Fitz
« Vienne la nuit, sonne l'heure, Des gens s'amusent, d'autres meurent. »*
Fitz, c'est mon nom, enfin mon nom....je ne l'utilise plus souvent celui là...
Mon nom de scène : La Peste!
Je crois que comme cette maladie, je suis véhiculé par les rats, enfin sa puce, je suis la parasite du parasite et je suis né pour tuer, à ma manière souvent proche de ma victime j'aime sentir l'odeur de sa peau, l'odeur qui émane d'elle les quelques instants avant que je ne m'approche, quand elle sait qu'elle va périr, la peur a une odeur, je vous l'assure, elle a même un gout, je vous promets.
Je suis un anonyme pour beaucoup, mais ma gloire est sans fin, de mes mains je crée la mort, comme un charpentier fait une bonne barque, je suis capable de faire une belle mort. Je tue pour le plaisir, je vous l'avoue et puis en grandissant j'ai voulu allier l'utile à l'agréable et maintenant de grandes gens me paient pour exécuter " leur désirs", ceux-là même qui pendant longtemps ont a peine posé les yeux sur moi, ceux là maintenant me supplient de régler leurs affaires.
Une maitresse trop entreprenante.
Un rival amoureux....politique....
Un grain de sable dans le rouage de leur vie insignifiante.
Un bâtard.
Les grandes gens tuent plus que vous pouvez bien le penser, enfin ils font tuer, on ne salit pas les mains des nantis, je suis là pour ça!
Mais chut! Vous en savez déjà trop et je pourrais un jour devoir venir vous faire la peau.
Il fait froid mais je ne frissonne pas, ma proie viendra bientôt, je descends les marches de pierre sur la pointe des pieds, la lune venant frapper le gisant présent qui sera bientôt rejoint par le corps frais d'une de ses visiteuses habituelles. Je me mets dans le recoin le plus noir et mon cur palpite plus fort, l'attente c'est le pire et le meilleur, l'adrénaline monte doucement, on a peur du rendez vous manqué mais on pense déjà au déroulé de l'histoire dont on est le héros.
Elle doit être grande, filiforme, brune et habillée de noir.
Elle vient chaque soir....
Je sors déjà ma dague, et reste debout, l'attente peut être longue mais je ne veux pas être repéré en me dépliant quand celle qui viendra prier sera là et j'imagine déjà le gout qu'elle a.
*Francis Blanche
Fitz, c'est mon nom, enfin mon nom....je ne l'utilise plus souvent celui là...
Mon nom de scène : La Peste!
Je crois que comme cette maladie, je suis véhiculé par les rats, enfin sa puce, je suis la parasite du parasite et je suis né pour tuer, à ma manière souvent proche de ma victime j'aime sentir l'odeur de sa peau, l'odeur qui émane d'elle les quelques instants avant que je ne m'approche, quand elle sait qu'elle va périr, la peur a une odeur, je vous l'assure, elle a même un gout, je vous promets.
Je suis un anonyme pour beaucoup, mais ma gloire est sans fin, de mes mains je crée la mort, comme un charpentier fait une bonne barque, je suis capable de faire une belle mort. Je tue pour le plaisir, je vous l'avoue et puis en grandissant j'ai voulu allier l'utile à l'agréable et maintenant de grandes gens me paient pour exécuter " leur désirs", ceux-là même qui pendant longtemps ont a peine posé les yeux sur moi, ceux là maintenant me supplient de régler leurs affaires.
Une maitresse trop entreprenante.
Un rival amoureux....politique....
Un grain de sable dans le rouage de leur vie insignifiante.
Un bâtard.
Les grandes gens tuent plus que vous pouvez bien le penser, enfin ils font tuer, on ne salit pas les mains des nantis, je suis là pour ça!
Mais chut! Vous en savez déjà trop et je pourrais un jour devoir venir vous faire la peau.
Il fait froid mais je ne frissonne pas, ma proie viendra bientôt, je descends les marches de pierre sur la pointe des pieds, la lune venant frapper le gisant présent qui sera bientôt rejoint par le corps frais d'une de ses visiteuses habituelles. Je me mets dans le recoin le plus noir et mon cur palpite plus fort, l'attente c'est le pire et le meilleur, l'adrénaline monte doucement, on a peur du rendez vous manqué mais on pense déjà au déroulé de l'histoire dont on est le héros.
Elle doit être grande, filiforme, brune et habillée de noir.
Elle vient chaque soir....
Je sors déjà ma dague, et reste debout, l'attente peut être longue mais je ne veux pas être repéré en me dépliant quand celle qui viendra prier sera là et j'imagine déjà le gout qu'elle a.
*Francis Blanche