afin d’organiser la défense civile. Je tiens d’ailleurs à remercier ceux qui ont rejoint mon corps d’armes. Je leur remercie infiniment pour leur courage à défendre la liberté de chacun.

    Pour que la paix revienne sur les terres autunoises, avec la bénédiction du Très-Haut.

    Pax Vobiscum,


    Frère Ambroise,
    Maire et Diacre d’Autun.





    * HRP: Phrase inspirée du Général de Gaule.


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Ambroise.
Citation:

Aux armes!

Bourguignon,

Ton duché est en proie au déchirement depuis des semaines.
Le conseil ducal que tu as élu a été renversé par des armées dirigées par des membres de Boum qui n'ont pas accepté la défaite électorale.
Aidés en cela par des membres de BNP, autre parti abritant des félons, ceux-ci se sont enfermés dans le château ducal et ont pris en otage notre capitale.

Tous entendent suivre aveuglément un roi qui a déjà, par le passé, renversé un conseil bourguignon élu.
Et c'est ce même roi qui prétend se suppléer à sa Sainteté le Pape, voire au Très Haut lui même, en contraignant le Royaume à se soumettre à une nouvelle Eglise qu'il dirigera lui-même.

Le conseil de régence actuel vous a spolié en vous privant d'un conseil ducal que vous aviez élu.
Voilà maintenant qu'il entend vous saigner pour conserver ce pouvoir acquis par la force.

Fermeture des mines, hausse scandaleuse des taxes, taxation des salaires, voilà les mesures prises par ces tyrans pour vous extorquer jusqu'à vos derniers deniers afin de recruter toujours plus de soldats dans leurs armées putschistes. Ces mêmes armées qui n'hésitent pas à s'en prendre physiquement à tout opposant, avéré ou présumé.

Et lorsque ce ne sont pas leurs armées, c'est la justice qu'ils utilisent, jetant en prison tout contestataire après un simulacre de procès.

Et l'épuration continue au sein de toutes nos institutions.

L'illégitime et nombriliste prévôt limoge tout douanier refusant de se révolter contre les maires élus par la voix du peuple.
Le versatile capitaine renvoie tout soldat ne souhaitant pas appuyer cette régence tyrannique.
L'université est fermée afin d'inciter élèves et professeurs à intégrer les rangs des deux armées ayant pris en otage notre duché.
La diplomatie est morte.
Les finances ducales s'amenuisent jour après jour.

Bourguignon, lève-toi !
Fais taire à jamais cette poignée de félons imbus de pouvoir qui entend se maintenir en place quel qu'en soit le prix à payer.
Ne vois-tu pas qu'ils ne respectent ni ton vote ni ta personne !
Ne vois-tu pas qu'ils te saignent pour mieux se protéger !

Déjà les élections approchent.
La multiplication des listes n'a que pour but de leur assurer nombre de sièges au conseil leur permettant ainsi une mainmise sur ce pouvoir qu'ils chérissent tant.
Ne te laisse pas abuser, trois partis déjà ne sont là que pour mettre à la tête de la Bourgogne Antonio, le seigneur de Fraize, celui-là même qui s'est joué de toi en prenant part au renversement d'un conseil que tu as élu.
Et derrière, la régence actuelle continuera son emprise maléfique sur ton duché.

Bourguignon, rejoins l'armée du peuple!
La revanche des ovins, appuyée par l'armée sainte, saura nous libérer du joug de la tyrannie, du mensonge et de la peur.
La Bourgogne doit se relever et chasser cette poignée d'usurpateurs qui mène notre duché vers l'injustice et le chaos.

Bourguignon, la Bourgogne t'appartient
A toi d'en faire ce que tu estimes juste.

Trixolas
Chef de la revanche des ovins

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Ambroise.
Miguael_enguerrand a écrit:
    Aux bourguignons et à tous ceux qui demeureraient fidèles aux idéaux de notre Duché et aux Enseignements de l'Eglise et de nos Prophètes.

    Attendu que des séditieux illégitimes se maintiennent au pouvoir au sein du château de Dijon, qu'ils ont pris par les armes au mépris de la volonté du peuple de Bourgogne ;
    Attendu que le conseil illégitime s'enhardit de recevoir le soutien de réformés et brigands patentés ;
    Attendu qu'il est nécessaire que le pouvoir revienne entre les mains de ceux que la Bourgogne a élu afin qu'ils ramènent l'ordre et cessent la saignée que pratique ce conseil illégitime envers les bourguignons ;


    Nous invitons tous ceux qui voudraient faire mouvement vers Dijon ou qui souhaiteraient en sortir à contacter Istar, chef de l'armée "Deus Manum Ducit", avant de prévoir tout mouvement. A compter de cet instant et jusqu'à nouvel ordre, toute personne entrant ou sortant de Dijon sera sévèrement contrôlée.
    Toute personne ne s'étant pas au préalable déclarée et n'ayant pas reçue de réponse positive de la part d'Istar prendrait des risques inconsidérés.

    C'est le cœur lourd de voir que la duplicité et l'envie de garder un pouvoir qu'ils ont usurpé m'oblige à vous faire une telle annonce.
    Faîtes passer le message à ceux auxquels vous tenez.
    Nous vaincrons les brigands, les réformés et les séditieux.

    Que le Très-Haut vous garde et que le courage et l'envie d'aller vers une Bourgogne plus juste et plus pieuse vous étreignent, mes frères et sœurs bourguignons.

    Miguaël Enguerrand de la Louveterie,
    Vicomte d'Avallon et de Sombernon
    Capitaine légitime des armées bourguignonnes.

_________________
Maistre_de_ceremonie
Citation:






    La raison n'est pas la propriété des membres du Clergé



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Aux clercs de l'Eglise aristotélicienne,
    Salutations.



    Qu'il soit su que nous ne reconnaissons pas à la Très Sainte Eglise Aristotélicienne le droit de gouverner des affaires temporelles au sein du Duché de Bourgogne.
    Nous déplorons fortement le fait que de l'Église ait largement outrepassé les pouvoirs qui lui étaient accordés par le Concordat de Mervant sis à l'article I "Du rôle de l’Eglise dans l’organisation temporelle du Duché".
    Item que l'Église ne reconnait plus la Bourgogne comme Aristotélicienne contrairement à la reconnaissance faite entre ces deux parties dans le préambule dudit Concordat de Mervans.

    Qu'il soit su qu'en conséquence, en ce premier jour de février, nous dénonçons le Concordat de Mervans liant l'Eglise aristotélicienne à la Bourgogne et suspendons les prérogatives et pouvoirs qui en découlent tant que le discours de la Sainte Église restera un discours de haine et de guerre vers la Bourgogne. Dès ce jour et jusqu'à amélioration des relations, il n'aura donc plus aucune valeur sur les terres bourguignonnes.

    Les propos tenus par plusieurs membres du Clergé de Bourgogne, à savoir, leur incitation à la violence et à la haine envers la Couronne de France mais aussi envers la Régence bourguignonne, nous semblent contraires aux valeurs prônées et enseignées par la religion Aristotélicienne et aux valeurs de la Bourgogne.
    Dès lors, cette décision était inévitable.

    Cependant, nous tenons à réaffirmer que la Bourgogne se veut toujours être un territoire Aristotélicien. Les évènements qui se sont produits et se produisent depuis quelques semaines résultent de conséquences temporelles et non spirituelles sur lesquelles l'Église n'a pas à intervenir.


    Par ailleurs, qu'il soit su également que Monseigneur Fitz par un discours haineux appelant au bain de sang, s'égare, selon nous, totalement du rôle qui est le sien. Au lieu de guider les âmes vers le salut, il prêche la haine, le meurtre par le mensonge, la duplicité, la colère et l'agressivité. Ces valeurs étant en totale opposition avec celles des Saintes Écritures, un évêque, a fortiori premier vice primat de France, ne pouvait rester dépositaire d'une maison de dieu. C'est pourquoi nous avons décidé ne plus reconnaître Monseigneur Fitz, évêque du Diocèse de Nevers, comme guide spirituel. En attendant, nous confions nos âmes au Très-Haut et prions pour que celles-ci soient au plus vite confiées à un évêque qui saura ramener le calme et guider les bourguignons vers la paix et non vers la violence !
    Monseigneur Fitz, guide et gardien des brebis du Très Haut, appelait tout simplement à un méchoui. Tel un végétarien qui subitement gloutonne de la viande crue, la Régence l'a mis a la diète."

    Le Père Waleran, curé de Tours, a accepté la demande de la Régente de venir prêcher la bonne parole à Nevers et de veiller au salut des bonnes âmes selon les Saintes Écritures, dans l'attente d'un prélat orthodoxe, bienveillant et pacifiste nommé par l'Église. Contrairement a Monseigneur Fitz, il n’appellera ni à la guerre ni aux armes mais à la paix et prônera l'amitié aristotélicienne, chose qui faisait désormais défaut à Monseigneur Fitz.

    Il veillera au salut des âmes et n’appellera pas à les faire comparaitre manu militari devant le jugement du Très Haut.

    "Quand il n’y a plus d’espoir, il reste toujours l’amitié" (Citation de l'Archange Saint-Georges)


    Que le Très-Haut et Saint Bynarr protègent la Bourgogne et les bourguignons !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le premier jour du mois de février de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.





Ambroise.
Jade a écrit:



    Troubles à nos frontières

    Nous, Jade de Sparte d'Avila,
    Régente du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
    en remplacement de Flavien Charles, "Fenthick I", Galanodel,
    Divinus Favente Clemencius Romanorum Imperator Electus semper Augustus,


      Aux vassals loyaux du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
      Aux chers citoyens du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
      A qui lira ou se fera lire,



    Nous avons lu les reports sur la concentration des militaires à quelques pas de nos frontières.
    Nous avons pris connaissance des lettres de menace et de trahison.
    Nous avons ressenti le vent belliqueux qui vient de chez nos voisins.
    Nous avons entendus marcher une armée étrangère dans le Franche-Comté et en Lorraine.
    Nous avons vu tomber deux villes par la simple volonté de brigands.
    C'est pour tout cela qu'aujourd'hui, nous prenons la parole!


    L'Empire ne restera pas inactif envers cette attitude. L'empire ne permettra pas que l'on menace ou conquière ses villes.

    Une armée venant de la Confédération Helvétique et portant son étendard a pris une ville impériale. Nous invitons la Confédération Helvétique de retirer cette armée immédiatement. Nous considérons cette attaque un acte hautement répréhensible et on demandera des indemnisations des dommages. L'armée portant l'étendard de la Confédération Helvétique qui se trouve en Lorraine actuellement n'est pas autorisée à passer par nos terres et elle doit quitter notre territoire.

    L'Empire déclare fermées ses frontières avec la Confédération Helvétique. Tout citoyen impérial est invité à quitter la Confédération Helvétique immédiatement. Lorsque l'armée helvétique reste sur notre sol, aucun citoyen de la Confédération Helvétique n'aura la permission d'être présent sur AUCUN eau ou territoire impérial.

    Une autre annonce concernant la déclaration de guerre par la France suivra.

    Ceci entre en vigueur instantanément.


    Pro Imperium!


    Donné à Strasbourg, le 29 de Janvier MCLDXI,






_________________
Ambroise.
Jade a écrit:



    De la déclaration de guerre du Royaume de France à l'Empire


    De Nous, Jade de Sparte d'Avila,
    Régente du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
    au nom de Sa Majesté Impériale Flavien Charles, "Fenthick I", Galanodel,
    Divinus Favente Clemencius Romanorum Imperator Electus semper Augustus,


      Aux loyaux vassaux du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
      Aux bienaimés citoyens du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
      A tous ceux qui liront ou se feront lire,



    Nous avons lu l'annonce provocatrice et fallacieuse d’Eusaias Blanc Combaz, insultant l’Empereur du Saint Empire Germanique et clamant sa convoitise des terres impériales francophones. Mais l'Empereur ne fait que soutenir les intérêts légitimes de notre Mère l'Église, l'Église Aristotélicienne. C'est seulement la France qui proclame la guerre contre l'Empire!

    Remettons les choses en perspective;
    Y a-t-il actuellement des troupes impériales en sol français ? Aucune mais ce roi non couronné en réclame le retrait et crie que l’Empire a violé des traités de non-agression.
    Qui a refusé la médiation initialement offerte par l’Empire ?
    Qui sollicite les vassaux de la couronne impériale à trahir l’Empereur ?
    Qui envoie des brigands en nos terres ?
    Qui clame à « l’expression impitoyable de la Justice de France contre les ennemis qui l'agressent » ?
    Qui n’écoute que les ragots de bas étage en y croyant dur comme fer ?
    Qui réclame que l’Empire « cesse d'occuper indignement des provinces qui ne parlent ni de près ni de loin la langue germaine » et les appelle à être « libérés des tyrans »
    Qui répand les mensonges finalement ?


    Eusaias Blanc Combaz, qui reproche à l’Empereur une ingérence car qu’il a tendu la main pour une médiation, a condamné l’attaque sur la Bourgogne et a finalement soutenu l’Église, commet une ingérence encore plus grande en souhaitant annexer trois provinces impériales, attirer sa noblesse en l’invitant à commettre un acte de trahison et envoyer des brigands. Quand on plaide être la victime, il faut savoir regarder ses propres actions. Sont-elles le fruit des vertus aristotéliciennes ? J’en doute fort.

    Eusaias Blanc Combaz, par ses provocations, a jeté de l’huile sur un feu qu’il alimente lui-même depuis son accession au trône. L’Empire ne va pas tolérer ses menaces. L’Empire ne souffrira pas la trahison de ses vassaux. L’Empire ne subira pas les hordes de brigands envoyés par la France en collaboration avec Genève.

    Si Eusaias Blanc Combaz souhaite discuter avec l’Empire, nous saurons l’écouter si le Fatum se retire de nos terres, s’il cesse de solliciter nos vassaux, s’il abandonne ses prétentions sur les provinces impériales, seulement là aura-t-il l’oreille de l’Empire et non par ses menaces de guerre.

    L’Empire est fort
    L’Empire est solidaire
    L’Empire est tenace
    L'Empire ne cèdera PAS!


    Pro Imperium!


    Rédigé, signé et scellé au Palais Impérial de Strasbourg, le 1er jour de février MCLDXI,






_________________
Ambroise.
Citation:



    Congrégation de la Sainte Inquisition
    Excommunication des membres des armées nommées "La Vache Folle III", "La Veuve Noire", "Le Griffon Champenois" et "Compagnie d'Artus"



    Nous, Vincent Diftain d'Embussy, Cardinal Romain, Chancelier de la Congrégation de la Sainte Inquisition, Grand Inquisiteur par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

    Annonçons que :


    Cette nuit, les armées royales, aux ordres du suppôt de la créature sans nom Eusaias, ont attaqué les Saintes Armées stationnées défensivement dans la campagne dijonnaise.

    Les Saintes Armées, venues à l'appel du Conseil légitime de Bourgogne, renversé par des félons à la solde de l'anti roi Eusaias, ont repoussé victorieusement cette pathétique attaque.

    En profitons pour féliciter l'ensemble des soldats des Saintes Armées pour leur brillante résistance et cette victoire éclatante.


    Considérant que les armées qui se sont attaquées aux Saintes Armées sont à la solde de l'anathémisé Eusaias.

    Considérant le fait lui même de s'attaquer aux Sainte Armées et donc, par voie de conséquence, à La Sainte Eglise Aristotélicienne elle même.


    Par conséquent, la Sainte Curie Romaine proclame l'excommunication des quatre commandants qui dirigeaient cette nuit les armées nommées "La Vache Folle III", "La Veuve Noire", "Le Griffon Champenois" et "Compagnie d'Artus", ainsi que les membres de ces quatre armées.

    Sont donc excommuniés, entre autres :
    - Angelyque de la Mirandole
    - Maxdph
    - Amorri



    Si d'aventure certains membres de ces armées n'ont jamais reçu le saint sacrement du baptême, l'excommunication ne s'applique naturellement pas à eux, mais le baptême leur sera définitivement interdit.

    Les personnes en ce jour excommuniées, trompées par Eusaias et ses sbires, conscientes désormais de leur erreur, peuvent décider de quitter les armées d'Eusaias et rejoindre les Saintes Armées. Ce qui leur vaudra la levée de leur excommunication.


    Ad Claram et Sanctam Veritatem

    Fait à Rome, le mercredi sixième jour du mois de février de l'an de grâce 1461.




_________________
Ambroise.
Citation:






    Réaction à l'agression contre les Saintes Armées de la part d'Eusaias.




    A l'universalité des fidèles,
    A tout les hommes et toutes les femmes, régnants, nobles, roturiers, qui manifestent chaque jour leur soutien et leur engagement pour la défense de l'Eglise Aristotélicienne,


    Nous annonçons que les Saintes Armées, présentes en Bourgogne de manière officielle à l'invitation publique du légitime Duc de Bourgogne, Sa Grâce Alexandre Olund, et de son Conseil ducal, afin d'assurer la protection des aristotéliciens bourguignons, ont fait l'objet d'une agression caractérisée de la part d'armées au service d'Eusaias dict le fol, anti-roy, anathème et hérétique, avec l'aide et le soutien d'une armée champenoise.

    Cette agression s'est soldée par un échec complet des attaquants, les fiers soldats des Saintes Armées connus pour leur vaillance et leur droiture - teutoniques, chevaliers francs, templiers, santiagos, gardes épiscopaux, Tau - aidés par des volontaires aristotéliciens bourguignons, guidés par leur foy en notre Créateur et par la solidarité des peuples aristotéliciens, ont repoussés sans mal cette attaque.

    Nous notons ainsi qu'Eusaias dict le fol a décidé de porter à nouveau attaque directement contre la Sainte Eglise Aristotélicienne. Cela ne nous étonne guère. Cette attaque confirme l'intégralité des griefs de l'Eglise contre cet individu, qui a déjà porté le Royaume de France au bord du gouffre et qui persiste et signe en poursuivant sa folie destructrice en s'attaquant désormais physiquement aux représentants de la Sainte Eglise Aristotélicienne. Cette agression contre les membres des Armées Saintes faisant suite à l'attaque contre la cathédrale de Nevers par ses hommes, le lieu saint ayant été souillé, afin d'empêcher l'évêque de Nevers - Monseigneur Fitz - de réaliser messes et baptêmes.

    En revanche, nous exigons immédiatement des explications de la part du Duché de Champagne pour cette agression contre la Sainte Eglise Aristotélicienne, et plus particulièrement sur l'attaque qui a été réalisée par l'armée "Le Griffon Champenois" dirigée par Maxdph. Cette offense contre l'Eglise est honteuse et indigne de la Champagne dont les habitants ont déjà prouvés a de nombreuses reprises leur soutien à la foy aristotélicienne et à la Sainte Eglise.

    Nous communiquons par ailleurs toutes les informations en notre possession à la Curie et à la Congrégation de la Sainte Inquisition, afin que des sanctions puissent être prises. Nous demandons cependant à l'Inquisition que toutes les personnes ayant été manipulées afin de commettre ce crime contre la Sainte Eglise puissent être pardonnés s'ils en font la demande dans les prochains jours. Notre souhait est que seuls ceux ayant voulus délibérément et en connaissance de cause agresser la Sainte Eglise soient condamnés.


    Que Dieu protège la France, aujourd'hui souillée par la folie d'un homme qui a juré sa perte, et donne force et courage aux défenseurs de l'Eglise.


    Faict à Rome, le VI février de l’an de grâce MCDLXI de Notre Seigneur


    Tibère Cardinal de Plantagenêt, dict Rehael,
    Archidiacre de Rome,
    Cardinal Connétable




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Ambroise.
Citation:






    La sécurité de la Bourgogne avant tout.



    De Nous, Antonio Licors, Régnant de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou se feront lire,
    Au Bourgmestre de Dijon,
    Aux Dijonnais,

    Salutations.


    Nous autorisons ce jour l'armée "Les Lames d'Amahir" commandée par Lexhor d'Amahir, Grand Maitre de France, à entrer dans Dijon, Capitale du Duché de Bourgogne, dans le but de la défendre contre d'éventuelles attaques.

    Que Dijon et la Bourgogne soient bien gardées !


    Rédigé, signé et scellé par Antonio Licors, Régnant de Bourgogne ;
    Le neuvième jour du mois de mars de l'an 1461, au Palais des Ducs de Bourgogne.






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Ambroise.
Citation:




    Autun de retour dans le giron Bourguignon


    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
    Salutations.


    Au début du mois de janvier, les armées croisés, qui envahissaient notre Duché de Bourgogne, avaient franchisés deux villages Bourguignons : Autun et Chalon. Les liaisons avec les institutions du Duché, à travers la sénéchaussée, étaient coupés. Autun et Chalon perdaient, alors, tous les privilèges qui les rattachaient au Duché de Bourgogne. Les deux villages ne pouvaient plus faire de commerce, êtres protégés par la maréchaussée, voter aux élections Ducales, suivre ou enseigner des cours à l'université ou se rendre au tribunal. Les Autunois et les Chalonnais ont vécus, en autarcie du reste de la Bourgogne, scindés des liens qui les unissaient au reste du Duché, pour les deux mois qu'allait durer la guerre. Et ainsi, le drapeau Bourguignon ne flottait plus les mairies d'Autun et Chalon.

    Le matin du dix mars, l'armée Grain Blanc commandée par messire Bobbynight, battant le pavillon Bourguignon, arrivait aux alentours d'Autun. Dans la journée, les autorités municipales accueillirent les envoyés du Duché. Avec la coopération du maire du village, messire Ambroise : la sénéchaussée fut ré-ouverte et les liens qui unissaient le village au Duché de Bourgogne furent renoués pour le meilleur. Aujourd'hui, le drapeau Bourguignon veille de nouveau sur Autun et la Bourgogne à retrouvée nombres de ses enfants perdus dans la solitude d'un village séparé du reste du Duché. Avec la pleine réintégration d'Autun, Les Autunois et les Autunoises ont, maintenant, de nouveaux accès à toutes les prérogatives que leur offre le Duché en se rendant à la Sénéchaussée du village.

    Le Duché de Bourgogne, représenté par le Conseil Ducal et son Duc, tient à remercier particulièrement messire Bobbynight, le Vicomte Maathis et dame Caroline_de_Bourbon pour leur participation et leur aide à la réintégration du village d'Autun dans le Duché de Bourgogne.


    La reconquête n'est pas accomplie. Le village de Chalon, toujours franchisé, se trouve encore isolé du reste du Duché.


    Que le Très Haut veille sur la Bourgogne qui attend toujours de retrouver son dernier fils.


    Faict le treizième jour de mars de l'an de grâce MCDLXI, en le palais des Ducs de Bourgogne :
    Rédigé par, Gregòri de Sabran de l'Isle, Porte-Parole Ducal ;
    Signé et scellé par, le souverain des terres de Bourgogne, sa Grasce Antonio Licors, Duc de Bourgogne.





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Ambroise.
Citation:




    Un conseil Ducal pour la paix


    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
    Salutations.



    Les Bourguignons se sont rendus aux urnes pour faire entendre leurs voix dans ces premières élections Ducales depuis le début de la guerre, voici les choix exprimés :
    Citation:
    Répartition des suffrages exprimés :

    1. "Bourgogne Optimiste Unie et Motivée" (BOUM) : 28.9%
    2. "Burgundia Nostra" ((BN)) : 27.8%
    3. "Gougère" (GG) : 17.3%
    4. "Bourgogne, Nouvelle et Prospére" (BNP) : 15.8%
    5. "A Bas La Mamelue" (ABLM) : 10.2%

    La répartition des sièges au scrutin à la proportionnelle conduit à une nouvelle répartition des postes du conseil :

    1 : Antonio (BOUM)
    2 : Miss. (BOUM)
    3 : Niall (BOUM)
    4 : Trixolas ((BN))
    5 : Teo. ((BN))
    6 : Mansart ((BN))
    7 : Gautier.de.vaisneau (GG)
    8 : Lunkos (GG)
    9 : Adriah (BNP)
    10 : Crezus (ABLM)
    11 : Uruk (BNP)
    12 : Gregori (BOUM)



    Après huit jours de réflexions et, quatre tours de scrutin. Les conseillers ducaux décidèrent que Sire Antonio de Licors, Seigneur de Fraize, serait le nouveau Duc de Bourgogne pour les deux mois que durerait ce second mandat ducal de l'année MCDLXI.


    Par ailleurs, après tractation, discussion et diverses questions – messire Trixolas et dame Teo étant à l'extérieur du Duché de Bourgogne et du Royaume de France, et donc dans l'incapacité d'assurer une charge –, l'attribution des postes entre conseillers fut effectuée et remaniée par le nouveau régnant ainsi nommé.

    Que soit donc colportées et répandues, dans le Duché comme à l'étranger, les répartitions des charges au sein du conseil Ducal du XLe Duc de Bourgogne :

    • Procureur : Son Altesse Uruk de Margny-Riddermark, Prince de Condé, Comte du Hainaut, Vicomte de Bourbon Lancy, Baron d'Antigny, de Beaune et de Jussey
    • Juge : Crezus de Montestier

    • Prévôt des Maréchaux : Mansart de Bragelonne
    • Connétable : Maître Gautier de Vaisneau
    • Capitaine : Sire Lunkos de Vivans, Seigneur d'Hurigny et de Saint-Loup-d'Ordon

    • Commissaire au Commerce : Margot d'Euphor, dict Miss
    • Bailli : Monseigneur Niall de Rivien, Vicomte de Montréal
    • Commissaire aux Mines : Adriah de la Croix de Bamafan

    • Porte-parole : Gregòri de Sabran de l'Isle

    • Conseillers ducaux sans affectation : Teo, Trixolas


    Que le Très Haut veille sur la Bourgogne et guide le nouveau le nouveau conseil vers une paix durable.

    Faict le quatorzième jour jour de mars de l'an de grâce MCDLXI, en le palais des Ducs de Bourgogne :
    Rédigé par, Gregòri de Sabran de l'Isle, Porte-Parole Ducal ;
    Signé et scellé par, le souverain des terres de Bourgogne, Sa Grasce Antonio de Licors, Duc de Bourgogne.






































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Ambroise.
Citation:




    Le ban est levé !


    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
    A nos bien-aimés vassaux,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.


    Nous avons promis la Paix, et la Paix viendra.
    Cependant, la Bourgogne se trouve aujourd'hui menacée à nouveau par des armées étrangères. Si notre suzerain le Roy de France a mobilisé bon nombre d'armées, d'hommes et de femmes pour protéger la Bourgogne, c'est aujourd'hui aux bourguignons et notamment aux nobles bourguignons de défendre leur Duché.

    Ainsi, c'est la raison pour laquelle Nous levons le ban dès ce jour.
    Nous demandons à nos vassaux de se mobiliser, de répondre à leur devoir d'aide armée, de prendre contact avec Nous ou avec notre Capitaine, le seigneur Lunkos.
    Si certains de nos vassaux sont dans l'impossibilité de répondre par les armes, il leur est possible après justification de faire envoyer des soldats, ou de répondre par un apport matériel en fournissant des denrées utiles.

    Nous laissons à nos vassaux un délai de cinq jours à compter de ce jour pour prendre connaissance de cette levée du ban et pour nous répondre.

    La Bourgogne est menacée, puisse la Noblesse bourguignonne montrer sa valeur et sa force !

    Faict le quatorzième jour de mars de l'an de grâce MCDLXI, en le palais des Ducs de Bourgogne,
    Rédigé, signé et scellé par, le souverain des terres de Bourgogne, sa Grasce Antonio Licors, Duc de Bourgogne.





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