Marion_t.ozera
Lété approchait, les journées et les nuits étaient chaudes, les tavernes également. Au couvert dune table, le pied blond grimpait et descendait le long dune jambe telle Sisyphe sur sa montagne. A défaut de faire vivre un martyre, cela donnait au contraire vie au plaisir. Et tandis quune main masculine caressait la cheville remontant en son sommet comme elle le faisait de son pied, elle se forçait de ne rien laisser transparaitre du plaisir et des frissons qui la secouaient.
Cela faisait une éternité que la blonde navait pas batifolé avec qui que ce soit, et badiner la mettait tout en joie. Partie dune simple plaisanterie, cétait enchainé regards complices, jeux de langues suggestifs jusquà un jeu de pieds et de main discret. Toutes les occasions étaient bonnes pour se pencher prêt du brun, humer son odeur, caresser ses cheveux, lui glisser quelques mots à loreille, ou encore raffermir la pression de son pied sur sa cuisse. Les jeux allaient de bon train, mais le loup les quitta alors, promettant de repasser plus tard, chez elle, Aile Est, deuxième étage deuxième fenêtre sur la droite. Lui glissant à loreille quil la laissait à son rendez vous dune heure, faisant naitre un sourire sur les lèvres de la bourgeoise. En effet dans la même discrétion que leur chamaillerie, il avait fait passer son pied de ses cuisses à celle du roux qui faisait tout autant partie de la blague.
Et tout comme Louis sen était allé, dautre quittèrent la taverne sans rien voir du pied blond qui sur les genoux du renard se faisait caresser, de cette main dont le contact reconnaissable aux mitaines quil portait. Lidée de pouvoir se faire surprendre lexaltait. Mais alors même que la taverne désemplissait, la blonde devait mobiliser toute son attention pour suivre les conversations qui se déroulaient, essayant de répondre avec cohérence alors que son esprit, ainsi que son corps mourraient denvie de sabandonner aux caresses faites, aux promesses et aux espoirs de bien davantage. Profitant par instant de labsence de mouvement et dattention des autres villageois, la blonde se pencha légèrement sur Lestat, lui offrant certainement une vue imprenable sur ses attributs féminin avant de lâcher dune voix sensuelle et badine.
Je crois quil est une heure, il me semble que cest à votre tour.
Des mots qui voulaient tout simplement dire je suis toute à vous. Paroles paradoxales alors même que la blonde, qui dans cette blague passait pour lune de ces femmes objets que lon commande et décommande, prend et jette à volonté, ne se sentait pas le moins du monde entravée et soumise. Cétait un simple jeu, un simple plaisir dont elle se devait de profiter. Sur ces paroles, son pied se mit à nouveau à glisser, forçant le renard à contenir son plaisir, si plaisir il avait, le torturant comme il la torturait lorsque ses mains glissaient plus haut que ses genoux. Marion se mordait la lèvre inférieure, aussi bien par réflexe que par provocation, couvent de temps à autre le roux dun regard concupiscent. Sa main passa dans ses cheveux quelle portait plus court à son plus grand damne, plus possible de laisser glisser sa chevelure sensuellement sur ses épaules nue, dadopter une posture dingénue en enroulant une mèche autour de son doigt. Car en cet instant elle aurait bien eu besoin dadopter un air candide pour la supplique qui allait suivre.
Je nai jamais essayé de roux.
Sa voix raisonnait comme celle dune enfant curieuse, camouflant à merveille la démone prisonnière en elle, uniquement trahit par le désir qui se lisant dans la tension de son corps. À présent peu lui importait ses cheveux, peu lui importait les derniers individus présent, seul comptait le roux, seul importait ce quelle voulait, et ce quelle voulait cétait se perdre dans la chaire, se perdre dans cet autre corps, et pourquoi pas, se perdre dans un enchevêtrement de deux autres corps. La blonde batifolait avec un renard, avec un loup, pourtant ces deux la nimaginais même pas à quel point la bête avait faim.
[Bonjour, bonjour,
Merci de citer la source de la chanson citée dans le titre votre RP comme cela est stipulé dans les Règles d'or du Coin des aRPenteurs.
Bon jeu et bon RP.
Modo Eden]
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Cela faisait une éternité que la blonde navait pas batifolé avec qui que ce soit, et badiner la mettait tout en joie. Partie dune simple plaisanterie, cétait enchainé regards complices, jeux de langues suggestifs jusquà un jeu de pieds et de main discret. Toutes les occasions étaient bonnes pour se pencher prêt du brun, humer son odeur, caresser ses cheveux, lui glisser quelques mots à loreille, ou encore raffermir la pression de son pied sur sa cuisse. Les jeux allaient de bon train, mais le loup les quitta alors, promettant de repasser plus tard, chez elle, Aile Est, deuxième étage deuxième fenêtre sur la droite. Lui glissant à loreille quil la laissait à son rendez vous dune heure, faisant naitre un sourire sur les lèvres de la bourgeoise. En effet dans la même discrétion que leur chamaillerie, il avait fait passer son pied de ses cuisses à celle du roux qui faisait tout autant partie de la blague.
Et tout comme Louis sen était allé, dautre quittèrent la taverne sans rien voir du pied blond qui sur les genoux du renard se faisait caresser, de cette main dont le contact reconnaissable aux mitaines quil portait. Lidée de pouvoir se faire surprendre lexaltait. Mais alors même que la taverne désemplissait, la blonde devait mobiliser toute son attention pour suivre les conversations qui se déroulaient, essayant de répondre avec cohérence alors que son esprit, ainsi que son corps mourraient denvie de sabandonner aux caresses faites, aux promesses et aux espoirs de bien davantage. Profitant par instant de labsence de mouvement et dattention des autres villageois, la blonde se pencha légèrement sur Lestat, lui offrant certainement une vue imprenable sur ses attributs féminin avant de lâcher dune voix sensuelle et badine.
Je crois quil est une heure, il me semble que cest à votre tour.
Des mots qui voulaient tout simplement dire je suis toute à vous. Paroles paradoxales alors même que la blonde, qui dans cette blague passait pour lune de ces femmes objets que lon commande et décommande, prend et jette à volonté, ne se sentait pas le moins du monde entravée et soumise. Cétait un simple jeu, un simple plaisir dont elle se devait de profiter. Sur ces paroles, son pied se mit à nouveau à glisser, forçant le renard à contenir son plaisir, si plaisir il avait, le torturant comme il la torturait lorsque ses mains glissaient plus haut que ses genoux. Marion se mordait la lèvre inférieure, aussi bien par réflexe que par provocation, couvent de temps à autre le roux dun regard concupiscent. Sa main passa dans ses cheveux quelle portait plus court à son plus grand damne, plus possible de laisser glisser sa chevelure sensuellement sur ses épaules nue, dadopter une posture dingénue en enroulant une mèche autour de son doigt. Car en cet instant elle aurait bien eu besoin dadopter un air candide pour la supplique qui allait suivre.
Je nai jamais essayé de roux.
Sa voix raisonnait comme celle dune enfant curieuse, camouflant à merveille la démone prisonnière en elle, uniquement trahit par le désir qui se lisant dans la tension de son corps. À présent peu lui importait ses cheveux, peu lui importait les derniers individus présent, seul comptait le roux, seul importait ce quelle voulait, et ce quelle voulait cétait se perdre dans la chaire, se perdre dans cet autre corps, et pourquoi pas, se perdre dans un enchevêtrement de deux autres corps. La blonde batifolait avec un renard, avec un loup, pourtant ces deux la nimaginais même pas à quel point la bête avait faim.
[Bonjour, bonjour,
Merci de citer la source de la chanson citée dans le titre votre RP comme cela est stipulé dans les Règles d'or du Coin des aRPenteurs.
Bon jeu et bon RP.
Modo Eden]
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