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[RP] « Temple de Vénus »

--Zizifolies
Il faisait nuit noir ce soir là. Arpentant les rue de la ville, zizi pénétre dans la rue sombre de traverse. Il avait entendu parler de cette fameuse rue, de tous les vices. Repère de brigands et de filles de joies. Vêtu de noir, il avance lentement dans la ruelle, scruptant chaques recoins, a l'affût du moindre mouvement. Rien aux alentours. Un silence quasi de mort y régnait.

Il continuait d'avancer quand il se retrouva face à une grande maison, l'entrée faiblement éclairée par une lenterne rouge. On pouvait y apercevoir de la lumière a l'interieur. Des murmures et des rires résonnaient au travers de la porte. Il resta ainsi un moment à essayer d'écouter. Il lui semblait que de nombreuses filles devaient habitées ici à l'entente des nombreuses voix féminines. Il s'aprocha d'une fenetre et entraperçu de superbes créatures vêtues très légèrement. Il compris assez vite qu'il était devant une maison où tous les vices y seraient permis dans le respect de tous et toutes.

Il resta ainsi un moment , observant les alentours afin de voir si personnes ne s'approchait. Prenant soin de ne pas se faire repérer, il posa sa main sur la porte. Un dernier coup d'oeil dans la rue, rien à gauche, rien à droite, il poussa la porte et entra, la refermant derrière lui.

Il découvrit une grande pièce centrale. Il la parcourt de son regard et put voir le bar tout de marbre à sa gauche et un escalier qui semblait monter à l'étage au fond de la pièce.

Il s'avanca alors d'un pas decidé jusque vers le bar, où se trouvait deux jolies demoiselles plus à croquer l'une que l'autre. Déja elles le fixaient sourire aux levres mais intriguées. Il arriva jusqu'à elles puis se decouvrit, posant sa cape sur une chaise. Puis , se tournant vers les deux demoiselles les saluat comme il se doit :


"Bien le bonsoir belles dames. je me nomme zizifolies et j'aspire à trouver quelques moments de joies en votre compagnie. A qui dois-je m'adresser?"

Attendant la réponse, il leur offrit à chacune une coupe puis se mit à l'aise, se retrouvant en chemise, laissant aparaitre toute sa musculature dévellopée au fur et a mesure de ses voyages et combats.
--Malicia.


Depuis la fermeture du Temple de Vénus, la Féline arpentait les routes, offrant ses charmes pour subvenir à ses besoins... Mais elle choisissait toujours ses clients... Elle n'autorisait pas les pouilleux à poser leurs paluches sales sur son corps de rêves... Elle, elle était habituée au luxe, à la richesse que les nobles offraient pour quelques heures, une nuit dans les bras de la belle catin... Les vieux riches trouvaient la passion dans le lit de la belle, oubliant leurs femmes frigides durant quelques heures... Et les jeunes nobles eux ne demandait qu'à apprendre l'art d'emmener une femme au nirvana et surtout de le connaître eux même dans les bras d'une professionnelle...

Mais les souvenirs de la belle époque du Puy revenaient souvent en mémoire... Un toit chaque soir au dessus de sa tête... Une chambre richement décorée où elle abritait ses ébats avec ses clients... et ses clientes parfois. Et sa belle patronne... Elle se sentait si souvent nostalgique de cette belle époque où elle était heureuse de vendre son corps dans cette maison aux mille vices et tentations... Souvent elle se demandait ce qu'il était advenue de la maquerelle. Sans doute ne le saurait elle jamais...

Inconsciemment, ses pas la ramenèrent en Languedoc... Peut être était il temps de passer voir Le Puy... Renouer avec ces terres où elle y avait passé des moments inoubliables... De plus, elle venait de s'enrichir d'une bourse pleines d'écus d'or. Le riche veuf en manque de femmes avait été des plus satisfait de leurs ébats... L'homme à l'appétit d'ogre en avait eu pour son argent... Il fallait dire que la catin était ouverte à tous les fantasmes et avait un appétit sexuel énorme. Elle n'en avait jamais assez, et c'était bien ce qui l'avait poussé à devenir une fille de joie... Avec l'argent gagné, elle avait de quoi être tranquille quelques semaines sans ''travailler'' bien qu'elle savait qu'elle ne pourrait pas s'en passer.

Le trajet dura quelques jours où elle vendit ses charmes à deux jeunes hommes qui avait insister pour se faire un trio... Insister? Pas tant que ca! Mais elle en avait joué de leur refuser pour mieux les satisfaire par la suite!
Le Puy... La ville était en vue...
La rue de Traverse... Rue de tous les vices, de toutes les tentations... Que de souvenirs ici! Ils remontèrent à la surface... Tous ses ébats... Du plus tendre au plus chaud... Tout lui revenait, comme si elle n'était jamais partie...

La nuit tombait quand elle s'engouffra dans la rue... Quelques pas... Une lueur rouge... La belle crut rêver. Serait ce possible que le Temple soit de nouveau ouvert? Elle s'avança lentement jusqu'à la lumière rouge. Effectivement le bordel avait été de nouveau ouvert! Quelle ne fut pas sa surprise de faire ce constat! Sa belle patronne était de retour! Elle remonta sa capuche et referma les pans de sa cape pour dissimuler son corps de rêve... Elle voulait faire la surprise à la maquerelle. De sa démarche féline, elle se dirigea vers l'entrée et poussa la porte...

Toujours dissimulé par sa cape, elle ne laissa pas apparaître son visage... Un regard circulaire, elle constata que les lieux n'avait pas changé. La maîtresse des lieux avait toujours bon goût... Tapisseries, lustres, comptoir en marbre... Tout était magnifique, finement et richement décoré. Son regard accrocha un homme entouré de deux femmes... Elle le détailla, appréciant la musculature des plus appétissantes sous sa chemise qui le mettait si bien en valeur... Avec une lenteur calculée, elle s'approcha du petit trio avant de dire de sa voix grave et suave:


Bonser Donàs, Sieur... La patronne est elle là? J'aimerais m'entretenir avec elle...

Sans attendre, l'encapuchonnée prit place auprès de l'homme... Dans un geste élégant, elle passa une jambe par dessus l'autre, les croisant avec grâce... Elle fit en sorte que son pied vienne se frotter contre la jambe du bellâtre. D'un geste discret, elle écarta le pan de sa cape, laissant apparaître ses interminables jambes au galbe parfait à la vue de l'homme, le laissant s'en délecter à volonté... Mais la jeune femme fit bien attention de garder son visage caché... Elle tenait a laisser la maquerelle lui retirer la capuche elle même et découvrir la surprise de retrouver la belle catin...
--Mi.ange_mi.demon


Mi-Ange s'apprêtait à partir chez Nuit, afin d'avoir le diagnostic de ses filles, savoir si elles étaient aptes ou pas, pour commencer leur boulot, lorsqu'elle perçu le craquement des marches de l'escalier. Elle se retourna et vit une sulfureuse, irrésistible brunette au regard de braise, typée latina, à la poitrine conséquente avec un corps de rêve, idéale pour l'employer ici! Pensa t-elle. Il est vrai que durant l'entretien avec Vénusia, elle ne l'avait vu que de dos. Celle-ci terminait sa descente d'escalier très lentement et donnait l'impression de glisser avec grâce et élégance sur les marches. La tenancière attendit qu'elle vienne à elle. Une fois celle-ci en face, elle l'invita vers le bar et commença son entretien.

Bonjour, je suis Mi-Ange, la Personne qui dirige cet établissement.

En quoi puis-je vous être utile ?

Qui vous a parlé de ce lieu ?

Venez vous pour trouver et prendre du plaisir, ou tout simplement vendre vos charmes ?


Dit-elle en la scrutant de la tête au pied. La belle allait ouvrir la bouche, lorsque la porte d'entrée s'ouvrit. Mi-Ange, lui mit son index sur ses lèvres pulpeuses, murmurant un :

" Chutttttttttttt " Nous reprendrons notre entretien, dés que je saurais, ce que vient faire cet homme. Je me dois de l'accueillir et de le satisfaire.

En attendant, laissons le s'approcher, pour savoir ce qu'il recherche.


Lui dit-elle, sourire en coin. Le reluquant, pendant qu'il s'approchait d'elles, elle pensa:

Bel homme! Belle prestance! Maintien imposant, à faire craquer toutes les femmes. S'il voulait travailler pour elle ! Elle ne se ferait pas prier.
Cet homme, savait ce qu'il venait faire ici, il marchait d'un pas décidé. Il les salua, se présenta et annonça la couleur. Les yeux de la maquerelle se mirent à briller, lorsqu'il ôta sa cape, laissant deviner sous sa chemise, le relief d'une belle musculature. Les questions allaient fuser.



Bien le Bonjour à vous ! Enchantée Zizifolie.

Je suis Mi-Ange, la tenancière du Temple De Vénus.

Monsieur recherche un endroit inédit, avec un zeste d’originalité?

Alors il n’y a pas d’erreur… c’est Le Palais du Plaisir !!

Vous avez frappé à la bonne porte.



Lui annonça t-elle, souriante, tout en servant une coupette qu'il lui commanda à son arrivée, faisant le service et distribuant les verres. Elle trinqua avec eux, avant de poursuivre son dialogue. Le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvrit, lui fît tourner la tête. Une silhouette encapuchonnée entra. la capuche bien rabattu, ne permettait pas à Mi-Ange, de voir qui se dissimulait dessous. Surement encore une femme délaissée, se dit elle, ne pouvant reconnaitre une silhouette féminine ou masculine, sous les plis de son ample cape. Éveillant sa curiosité et aiguisant le sentiment de mystère, elle attendit que la personne s'adresse à eux.

Bonser Donàs, Sieur... La patronne est elle là? J'aimerais m'entretenir avec elle...

Bon sang ! Cette voix si particulière, ne lui était pas étrangère. Ce timbre lui était familier. Elle chercha. Ne tenant plus, elle s'approcha et bascula la capuche de l'inconnu en arrière, dévoilant de longs cheveux Dorés. C'est avec joie qu'elle redécouvrit le visage d'une de ses filles d'antan. Malicia n'avait pas changé. Elle avait juste l'air juste un peu fatigué.


Non mais je rêve ! Toi ici ?

Elle se mit à rire, tout en la serrant dans ses bras !

Quel plaisir de te revoir ! Je me disais aussi, que cette voix m'était familière.

Que deviens tu ? Que fais tu ici ?


Elle servit une coupette et la tendit à Malicia, puis trinqua, écoutant ce qu'elle avait à lui raconter, s'excusant auprès des deux personnes en attente, les faisant patienter, en ajoutant une tournée...
--Venusia.


Un sourire naquit sur les lèvres de la blonde. La jolie brunette n'a aucun soucis quand à... dévoiler ses charmes. Même si elle ne voulait pas qu'on la touche, se dénuder serait une façon d'éveiller des fantasmes chez les clients, et clientes. De plus, Mi Ange serait sûrement ravie d'accueillir une autre fille qui vendait ses charmes mais d'une autre façon.

Un souffle chaud, un parfum enivrant, des framboises embrassant sa nuque. Un frisson parcours l'échine de Vé lorsque Tara vint se placer près d'elle. Après un regard vers elle, son angloise s'adresse à la nouvelle venue.


Tara a raison, monte à l'étage, choisis toi une chambre et fait un brin de toilette, Mi Ange ne devrait pas tarder.

Une fois que la nouvelle eut quitté la pièce pour monter à l'étage la belle prit la main de la rouquine et l'invita à s'asseoir sur le sofa.

Tu as eu une très bonne idée de proposer à Carmeen de monter à l'étage, elle sera dans un meilleur état que nous quand elle sera face à Mi Ange. Ses yeux ne peuvent se lasser de contempler la rousse à la silhouette gracieuse. Cette gorge, ces longues jambes, des lèvres effleurant, baisant chaque parcelle de son corps, un désir faisant naître une exploration plus poussée dans les contrées de l'intimité dont la mélodie des gémissements de plaisir se joindra à ce voyage.

Après avoir effleurer les douces lèvres de Tara, Vénusia se rapproche d'elle et lui souffle:


Délicieux et prometteur, je vais aller dans ma chambre, si l'envie t'en prend tu sais où me trouver. A plus tard my pearl.

Se levant, la belle caresse du bout des doigts le visage de cette beauté angloise puis se dirige vers l'escalier et après avoir monter ces quelques marches, elle entre dans sa chambre. Le ciel s'assombrissant, le jour laissant place à la nuit, Vénusia allume les bougies et s'étend sur son lit. Le calme qui régnait dans cette maison la trouble, peu de gens viennent. Son envie, son désir de s'allonger sur ce lit en charmante compagnie non pour s'y reposer mais pour enfin exercer son métier. Sentir des mains parcourir son corps, jouer avec ses seins que des lèvres goûteront plus tard, une visite dans son intimité, sentir quelque chose entre ses cuisses et en elle... Un désir, une envie pour le moment en pause. Un sourire flotte sur ses lèvres quand l'image de sa rouquine lui vint à l'esprit. Ses noisettes regarde par la fenêtre, il ne fait plus jour mais pas totalement nuit.
Une porte s'ouvrant, se fermant, une voix masculine. Vé se redresse et voit son reflet dans le miroir, bien entendu ses cheveux sont en bataille et son visage a besoin d'être rafraîchit. D'autres voix se font entendre lorsqu'après avoir nettoyé son visage à l'eau froide, elle entreprend de brosser sa chevelure. Cela fait, la belle ouvre son armoire, applique quelques gouttes de son trésor sur sa peau et quitte sa chambre. Sur le palier la porte de la rouquine grince, à peine le temps de tourner la tête et d'apercevoir un homme dans la chambre que la porte se referme.
Y en a qui ont de la chance...

Vénusia descendit les escaliers et arriva dans le salon. Carmeen était là, ainsi que Mi Ange serrant une beauté blonde dans ses bras que la belle ne connaissait pas, il y avait également un homme présent. Un client? Ou un futur employé dans le bordel? En tout cas client ou futur, collègue si l'on puis dire, Vénusia comptait bien passer un moment avec lui, d'une beauté telle qu'elle les aimait, cet inconnu avait également un corps de rêve avec une musculature développée dont sa chemise et ses braies donnaient envie de les arracher pour jouer avec ce corps.

Un sourire sur les lèvres, elle s'approcha du comptoir.


Bonsoir Mi Ange, je constate que Carmeen est encore parmi nous, restera-t-elle encore très longtemps? Je regarde la belle et lui sourit. Bonsoir ma belle, es-tu ici en tant que cliente ou future employée? Puis j'adresse un sourire au visiteur. Bonsoir bel homme, je me présente, je suis Vénusia. Tu es ici pour passer un peu de temps en notre compagnie? Comme on dit, on garde le meilleur pour la fin.
--Malicia.


Elle n'attendait que la maquerelle la reconnaisse... Et cela ne mit pas bien longtemps. Malicia avait éveillée sa curiosité comme elle savait si bien le faire. Mi Ange tira la capuche en arrière, libérant ainsi une cascade de boucles dorées et soyeuses... La belle catin releva la tête, ses yeux étrangement pâle se posant sur son ancienne patronne. Ses lèvres pulpeuses s'étirèrent lentement, laissant peu à peu apparaître une rangée de dents blanches et soignées.

Non mais je rêve ! Toi ici ?
Quel plaisir de te revoir ! Je me disais aussi, que cette voix m'était familière.
Que deviens tu ? Que fais tu ici ?


C'est alors que la maquerelle la prit dans ses bras. La Féline la serra tout aussi fort, heureuse de revoir la femme qui l'avait accueilli alors qu'elle vivait dans la rue, offrant son corps pour quelques écus aux pouilleux du coins pour pouvoir se nourrir. Elle l'avait vêtue et logée, lui expliquant qu'elle tenait un bordel. Mais pas n'importe lequel... Une maison raffinée, où les femmes étaient toutes saines et propres. Malicia ne connaissait pas la propreté en ce temps là... Seule sa survie l'importait... De quel manière elle survivait, elle s'en fichait. Mais la maquerelle avait su déceler la beauté sauvage en elle malgré la saleté qui la recouvrait. L'invitant à la suivre, Mi Ange lui expliquait les règles a suivre pour vivre et travailler pour elle. La belle catin l'écoutait attentivement, hochant la tête pour acquiescer chaque parole de sa protectrice.
Durant les mois qui suivèrent, la belle Sauvageonne était devenue soignée, aux manières irréprochables. Elle apprit comment satisfaire chaque homme tout en y prenant elle aussi du plaisir. Et quand la maquerelle avait fermé le bordel, elle en avait été attristée... Toute ce qui faisait sa vie avait été balayé...


La belle laissa un petit rire cristallin lui échapper avant de répondre...

Oui c'est bien moi! En chair et en os! Surtout en chair ma belle...

Elle écarta les pans de sa cape, laissant ainsi apparaître son corps de rêve très peu vêtue. Un bustier laissant apparaître son nombril percé. Son decolleté était profond, ne cachant vraiment que le stricte nécessaire. Une jupe longue, fendue des deux côtés laissaient apparaître ses jambes longues et galbées...

Ma belle! Comme je suis heureuse de voir que tu as retrouvé tes esprits et rouvert le Temple! Je savais que tu reconnaitrais ma voix.

La belle catin accepta la coupe offerte par Mi Ange. Elle trinqua avec elle avant de la porter délicatement à ses lèvres et d'en boire une petite gorgée. Sa jambe, toujours à caresser la cuisse du Bellâtre, se faisait discrètement plus insistante... Malicia aimait enflammer ses clients potentiels par des caresses subtiles alors qu'elle même jouait la carte de l'indifférence avec eux... C'est ainsi qu'elle pressait sa jambe contre la cuisse de l'homme tout en répondant a la maquerelle...

Ce que je deviens... Hum... Bonne question... Eh bien après la fermeture du Temple, j'ai décidé de partir découvrir le Royaume... C'est fou le nombre d'hommes riches qu'il y a! Et que j'ai mis dans mon lit!

Petit rire cristallin, Malicia fit un clin d'oeil coquin a Mi Ange...

Tu me connais... Je ne peux me passer des hommes! Certains étaient en couples... Je peux t'assurer que les maris sont repartis comblés, leur femme plus chaudes que la braise à leur bras!

Elle affichait un sourire mutin sur le visage quand une magnifique créature blonde descendit les escaliers... Sa démarche, son corps invitait aux caresses... La belle catin la regarda s'approcher du petit groupe. Elle s'adressa à la maquerelle avant d'offrir à la Féline un magnifique sourire auquel elle répondit par son plus beau sourire charmeur...

Bonsoir ma belle, es-tu ici en tant que cliente ou future employée?

Un sourire complice à la Patronne des lieux... Elle répondit de sa voix suave et sensuelle:

Eh bien... Cliente pourquoi pas... Cela dépend de ce que tu as à offrir ma jolie... Bien que ma préférence aille vers les hommes, je ne suis jamais contre le Plaisir que l'on peut m'offrir avec un mâle, une femme ou les deux ensembles...

Puis, la belle catin se tourna vers la maquerelle avant de continuer...

Future employée? Cela dépend de toi ma belle... Peut être que mon ancienne chambre est encore libre? Cela ne me déplairait pas de reprendre mon travail pour toi... J'avoue que cela me manquait de ne plus avoir un endroit fixe pour m'adonner à ma passion dévorante qui me permet également de vivre...

Son regard coquin se posait sur chacune des femmes avant de se concentrer sur le seul mâle du groupe...

Et peut être que notre bel Apollon apprécierait les attentions de plusieurs femmes pour un plaisir des plus intenses... Qu'en dites vous très Cher?

Malicia but une gorgée de ce délicieux vin fin et raffiné puis passa sa langue sur ses lèvres de façon provocante, sans lâche le Bellâtre du regard, sa jambe se frottant sensuellement contre sa jambe...
--Zizifolies
Alors qu'il buvait sa coupe de champagne en charmante compagnie, à l'aise dans ses paroles et ses gestes, il entendit derrière lui la porte qui se referma. Il se retourna alors pour voir qui entrait également en ces lieux. Une personne, grande, a la demarche asurée et grâcieuse s'avançait vers le bar, où se trouvaient les dames et lui même. Il ne lui fallut qu'une fraction de seconde pour comprendre qu'une femme se cachait sous cet encapuchonnage. Se tournant vers le barman, il lui demanda avec politesse de préparer une coupe pour la visiteuse qui arrivait.

Pourquoi rester cachée ainsi alors qu'elle est déjà en ces lieux, s'assayant a ses côtés? Qui était-elle? De nombreuses questions qu'il se posait tout en la regardant d'un regard avide de la tête aux pied, devinant ses formes aus travers de sa cape. Très vite la mystérieuse dame jouait de ses charmes, devoilant sous ses yeux la galbe parfait de ses jambes. Il la regarde alors d'un regard coquin et joueur, lui faisant comprendre qu'il apreciait la beauté que lui offrait cette mystérieuse dame. Un hochement de la tête, un sourire discret, tant de geste qu'il fit pour lui dire merci.

Entre temps, une des deux dames, à la longue chevelure parfaitement coiffée, s'était présenté comme étant la maitress de maison.

"Enchanté belle dame mi ange-mi-démon. Je vous remercie de votre accueil en ces lieux de rêves et de charmes."

Il s'inclina poliement, prenant la main de la maitresse dans la sienne avec autant de douceur que de fermeté, et y deposa un baise main des plus langoureux.

Il s'appreta à répondre quand son interlocutrice fut attirée pas sa charmante voisine qui enfin devoillait sa voix en demandant à voir la maitresse des lieux. C'est avec courtoisie qu'il laissa les deux dames s'entretenir, profitant de cet instant pour mieux faire connaissance de la plantureuse dame qui venait de descendre les escaliers.

"Bonsoir belle dame Vénusia. Ravi de vous connaitre. Je me présente : Zizifolies. Modeste homme en quête d'un peu de joie auprès de belles amantes sachant donner et recevoir quelques plaisirs qu'il soit."

Il s'inclina de nouveau, deposant un doux et delicat baiser sur la main de la belle Vénusia.

"Désirez vous boire un petit quelque chose tout en faisant un peu connaissance si vous le desirez?"

Il lui afficha un sourire des plus charmeurs. Il savait jouer , malgré sa musculature imposante, de charme et de delicatesse. Celà lui plaisait. Pour lui, la séduction était primordiale.

Alors qu'il discutait avec vénusia, la belle inconnue lui demanda s'il aprécierait des attentions de plusieurs femmes. Il se retourna et decouvrit alors une longue et magnifique chevelure dorée venant retomber jusqu'au creu de ses reins. Sa grâce s'accentuait encore plus, ses yeux profond captivait son regard. Il s'inclina alors.

"Heureux de découvrir un si charmante dame. je me présente : Zizifolies. Pour vous répondre, j'aprécie effectivement les douces attentions de plusieurs femmes en meme temps, autant que les attentions d'une seule et unique femme."

Se retournant vers la charmante Vénusia, il ajouta :

"mais joignez vous à nous si l'envie vous dit. prenez une coupe et faisons connaissance en compagnie de la charmante vénusia."

Il afficha son plus beau sourire et s'installa aux cotés des dames.
--Damoiselle.yvette


Désolée pour le retard, mais petit soucis technique^^ Me revoilà!


[Avant l'arrivée de : Malicia, Zizifolies, Mordric et Carmeen, direction la maison de soins]

Direction la maison de soins. En charmante compagnie, au moins ça qui me rend le trajet agréable. Si ce n'est que je dois sourire aux hommes qui croisent notre chemin... Mais après tout, ça va dans le travail. J'ai déjà une chance énorme de n'avoir pas été découverte, mais ça va être une autre histoire avec la médecin. Ah ça oui je suis en bonne santé. J'ai une hygiène de vie plutôt correcte, des maladies que je pourrai transmettre aux clients, impossible vu mon état de puceau reconnu, mais ya un chti truc entre mes jambes qui pourrait fort bien m'empêcher de continuer. Et qu'est-ce qu'on va dire quand on va apprendre la vérité? Que je suis un pervers... Hum, elles auraient sûrement pas faux, c'est bien dans le but de perdre mon pucelage que je me suis présenté dans cette maison de passe... Il y a aussi la notion de perversité qui comprend l'intérêt d'un homme pour un autre homme... Mandieu, si elles vont croire que j'ai fait cela pour m'octroyer les bonnes grâces d'un villageois viril à souhait... Quelle honte va s'abattre sur moi... A moins que je ne passe juste pour un idiot. Oui, je crois que ce serait le moins accablant. L'idiot du village.

Tout en passant tout cela dans ma tête, je continue d'avancer, en lançant des sourires (un peu coincés, il faut bien l'avouer) aux hommes qui croisent notre route. Si mes deux compagnes vont jusqu'à s'approcher de futurs clients potentiels, moi je me contente juste de hocher la tête.


Oui oui (voix de fausset) venez au temple de Venus, le plus beau temple jamais vu dans le royaume!

Je me vois mal allant directement et de moi-même à la rencontre de ces hommes... Et d'ailleurs je me serais bien passé de la présence de ce vieil homme qui vient jusqu'à moi...

Eh bien beauté, me fait-il en me reluquant avec un grand sourire presque édenté, le Temple de Venus tu dis? Ma foy j'irai bien y faire un tour pardieu! Une grande garce comme toi, pour sûr qu'ça me plaît!

Oh man Dieu!!! Je me contente de lever ma main jusqu'à ma bouche pour rire comme une idiote.

Oh oh oh, ne t'en prives pas mon grand (voix de fausset comme toujours), mes amies et...*gloups* et moi on t'accueillera comme il se doit...

Je prends ensuite par le bras ma jolie rousse et la belle blonde, voulant de suite quitter ce vieux aux cheveux dégarnis.

A très bientôt mon beau!

Je réussis enfin à fausser compagnie au vieil homme, non sans avoir eu droit au préalable à une claque vigoureuse sur ma fesse... Vieux pervers!

Vous voyez que moi aussi j'ai du succès... fais-je en avançant toujours, la tête haute, le menton tremblant légèrement.

Après quelques minutes, nous voici enfin dans la maison de soins. Mes deux belles passent en premier, comme si elles s'amusaient à faire monter ma pression au maximum. Assis sur ma chaise, je n'en peux plus d'attendre. Il me semble que je vais perdre la boule si l'attente se continue ainsi.
Fort heureusement, mon tour arrive avant que je ne plaque tout et que je fasse demi-tour. Enfin peut-être que ça aurait valu mieux pour moi... D'un côté, personne ne connaît ma tête en homme... J'aurais du tout laisser tomber... Mais il est trop tard à présent. Je n'ai plus qu'une solution : entrer dans cette pièce où on va m'ausculter.
J'avance donc et referme la porte derrière moi. Il va falloir jouer serrer... C'est quitte ou double.


Bonjour... (voix de fausset pour ceux qui ne l'ont pas encore enregistré)
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