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[quote=&quot;--Venusia.&quot;][url=http://argonne.rr.xooit.com/image/22/f/f/c/getattachment.aspx-1149a81.jpg.htm][img]http://img22.xooimage.com/files/f/f/c/getattachment.aspx-1149a81.jpg[/img][/url] [i][color=darkred]Un sourire naquit sur les lèvres de la blonde. La jolie brunette n'a aucun soucis quand à... dévoiler ses charmes. Même si elle ne voulait pas qu'on la touche, se dénuder serait une façon d'éveiller des fantasmes chez les clients, et clientes. De plus, Mi Ange serait sûrement ravie d'accueillir une autre fille qui vendait ses charmes mais d'une autre façon. Un souffle chaud, un parfum enivrant, des framboises embrassant sa nuque. Un frisson parcours l'échine de Vé lorsque Tara vint se placer près d'elle. Après un regard vers elle, son angloise s'adresse à la nouvelle venue. [/i][/color] [color=indigo]Tara a raison, monte à l'étage, choisis toi une chambre et fait un brin de toilette, Mi Ange ne devrait pas tarder.[/color] [i][color=darkred]Une fois que la nouvelle eut quitté la pièce pour monter à l'étage la belle prit la main de la rouquine et l'invita à s'asseoir sur le sofa.[/i][/color] [color=indigo]Tu as eu une très bonne idée de proposer à Carmeen de monter à l'étage, elle sera dans un meilleur état que nous quand elle sera face à Mi Ange.[/color] [i][color=darkred]Ses yeux ne peuvent se lasser de contempler la rousse à la silhouette gracieuse. Cette gorge, ces longues jambes, des lèvres effleurant, baisant chaque parcelle de son corps, un désir faisant naître une exploration plus poussée dans les contrées de l'intimité dont la mélodie des gémissements de plaisir se joindra à ce voyage. Après avoir effleurer les douces lèvres de Tara, Vénusia se rapproche d'elle et lui souffle:[/i][/color] [size=7][color=indigo]Délicieux et prometteur, je vais aller dans ma chambre, si l'envie t'en prend tu sais où me trouver. A plus tard my pearl.[/color][/size] [i][color=darkred]Se levant, la belle caresse du bout des doigts le visage de cette beauté angloise puis se dirige vers l'escalier et après avoir monter ces quelques marches, elle entre dans sa chambre. Le ciel s'assombrissant, le jour laissant place à la nuit, Vénusia allume les bougies et s'étend sur son lit. Le calme qui régnait dans cette maison la trouble, peu de gens viennent. Son envie, son désir de s'allonger sur ce lit en charmante compagnie non pour s'y reposer mais pour enfin exercer son métier. Sentir des mains parcourir son corps, jouer avec ses seins que des lèvres goûteront plus tard, une visite dans son intimité, sentir quelque chose entre ses cuisses et en elle... Un désir, une envie pour le moment en pause. Un sourire flotte sur ses lèvres quand l'image de sa rouquine lui vint à l'esprit. Ses noisettes regarde par la fenêtre, il ne fait plus jour mais pas totalement nuit. Une porte s'ouvrant, se fermant, une voix masculine. Vé se redresse et voit son reflet dans le miroir, bien entendu ses cheveux sont en bataille et son visage a besoin d'être rafraîchit. D'autres voix se font entendre lorsqu'après avoir nettoyé son visage à l'eau froide, elle entreprend de brosser sa chevelure. Cela fait, la belle ouvre son armoire, applique quelques gouttes de son trésor sur sa peau et quitte sa chambre. Sur le palier la porte de la rouquine grince, à peine le temps de tourner la tête et d'apercevoir un homme dans la chambre que la porte se referme. Y en a qui ont de la chance... Vénusia descendit les escaliers et arriva dans le salon. Carmeen était là, ainsi que Mi Ange serrant une beauté blonde dans ses bras que la belle ne connaissait pas, il y avait également un homme présent. Un client? Ou un futur employé dans le bordel? En tout cas client ou futur, collègue si l'on puis dire, Vénusia comptait bien passer un moment avec lui, d'une beauté telle qu'elle les aimait, cet inconnu avait également un corps de rêve avec une musculature développée dont sa chemise et ses braies donnaient envie de les arracher pour jouer avec ce corps. Un sourire sur les lèvres, elle s'approcha du comptoir.[/i][/color] [color=indigo]Bonsoir Mi Ange, je constate que Carmeen est encore parmi nous, restera-t-elle encore très longtemps?[/color] [i][color=darkred]Je regarde la belle et lui sourit.[/i][/color] [color=indigo] Bonsoir ma belle, es-tu ici en tant que cliente ou future employée?[/color] [i][color=darkred]Puis j'adresse un sourire au visiteur.[/i][/color] [color=indigo]Bonsoir bel homme, je me présente, je suis Vénusia. Tu es ici pour passer un peu de temps en notre compagnie?[/color] [i][color=darkred]Comme on dit, on garde le meilleur pour la fin.[/i][/color][/quote]

[RP] « Temple de Vénus »

--Mi.ange_mi.demon



A l'extérieur, donnant sur la rue de traverse, elle afficha le numéro 69, situé en dessous d'un petit éclairage rouge, qui se trouvait à une hauteur d'environ soixante centimètres du sol par rapport à la chaussée. Ajoutant une enseigne au joli nom de : "Temple de Vénus". Une fois à l'intérieur, on pouvait découvrir une grande pièce aux murs de pierres de différentes tailles et teintes rehaussant les murs, très peu éclairée, par quelques bougies sur les tables qui donnaient au lieu, une atmosphère intime ou régnait une légère fumée d'encens agréablement odorante. Le sol était recouvert de dalles de marbres écrus. Les fenêtres à croisillon et aux structures boisées décorées de gravures peintes, étaient cachées par des tentures de velours bordeaux, aux styles riches et chaleureux, plissées, doublées, touchant le sol. L'ambiance à l'intérieur y était feutrée. Dans cette salle, on trouvait aussi des banquettes confortables, idéales pour ceux qui souhaitaient pratiquer toutes sortes de câlins, en attendant qu'une chambre se libère. Mi-Ange voulait un bordel bien structuré, bien organisée, avec ses règles, ses lois, et quelque part une certaine "sureté".


Dans cette même pièce, sur la gauche, on pouvait voir le vin servi au tonneau, sur un imposant comptoir de marbre, ou se trouvaient généralement les hommes en train de boire une des boissons de la maison, en attendant leurs filles, si elle étaient déjà occupées. Derrière le comptoir se tenait Mi-Ange très peu vêtue, pour accueillir les clients et pourquoi pas leur donner du bon temps ... s'il la voulait. A ses pieds, un chien de l'amour, croisé avec un loup, du nom de "Wolfgang "qui veillait sur la sécurité des filles bordelières et bien entendu sur sa maitresse et enfin un protecteur embauché par Mi-ange, était présent pour surveiller et discuter avec les jeunes femmes de petites vertus, hypnotisées par sa beauté. Accroché au mur, on trouvait un tableau avec des clefs, menant aux chambres. Sur les murs, il y avait des tableaux de femmes nues, aux positions très coquines. Sur la droite, on pouvait voir le coin des Damoiselles, qui discutaient de leurs derniers ébats, les entendant pouffer par moment de rire.


Au fond de la pièce, on distinguait deux escaliers, un pour la montée arrivant à l'étage des chambres. Ce hall était également très faiblement éclairé par quelques bougies. Il y avait en tous six chambres bien pourvues en literie, avec tout le nécessaire pour les soins de propreté. Dans chacune d'elle, il y avait un lit moelleux, une commode avec différentes tenues pour satisfaire les envies du client et un autre escalier pour en sortir, de façon à ce que les clients ne puissent se croiser, pour respecter leurs anonymats. Les filles racolaient en pleine ville, dans les tavernes et ramenaient leurs clients dans la maison où un bon repas précédait les ébats amoureux. Mi-Ange exigeaient que ses femmes publiques soient vêtues à la façon bourgeoise. Tout au fond du hall se situait une salle de visite pour le médecin du contrôle sanitaire. Deux fois par semaine, les femmes étaient examinées. Aucune ne pouvait y échapper, ni y être admise sans bulletin médical et carnet sanitaire. Elle voulait ses filles irréprochables.

" Quand un courtisan avait un fils à dégourdir, il l'envoyait à son bordel. L'éducation qu'elle lui donnait était si excellente qu'on faisait bien la différence des jeunes gens qu'elle avait éduqué. Elle leur apprenait la manière jolie de faire l'amour"...

Une fois la maison de passe nettoyée, mi-ange ajouta au devant de sa porte une pancarte.




Mi-Ange recrute demoiselles non farouches


Elle rentra à nouveau espérant avoir de la canditature ...
--Venusia.


Une femme à la silhouette généreuse approche des portes du Puy. Elle porte une cape noire, rabattue sur sa tête, et une robe, noire également, qui ne dévoile que sa gorge rebondie et hâlée que le soleil a coloré. Elle passe le poste des douanes en laissant rêveurs les 2 gardes qui l'ont
interrogées. La beauté de Vénusia marque souvent les esprits des hommes
mais au contraire, elle éveille chez les femmes une forte rivalité et la belle s'en amuse naturellement. Il faut dire que c'est distrayant de voir le visage de ses femmes lorsqu'elles apprenaient que leurs maris ont pris un peu de bon temps avec la belle.

Elle continue de marcher à la recherche d'un endroit où passer la nuit lorsqu'elle se stoppe net devant une maison de passe. Tiens, tiens, intéressant. La dernière où elle avait offert ses services avait malheureusement fermer. Il faut dire que les villageois désapprouvaient fortement cet établissement, surtout les mégères, et la propriétaire n'avait eu d'autre choix que de fermer ce lieu. Depuis Vénusia vit de ses attraits comme bon lui semble au grès de ses voyages. A la lecture de la pancarte placée devant la maison, la propriétaire recherchait des filles.


Sans hésitation, Vénusia entra dans l'établissement.



Une fois à l'intérieur, elle rabattit sa capuche, dévoilant une longue chevelure blonde comme les blés, bouclée, encadrant un visage aux traits fins, doux, un teint hâlé. Ses yeux noisettes, sa bouche framboise et pulpeuse, donnant l'envie d'y déposer un baiser, ajoutant a la beauté de la jeune femme des attraits envoûtants.


Elle attendit que la gérante vienne, en attendant, elle alla s'asseoir sur une banquette, croisa ses longues et jolies jambes et observa la salle avec un sourire en coin. Décidément, la maison lui plaisait beaucoup.
--Mi.ange_mi.demon



La mère maquerelle sirotait tranquillement une bonne mousseuse en compagnie de son homme à tout faire, lorsqu'elle vit entrer une fine silhouette encapuchonnée qui venait de franchir l'intérieur de la maison close.
La nouvelle venue, devait remarquer le contraste avec l'extérieur de cette ruelle lugubre, qui l'amena devant la discrète porte éclairée par une lanterne rouge.
Elle mordit ses lèvres gourmandes, sentant un frissonnement provenant de ses reins, parcourant toute son échine, tout en la détaillant de la tête aux pieds, mais surtout, scrutant ses longs cheveux dorés encadrant gracieusement son joli visage aux traits sublimes, ne pouvant s’empécher de la dévorer des yeux, complètement subjugué par sa beauté.
Puis s'avança vers la belle, d'une démarche ondulante, avec un large sourire charmeur, fendant ses lèvres bien dessinées, pendant que celle-ci balayait de ses yeux de biches pétillants de milles éclats la salle , dont les murs étaient habillés de lourdes tentures de velours rouge mordoré, ainsi que le sol, où se trouvait une multitude de coussins pas trop volumineux.


Bonjour ma belle !

Bienvenue en ce lieu ... des plaisirs ...

Est-ce pour l'annonce ou es tu à la recherche des plaisirs des sens afin de t' initier aux délicieuses tentations de l'appel de la chair ?


Elle la regarda, puis descendit ses yeux, vers ses longues jambes fuselées, avant de les remonter doucement vers son visage angélique, attendant sa réponse ...
--Tara_m


[Errance & liberté]

Errance…

Pas très loin d’ici, dans un Comté voisin, il y a une tombe encore fraiche de quelques mois à peine avec ton nom inscrit dessus, grande sœur. Mon voyage je l’ai entrepris pour te revoir, j’ai bravé le destin, gagné ma liberté…dix ans trop tard. Je n’ai eu de cesse de penser à toi depuis ce jour funeste où nous avons été séparées. J’étais alors pleine de vie et d’insouciance, tu étais la sagesse et la raison, pourtant, tu as cédé à mes envies. Et lorsque nous avons, main dans la main, entrepris ce voyage, je pensais à nos explorations, à cette vie qui nous attendait dans le royaume où nous avions vu le jour. Nous n’avions que quinze ans mon double… De notre famille, il ne reste que moi, la paumée. J’ai coupé ma longue chevelure rousse, les boucles sont tombées en cascade sur ce qu’il restait de toi. Sacrifice païen comme nous l’avions vu tellement de fois dans la cité éternelle, dans les vestiges d’autrefois. Mon âme sœur, ma sœur, ma jumelle, je t’ai si souvent pleuré qu’aujourd’hui, il ne reste en moi que le néant. Je ne pourrai plus relever la tête en regardant l’astre lunaire et me dire que tu es là, quelque part à me regarder par son entremise. Tu n’es plus ! De toi, il me reste ce visage et ses yeux que je ne contemplerais plus jamais. Je t’aime.

Liberté…

Ce royaume, je voulais le découvrir à tes côtés, le voir à travers tes yeux en miroir. Aujourd’hui, il ne sera que celui de ton tombeau. Si tu as vécu et été heureuse en ce lieu, je te le laisse, moi je retourne d’où je viens. Tu ne verras pas les traces laissées sur ma peau du fouet, ni les tatouages qui y sont dessinés pour les dissimuler, tu ne sauras pas que j’ai été vendu comme esclave ; cédé à une maison de passe. Chaque parcelle raconte une histoire loin de nous, de nos prétentions enfantines, celle de jumelles séparées. Combien d’aventures aurais-tu pu me raconter, toi qui étais devenue une Dame dans la société. Tes histoires seraient devenues miennes et j’aurai pu en taisant mon passé, connaitre tes enfants. Au lieu de cela, j’endosse à nouveau le nom de Tara, courtisane mutine au regard pénétrant. Je n’ai plus à cacher ma nature, je n’en ai plus les moyens, mes économies ont disparues dans le voyage et les robes confectionnées pour te retrouver. J’ose espérer que je n’aurai pas à me salir les mains ou travailler à la mine comme certains. Je n’ai qu’une seule source de revenue, ma personne.
Néanmoins, depuis que j’ai quitté ton sépulcre, je n’ai pas ouïe dire une seule fois qu’il y avait dans les parages un seul tripot. Seraient-ils puritain au point d’interdire les maisons de plaisirs ? Les bonnes gens de cette contrée auraient-elles brûlés les vestiges d’Eros et Aphrodite, vivant dans la peur permanente du courroux de ce Dieu unique ? Je ne veux pas croire que c’est cela, sinon en plus de te perdre, c’est ce rêve fait à deux qui s’effondre.

Fait-il nuit, fait-il jour, mon cœur saigne, je me sens vide. Où je suis, je n’en sais rien, la douleur parfois m’accable au point d’en perdre mes repères.
Il parait qu’un endroit près d’un lac c’est ouvert, que la tenancière cherche du personnel. Comment je le sais ? Hier soir je me suis laissée troussée par cul terreux. Il a aimé mes cuisses et mes hanches généreuses, il n’avait pas un rond mais un lit où me pieuter. Ce matin j’ai pris la route en le laissant m’embrasser, emportant tout de même sa veste en cadeau de mes soins appliqués.
J’ai lavé mon visage dans un lavoir, les femmes ici aussi ont désertées, je me demande si cette histoire est vraie. Il me faut trouver cette lanterne rouge sinon je vais devoir écumer chaque taverne en attendant de trouver mieux.
Je rajuste la ceinture autour de ma taille, une épée de bretteur sur le côté, pas la mienne, celle d’un freluquet qui n’avait pas de quoi payer, elle fait classe sur ma hanche, son frottement me donne un faux air de vermine avec ces cheveux courts. Les ruelles se ressemblent toutes, désertes, inanimées, comme des bêtes de traits ils doivent tous être au champ ou en train de pêcher. C’est pas la ville, faut pas se plaindre.
Au détour de mon errance, je trouve ce que je cherchais, l’endroit n’est pas commun, la pancarte non plus. Un coup d’œil à droite, un autre à gauche au cas où je me sois trompée, ça n’a pas l’air, alors j’ouvre la porte avec nonchalance.


Sorry…Damned.

J’avance d’un pas, puis deux, je referme la porte derrière moi, j’avance, découvre deux femmes. Je fais claquer ma langue sur mon palais pour m’annoncer. Je ne veux pas faire mon impoli, elles ont l’air de discuter.

'Morn…Bondjour…I…Dj’ai looking your announce…Damned…la pancouarte dévane le mason de vous, In fact…I believe. Je suis Tawa…Tarrra. I’m apologize…Je être déssolé, je pas parler françois depouis…many years.

Je pensais que ce serait facile de reprendre mes racines, mais c’est plus dur que je ne le pensais, si elle me comprend sans me virer, ça sera déjà pas mal. Je me découvre un peu, qu’elle voit que je ne suis pas une débutante, une fille perdue dans un coin reculé du bas pays.
--Venusia.



La propriétaire des lieux vint à la rencontre de la belle d'une démarche gracieuse. Le regard qu'elle porta sur elle la fit sourire de plus belle et elle l'écouta parler.


Citation:
Bonjour ma belle !

Bienvenue en ce lieu ... des plaisirs ...

Est-ce pour l'annonce ou es tu à la recherche des plaisirs des sens afin de t' initier aux délicieuses tentations de l'appel de la chair ?



Venusia décroisa ses longues jambes et se leva pour être à la hauteur de la maquerelle. Elle sourit, passant sa langue sur ses lèvres avant de répondre.

Bien le bonjour Dame, je suis Venusia. Dit-elle de sa voix aux intonations chaudes et douces. L'appel de la chair, je ne suis jamais contre, ni pour découvrir de nouvelles sensations et autres plaisirs... Mais je suis venue pour l'annoncer, il paraît que vous recrutez des filles? Si vous avez de la place, je vous offre mes services.

Le temps que la propriétaire des lieux réponde, une voix de femme se fit entendre.

Citation:
'Morn…Bondjour…I…Dj’ai looking your announce…Damned…la pancouarte dévane le mason de vous, In fact…I believe. Je suis Tawa…Tarrra. I’m apologize…Je être déssolé, je pas parler françois depouis…many years.


La belle détailla la nouvelle venue avec un sourire en coin. L'inconnue avait une belle silhouette ses formes généreuses harmonisant le tout, sa chevelure rousse et courte encadre un visage fin au teint clair faisant ressortir ses yeux émeraudes et sa bouche pulpeuse invitait au baiser. Décidément la nouvelle venue était belle mais pas en très bon état a en juger par l'aspect de ses vêtements et la netteté de son visage, m'enfin tout le monde avait eu un jour ou l'autre cet aspect après un long voyage. Venusia remarqua également une épée que portait Tara, elle haussa un sourcil puis son regard remonta pour croiser le sien, qu'elle ne quitta pas.
--Mi.ange_mi.demon



La belle décroisa à nouveau ses jambes, faisant entendre le crissement de ses bas avant de se relever, pour se mettre face à Mi-Ange. La demoiselle lui offrit le plus envoûtant de tout les sourires, un regard enjôleur et un corps de rêve. Celle-ci plongea son regard dans le sien, avant de descendre vers sa bouche gourmande et pulpeuse ou sa langue caressa ses lèvres. Elle imaginait déjà, de bons moments savoureux en compagnie de la demoiselle.

" Charmante, très charmante même…" Pensa t-elle.

La blondinette se présenta. "Vénuzia " ... quel délicieux prénom. Celle-ci venait donc pour l'emploi. Sa voix suave et envoutante, enchantait et charmait la tenancière. Elle l'a questionna à nouveau, impatiente de découvrir la personnalité de la jeune femme ....

Je me présente, Mi-Ange Mi-Démon, tenancière de ce lieu !

Appelle moi Mi-Ange et laisse le Dame de côté veux tu ?

Je suis ravie de te connaitre !

Tu débutes dans le métier ?


S'arrêtant net de s'enquérir, entendant le grincement de la porte, Mi-Ange dirigea son regard vers l'entrée, apercevant une jeune femme à la chevelure courte. S'avançant vers elles, la brunette aux yeux verts étincelant d’une froide mélancolie, semblait pour la patronne " d’une beauté dangereuse ", commença avec difficulté sa phrase. La Maquerelle reformula éventuellement ses paroles, afin d'être sûre de l'avoir comprise. ...

Bonjour beauté !

si je comprend bien, malgré ton fort accent étranger, tu viens ici pour travailler ?

C'est bien cela ..... Tawa ?


Se demandant si elle n'avait pas écorché son prénom.
--Venusia.



Venusia détacha son regard de la nouvelle venue et adressa un sourire à Mi-Ange. Profitant du silence pour que le nouvelle venue trouve ses mots, la belle répondit aux questions de sa future patronne.

Enchantée de faire ta connaissance Mi-Ange et je laisse volontiers de côté le Dame!

En revanche je ne débute pas dans le métier, j'ai eu quelques expériences, mais je te détaillerais tout une fois que la belle rousse aura répondu à tes questions.

En attendant, si j'peux me permettre...


Elle détacha sa cape dévoilant ainsi ses charmes. La belle la posa sur la banquette et s'y assit en croisant ses jambes, attendant que la nouvelle venue se présente.
--Tara_m


Je me suis pointée dans ce lieu sans fard, j’ai rien sur moi à part ce que j’ai sur le dos, même pas une pièce pour me payer un godet. Au moins à London j’avais des connaissances utiles, hommes comme femmes prêts à tout pour ma petite personne. Je me vante, je dis n’importe quoi, il n’y avait que toi dans mes pensées, je ne voulais pas de leur société loin de mon double. Je me suis noyée avec pour seule ambition de me retrouver dans tes bras. J’ai été docile, appris à devenir forte en laissant mon esprit vagabonder dans mes plus douces pensées, dans ce passé où il n’y avait que deux gamines insouciantes malgré leur infortune, pendant que mon corps dans ses premières fois était souillé par des regards et des leçons d’amour impropres. J’ai prié les dieux anciens, supplié et vendu mon âme pour te préserver toi. Je voulais porter seule le fardeau de mon inconscience, protéger ce sourire apaisant, t’éloigner de la douleur que ce monde abjecte dispense avec largesse. Quand je t’imaginai, je te voyais fière et désinvolte, toujours prête à aider les autres.

[Nouvel acte, nouvelle scène dans la pièce qu’est ma vie…]

Mon arrivée a interrompu une embauche, j’aurai pu me perdre un peu plus longtemps. Je me serai assise un moment contre une souche d’arbre, j’aurai fermé les yeux pour revoir ton visage, celui que je vois encore. Plus assez poupin pour être celui d’une enfant, pas assez affermi pour être celui d’une femme, je sais, je n’ai qu’à me regarder pour savoir à quoi tu ressemblais mais les reflets, mêmes identiques comme nous ont des mimiques différentes. Tant de questions à te poser à tout jamais sans réponse. J’observe les deux femmes, l’anneau à ma narine gauche ; relié par une chainette d’argent à mon lobe ; frémit dans mon sourire. La blonde à la peau caramélisée par le soleil me détaille, j’accentue la cambrure de mes reins, vieux reflexe. Même sans ma chevelure aux boucles soyeuses, en garçonne, je reste une belle de nuit. Mon maintient appris dans les bordels londoniens est une seconde nature, un automatisme inconscient d’années d’expériences. L’épée plus que moi semble l’attirer, intentionnellement, j’y pose une main délicate, manucurée, démentant mon aspect cloche. Mes longs doigts fuselés remontent le métal, songeuse. Mes jades s’attardent alors sur la tenancière, son nom en bribe m'ait parvenue, plus facile à le retenir qu’à le prononcer.

Regarde-moi grande sœur et vois ce que je fais, qui je suis.


Well…je mordille l’intérieur de ma joue, comment lui expliquer que c’est un "r" et non un "w" Tawa avec un Ew as…mon sourcil se fronce, wateau...no…Rat.

Mon intonation est légèrement rauque, je ne me rendais plus compte combien il était difficile de prononcer une lettre dans ma langue avant de vouloir l’utiliser.

DJe ne pas voulouar to break...casser voutle converséchun. I’m so so apologize, I try to say. Je ferme les yeux, je tente de me faire comprendre. Aide-moi…Yes, dje être là pour job. DJe pas parler bien in french, but, je être interested by…par pancouarte. Dje going…venir de…louin, Kingdom of England. Before, venir ici, I’ worked for the purple Rose…Damned…je souffle. Dje touavaillé à la wose poupreu, a celebrate Brothel. An establishment as yours.*

Il ne me reste plus qu’à lui faire mon sourire aguicheur, mon corps n’a pas besoin de paroles, il se meut avec langueur, j’enlève complètement la veste, ma gorge nue, nacrée plonge sur des monts généreux. Mon corset serré plus que la normale, me donne la taille fine, remonte d’autant plus ce que les dieux m’ont offerts en cadeau en pomme. Je fais un tour sur moi-même, le pantalon en seconde peau ne cache rien et ne gâche rien, des courbes qui sont les miennes. Le bustier n’a pas de manche, aussi je lui laisse entrapercevoir les tatouages qui recouvrent mon dos. Le reste, elle ne le verra que si elle me demande de me dévêtir complètement. Mes cuissardes ont perdu de leur charme avec la poussière mais elles ne sont pas usées pour autant. Je remets ma veste, je fais un clin d’œil à la blonde assise, reporte mes iris sur la tenancière en espérant que ma démonstration est plus probante que mes paroles malhabiles.

*Traduction : Je ne voulais pas vous interrompre dans vôtre conversation. Je suis vraiment vraiment désolé, je veux dire. Je suis là pour le travail, je ne parle pas bien français mais je suis intéressée par la pancarte. Je viens de loin, du royaume d’Angleterre. Avant de venir ici, je travaillais à la Rose pourpre, un célèbre bordel. Un établissement comme le vôtre.
--Mi.ange_mi.demon


Vénuzia lui plaisait de plus en plus. Elle avait du tempérament, prenait des initiatives et savait ce qu'elle voulait, quant à la seconde jeune femme,

elle lui semblait plus effacée. Avec beaucoup de difficulté d'élocution elle prononça son prénom afin de faire comprendre à la maquerelle qu'il ne

fallait pas mettre un "w" à son prénom mais un "r", ce qu'elle saisit très vite puis confirma qu'elle était là pour une embauche, lui adressant un

sourire charmeur. Tara ôta sa veste et commença à tourner sur elle même, afin de dévoiler ses courbes sensuelles et sa poitrine voluptueuse. Mi-Ange fût

séduite de par son accent, mais aussi par son corps. Une fois sa démonstration faite, la tenancière, plus qu'affriandée par ses deux nouvelles filles annonça.



Bien ! Très bien ! Toutes deux, vous m'êtes agréables, je vais vous prendre à l'essai.

La maison exige que l'on soit en quête de perfection, à l'écoute des clients, afin de réaliser tout leurs fantasmes de A à Z… jusqu’au plus fous et sans tabous!

Mes atouts majeurs : Hygiène, accueil, service et discrétion.

Donc, en premier lieu, je vais vous accompagner jusqu'à vos appartements, le temps que vous vous rafraichissiez, reposiez, sustentiez.

Ensuite vous irez au cabinet médical, voir le Médecin Nuitcristaline ou le Docteur Kamharley, qui vous examinera de la tête au pied.

Une fois la visite faîte et qu'ils vous auront remis le certificat médical, attestant votre parfaite santé, vous reviendrez ici et pourrez commencer à montrer vos preuves.


Regardant les deux nouvelles recrues, Mi-Ange leur fit signe de la suivre, dans un déhanchement gracieux afin de les mener à leurs appartements ...
Tessay
Tessay arpentant les rues du Puy, s’aperçu en passant rue de la traverse une lanterne rouge qui attira son attention.

La maison de tolérance avait réouvert ses portes.

Il décida donc de rendre une petite visite à Mi-ange et ses pensionnaires pour faire et refaire connaissance et certainement passer de plaisants moments.

Il se mis à fredonner la chanson qu’il avait écrite et poussa la porte qui ne demandait qu’a être ouverte.


RuuUUue de la traverse,
Y’a une maison Zon Zon
Qui fait contreverse
Mi ange Mi démon.

Des rumeurs diverses
De la population Sion Sion
Parlent de filles perverses
Mi anges mi démons.

Contre quelques sesterces
Elles ôtent leurs jupons Pon pon
Contre un écu le reste
Mi anges mi démons.

Je connais leur hardiesse
Et leurs perversions Sion Sion
Car j’ai eu des maitresses
Mi anges mi démons.

Si ça vous intéresse
Contre rétribution Sion Sion
Je vous donne l’adreEEEEEEEEEsse …
De Mi ange Mi démon.


Entrant dans le salon il interpella la patronne :

Bonjour Mi-ange je viens vous rendre hommage et honorer tes pensionnaires si elles sont disponibles et avenantes.

Mais commençons par un verre histoire de faire connaissance, qu’avez-vous à me proposer ?

_________________
Troubadour à la plume libre. Capitaine des Puy-Scopathes.
--Damoiselle_yvette




Je m'appelle Yves, j'ai l'âge avancé de trente cinq ans. Célibataire, je viens de quitter les jupes de ma mère qui en fait a rendu l'âme il a trois mois.
Timide, discret, j'ai toujours su rester dans l'ombre. On ne peut pas dire de moi que je suis bel homme, je suis très grand, les cheveux filasses et qui tirent sur le blond, et la peau marquée par des taches que je ne saurai décrire. Mais je ne suis pas non plus un boudin! Dans la catégorie passable, qu'une fille m'a dit une fois. Ya pire...
Je suis toujours puceau. Et ça ça m'embête! A trente cinq ans, tout le monde pense qu'un homme a connu un nombre incalculable de femmes. Et bien ce n'est pas mon cas. Faut dire que vivre chez sa mère n'aide pas non plus à se faire des amies. Viens chez moi, j'habite chez ma mère. Ca le fait pas vraiment.
Et puis je suis ruiné. Ma mère était, j'ai eu du mal à me l'avouer, mais elle était vraiment une alcoolique notoire. Et l'argent qui aurait du me revenir, elle l'a dépensé en bouteilles et chopes de toutes sortes! Du coup, il ne me reste que mes yeux pour pleurer. Et c'est pas avec mon métier de mineur que je réussis à me payer du luxe. Alors évidemment, encore moins facile de me faire une amie si je n'ai rien pour l'appâter.
Et bien sûr, hors de question de penser à me payer une soirée avec l'une de ces filles qui apportent un peu de joie de vivre aux hommes qui se sentent seuls. Et pourtant... pourtant, j'aimerais bien. J'ai entendu dire par le bouche à oreille qu'un endroit où ces femmes se réunissaient venait d'ouvrir.
Alala, quelle tristesse de savoir que de si belles femmes qui ne sont pas regardantes sur le physique se trouvent dans le même village que moi, et que je ne peux même pas y toucher... Dieu, vous êtes cruel... Bah voilà, pour oublier, une petite chopine... Ca me fera pas de mal. Allez, encore une, c'est en honneur de ma mère. Et puis une autre, parce que faut bien que soirée se passe... Et une dernière pour la route...

Deux heures après, me voilà bien fait. Je n'arrive même plus à raisonner normalement. Et puis la jeune fille que j'aimais bien depuis trois jours vient de rabrouer en me disant que j'étais moche. J'ai vraiment pas de chance... Si seulement je pouvais approcher une femme qui m'aime moi, tel que je suis... Une femme qui accepte de passer ne serait-ce qu'une seule nuit près de moi, me rassurer, me dire que je ne suis pas seul au monde, qu'il existe au moins une personne qui me trouve à son goût...
Ya bien des femmes qui accepteraient, mais elles sont loin d'être dans mes moyens...

A moins que...

Non Yves, oublies cette idée! Elle est stupide!

...

Mais ça pourrait marcher...

Mais non! T'as trop bu, tu divagues!

Mais avec un bon maquillage... Et puis j'ai la taille fine... Je suis grand, mais ce n'est peut-être pas un frein... Je me souviens que je m'étais facilement fait passer pour ma cousine Berthe... Bon j'avais treize ans, mais c'est toujours possible...

C'est ainsi que, toujours pas vraiment frais (si j'avais toute ma tête, croyez moi, jamais je n'aurais eu cette idée saugrenue!), je file dans une échoppe de tisserand, puis chez un barbier, puis dans tous les endroits où je pourrais me procurer ce qu'il me faut pour mon plan!

Et voilà, trois heures après une opération très délicate, Yvette est née!!!

Une longue chevelure blonde comme les blés, des lèvres rouges comme des framboises, des cils immensément longs, je suis devenu une jeune femme ma-gni-fi-que! Une robe légère bleue laisse entrevoir mes longues jambes sans aucun poil (quelle horreur ce moment d'épilation!) et ma poitrine... ben... un corset emprunté à ma défunte mère arborant deux petits seins fabriqués à l'aide de torchons.

Un petit tour devant le miroir... Me voilà splendide. Voilà comment moi, Yves, je vais pouvoir côtoyer des femmes sublimes, et peut-être même plus, sans payer un seul écu...
Évidemment, je trouverai toujours un moyen pour éviter de passer des nuits avec des clients, de toute façon la supercherie serait vite découverte, et puis, les hommes c'est pas trop ma tasse de thé...

Allez Yvette! Faut y aller!

Me voilà donc à la recherche de cet établissement, qui saura peut-être me donner le bonheur auquel j'aspire depuis des années.
Après quelques recherches, me voilà enfin devant une lanterne rouge. LA lanterne. Délicatement je frappe à la porte, pour ensuite l'entrouvrir.


Bonjour (voix de fausset)... Je m'appelle Yvette, je viens voir si il y aurait de la place pour moi... (toujours voix de fausset)

Une main dans les cheveux à la façon Laure et Al, deux des amies de ma défunte mère, et une jambe de dévoilée de par ma façon de me tenir. Voilà, ainsi, aucun risque qu'on me refuse.
--Venusia.



La belle écouta la nouvelle venue qui essayait de se faire comprendre avec difficulté. Son accent l'intrigua et elle se demanda d'où elle venait, peut-être en aurait-elle l'occasion si la mère maquerelle les embauchaient toutes les deux? Elle redevint attentive lorsque la rouquine quitta sa veste pour montrer ses atouts à la tenancière, ce dont Vénusia ne perdit pas une miette. Son regard partit de son corset, serrer, lui donnant une taille fine et gracieuse tout en mettant en valeur sa gorge pure et généreuse, ce bout de tissu enlevé, le corps de la belle rousse doit faire tourner la tête de d'un homme et de femme qui sait...

Tara fait un tour sur elle-même permettant en premier lieu à Mi-Ange mais également la belle de profiter du délicieux spectacle qu'elle leur offre. Son regard continua sa découverte sur les formes que le pantalon de la rousse ne cache pas, ses mirettes continuent leur voyage en remontant sur le dos que le bustier cache à moitié laissant entrevoir des tatouages. Elle sourit, cette fille lui plaît bien et son corps l'enchante. Elle espère pouvoir faire plus ample connaissance si la belle brune les accepte dans son établissement.

Tandis que la rousse remet sa veste et fait un clin d'oeil a la belle, Mi-Ange prend la parole. Vénusia rend son clin d'oeil à Tara et se relève en écoutant ce que la maquerelle désire leur dire.


Bien ! Très bien ! Toutes deux, vous m'êtes agréables, je vais vous prendre à l'essai.

La maison exige que l'on soit en quête de perfection, à l'écoute des clients, afin de réaliser tout leurs fantasmes de A à Z… jusqu’au plus fous et sans tabous!

Mes atouts majeurs : Hygiène, accueil, service et discrétion.

Donc, en premier lieu, je vais vous accompagner jusqu'à vos appartements, le temps que vous vous rafraichissiez, reposiez, sustentiez.

Ensuite vous irez au cabinet médical, voir le Médecin Nuitcristaline ou le Docteur Kamharley, qui vous examinera de la tête au pied.

Une fois la visite faîte et qu'ils vous auront remis le certificat médical, attestant votre parfaite santé, vous reviendrez ici et pourrez commencer à montrer vos preuves.


La jolie blonde attrapa sa cape et sa besace puis suivit, derrière Tara, sa nouvelle patronne qui les menait à leurs nouveaux appartements. Mais à peine avaient-elles fait plus de deux pas qu'une voix masculine fredonnant une chanson entra dans le bordel. Le nouveau venu était plutôt pas mal, pas le genre de Vénusia mais elle saurait s'en contenter, enfin s'il désirait passer un moment avec elle. Elle l'écouta discuter avec Mi-Ange, qui visiblement était une vieille connaissance, quand une nouvelle personne rentra dans l'établissement. La voix est étrange et la belle n'arrive pas à distinguer si elle est masculine ou féminine, mais aux paroles elle devina que c'était une nouvelle fille venue demander du travail.

Lorsque la nouvelle entra dans le salon, Vénusia fut surprise par son... visage et recula d'un pas. Diable! On a pas idée de se maquiller autant! Enfin ça ne l'empêcherait quand même pas de trouver un client.

Elle la détailla, première fois qu'elle met les pieds dans un bordel même si l'assurance qu'elle essaye d'affirmer le démontre. Elle est plutôt jolie, mais moins que la belle rousse et que la mère maquerelle. Vénusia lui adresse un sourire tout en laissant Mi-Ange discuter avec la fille.
--Mi.ange_mi.demon


Mi-Ange était redoutable en affaire pour dénicher les futurs clients potentiels, car déterminée, elle ne se laissait pas impressionner par les demandes un peu trop pressantes. Mi-Ange gagnait sa vie en exerçant l’un des plus vieux métiers du monde. La porte s'ouvrit à nouveau, au moment ou elle s'apprêtait à monter l'escalier avec les filles, lorsqu'elle entendit psalmodier une voix masculine, qu'il lui sembla reconnaitre. Elle se retourna et reconnu de suite le beau troubadour d'antan ... Elle expliqua aux filles l'emplacement de leurs appartements et leur demanda de l'attendre, tandis que mi-Ange tout sourire, allait accueillir un de ses fidèles clients qui la réclamait.

Tessay, notre troubadour charmeur ! Tu reviens vers nous ! J'aime ta fidélité.

Elle s'approcha et lui tira un smack, tout en collant son corps contre le sien, histoire qu'il se souvienne du bon temps passé ensemble.

Alors, tu viens donc pour te soulager.

Lui dit elle ironiquement, lui tapant un clin d'œil.

Oui elles devraient être opérationnelles d'ici peu, une fois qu'elles seront passées entre les mains de Nuitcristaline.
Allons boire un coup pour fêter ton arrivée. De plus, tu es mon tout premier client. Donc je t'offre le verre de bienvenue.


Ils se dirigèrent au comptoir, Valet, son homme à tout faire, les servit, trinquèrent et dégustèrent leur chope de cervoise. Elle fit signe à ses filles de les rejoindre pour boire un coup aussi et les présenter au troubadour.

Les filles ! Je vous présente Tessay, un bon client.

Une agréable odeur enivrante d'encens d'ambre, titillèrent agréablement leurs narines amenant un léger voile de fumée bleutée, se créant autour d'eux, lorsque la porte d'entrée s'ouvrit, faisant entrer une autre personne, que Mi-Ange eut du mal à cerner. Elle plissa les yeux pour mieux détailler le ou la cliente qui restait dans l'entrebâillement de la porte. Elle se leva de son siège et alla à sa rencontre. Au fur et à mesure qu'elle s'approchait de l'individu, un sourire se dessinait sur ses lèvres. Homme ! Femme ! Elle ne savait pas trop si c'était une farce ou bien un défaut de Dame nature. Sans cité de sexe elle salua:

Bonjour... Yve .... ette. Je suis Mi-ange, tenancière de cette maison de passes !
En quoi puis je être utile ?


Demanda t-elle après l'avoir scruter du bas en haut.
--Tara_m


[Sans toi et pourtant je vis…]

Mon petit numéro a eu l’air de plaire aux deux femmes, après tout mon accent n’est pas une barrière, seul mon savoir-faire est ici en jeu. J’ai vraiment voulu mettre cette partie de moi en sommeil, je voulais pour toi devenir une dame et pour que tu sois fière me refaire une virginité. Je sais que tu n’aurais portée aucun jugement sur moi. Comme ce manque est cruel, une partie de moi amputée, je n’arrive pas à me dire que ma quête est terminée. Tout ce temps. Tant d’espoirs. Ma douce dis-moi que ce n’est qu’un rêve. Je veux t’entendre rire. Oh oui ris pour moi ma sœur, que tes yeux sont doux, cette brillance quand ton nez se plisse. Je n’ai qu’à tendre la main pour te toucher, glisser mes doigts sur ta joue comme tu le faisais tant de fois pour me rassurer. Et quant je le fais ton image dans un mirage s’efface. Le monde n’a jamais compris mes gestes fugaces dans le vide, regarde je souris, tu imagines le nombre de personnes perplexes en me voyant faire ? Le fou rire retenu pour cacher mes folies. Ne t’inquiète pas, maintenant je sais te voir sans me faire remarquer. Je te parle depuis si longtemps que je n’attendais qu’une chose que cela se fasse en vrai…

Je suis distraite il est vrai et je n’ai pas tout entendu, des bribes sur les fantasmes mais ça, seule une novice ne saurait pas accéder au désir même inavoué de la clientèle qui passe le porche des maisons de complaisance comme certains les appellent. J’ai tellement besoin d’un bon bain que si la barrière de la langue n’avait pas été si flagrante je l’en aurai remercié presque en lui baisant les pieds, j’ai dit presque je ne suis pas prise à la gorge à ce point là. Me désaltérer dans un bain bien tiède aromatisé, me délasser en me vidant complètement de mes sombres pensées. La main sur ma fesse je suis prête à la suivre où elle voudra, mes jades la détaillent de dos, essayant de connaitre à vue d’œil son expérience, ses goûts. Interrompue par l’arrivée d’un chanteur, apparemment ravie de se retrouver dans la maison, les vers dans sa bouche racontant l’histoire surement du temple, mais surtout ventant les charmes de la tenancière. Et juste derrière d’un..d’une…

Excitée, amusée, j’observe celle qui vient d’entrée. Je ne savais pas le Puy si ouvert. Je n’ai vu que très rarement des personnes comme elle. Yvette qu’elle dit qu’elle s’appelle, les autres savent-elles qu’Yvette est masculin ? Je m’en fous, je suis ma nouvelle patronne. J’aurai pu faire un effort et saluer le vieil ami présenté dont je n’ai même pas retenu le prénom, promis je me ferai pardonner dès que l’occasion se présentera. Je suis douée pour ça, soumise ou dominante, perverse ou aimante, ils ont le choix.

Mi ange ouvre à peine la bouche hésitante que déjà , je m’approche d’elle, rasée de près, elle sent bon, sa pomme ne se voit presque pas sous le fard. Je me hisse jusqu’à son oreille.


Sweet pumpkin you’re so beautiful n’ so charmingly tasty, Sir you are magnificent dressed so especially in a village as this one.*


* Chéri vous êtes si belle si délicieusement appétissante. Monsieur vous êtes splendide habillé ainsi surtout dans un petit village comme celui-ci.

Pumpkin dans son premier est citrouille, dans son sens configuré c’est une appelation affectueuse.
--Damoiselle_yvette



A peine entré que mes narines palpitent en réponse aux douces fragrances qui se dégagent de cet endroit charmeur.
Trois femmes toutes plus belles les unes que les autres se tiennent debout dans la pièce principale, plus un homme que je connais seulement de vue. Déjà un client? Eh bien, les affaires commencent bien.

Une des femmes s'approche de moi, son regard fait montre d'une perplexité, provoquant une réaction de rougeur sur mes joues fardées, ce qui heureusement cache la démonstration de gêne.
Nous y voilà, l'instant ultime, c'est maintenant que je vais savoir si mon plan va fonctionner ou non. J'espère simplement qu'elle ne possède pas de videur, qui sauront sans aucun mal m'envoyer dans la première flaque de boue de l'extérieur.

Le regard scrute sans gêne aucun, je me laisse observer mon cœur battant à mille à l'heure. Pourvu que ça ne se voit pas...


En quoi puis je être utile ?

Mes yeux se ferment un léger instant, et un petit soupir passe la barrière de mes lèvres qui se relèvent en un sourire doux. Reprenant ma voix que je veux la plus féminine possible, je réponds alors

Eh bien (voix de fausset) en m'acceptant dans votre demeure. Je cherche un travail, pour pouvoir faire vivre mes cinq frères et sœurs. J'ai déjà fait ce... métier, je vous assure qu'il n'y aura aucun problème avec moi.

Mes yeux aux très longs cils papillonnent comme j'ai vu faire Aglaée, ma cousine depuis toujours, et mon sourire ne quitte pas mes lèvres. Il faut bien mettre toutes les chances de mon côté.

A peine ces mots sont sortis de ma bouche rougie par le maquillage que je vois celle que je trouve la plus belle se pencher vers moi pour me murmurer quelque chose à l'oreille. Le ton est chantant, agréable à l'écoute, et les mots que je comprends me font plaisir. Mon niveau en langue angloise est pas des plus haut, mais certains mots ne me sont pas inconnus. C'est alors qu'elle continue sur sa lancée, et là, je sursaute. Sire? Elle parle de moi? Comment a-t-elle deviné?? Je croyais mon changement de sexe parfait!
Je pose mon regard gris sur elle, j'essaye de ne pas paraître surpris. Difficile me direz-vous. Passant une main devant mes lèvres rouges, je commence à glousser, comme je l'ai vu faire par les femmes si souvent.

Oh oh oh (gloussement en voix de fausset) vous allez me faire rougir, darling. But I can tell you ze same thing, you're so pretty. Mais, the word sire, it is faur who? If it's to this man who is zère (je désigne le troubadour d'un petit mouvement du menton) you should tell him wat you told me.

Ne me demandez pas si je suis compréhensible, j'en ai aucune idée. Pour que les gens qui me lisent et qui ne voient absolument pas ce que j'ai voulu dire à ma darling, ça disait à peu près ça :

Oh oh oh(gloussement en voix de fausset) vous allez me faire rougir, chérie.Mais je peux vous dire la même chose, vous êtes vraiment très jolie. Mais le terme monsieur, il est pour qui? Si il s'adresse à cet homme là (désigne le troubadour) ce serait plutôt à lui que vous devriez vous adresser.

Je vous l'avais dit, mon niveau en langue angloise est pas des meilleures.
Mais pourvu que la dame macrelle m'accepte! J'ai vraiment envie de connaître plus ces déesses, elles sont si belles!
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