Sacripouille
Alouetteuh gentille alouetteuh, alouetteuh je te
Dans ton cuuuuuuu blaireau !!!! *
Lavais-je dis ou pas aucune idée parce que le grand méchant loup marracha des flots avec toute la douceur dont était capable ce prédateur, c'est-à-dire quil faillit marracher un ou deux membres. Il navait trop rien de ténébreux ce sale clébard sauvage ! Jétais plutôt frêle et de petite taille, ne faisant pas le poids entre les pattes du colosse, se qui mempechait pas de mordre et griffer en beuglant tout mon répertoire joliment fleuri.
Alors la situation avait ses avantages :
-jétais sorti du bain forcé
-jallais me réchauffer
-jallais peut-être pouvoir tenir une trique
-javais plus envie de pisser
- cétait pas aujourd hui que je me noierai
Par contre, les inconvénients étaient plus que flippants :
-Les fourrés ça gratte
Berdel de marde ! dans les ronces, bourrique !
-mes cheveux dégoulinaient pendants et filasses et je nallais pas tarder a friser.
Jmen va tfoutre la branlée dta vie !
Tu parles, cest que le côté rustre de la situation mettait plutôt mes sens en émoi, réchauffant doucement mon bas-ventre.
Sauf que..
-à plat-ventre les fesses àlair, ça cest moins..uhm ! et plutôt..groummpfff mais si exitant quand tu me retournes comme une crêpe, collant ton pelage au mien
Tvas pas faire ça quand même nan ? si ? apperement oui vu que je sens ton pieu qui cherche à glisser dans son fourreau.
Contraction instenté de chaque muscles de mon si divin corps rudoyé.
Pas comme ça
Pas maintenant
Glapissement de détresse, la main qui tente de repousser la montagne de muscles qui mimmobilise et qui me soumet, complètement à sa merci.
Impossible de se détendre, de profiter de linstant, le cur prêt a perforer mon thorax.
Le nez qui pique,lil qui se fait brûlant
Steuplait non !!!
Il na plus rien de fanfaron, le Renard, tentant déchapper à la prise.
Sois compatissant Ysengrin, regarde le museau et les moustaches qui frémissent de désarroi et laisse-toi attendrir.Ma bouche scellée à la tienne, ton souffle mêlé au mien..non, je ne dois pas céder, même si ma fierté me trahi
Dans ton cuuuuuuu blaireau !!!! *
Lavais-je dis ou pas aucune idée parce que le grand méchant loup marracha des flots avec toute la douceur dont était capable ce prédateur, c'est-à-dire quil faillit marracher un ou deux membres. Il navait trop rien de ténébreux ce sale clébard sauvage ! Jétais plutôt frêle et de petite taille, ne faisant pas le poids entre les pattes du colosse, se qui mempechait pas de mordre et griffer en beuglant tout mon répertoire joliment fleuri.
Alors la situation avait ses avantages :
-jétais sorti du bain forcé
-jallais me réchauffer
-jallais peut-être pouvoir tenir une trique
-javais plus envie de pisser
- cétait pas aujourd hui que je me noierai
Par contre, les inconvénients étaient plus que flippants :
-Les fourrés ça gratte
Berdel de marde ! dans les ronces, bourrique !
-mes cheveux dégoulinaient pendants et filasses et je nallais pas tarder a friser.
Jmen va tfoutre la branlée dta vie !
Tu parles, cest que le côté rustre de la situation mettait plutôt mes sens en émoi, réchauffant doucement mon bas-ventre.
Sauf que..
-à plat-ventre les fesses àlair, ça cest moins..uhm ! et plutôt..groummpfff mais si exitant quand tu me retournes comme une crêpe, collant ton pelage au mien
Tvas pas faire ça quand même nan ? si ? apperement oui vu que je sens ton pieu qui cherche à glisser dans son fourreau.
Contraction instenté de chaque muscles de mon si divin corps rudoyé.
Pas comme ça
Pas maintenant
Glapissement de détresse, la main qui tente de repousser la montagne de muscles qui mimmobilise et qui me soumet, complètement à sa merci.
Impossible de se détendre, de profiter de linstant, le cur prêt a perforer mon thorax.
Le nez qui pique,lil qui se fait brûlant
Steuplait non !!!
Il na plus rien de fanfaron, le Renard, tentant déchapper à la prise.
Sois compatissant Ysengrin, regarde le museau et les moustaches qui frémissent de désarroi et laisse-toi attendrir.Ma bouche scellée à la tienne, ton souffle mêlé au mien..non, je ne dois pas céder, même si ma fierté me trahi
*clin d'oeil a Jeff Panacloc et son Jean-Marc