--Maximillian
Plus les jours passaient, plus il faiblissait. Quel diablerie était-ce là? Il avait brisé la vipère, et se repaissait chaque nuit de son corps. Du moins, il avait encore un doute, ce soir là. Il observait souvent la vipère, jaugeant chaque regard, chaque tressaillement. Etait-elle réellement soumise, ou simulait-elle? Parfois un éclat venait égayer ses yeux, une sauvagerie, promesse de mille morts. Et il lui faisait subir davantage encore ces soirs là, davantage d'infamie, plus loin encore dans l'abject. Il l'avait labourée en tout sens, l'avait battue comme plâtre, attachée, humiliée, privée de nourriture et fait dormir avec un cadavre puant. Puis, lorsqu'elle revenait, chargée de cette odeur de charogne, il la forçait à prendre un bain, par la force s'il le fallait.
Les affaires marchaient mal. L'établissement n'attirait pas... Maximilian se réfugiait dans l'alcool, et l'haleine enfiévrée, se défoulait sur Camille... Il aurait voulu qu'elle se débatte plus, qu'elle ne devienne pas si vite sa chose, comme Miri. Il essayait par tous les moyens de la faire se rebeller, mais il l'avait bel et bien brisée. Il l'observa, alors qu'elle lui apporta comme chaque soir son repas, puis le regardait manger. Mais ce soir, il n'avait pas faim. IL était malade depuis quelques temps. Le teint verdâtre, l'odeur du ragout le révulsait. Il avait maigri. Le médicastre n'avait pas su détecté sa maladie, ce n'était ni la fièvre alexandrine, ni la peste, ni la petite vérole, ni le mal vénitien qui sévissait chez les femmes de petite vertu... Il soupira devant son assiette qui refroidissait, la sauce qui figeait. Ca ne pouvait être Camille, elle ne possédait rien, à peine une tunique courte pour s'habiller...
Il se sentait nauséeux, fiévreux. Il but son verre de vin, se sentait de très mauvaise humeur. Rien n'avait changé, et pourtant, l'atmosphère avait changé. Il n'avait pas vu, pendant qu'il s'occupait de ses affaires, qu'elle avait su se détacher et retrouvé sa dague... Elle avait un drôle de regard, mi amusé, mi haineux, puis se recomposa très vite cet air soumis... La colère l'envahit.
Baisse les yeux, sale garce!
Il la gifla, et ce déchainement de violence acheva de lui redonner du coeur au ventre tout à fait et oublier sa nausée.
Attend moi dans la chambre, prépare toi. Débarrasse moi de ton odeur de charogne et de ce plat immonde.
Il la laissa se préparer, nettoyer les relief du repas et referma la porte à clef. Il la voulait propre, nue, et soumise à son bon plaisir. Il n'aimait pas cet éclat qu'il avait perçu dans ses yeux. Une nouvelle séance de dressage devait être programmée très vite ...
Il revint, elle l'attendait comme il lui avait appris. Il allait lui apprendre le respect, ça oui! Mais avant ... il ne pouvait résister à l'appel de cette croupe offerte. Sans douceur, sans scrupule, il souilla de nouveau ce corps. Il aimait sentir sa victime tressaillir de douleur à chaque coup de boutoir, ses coups, ses étranglements. Parfois, elle savait se contrôler, et sa virilité renonçait face à une poupée de chiffon sans réactions. Et la punition était une longue séance dans les caves, après de nombreux coups, avec Miri qui achevait de se décomposer. Il souhaitait la confrontation... Pour mieux la soumettre.
Les affaires marchaient mal. L'établissement n'attirait pas... Maximilian se réfugiait dans l'alcool, et l'haleine enfiévrée, se défoulait sur Camille... Il aurait voulu qu'elle se débatte plus, qu'elle ne devienne pas si vite sa chose, comme Miri. Il essayait par tous les moyens de la faire se rebeller, mais il l'avait bel et bien brisée. Il l'observa, alors qu'elle lui apporta comme chaque soir son repas, puis le regardait manger. Mais ce soir, il n'avait pas faim. IL était malade depuis quelques temps. Le teint verdâtre, l'odeur du ragout le révulsait. Il avait maigri. Le médicastre n'avait pas su détecté sa maladie, ce n'était ni la fièvre alexandrine, ni la peste, ni la petite vérole, ni le mal vénitien qui sévissait chez les femmes de petite vertu... Il soupira devant son assiette qui refroidissait, la sauce qui figeait. Ca ne pouvait être Camille, elle ne possédait rien, à peine une tunique courte pour s'habiller...
Il se sentait nauséeux, fiévreux. Il but son verre de vin, se sentait de très mauvaise humeur. Rien n'avait changé, et pourtant, l'atmosphère avait changé. Il n'avait pas vu, pendant qu'il s'occupait de ses affaires, qu'elle avait su se détacher et retrouvé sa dague... Elle avait un drôle de regard, mi amusé, mi haineux, puis se recomposa très vite cet air soumis... La colère l'envahit.
Baisse les yeux, sale garce!
Il la gifla, et ce déchainement de violence acheva de lui redonner du coeur au ventre tout à fait et oublier sa nausée.
Attend moi dans la chambre, prépare toi. Débarrasse moi de ton odeur de charogne et de ce plat immonde.
Il la laissa se préparer, nettoyer les relief du repas et referma la porte à clef. Il la voulait propre, nue, et soumise à son bon plaisir. Il n'aimait pas cet éclat qu'il avait perçu dans ses yeux. Une nouvelle séance de dressage devait être programmée très vite ...
Il revint, elle l'attendait comme il lui avait appris. Il allait lui apprendre le respect, ça oui! Mais avant ... il ne pouvait résister à l'appel de cette croupe offerte. Sans douceur, sans scrupule, il souilla de nouveau ce corps. Il aimait sentir sa victime tressaillir de douleur à chaque coup de boutoir, ses coups, ses étranglements. Parfois, elle savait se contrôler, et sa virilité renonçait face à une poupée de chiffon sans réactions. Et la punition était une longue séance dans les caves, après de nombreux coups, avec Miri qui achevait de se décomposer. Il souhaitait la confrontation... Pour mieux la soumettre.