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[RP ]A la recherche d'un nid douillet.

Ophelie..


Depuis l'incident qui avait eu lieu en début de semaine, le voyage de la petite troupe avait été mis entre parenthèse... voir même mis aux oubliettes.
Tellement de choses s'étaient passées en si peu de temps..

Ophélie avait pour mission de trouver une charmante petite maison qui servirait de lieu de convalescence pour sa maîtresse.
Le médicastre avait été clair et nette sur la chose. Helena devait garder le repos durant 1 mois et demi au moins!!!!

Il faut dire que la jeune Ophélie avait un peu peur...dans cette ville fantomatique, elle avait peur que sa maîtresse dépérisse de jour en jour.
Normalement si tout allait bien, Anna et Claudia et Clara devraient bientôt arriver ce qui empêcherait l'ennuie.

En ce baladant dans les ruelles du village, Ophélie avait cru voir un homme dont avait parlé Helena.

Ophélie marchait tout en regardant les maisons à la recherche de LA perle rare qui conviendrait à Helena mais aussi à toute sa famille.
Ce n'était pas facile de trouver cela mais il n'y avait pas de raison elle y arriverait!!

La jeune femme laissa échapper un soupire de découragement quand juste devant elle se dressa la maison celle qu'il fallait!!!!
Celle qui conviendrait à tous. Heureusement, Ophélie se mit à courir et vit un petit panneau marqué à vendre.
En s'approchant elle se rendit compte qu'il s'agissait d'un magnifique moulin à eau. A coup sûre cela plairait autant à Helena qu'à sa choupinette d'Anna.



Il ne lui restait plus qu'à se rendre à la mairie et faire tous les papiers nécessaires avant de faire venir tout ce qu'il faut pour rendre le lieu agréable et habitable.

Edit: Balisage {Madame_Anastasie}
Helena.
Les jours passaient lentement pour la brunette. Il faut dire que cette attaque avait eu raison d'elle et elle avait été blessé gravement ce qui demandait une longue convalescence à Chinon. C'est pas demain qu'elle pourrait remonter à cheval!

Helena n'avait pas l'intention de rester à l'Auberge!!! Elle voulait son petit chez elle, son petit nid douillet où elle pourrait faire ce qu'elle veut. Elle avait donc demandé à Ophélie de trouver dans le village une maison qui pourrait accueillir tout le petit monde, sa fille, sa filleule et son amie et la blonde évidemment comme elle ne pouvait pas se rendre dans sa grande demeure de son fief.

Ophélie était arrivée la vieille surexcitée. La brunette avait été surprise de la voir dans un tel état. Elle qui était toujours réservée et en retrait. Helena avait sourit attendant qu'elle se calme pour connaitre la raison de cette agitation. C'est alors que son intendante lui annonça la nouvelle celle d'avoir trouvé la perle rare qui plus est était libre!!

Ce matin là, la brunette avait décidé qu'elle irait donc voir ce paradis trouvée par Ophélie. Elle se prépara avec difficulté avant d'aller frapper à la porte de la chambre de la blonde. Pas question d'y aller toute seule. Se tenant contre le mur elle attendit un signe de la blonde.
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Aelen
Aelen était en train de faire quelques croquis quand elle entendit quelqu'un toquer a la porte, se doutant que ca devait etre pour aller voir la nouvelle maison, elle pris son épée sa canne et sa veste et se dirigea vers la porte.

Madame... Allons-y?

Elle pris les devant et se dirigea alors, s' assurant que tout allait bien pour Helena vers leur futur maison. Ça n'était pas la maison la plus rassurante qu'elle eut connu mais il faudrait s' en contenter.
Helena.
Helena sourit un peu amusée. C'est qu'avec Aelen parfois on pouvait être surprise.

Heuu oui. Comment avez vous devinez que je venais pour qu'on aille voir la trouvaille d'Ophélie?

Un peu perplexe,la brunette n'eut pas le temps d'en dire plus que la blonde l'entrainait déja dehors. Malgré qu'on soit presque en novembre l'air était doux et le soleil brillait de mille éclats réchauffant l'atmosphère.

Après une bonne dizaine de minutes, elles arrivèrent non loin du lac. Helena vit alors le moulin dont lui avait parlé Ophélie. Son visage s’éclaira d'un large sourire. Ophélie avait trouvé la maison parfaite. Celle où tout le monde pourrait avoir sa propre chambre et surtout où elle espérait qu'une douce chaleur humaine s'y installerait.La brunette se tourna vers Aelen rayonnante, excitée telle une enfant.

Aelen tu as vu comme c'est magnifique!!!! Ophélie a trouvé vraiment la perle qu'il nous fallait. Viens?

Prenant le bras de la blonde, elle la tira vers le moulin. Elle avait hâte de pouvoir s'installer dans cette nouvelle demeure et de laisser la chambre d'auberge aux voyageurs de passage.
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Aelen
Aelen se dirigeait vers la maison avec Helena. L' enthousiasme de cette dernière faisait sourire la blonde.

Elles montèrent le petit escalier qui menait a la maison puis laissa Helena s' extasier sur le bâtiment.

Il y a quelques trous dans le plancher, faites juste attention ou vous mettes les pieds.
Je dois aller vérifier quelque chose a l' étage, je reviens.
Elle s' élança ensuite dans l' escalier qui menait au grenier.
Helena.
Helena sourit à la blonde.

Oui nous ferons tous les travaux nécessaire pour rendre ce lieu le plus agréable possible. Sinon qu'en pense tu?
Vu la grandeur de ce moulin tout le monde pourra avoir sa propre chambre. A l'étage j'ai pu voir qu'il y avait 4 pièces. ce qui fait donc une chambre pour Anna, une pour Claudia et sa compagne, une pour toi et une pour moi. Le compte est bon!!!!

Je te propose d'aller faire le tour de la propriété. Certes ce n'est pas l'été mais je suis sûre que la végétation y est magnifique!

Elle entraina donc sa garde dans les alentours de la propriété. Après une bonne heure de découverte du moulin et de ses alentours, la brunette accompagné de la blonde se rendirent à la mairie pour signer tous les papiers nécessaires pour l'acquisition des lieux. Il ne reste plus qu'à aménager les lieux. Ils avaient également besoin d'ouvrier et de villageois pour réparer certaines parties du plancher.
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Les_villageois
Les temps sont durs alors quand on vous propose un travail et qui plus est dans la ville de Chinon on ne fait pas la fine bouche.
Les artisans du village avait été contacté par Dame Helena Di Rivombrosa pour remettre en état le moulin à eau qui se trouvait un peu à l'écart du village.
Georges, Gabin , Pierre n'avaient pas hésité une seule seconde. Le travail s'est la santé alors autant aller avec le sourire à la tâche.

Ce matin Georges accompagné de ses ouvriers s’étaient rendus au moulin pour commencer les travaux nécessaires. Il fut rejoint par Gabin et Pierre. Heureusement pour eux le temps se prêtait bien aux travaux de bois. Le soleil d'automne brillait dans le ciel bleu.

C'est rapidement que tout le monde se mit au travail. Certains sifflaient tout en travaillant. On entendait le bruit des marteaux, des scies, du bois. Il y avait un certain travail à faire pour rendre le lieu habitable. Un groupe d'ouvrier s'attaqua à changer les tuiles abimées du toit tandis que d'autres à l'intérieur s'occupaient des planchers mettant en place un joli parquet.

Le bruit de charrettes et des ânes arrivant avec des vitres neuves se fit entendre. Tandis que le menuisier s'occupait de l'encadrement des fenêtres, de simples ouvriers déchargeaient les nouvelles vitres en verre.

Chacun effectuait son travail dans son coin si bien qu'à la fin de la journée tout ce qui devait être changé l'était. Le moulin était comme neuf et n'attendait plus que ces habitantes. Satisfait le chef de chantier remercia un à un les ouvriers et les artisans. Il ne lui restait plus qu'à prévenir Dame Helena Di Rivombrosa et évidemment récupérer les écus d'un tel travail.
Claudia.
La jeune rousse était enfin arrivé à Chinon, depuis quelques jours, avec sa compagne et Anna, une petite adorable, et pendant bien une semaine ou deux, les trois jeunes femmes dormirent à l'auberge, le temps qu'Helena fasse retaper un vieux moulin semble-t-il, d'après Aelen, la garde d'Héléna. Pis un jour, en se promenant un peu dans le village, la jeune Rousse vit le moulin, entièrement neuf si on puis dire, et elle ouvrit grand ses yeux, et lorsqu'elle vit les ouvriers surement, Claudia lissa sa petite robe noire, qui la met toujours à son avantage, puis se mordit les lèvres pour les faire rougir et s'approcha de la troupe.

"Holà!! C'est vraiment un travail énorme qui a été fournit ici, c'est vous qu'Héléna va devoir remercier?? Et bien franchement je n'ai jamais vue un moulin plus beau que celui-ci!"

La rouquine se mit à sourire largement, ses grand yeux bleus se promenant le long de la construction, poussant encore un sifflement admiratif, et constata que vraiment aucun défaut n'était à relever, du grand art.
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Les_villageois
Gabin vit arriver une jeune femme magnifique qui s'approcha du moulin. Tous les regards des hommes se tournèrent vers cette beauté de la nature. Il faut dire que la robe mettait en avant les atouts de la jeune femme.

Le chef s'approcha de la femme qui s'adressait à eux ne pouvant décrocher son regard du décolleté qu'elle lui offrait

Heuue..humm...oui c'est un travail fastidieux Madame.
Je ne sais pas si c'est la dame dont vous parler mais...c'est Dame Helena Di Rivombrosa qui a commandé ses travaux.

Puis reprenant de l'assurance et surtout fière du résultat il reprit la parole.

Comme vous voyez tout est fini! Maintenant le Moulin est complètement prêt pour recevoir ces habitants. Faites vous parti de ces futurs habitants? Si c'est le cas je pourais vous faire visiter les lieux?

Intérieurement l'homme espérait que c'était le cas. Il pourrait alors jouir de cette beauté et qui sait peut être en profiter un peu plus que du regard.
Claudia.
Tout en discutant, Claudia remarqua le regard de l'ouvrier et loin de s'en offusquer, elle prit cela comme un compliment, faut dire que, même si sa Clara lui répété chaque jour combien elle est belle, un regard extérieur fait toujours plaisir, elle s'en amusa donc et se pencha très légèrement, comme si elle regardait quelque chose, lui offrant une vue encore plus plongeante sur ses atouts pis se redressa.

"Oui, je parle bien de cette Dame, qui est ma Marraine devant le Tout-puissant.."

La jeune femme marqua une légère pause puis elle reprit, avec malice.

"Oui, je vais y habiter, dès que la propriétaire des lieux décidera de venir vous payer... En attendant, je veux bien faire un tour des lieux, ça ne vous dérange pas si je le fais pieds nu? Mes petites chaussures me font assez mal.."

Tout en causant, Claudia prit appuit d'une main sur l'homme, se penchant pour retirer ses chausses et rester "pieds nu" enfin presque ,vue ses bas de couleur noir, puis une fois cela fait, elle abandonna ses chausses juste à cotés d'un buisson et afficha un magnifique sourire.

"Je suis prête".
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Les_villageois
Gabin fit un large sourire. Décidément c'était Aristote qui devait lui envoyer sur son chemin cette charmante jeune femme. Il ne pu s'empêcher de regarder cette généreuse poitrine qu'elle lui offrait à la vue en se penchant pour enlever ses chausses.

Parfait Madame. Faites donc nous ne sommes point pressé...bien au contraire.

Un sourire malicieux, un regard presque pervers passa sur le visage de l'artisan.

Maintenant je vous en prit suivez moi. Nous allons commencer par les alentours.

Tout en l'entrainant loin de tout le remue-ménage et les ouvriers qui rangeaient tout pour rentrer chez eux, Gabin se mit à lui parler du lieu comme si de rien n'était.
Ils arrivèrement vers le pont qui donnait vers la grande roue. Sans aucun scrupule Gabin faisant semblant de l'aider à monter caressa d'une main ferme le fessier de la jeune femme
Claudia.
"Oui, passez donc devant.."

La jeune femme prit sa suite pour découvrir un endroit vraiment merveilleux et chaque pièce ou détail lui rendait les yeux pétillants, chaque petit meuble ou petite vue, lui faisait pousser un soupire d'admiration, silencieux ou non hein, elle n'a jamais été connue pour sa discrétion la rouquine. Et donc nous arrivons au pont et la rouquine a bien du mal à monter et soudain, elle sent la main de l'homme sur so nséant et, croyant à une erreur, elle le laissa faire pour prendre appuit, grimpa sur le pont et resta un petit moment à quatre pattes, légèrement essoufflée par cette grimpette, offrant, sans le vouloir, la vue d'un fessier d'un blanc presque pur, et de la totalité de ses cuisses, blanches elles aussi, sauf pour la partie comportant les bas.

"C'est magnifique vue d'ici!!!"

Claudia se redressa ensuite et ne fit plu attention à l'ouvrier, regardant partout autour d'elle, sauf derrière elle, ses mains dans son dos, respirant l'air un peu plus frais qui semblait vraiment vivifiant.

"Héléna va adorer.."
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Les_villageois
L'artisan fut surpris mais à la fois aux anges qu'elle ne repousse pas sa caresse. il faut dire que depuis tout à l'heure son braie devenait de plus en plus étroit laissant même place à une certaine bosse. Et comme si cela ne suffisait pas voilà qu'elle se penchait pour lui montrer à nu son séant.

Gabin laissa son regard posé sur cette vue magnifique. Il s'approcha alors et posa de nouveau ses mains sur ce joli fessier le caressant allant même jusqu'à glisser un doigt entre ces deux monts magnifiques. Il l'avait fait de sorte qu'elle aurait pu croire à un branchage. Le vent venait de se lever doucement

Elle faisait tout pour le rendre fous. Aucun doute il voulait la posséder tout de suite, maintenant, dévorer cette sucrerie qui venait de se présenter sur son chemin. Et cette position à quatre pattes n'est pas pour lui déplaire.

Voilà qu'elle se relève. Lui aurait tellement aimé qu'elle reste dans cette position.

D'une voix roque et soufflant il lui murmure venant se coller à elle emprisonnant de ces deux mains ses magnifiques mont de Vénus et la force à reprendre cette position si délicieuse à ses yeux.

hummm Madame la vue est imprenable n'est ce pas?

Il souffle, il transpire, mais tente de rester calme.
Claudia.
Claudia ouvrit ses yeux en grand en sentant la main, les mains, se poser sur son fessier et un doigt l'explorer dans ce qu'elle à de plus intime, ce qui la rendit extrêmement nerveuse et apeurée, d'un seul coup, elle voulait se relever, mais apparemment, cet ouvrier avait assez de force pour la maintenir en position humiliante, surtout que sa tête vint heurter le sol, pas trop fort mais suffisamment pour la rendre étourdie et donc incapable de se redresser..

"Pitié...la..laissez moi.."

Une telle chose ne pouvait pas lui arriver, surement pas à elle, elle n'avait jamais rie nfait pour être si mal traiter, elle suivait même un séminaire pour devenir Diaconesse, alors pourquoi Dieu lui voulait cela...

"Je...je vous payerai...le triple...mais ne me faites pas de mal.."

Hélas, tout en parlant, bien qu'étourdie, elle avait très légèrement écartée ses cuisses, ce qui dévoila un abricot des plus divins au regard de l'homme, surmonté d'une fine toison rousse et très peu fournit..

"S'il vous plais.."
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Les_villageois
La laisser? Alors qu'elle avait tout fait pour qu'il la désire à l'instant. Ha non certainement pas! Il comptait bien la savourer et rien ni personne ne pourrait l'en empêcher. De toute façon tous les autres ouvriers étaient parti et même si elle criait personne viendrait. On est bien trop loin.

C'est donc sourire carnassier qu'il se pencha vers elle venant mordiller son oreille pour lui souffler

Alors tu t'amuse à me séduire pour ensuite demander ma pitié? Salope tu vas voir...

Terminant sa phrase il glisse une main dans sa robe caressant ses monts de vénus, les tétillants avec délice tandis que son autre main s'approcha dangereusement de son trésor

Hummm tu vas adorer ma belle. Et tu me supplieras de continuer.
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