[RP] Mariage d'Ade et Ouranos

Ade

Ade était nerveuse et voyait de plus en plus de monde qu'elle ne connaissait pas arriver peu à peu. Elle regardait par la fenêtre mais ne voyait toujours pas son parrain. Allait-il bien? l'avait-il oublié?
Dans ses pensées, elle sursauta en entendant Berm.

Je te remercie Berm et je serai ravie que tu m'accompagnes.

Elle prit sa main en lui souriant et lui fit une bise.

Elle se retourna vers Sgamine:

C'est à nous d'y aller! Allons y!

Elle se dirigea avec ses amis vers ce qu'elle essayait de se convaincre: une grande église, ce qui était loin d'être un mariage sous un arbre comme elle l'avait tant désiré.

Jean.de.cetzes

Le Roi arriva en retard. Le lapin d'Alice au merveille vous connaissez ? Et bien c'est une libre inspiration du Roi Jean le ... Vous mettrez ce que vous voudrez à la place des points, mais lorsqu'il sera mort. Il arriva donc derrière la mariée, qui se faisait tenir la main par un autre que lui. Mais pouvait on reprocher à sa filleule et vassale de ne pas avoir attendu davantage ? Certes non. Il suivi donc prenant un air satisfait comme si le déroulé de la cérémonie était celui prévu initialement, et emboitant le pas il jouait le monarque protecteur clôturant l'entrée, apportant sa protection aux arrières de celle qui rejoignait l'autel. Arrières qu'il n'avait jamais touché, bien que les mauvaises langues en parleraient avec délices. Quel postérieur féminin n'avait-il pas touché d'ailleurs ? Selon la rumeur aucun. Peut-être l'aurait il voulu, mais il n'en était - hélas ? - rien.
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Aure

le lavallois salua avec un grand sourire l'homme du jour, en lui tendant la main.

Bonjour Ouranos,
elles se portent aussi bien que moi , et toi comment te sens-tu pas trop sur les nerfs ?!

Une questions plutôt stupide vous en conviendrez. Qui n'est pas sur les nerfs le jour de son mariage ?!
A peine cette pensée eu finit de traverser sa tête. Et oui elle n'est aps si vide qu'on puisse le dire. Que le CAc répondit et fit sourire le grand forgeron

Je suis totalement d'accord avec vous , descendre aussi bas dépaysage grandement , on se croirait en pays espagnol d'un coup !

tout en parlant le blond continua de remarquer des têtes connus du coin de l'oeil , qu'il ne devait pas oublier de saluer. Autre que la belle Asphodelle, il y avait la frêle rose Ishtara et aussi .. ho ! ... la ceuilleuse de Mayenne , Minah. Voilà bien des années qu'il n'avait pas vue ce visages , depuis son départ du Maine en fait. Il se souvenait de leur brève mais multiples conversations en taverne comme si c'était hier. "Le tit coin Lavallois" en avait vue des têtes blondes , ou brunes d'ailleurs ... pis rousses aussi faut pas oublier que la Bretagne était juste à côté de Laval !. Enfin bref elle avait vue du monde, donc la brune et son amie dont le nom échappait à la mémoire de l'économiste
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Ade

Elle avait suivi Bermudes jusqu'à la porte de la Cathédrale lorsqu'elle sentit une présence derrière elle. Elle vérifia à son côté Sgamine était là et elle se retourna. Lorsqu'elle reconnu son parrain elle ne put s'empêcher de lui sauter au cou, soulagée de voir que tout allait bien pour lui.

Parrain, je suis si contente que vous soyez là!

Elle lui colla un gros bisou sur la joue et lui tendit l'autre bras avec un grand sourire. Elle se sentait beaucoup plus rassurée maintenant que son parrain était là.

Allons y maintenant, je crois qu'on nous attend avec impatience!

Ouranos

Ouranos sursauta quand il sentit la main du renard sur son épaule.

Oui cela doit être elle dans cette calèche...

Il se laissa entrainer dans un câlin entre un ours et un renard.

Je ne sais pas ce que vous réserve l'Archevêque. Dit-il avec un sourire banane.

Il fit un petit signe à Minah qu'il vit discrètement arriver. Il sourit en voyant Bermude aller voir qui se trouvait dans cette calèche et d'en faire sortir, à son bras la belle Ade et sa témoin...

Puis répondant à Aure... J'avoue que j'ai des petits trucs bizarre dans le ventre... Mais bon... C'est que du bonheur...

Alors que ces derniers approchèrent du parvis, il vit le dernier témoin et non des moindres, la parrain d'Ade, Jean... Son cœur fut très serré quand il vit Ade se jeter dans ses bras... Elle qui l'appréciait tant...

Elle lui proposa l'autre bras et elle monta jusqu'au parvis de la cathédrale accompagné de sa témoin, de Bermude et de son parrain...

Ouranos se tourna alors vers toutes les personnes présentes sur le parvis.

Bien ! Maintenant que tout le monde est là, je vous invite à entrer dans la cathédrale sauf les témoins ! Merci beaucoup !

Bekeet

Le nain écouta les paroles du futur marié et prit le chemin du lieu saint afin de s'y réchauffer. Il avait contempler les dorures de l'entrée quelques minutes, les imaginant sous formes de lingots dans le coffre de son comté avant de prendre un banc. Le temps était rude pour un sudiste, mais il profita pour dévisager les gens convives du nord.
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GF : "Et non, Messire Bekeet n'est pas l'émir du Quatarcastres à qui on baise les pieds pour qu'il ouvre son carnet de cheik."

Jason_de_vissac.

Evenice06 a écrit:

- Coucou mon Jason...j'ai cru que je n'arriverais jamais ..
Je ne suis pas trop en retard? Les futurs mariés ne sont pas encore là?

Coucou ma belle

Il embrassa sa sœur de coeur et lui présenta son bras.

Non ma chère juste à temps. Sa majesté ainsi que la mariée arrivent jute. Ils rentrent dans la cathédrale et nous allons pouvoir faire de même. Ça fait plaisir de te voir hors des murs de Belrupt.

A la suite des autres invités ils pénétrèrent dans le lieu Saint
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Sofio.de.valmonte

De l'auberge au parvis

La veille, une défoulée, une dérouillée, quelques doigts rongés jusqu'au sang, ne pas le paraître, mais se sentir plus faible que jamais, ne pas le montrer, mais se sentir plus à terre encore et ne pas laisser paraître..

Ils avaient suivi, le chemin à pied pour l'entrée dans la cathédrale . Encore quelques têtes connues, des beaux habits et de belles chevelures, tiens... Evenice coiffée?

De Belrupt à Paris, le futur marié semblait avoir de belles relations. Comme la coutume l’exigeait les invités entraient laissant la mariée arriver.

Le passage de la lumière au clair pénombre de la maison d’Aristote lui fait froncer les yeux, voila bien longtemps qu’elle n’a plus foulé les lieux, trop longtemps même qu’elle ne s’est pas tournée vers le Très-Haut, employant la doctrine d’y croire quand elle en a besoin.

Ils trouvèrent place non loin, elle se signa une nouvelle fois avant de prier à la paix, à la prospérité et à la longévité de leur amour, attendant comme tous le début de la cérémonie.

Pensive dans le sens de l'amour, à ne pas douter ce sentiment conduit les gens à de drôles d'extrémités, un mariage d'amour cela reste gravé dans les mémoires. Du leur elle en avait gardé secrètement la date et les visages. leur amour s’était imposé, se glissant comme un malandrin dans leurs cœurs pour s’en émerveiller chaque matin, ne pas attendre, plus douter jusqu'à la demande en mariage qu’elle avait reçu comme un cadeau du ciel, il était tout ce qu’elle attendait depuis toujours, de son regard admiratif qu’elle tentait de dissimuler pour ne pas subir railleries.
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Satyne

Un mariage ? De mémoire la brunette n’avait jamais assisté à un mariage. Elle regardait depuis cinq bonnes minutes l’invitation finement calligraphiée qu’elle tenait entre ses mains. Tout en entrelacs et en dorures. Qu’allait-elle faire ? Ouranos avait pensé à l’inviter, et l’attention la touchait. Il avait été son Comte et elle s’était appliquée à rendre son mandat brillant du mieux qu’elle l’avait pu. C’était sans compter sur son caractère de cochon et sa propension à dire des grossièretés. Mais en cette heure elle se sentait loin de tout ce beau monde. Les tenues d’apparats et les plats démesurés n’étaient plus son univers. Et ne le seraient peut-être jamais.

Elle profita d’une pause en taverne pour répondre quelques mots.

Citation:

Hep,
A mon Cher Comte,

Touchée par ton invitation je dois cependant la décliner. Je n’ai jamais versé dans le religieux, et je me sentirai de trop dans une église. Même au fond à côté du bénitier. De plus j’ai pris la route voilà plusieurs semaines et je suis bien loin de l’endroit indiqué. Loin et non présentable en l’état.

Je vous souhaite, à Ade et toi, le bonheur que vous méritez. Vous êtes deux personnes foncièrement bonnes et vous voyez en chacun de nous le meilleur. Je ne te remercierai jamais assez de la chance que tu as bien voulu me donner. De l’acceptation et de la foi que tu as eu en mes projets. De la confiance que tu as su avoir en connaissance de mon passé et de ce que j’ai été, et perdure à être.

J’ai donné le meilleur de moi-même pour servir Toulouse sous ton mandat. Et j’espère en avoir été digne.

Recevez encore mes meilleurs vœux,
et l’espérance d’une vie riche et tranquille pour vous deux.

Bien à toi,

Satyne
O. M.

Oliver_debonnaire

Oliver salua son ami Kaos

oui pour la fête jamais en retard comme toi
T as fait bon voyage?
on se les caillent ici!

Il ecarte un peu son manteau pour lui faire voire une fiole toute en longueur.

De l armagnac prise de guerre sa devrait nous rechauffer.
Ah faut se mettre au chaud suivons le mouvement on s occupera d elle a l interieur

Il suivit le mouvement

Bermude_de_shanley

Berm compris au comportement d'Ade que son parrain était là, il ce retourna et comme a son accoutumé il salua le Roys, sans trop de protocole

Mes hommages votre Majesté, heureux de vous savoir présent je me suis permis de prendre votre place pour éviter a Ade de rester là à ce ronger les sangs, je vais donc retourner au prêt du futur marié

Il sourit a Ade et parti rejoindre Ouranos, et Sabaude en fondant la foule présente

Me voila Ours ta belle arrive au bras de son majestueux parrain
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David064

A l'intérieur de la cathédrale, l'archevêque de Rouen attendait les fiancés et leurs témoins. Il se tenait devant l'autel à l'entrée du choeur. Tout était prêt pour une cérémonie unique et magnifique. Il fit signe à Ouranos d'entrer puis à Ade. Il souriait en les regardant, impatients qu'ils étaient sur le parvis de la cathédrale métropolitaine.

Ouranos

Ouranos fit un signe de la tête à ses deux témoins, Bermude et Sabaude, et pénétra dans la Cathédrale. Avant, il regarda autour de lui cherchant du regard sa marraine, il lui avait envoyé l'invitation et il la savait très prise mais il aurait aimé la voir près de lui lors de ce moment de bonheur. Il prit également un pli donné par un messager... Il le consultera après la cérémonie...

Il avança donc solennellement vers l'autel en compagnie de ses deux témoins... un moment fort... Un moment intense sous les chants d'église...

Il arriva face à l'autel et à l'Archevêque et attendit l'arrivée de sa Belle... Le moment qu'il attendait depuis des mois était enfin arrivé et le stress l'envahit de plus en plus. Il regarda tour à tour Bermude et Sabaude.

Bermude_de_shanley

Berm suivait Ouranos avec le renard, arrivé devant l'autel il sourit à Ouranos, en ce demandant qui avait les alliances
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Jean.de.cetzes

Tout le plaisir est pour moi ma chère. Allons, ne faisons plus attendre votre promis. Qu'il ne se sauve en se rendant compte de ce qui l'attend. Hin, hin.

Pardonnez mon retard, et mon état, mais je crains n'avoir contracté une mauvaise fluxion de poitrine. Il ne fallait pas croire qu'il était naïf le bon Roi. Mort il serait sous peu, et il le savait bien. Son retard n'était que la conséquence de cette longue maladie et sa venue avait été compromise par une toux qui n'en finissait pas. Seule une éclaircie lui permis de mobiliser ses dernières forces pour parvenir jusqu'à la cathédrale. Il en avait fait la promesse, et comme toutes celles qu'il avait formulé - vraiment formulé - il se devait de la tenir. Coute que coute.

Prenez mon bras, et allons-y. Tenez vous bien, et si je vous vois tourner talon, je vous promets une belle cellule dans la tour du château de vincennes. Vous verrez, c'est à ravir. Humide à souhait et peuplée de mignons petits rongeurs.

Sans laisser le temps de répondre - ce n'était d'ailleurs pas une question - il engagea la marche et en avant. La dernière marche du Roi !
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Mariage d'Ade et Ouranos

Ouranos

[Mardi 16 septembre 1462, deux jours avant la cérémonie]

C'est sous un très joli soleil qu'Ouranos arriva dans la belle ville de Rouen, en compagnie de sa Douce, Ade et de son compagnon de toujours, Bermude.

L'automne s'installait doucement et les feuilles volaient sous les roues des charrettes qui parcouraient les rues en direction de l'auberge, où ils avaient décidé de séjourner pendant quelques jours...

Ils passèrent devant la cathédrale où la cérémonie allait avoir lieu et il fit un sourire à Ade tout en contemplant ce bâtiment immense avec une architecture formidable.

Après avoir passer de rues et rues, ils arrivèrent à l'auberge dans le centre de Rouen.

Déchargement... Repos suite au voyage... Préparation... Beaucoup de choses en perspective...

David064

Le jour du mariage était arrivé. L'archevêque de Rouen vérifia une nouvelle fois que tout était prêt pour la célébration. Il traversa la nef de la cathédrale et ouvrit en grand les portes de l'édifice afin que les invités puissent entrer. Il ajusta sa mitre et salua les premiers invités qui arrivaient en leur indiquant qu'ils pouvaient entrer pour la messe du mariage d'Ouranos et Ade.

Sabaude

Tu seras mon témoin, avec le roux!
Le roux? Bermude?
Aurait-il du lui dire que d'un la chevelure fauve portait malheur, croyance populaire, et que de deux... les deux fois où il avait été témoin à un mariage, l'époux était mort quelques jours après?

Témoin de son suzerain: Le vicomte passait la canne à gauche moins d'une semaine plus tard.
Témoin de Feu Nicolas Ier: l'homme disparaissait dans un incendie!

Qu'en serait-il cette fois-ci?
Connaissant le bonhomme, peut-être une cuite achevée en dernier bain dans un tonneau de vin.

Sois là à temps mon Renard!
Pardi c'était le...... bien le connaitre....que d'insister sur la ponctualité.

Il avait traîné en Anjou pour un noeud à refaire et ne pas défaire.
Il avait traîné sur les routes pour un seigneur sans le sou.
Il avait aussi eu quelques difficultés un soir à monter en selle, la panse trop pleine de ces breuvages qui vous détournent de la ligne droite et se jouent de votre équilibre.

Mais contre toute attente, il était là, dans l'encadrement de la porte de l'auberge, fringuant, le sourire aux lèvres, l'air de celui qui a vu l'homme qui va se marier et peut-être bientôt clamser, si ce n'est au lit à trop contenter sa mie, autrement pour aller avec le jamais deux sans trois.
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Jason_de_vissac.

[Quelques jours plus tôt à Belrupt]

Alors qu'il regagnait la Maison des Cigales on vint lui porter un pli scellé. Il était rare qu'il reçoive ainsi des missive à Belrupt. Il commença par s'inquiéter se posant maintes questions sur l'expéditeur. Il brisa le cachet et parcourut la missive.

Il sourit à sa lecture, voilà donc pourquoi le surveillant de l'université était absent. Il allait convoler. Il était invité avec sûrement beaucoup d'autre Belruptiens Cigales ou non.
Il prépara une tenue de cérémonie et se rendit donc à Rouen.

Il arriva la veille et se rendit donc dans une des auberges du village pour y passer la nuit

[Le jour des épousailles]

Il fit monter un cuvier d'eau chaude dans la chambre afin de prendre un bain. Ensuite il revêtit sa tenue et quitta l'auberge pour se rendre à la cathédrale.

Quand il arriva personne n'était encore là , il attendit donc patiemment
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Linoa

Et un coursier aux armes de la Valten fut dépêché jusqu'en Normandie, lieu du mariage, portant un parchemin noirci de quelques mots à l'attention du futur marié qu'il trouva non sans mal avec la description qu'on lui avait donné, ou plutôt, que sa maitresse lui avait donné, y'a quand même pas mal de barbus...

Citation:

A Ouranos, parait il vicomte, c'est vrai?
De Linoa, pas du tout au courant et rares sont ces fois là,

Salut et paix et félicitations!

Je suis navrée tout d'abord de ne m'être présentée en personne à tes épousailles mais le travail ne manque pas ces derniers temps et je me vois contrainte de ne faire que la distance Touraine-Paris pour le travail.
Je ne connais pas ta future épouse ou épouse (dépendra quand tu liras ce message) mais j'espère que votre mariage durera dans le bonheur pour très longtemps!

Recevez mes amitiés sincères,

Fait au Lavardin, le XVIIIème de septembre MCDLXII.

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Sofio.de.valmonte

Ils avaient reçus l'invitation sous pli à l'université, n'ayant pas pu voir Ouranos à temps, elle ne savait rien de la mariée, le bon coté des choses c'est qu'il n'avait pas du subir des questions.

Ouranos par contre elle le connaissait, simple étudiant au départ, il avait su se faire remarquer, puis enrôlé presque de force en tant que surveillant pour sa poigne et son œil perçant. Combien de missions lui avait t'elle donné, qui parfois avait du le conduire jusqu'en Empire pour retrouver et menacer un étudiant des pires maux, afin qu'il revienne finir sa session. Il s'en était toujours acquitté avec brio, malgré qu'elle le soupçonnait parfois de connivence avec certains agitateurs...

Se préparer pour ce mariage fut chose aisé, les marchands qui sillonnaient le royaume, les avaient déjà mis en route, elle fut donc ravie de pouvoir prendre un peu de temps au temps en passant un bon moment et en se réjouissant pour Ouranos et la future mariée.

C'est devant l'Auberge de la ville qu'elle reconnut une personne rencontrée voila peu. La saveur de la bouteille offerte lui revint au papille, devant la porte, il se tenait, le monde est petit, le royaume serait t'il rond aussi.

Pressant le bras de son époux, elle lui fit des présentations en règle.

Messire Sabaude, ravie de vous revoir, je vous présente mon époux, Morphey de Valmonte, nous venons pour le mariage d'un ami.
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Bermude_de_shanley

[Mardi 16 septembre 1462, deux jours avant la cérémonie]

En rentrant enfin dans à Rouan, il ce sentit plus léger fini les routes interminables, les feux de camps à dormir sur de la caillasse, fini aussi de tenir la chandelle de ces deux compères.

En arrivant il repéra quelques tavernes qui ne demandaient qu'a connaître ce superbe rouquin, mais ces pensées fut détournées en voyant Ouranos et ade échanger un regard en arrivant devant la cathédrale, lieu de la cérémonie, où il était témoin de leur mariage, avec le Renard, ca va encore terminer en taverne, Sabaude ne sachant pas ce tenir en présence de chope, mais le stress le gagna lui aussi, il fallait s'habille pour l'occasion, et rien qu'a penser à l'attirail, il grogna

le convoi s'arrêta devant une auberge, enfin la civilisation, un bain, un lit, et à boire
il s'apprêta a décharger quand un gars entrepris de le faire, voila une bonne nouvelle

Bon les Amoureux je vais voir ce qu'il ont à boire, comme ce gars va décharger, hein mon gars

il lui tapa dans le dot en accompagnement de ses dires, mais faillit faire perdre l'équilibre au jeune homme

ho pardon l'ami, tien voila pour toi, toute paye mérite salaire

il lui tendit une petite bourse de pièces, il ne pu l'entendre le remercier parce que déjà dans l'auberge à chercher quelque chose à ce mettre dans le gosier

picole ..., ivresse....., préparation.... Beaucoup de choses en perspective...
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Sabaude

L’hésitation à entrer l'a saisi à la gorge. Des chopes, des victuailles, du bruit, des odeurs fortes, des regards inquiets d'un futur OUI à assumer..... Il s’apprêtait à retourner auprès de sa monture quand une voix suivie d'un visage connu le détourna de ses intentions.

La tête est légèrement inclinée quand il fait face au couple, les traits détendus et avenants, reposé d'être ici sans charge, sauf celle de s'assurer que le marié à toute sa tête.

Messire, dame de Valmonte, enchanté.

A l’attention du mari de la rectrice.

Je suis Sabaude Renard.

Il s'en tiendra là, l'événement appelant à la simplicité.

Je suppose que cet ami, commun de fait, est ce bon Ouranos.
Comment l'avez-vous connu si ce n'est pas indiscret?
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Valois

[Quelques jours plus tôt à Belrupt]

Valois restait perplexe quand au contenu de la missive. Non pas qu'il détestait le surveillant, de part sa fonction, certainement se devait-il d'être un peu rustre avec les étudiants, mais il doutait d'être réellement à sa place pour cet évènement. Néanmoins, il se devait d'honorer l'invitation, et se décida à prendre la route, une nouvelle fois pour la Normandie.
Il avait rassemblait ses affaires pour le voyage, il avait aussi pensé à emporter une tenue qui serait plus appropriée pour assister à la cérémonie. Il aurait voulu repasser par chez lui, sa garde robe étant bien plus fournie que ce dont il disposait à l'université, mais un détour par les Flandres lui aurait fait perdre trop de temps, ne lui permettant pas d'arriver à temps pour la célébration.
Chemin faisant, il se demandait s'il ne ferait pas mieux d' investir dans un petit pied à terre, n'ayant de cesse de se rendre En Normandie régulièrement.

[Peu de temps avant la cérémonie]

Valois parcourait les rues de Rouen, à la recherche d'une auberge située non loin de la cathédrale. Il ne voudrait pas se salir en s'y rendant le jour venu. Arpentant, les rues, il trouva finalement son bonheur et fatigué par le voyage, était bien décidé à prendre un peu de repos. Après avoir déchargé fontes, sacoches et charvin, il confia sa monture au jeune garçon d'écurie. Il en profita pour lui remettre quelques pièces, en lui demandant d'en prendre bien soin.
Il était trop occupé par ses pensées pour prêter attention aux trois personnes qui n'avaient rien trouvé de mieux que de discuter devant la porte de l'auberge, gênant l'accès à celle-ci.
Légère inclination, ton calme et courtois, il se présenta à eux.

Ma dame, mes sieurs, je vous prie de bien vouloir m'excuser d'interrompre ainsi votre conversation, mais je souhaiterai seulement pouvoir accéder à l'établissement.
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Aure

Ho ce bon vieux Ouranos se mariait ! Sa femme est vraiment chanceuse d’avoir un homme si formidable dans sa vie. Le blond l’avait connu avec les mines. Et oui car comme il aimait le dire « les Mines, la tendresse avec un grand M ». Et c’est ce plaisir qui avait réunit les deux hommes.
Le lavallois se rendit alors à la cérémonie un peu en avance cette fois, et chercha du regard l’homme du jour. Non content de le trouver , son regard se posa sur un brun. Tient il l’avait déjà vue lui ! mais ou ?!
Son cerveau de blond en action mit quelques temps à retrouver l’information : au mariage de Boadice ! Mais oui c’est aussi un avocat. Qu’elle coïncidence d’exercer la même fonction, d’aller par deux fois au même mariage….
Autant aller saluer cet homme et les autres gens avant que la cérémonie commence. Il se dirigea donc vers le Renard et lui tendit la main ainsi qu’à son interlocuteur

Bonjour,
Je suis Aure

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Bekeet

Commissaire au commerce depuis bientôt six moi, Messer Lathis, Seigneur de Dourgne avait prit l'habitude d'expédier les lettres non commerciale en fonction de leurs intérets auprès des autres services. Il s'était arrêté à la lecture de l'invitation de son ami Ouranos et de sa Dame qu'il connaissait moins. Il avait fait préparer un charette modeste pour l'occasion et pris congé auprès de la Comtesse, le temps des festivités.

Après plusieurs jours de trajet, il arriva a Rouen et se prit une chambre afin d'être présentable. Quelques heures plus tard, le nain était prêt et il se rendit à la réception. Il fut surpris de croiser du monde qu'il connaissait, notamment Messer Bermudes ancien maire de Tolosa et Messer Aure qu'il avait consulté par le passé au sujet des mines

"Bonsoir à tous, je me présente Bekeet Lathis, Seigneur de Dourgne et actuel Commissaire au commerce de Tolosa" dit-il en saluant les présents.
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GF : "Et non, Messire Bekeet n'est pas l'émir du Quatarcastres à qui on baise les pieds pour qu'il ouvre son carnet de cheik."

Morphey_de_valmonte

Un enterrement, un baptême, deux mariages....Voilà un titre qui ferait peut être fureur un jour.
Un jour oui... mais pour l'heure, lorsqu'il vit sa rousse arriver en agitant le parchemin il comprit aussitôt à quelle sauce elle comptait le manger.

Il l'avait même devancée avant même de savoir de quoi il s’agissait, et ça c'était en soi une sacrée performance !

- Non ! J'irai pas !

- Mais euh amour... c'est Ouranos !
- Arf il est mort ?
- Tutut non ! Il se marie !
- Le pauvre !!!

Ouranos ! Complice des chahuts instaurés à Belrupt, bien entendu qu'il serait auprès de lui en ce jour si spécial.

La cathédrale de Rouen carillonnait à la volée lorsqu'ils s’apprêtèrent à quitter l'auberge.
So lui présenta un homme qu'il salua d'une inclinaison de tête.

- Le bonjour vous va, je suis en effet l'époux et ami d'Ouranos que nous avons rencontré à Belrupt.

Un à un les invités arrivaient.

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Dict l'Impétueux

Sofio.de.valmonte

Du monde qui arrivait, ainsi donc l'auberge était le lieu de rendez vous, peut être même l'unique en cet endroit.

Ils gênaient le passage, elle reconnut encore un étudiant de Belrupt, celui ci ne sembla pas la reconnaître, pourtant elle avait vu son visage hirsute un certain matin à 5 heures du matin, quand le cor de chasse avait retentit.

Ouranos une grande histoire déjà, il fut étudiant en science militaire et brillant, mais au bout des trois sessions qu'il a réussit, il n'y avait pas moyen de le mettre dehors de l'université, celui ci exigeant une quatrième année, alors je lui ai proposé un poste à l'université. Je le soupçonne de raffoler de doonut's avarié spécialité de l'université.

Peut être ferait t'elle de ne pas trop parler des doonut's année 1402 sans se souvenir de ce qu'elle à pu offrir à son visiteur en son bureau.
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Ouranos

[Mardi 16 septembre 1462, après avoir déchargé]

Ce soir là, pas de fête, pas de nuit d'ivresse mais une bonne nuit de sommeil... Une nuit de sommeil pour récupérer du voyage jusqu'à Rouen... Ouranos prit donc quelques chopes avec son Ami Berm et fila au lit.

[Mercredi 17 septembre 1462, une journée avant la cérémonie]

Le réveil fut tardif pour Ouranos... Une bonne nuit mais une nuit coupée par des périodes de réveil, certainement dû au stress du mariage et aux ronflements de Berm dans la chambre d'à côté...

Il passa cette journée à parcourir les étals des marchands de la capitale pour trouver ce qu'ils leur manquaient à lui et Bermude. Dans leurs emplettes, ils rencontrèrent également le Renard, avec qui, ils finirent la soirée à boire et à parler de leur passé commun...
Une nuit qui s'éternisa aux plus profondes heures jusqu'à l'aurore.

[Jeudi 18 septembre 1462, Jour J !]

Une nuit courte mais bonne vu tout l'alcool ingurgité pendant cette dernière... Moment de stress au moment de la préparation des deux compères... Lui et Berm ne disaient mot tout en se préparant et se regardaient mutuellement.
Les voilà prêts tous les deux et il fallait maintenant rejoindre la Cathédrale dont les cloches résonnaient dans le centre de la Capitale Normande.

L'auberge n'étant pas très loin de là, c'est donc à pieds qu'ils se rendirent là bas. Toujours pas un mot échangé mais quelques regards entre les deux inséparables de toujours... Les frères d'armes...

La Cathédrale puis son parvis fût ensuite bien visible d'Ouranos et de Bermude. Quelques invités étaient déjà en train d'attendre sur ce dernier et c'est avec beaucoup de bonheur, qu'il reconnut les visages des personnes qu'il connaissait...

Il s'approcha tout d'abord du Prélat.

Bonjour Monseigneur et merci d'être là pour célébrer notre mariage à moi et Ade. Je vous en prie, vous pouvez rejoindre l'intérieur de la cathédrale. Je m'occupe d'accueillir les invités et de les faire entrer le moment voulu...

Il sourit en lisant le message qu'un coursier lui apporta. Il confia ce dernier à Bermude pour qu'il puisse faire une réponse plus tard.

Puis il se tourna vers les invités qui étaient déjà arrivés.

Bonjour à toutes et tous, je suis très heureux de pouvoir compter sur vous pour nous accompagner moi et Ade pour ce serment que nous allons faire l'un pour l'autre. Ade ne devrait pas tarder à arriver, ni ceux qui se trouvent dans les auberges de la ville. Sinon vous allez tous bien ? La route n'était pas trop difficile ?

Il essayait de se détendre en parlant un peu de la pluie et du beau temps et il espérait ne pas trop faire voir son stress.

Jason_de_vissac.

Les invités commençaient à arriver, beaucoup pour ne pas dire que des inconnues quand il vit arriver Sofio accompagnée de Morphey. Il s'approcha du groupe et les saluat.

Bonjour Sofio, Morphey heureux de te revoir. Messire je suis Jason Ludgarès de Vissac, étudiant à Belrupt avec le marié.

Ouranos se présentait à la porte pour accueillir les invités
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Nodo

Nodo avait reçu un courrier....Ouranos se mariait...Quelqu'une avait réussit à le détourner de ses sacro-saintes choppes.
Ne voulant rien rater de cette événement, il se mit en route, cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait fait...ses différentes charges le clouant à Mortagne.
Le voyage paru court, tellement il aimait le faire avec son Amande.

Ils arrivèrent donc à Rouen, se dirigèrent vers la Taverne, mais point d'Ouranos en ces lieux...ils se précipitèrent donc vers la Cathédrale, espérant ne pas être en retard.
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Oliver_debonnaire

Oliver avait fait un long voyage depuis Castelnaudary affin de repondre a l invitation de son ami Ouranos. Ils avaient servit dans le même regiments.
A peine le temps d etre nommé lancier de Castel officiellement et il avait aussitôt enfourché monture pour rejoindre Rouen.
Une fois le logis trouvé il se rendit a la cérémonie

Bermude_de_shanley

[Mardi 16 septembre 1462, après avoir déchargé]

la soirée fut courte, la fatigue du voyage ce faisant, apres quelques chopines partagées avec ca loutre il décidât de rejoindre ca paillasse, Morphée l'appelait au prêt de lui

[Mercredi 17 septembre 1462, une journée avant la cérémonie]

enfin une nuit passée sans problèmes pas de caillasse venant ce loger entre ces cotes et surtout pas les ronflement d'Ouranos, il ce demanda comment un être humain pouvait sortir de tel bruits.

Apres ce petit déjeuné simple, pas d'excès il serait dommage d'être malade la veille d'un grand jours, Ouranos le tira de ca léthargie matinale pour aller faire des emplettes, mais par le plus prompte des hasard au coin d'un rue un Renard apparu enfin une éclaircie dans cette journée brumeuse avec Ouranos qui venait de lui faire acheter un couvre chef d'une couleur innommable pour son mariage, a en voire la tête du vendeur il compris que le commerçant devait ce le trainer depuis un bon bout de temps et qu'il était bien content d'avoir trouvé un abruti pour l'acheter
Pour oublier ces déboires de chapeau berm et ces deux compéres partir boire quelque chopes jusqu'à une heure avancé du matin .

[Jeudi 18 septembre 1462, Jour J !]

après une nuit courte et houleuse, c'est l'estomac au bord des lèvres qui décida de ce préparer pour la cérémonie, il n'osait pas ouvrir la bouche de peur de laisser le petit déjeuné sortir sans prévenir, il jeta quelque coup d'œil à ours pour prendre la température, il était stressé qui ne le serait pas, un condamné qui serait serein ca n'existe pas, ca ce saurait.

les voila prêt, Berm un mal de crane à damné un saint, mais l'estomac avait compris qui était le chef lorsqu'il s'était payé une dernière chopine avant d'aller à le cathédrale, et là une certitude lui arriva aux oreilles , gueule de bois et cloches ne font pas bon ménage, il échangea des regards avec son ami pour essayer de lui faire comprendre qu'il avait les neurones en ébullition, mais ce ravisa et lui sourit comme pour le soutenir, c'était son jours .

il suivit Ouranos pour saluer le Prélat

Bonjour Monseigneur,

Ours lui tends un courrier, il le regarda avec les yeux rond d'étonnement

.

tu me prends pour ton secrétaire,

il sourit pour le détendre un peux mais en regardant l'assemblé il ne reconnu que très mais très peux de personnes

tu as invité combien de personnes

il resta planté a coté d'Ouranos en bon témoin, mais surtout ne sachant pas trop quoi faire, pourtant il n'était pas le marié mais il était surement plus stressé que lui
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Sabaude

[Devant la taverne - Valois qui passe - eux ( Sofio, son époux, Aure, Jason, lui) qui ne trépassent pas. Et si j'ai oublié quelqu'un: se plaindre au narrateur!

]

Appliqué à retenir visages et noms sans trop paraître les étudier, il laissera passer l'homme pressé puis reviendra non pas à ses moutons mais ses complices de pieds de grue devant l'auberge.

Aure.. Aure.... comme un certain avocat du Dragon? de demander sourire en coin, persuadé d'avoir déjà rencontré l'homme.

De saluer le dit Bekeet en se présentant à son tour et de revenir aux....spécialités de l'Université

Gageons qu'il ne faudra qu'une session à notre futur marié pour combler l'épousée et lui donner descendance.

La finesse des mariages....
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Valois

Un peu de repos, un peu de répit.
Il goutait à la tranquillité toute relative de l'auberge, avant d'aller baigner dans le grand bain des invités au mariage. Il se faisait assez discret, préférant rester à l'écart du tumulte régnant, saluant par-ci par-là les quelques personnes qu'il connaissait, ou du moins qu'il avait déjà eu l'occasion de côtoyer, même brièvement.

[Jeudi 18 septembre 1462, Jour J ]

Le jour étant venu, Il s'habilla, assez simplement, le seul luxe dans sa tenue étant son mantelet de velours, doublé de brocard et rehaussé de fourrure. Il se rendit ensuite à la cathédrale, l'édifice, majestueux, s'imposant tant par la taille que par la solennité. Il s'avançait à pas lent en direction du parvis, des invités étaient déjà présent, ainsi que le futur époux. Il ne s'approcha pas de suite, après tout il n'était qu'un étudiant comme tant d'autre, le Vicomte ayant déjà fort à faire pour accueillir ses plus proches invités.
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Simeon.charles

Il n'était pas vraiment à sa place le réformé. Avec ses cheveux mal-coiffés, sa barbe mal-semée, ses habits de maraudeur et sa petite croix poissonnée. Cela aurait pu être pire s'il n'avait pas pensé à laisser son épée à un écuyer sur le parvis. Il n'était pas trop à sa place, il ne l'était même pas du tout, mais pour presque rien au monde il n'aurait été ailleurs à ce moment précis.

La raison était simple : Ouranos se mariait et Ouranos c'était un frère. Ils avaient bu les mêmes vins, chanté les mêmes chansons, tenu l'épée côte à côte, obéissaient tous deux à leur Reine, ils faisaient de la politique en semble et ils étaient très souvent d'accord sur tout... mis à part sur la religion. Mais comme le disait le proverbe ; chacun ses défauts et cela s'appliquait surtout Rome.

Il était donc à "Leur Dame de Rouen", lui n'en avait plus et se tenait dans le fond, prêt de la sortie afin de s'éclipser dès la fin des salamalecs romains. En attendant la libération, l'oeil non bandé était sur le couple et le Roux de Secours qui semble tout à son aise.
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Amandiere

Mercredi 17 septembre

L'Amande avait mis du temps à choisir les effets qu'elle souhaitait emporter. Assise sur son lit, ses toilettes éparpillées, elle se demandait si elle ne devait pas en acheter quelques autres sur la route qui la mènerait à Rouen ... Elle soupira et reporta son regard sur la malle encore vide puis sur le lit et du se rendre à l'évidence ... elle allait arriver en retard d'autant plus qu'il lui faudrait également trier les affaires de son compagnon. Elle comprenait à présent tous ces nobles qui étaient accompagnés de femme de chambre, la facilité avant tout mais surtout la tranquillité.

Sur un dernier sentiment fataliste, elle secoua sa crinière et se mit au travail. Pour midi elle avait terminé, elle troca sa tenue pour une amazone et partie sceller les chevaux. Leurs effets suivraient par chariot.

Nodo était rentré et se préparait. Ils se retrouvèrent quelques instant plus tard et se hissèrent en selle, puis sur un regard complice, se mirent en route.

Ils arrivèrent à l'auberge quelques heures plus tard :

- Tu crois que c'est ici ?
- Ma Foi on dirait bien
- Alors dépêchons de prendre une chambre, tel que je connais Ouranos, il y aura foule à son mariage et il est hors de question que je dorme à la belle étoile.

Jour J

La nuit passa et c'est à l'heure dite que le couple se présenta devant la cathédrale après être passés par la taverne ... et oui ...les bonnes habitudes ne se perdaient pas. Nombres de convives étaient déjà présent. Ils aperçurent le couple, Berm et d'autre convives croisés pour certains au hasard des rencontres.

Calico

Il n'était pas une Sauterelle qui fut un jour en avance et ce n'était pas aujourd'hui que cela changerait. On dirait qu'elle prenait un malin plaisir à faire les choses au dernier moment et ensuite courait pour rattraper le temps perdu. Mariage ou pas mariage, la brunette fit comme d'habitude.

Elle devait partir le jeudi de la semaine dernière à moins que ce ne soit le mercredi pour être au jour dit à l'église pour le mariage de son frère d'armes. Jeudi, mercredi c'est du pareil au même. La Bouillon était tout de même là, le bon jour et c'était tout ce qui comptait.

Habillée en femme, une fois n'était pas coutume, elle arriva au milieu d'une foule bigarrée dont les visages lui étaient inconnus. Il faut dire que son caractère méfiant et sauvage n'aidait pas franchement. Le marié, Bermude, le nain Bekeet, et bien sûr son Borgne, LE borgne, c'était tout ceux qui lui étaient familiers.
Elle s'approcha de Siméon discrètement, comme elle savait si bien le faire.

Bonjour Siméon. Quelle belle journée pour se mettre la corde au cou.

La phrase fut dite à voix basse et elle sourit malicieusement. Il fallait bien rire de temps à autre et surtout quand on ne croyait en rien. La brunette salua Bekeet le nain et Bermude le roux. Ouranos avait l'air un peu tendu.

Bonjour Bekeet, bonjour Bermude. On dirait que Toulouse est en voyage dans le nord.

Un coup d'oeil circulaire vers les trois hommes et elle lança un...

Vous avez des bonnes combines pour dormir pas cher dans le coin?

Très terre à terre, Calico ne roulait pas sur l'or et ne voulait flamber sa bourse dans une auberge bien trop dispendieuse.
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Asphodelle

Un détour par Paris, pour des charges au Louvre qui sonnait la routine. Elle connaissait Rouen, et sans doute ce coup du destin, à ce moment de sa vie, marquait-il quelque chose, un clin d’œil, une résolution.

Rouen, là où jadis, il n'y à pas si longtemps, elle officiait, placée par Eusaias, dans une fière et bravache tourmente, l'oeil rempli de panache et de courage. Là où, bien avant encore, elle a fini de grandir avant d'entrer au service des Saintes Armées...Cicoli, Raphoul, Estoile, Miragouil, Keur, Peter le Grand qu'elle n'a jamais oublié, Scelet, bien sûr...Nanoues, Nico...Lerina...une époque tranquille, bercé par le vent dans ses champs de blé, un temps où les moulins tournaient à plein régime. Elle n'était alors, pas encore une DiCésarini. Elle n'était qu'"Asphodelle". Elle pensait dans ces moments que lorsqu'un garçon vous invitait à danser c'était qu'il voulait vous épouser. Des rubans dans les cheveux, et rien qui ne troublait ni des désirs modestes, ni un cœur pur encore préservé.

Avant d'entrer dans le grand édifice, elle revit aussi le jour de son retour de Notre Dame, dans sa robe de mariée, tâchée et sale. Salim, et sa mère. Elle revit cette chambre louée à la semaine, qu'elle occupa après son retour d'Orient.

Bien trop de choses aujourd'hui, se mettaient entre elle et ces temps anciens, où d'ailleurs, la majorité de ses amis étaient morts.
Elle avait fait un effort de toilette, comme lorsqu'on donne son dernier bal. Elle avait accroché ses cheveux, comme lorsqu'on souhaite plaire, une dernière fois. Elle ne prit le risque de bouleverser le mariage d'Ouranos, qu'elle considérait comme un ami, en refaisant une scène non si lointaine d'un Cardinal infâme, de la trempe de ceux qui donnent du bâton, plutôt que de ceux qui donnent envie de voir le monde autrement que ce qu'il est : laid, menteur, et faux, et parfois, percé par une lumière aux prismes parfaits, comme celle de l'astre qui joue entre les feuilles des arbres.

Elle laissa aller sans entrer le long de la nef, son regard abîmé d'un vert las, d'une menthe à l'eau usée, et, en sage apostate, bien que voyant des amis, ne s'approcha pas, visant un pilier bien connu : dans l'angle gauche de sa base, un bout est cassé, en fond de vaisseau, non loin du portail.

Elle posa son dos droit, et vit le Dracul. Il ne l'avait pas amenée avec lui, finalement. Il jouait avec elle, comme le chat, avec la souris, avant de, droit et le regard perçant, le coeur froid, annoncer la mise à mort, et pour finir, l'administrer. Son regard, c'était un peu comme ce cache : leurre s'il en est, il ne la voyait pas des deux yeux, un seul seulement se tournait vers elle, et l'autre, déjà, partait ailleurs. Le tourment, c'était ce qu'il aimait voir dans ses iris, l'inquiétude, c'était sa muse, son chant d'Olympe. Il n'y avait pas de vision autre possible qu'un amour dans la décharge des entrailles de Dante, entre Siméon, et Asphodelle.
Et pourtant...pour elle, si ce sentiment n'est pas de l'amour, alors il n'y à pas d'amour en ce monde.

Un sourire s'éternise un instant sur sa lippe, tandis qu'elle songe à l'inclination réalisée et inscrite, d'Ouranos et d'Ade. Une autre sphère, une autre dimension.

Et c'était bien comme cela, Ouranos et sa douce, ils étaient bien tous les deux, ils suivaient le cours tranquille de la vie, ils ne méritaient rien d'autres que ce mieux, et ce soleil sur les jours d'hiver, et sûrement, au printemps, une fleur éclose.
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Ade

[Jour J]

Elle n'avait pas réussi à fermer l’œil de la nuit. Aujourd'hui, ils se diraient oui pour la vie, elle en était heureuse. Elle soupira profondément: pffff une cathédrale!!

Cela ne lui ressemblait pas, ce n'était pas elle: trop grand, trop de monde, trop de tout... mais elle n'avait pas eu trop le choix. Elle se leva tranquillement et alla réveiller son amie Sgamine:

Coucou toi,
aller aide moi à me préparer il ne faut pas qu'on soit en retard.

Elle s'habilla, se maquilla, se coiffa, se remaquilla et se recoiffa. Voilà, tout parfaite!

Elle regarda Sgamine:
bon bah là c'est bon? on n'a rien oublié?

Elle fit un gros bisou à son amie : merci d’être là.

Allons y

Une calèche les attendait déjà devant la porte elles montèrent dedans. En arrivant devant la cathédrale, elle vit tout ce monde devant la porte et se nia à descendre.

non non non...

Elle sentit ses larmes montées, paniquée. Elle ne connaissait personne, s’étant montrée jusque là discrète aux côtés d’Ouranos. Elle ne vit pas non plus son parrain qui aurait pu être un soutien pour elle. Elle ne pouvait descendre de son refuge dans cette calèche...

Sgamine

Sgamine fut réveillée par son amie, elle se leva, se lava, s'habilla et se coiffa.

Sgamine etait presque plus nerveuse que son amie Ade, elle tournait et retournait partout dans la maison, elle vérifiais que rien n'avait été oublié.

Ade lui parlait et l'entendait mais ne l’écoutait pas, pis elle vit son amie lui bisé la joue elle revint a l'instant présent, le mariage de son amie.

Elle souriait son amie était ravissante

Merci a toi de m'avoir invité, j'aurai raté ca pour rien au monde.
Combien d'invités as tu dis qu'il y aurai déjà ?

Mais elle voyait son amie la tête occupé a d'autres pensées, elle la suivi dans la calèche.
Ouranos avait vue les choses en grands.

Jusoor

En une Bourgogne politique troublée et par des temps tout aussi maussades, Jusoor avait parcouru le vélin qui lui était parvenu. La surprise s'était d'abord emparée de ses traits, puis l'apparence de la réflexion. Il s'agissait là d'une bonne nouvelle, le Bouillonnant frère d'armes se noçait. Elle ne pouvait lui répondre que par l'affirmative et s'en réjouissait.
Elle finit de parcourir l'invitation. L'épousée, elle n'avait l'heur de la connaître, tout comme Rouen la touristique d'ailleurs, lointaine de ses terres. Pourtant l'idée de ce déplacement n'était pas désagréable, et pour celle qui avait prévu de s'éloigner du marasme bourguignon, cela tombait à pic.

Elle devrait partager avec Etienne de cette invitation, voir avec lui la suite qu'il souhaiterait y donner, l'homme n'étant guère friand de cérémonies. Son regard tomba à nouveau sur l'invitation. "Cathédrale de Rouen, Monseigneur David blablabla..." Un soupir de déplaisir franchit ses lèvres. La messe serait donc romaine. Après une seconde elle convint de s'en accommoder, son frère d'armes méritait bien ça et c'était là son choix, qu'elle respectait. Même s'il fallait se cogner toute l'hypocrisie romaine.

Des jours plus tard sur un parvis rouennais

Quoique la houppelande fut longue, la mignonne cheville s'exposa brièvement lorsque la Corbelette descendit du coche frappé à ses armes. D'un regard circulaire elle fit le tour de la masse des invités, stagnante devant la cathédrale ombrageuse jusqu'à ce que l'heure d'entrer soit venue. Sur leurs flancs, quelques mendigots et autres pauvres gens s'étaient rassemblés, comme une évidence. L'évidence Jusoor s'en contrefoutait, "aide-toi et le Ciel t'aidera" disait-on, et traversa donc les groupes d'invités sans s'arrêter aux mains tendues, ratant le futur marié pris au milieu d'un de ces groupes. Bientôt, elle avait rejoint la pénombre fraîche de la cathédrale.

Le temps que ses yeux s'acclimatent à l'obscurité, la fraîcheur s'était déjà emparée de sa peau qui s'était soulevée en une chair de poule digne de ce nom. "Bordellerie... Rome est aussi glaciale dans ses édifices qu'elle l'est dans ses pardons". Fouillant des yeux les premiers bancs une question lui parvint et la fit sourire largement :

Vous avez des bonnes combines pour dormir pas cher dans le coin?

La voix lui était familière, tout autant que le ton emprunté et le pragmatisme de la réflexion. Elle se tourna vers là d'où provenait la question et reconnut Calico, quoiqu'elle marqua un temps d'arrêt devant la tenue féminine de celle-ci, et à ses côtés, le Borgne. Bermude aussi. Et... ah non lui, le nain, elle ne le connaissait pas. Elle s'approcha, attributs de Bouillon ornant son col.

Le bon jour vous va gens de Bouillon !
Que voila une paisible occasion de voir les toulousains, si différente des autres. Espérons que celle-ci ne se termine pas dans le fer et les larmes. Elle leur sourit, car il était encore permis de douter de cela dans un tel endroit et se glissa parmi eux.
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Evenice06

Elle est rouge de colère...Forcément elle n'aime pas être en retard et pourtant là elle va l'être c'est sûr...
Mais tout s'est détraqué avant de partir...
La robe commandée pourtant à l'avance pas prête parce que la couturière malade, pas tous les accessoires non plus, motif "Pigeons restés au nid en réclamation pour obtenir plus de grains de maïs", le carrosse inutilisable, forcément ça roule très mal avec une roue en moins, bref devant tous ces aléas de la vie on ne peut être qu'en colère..

C'est donc à cheval tout simplement et "Venez comme vous êtes" qu'elle arrive sur les lieux du mariage et cherche des visages connus.
Le premier groupe qu'elle voit c'est Belrupt en déplacement...
Alors ça c'est une aubaine, ils sont venus ils sont tous là dès qu'ils ont entendu ce cri...

Mais non ça c'est autre chose, elle salue tout le monde, bisous par ci, bisous par là, vérifie que Sofio n'a pas amené ses doonuts moisis, et finit par son frère de coeur, le beau Jason.

- Coucou mon Jason...j'ai cru que je n'arriverais jamais ..
Je ne suis pas trop en retard? Les futurs mariés ne sont pas encore là?
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Kaos

la Normandie ?

Quand il avait demande à Louise ou c'etait , il avait eu comme reponse

Au nord !

heureusement que le padre savait ou c'etait ,un peu apres Paris !
kaos n'y avait jamais ete ,l'invitation d'Ouranos tombait bien !

et hop quelques bagages et ses medailles il enfourcha son cheval et c'est parti !
Etonne mais flatté de l'invitation ,il chevaucha pendant plusieurs jours ,tua quelques brigands,quelques sangliers et apercut les faubourgs de la ville !

De grandes fleches ,tu peux pas les louper ! lui avait dit le padre !

Apres avoir laisser son cheval à l'auberge il se dirigeat vers le lieu de la ceremonie,flanque de son beau mantel rouge et de ses medailles qui brillaient ,une du roi jean et une autre du Comté !
Arrivé ,il vit que la foule se pressait,et il apercut beaucoup de tetes inconnues mais soudain ,il en vit une qu'il connaissait que trop bien,Oliver,ben ca alors invite lui aussi ,il se dirigeat vers lui et lui flanqua une bonne bourrade

Alors ,Ami,toujours le premier à faire bombance !

autour d'eux des gens du comte dont la Comtesse,des"burnes " enfin des amis à Ouranos ,quoi ,c'est ainsi qu'ils se nomment !
Il attendit la suite de la ceremonie ,pas fache qu'il soit pas trop arrive en retard !

Etienne_lahire

A peine étaient-ils arrivés à Rouen qu'Etienne avait décidé d'explorer les rues de la ville. En vérité, c'est plutôt le port qu'il vise, port célèbre par l'intense trafic marchand qui, de ses quais à Paris ou à ceux d'Angleterre, irriguait tout l'âme de la région.

Trouver le port n'a pas été bien long évidemment. Il suffit de remonter le flux des charrettes bondées que l'on entend de loin craquer sur les pavés. De là-bas viennent aussi par grappes concentrées des porte-faix courbés transpirant sous la charge et cette bruine froide qui suinte depuis tôt ce matin sur le pays normand.

L'eau, voile de gouttelettes, estompe les lointains, les arêtes des murs et même le haut des mâts qu'Etienne a pu enfin trouver.

La déception a été à la mesure de son erreur. Etienne voulait respirer l'air marin, il trouve un vaste port bouillonnant sur la Seine.
Le vent d'ouest atteste d'une gifle glacée, qui porte l'odeur des algues, que la mer n'est pas loin.

Pas loin, certes, mais pas là.

Etienne a observé une heure le trafic sur les quais. Une main en visière pour protéger ses yeux de l'eau grise qui ruisselle, en suspension dans l'air, il a compté les sacs, observé les denrées que, de ce bateau récemment accosté, des marins en haillons débarquent en silence. Sel, vin, du fer qui s'embarquait et du bois, l'Angleterre avait toujours besoin de bois. Poissons séchés, tissus, remontaient à Paris. Des ballots de fourrures, qui venaient sans doute de la lointaine Skandie, peut-être de Latavia, ou bien d'Hyperborée, avec des caisses entières où Etienne avait vu marqué le mot "ambre", débarquaient en grand nombre. On les emporte dans la ville où des marchands les valoriseront.

Point de mer... Etienne n'aime pas les fleuves.
Ne s'attardant pas plus il tourne les talons.

La cathédrale griffe de loin le ciel gris. Ses clochers sont si hauts qu'elle se croit capitale. Rouen est grande ville, presque autant que Paris.

Un peu plus tard, le Bourguignon remonte les flancs de l'édifice : il l'a abordé par derrière et par curiosité, pour examiner en silence les différents portails. Ci celui des boursiers, que l'on appellera plus tard le portail des libraires. Etienne se promet de visiter, dedans, les chapelles des métiers. Les forgerons en sont, il veut en voir les armes.

La façade ouvre à l'ouest comme souvent. Là se presse une foule qui a formé des grappes. Etienne reconnait les couleurs de Jusoor sur la porte de la voiture qui s'éloigne. La Corbelette, peu fascinée par tout ce qui a trait à l'eau, n'a pas souhaité l'accompagner dans son exploration du port et il est convenu qu'il se retrouvent là.

Ses yeux habitués reconnaissent rapidement la silhouette longiligne de la Princesse qui, ayant fendu la foule avec son regard froid pour toute et dure étrave, s'engage à présent dans l'ombre de l'édifice.

Il lui faut peu de pas pour rejoindre la jeune femme, occupée maintenant à saluer un groupe. Etienne en reconnait sans peine et les voix, et l'accent. Il se dirige là pour rejoindre la brune.

- Bouillon, le salut !
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Bermude_de_shanley

Enfin des têtes connues dans l'assemblée, il quitta ours un petit moment avec toujours son courrier en main, et parti à la rencontre des bouillons et des Toulousains qui avait fait le déplacement

Bonjour tout le monde

le sol lui semblait en coton, sûrement dû a la soirée passée a boire plus que de raison

Calico j'ai cru entendre que tu étais a la recherche d'un auberge pour la nuit, va a cette auberge

lui montre l’édifice qui siégeait de l'autre coté de la rue pavée

et dit au tenancier que tu viens de la par de la loutre, il y a encore des chambres j'ai demander a ce qu'il en garde quelques une au cas ou

il continua son tour de petit tour pour saluer tout le monde simeon, asphodelle et biensure Nodo et amande
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Bekeet

En attendant le jour des noces. Les différents convives avaient vaqué à leurs occupations. Il en fut de même pour Bekeet Lathis qui avait visité la ville de fond en comble en compagnie de charmante jeunes femmes que le nain avait rencontré dans des auberges raffinées. Après avoir passé quelques heures à contempler les plus belles œuvres d'art de la ville, Bekeet avait pris le soin de se rendre au marché pour négocier des denrées à bas prix contre celle de Tolosa. Les journées passèrent et il dû se préparer pour le grand moment de son ami Ouranos. Il laissa la chambre aussi propre que possible après avoir payé grassement les maitresses d'ouvrage.

Il se rendit au pas de l'édifice pour saluer ses amis

"Messer Ouranos, messers" dit-il en serrant son manteau de fourrure.

"J'aurais peut-être dû apporter du vin pour nous réchauffer par ce froid."

Le nain contempla l'édifice long de plusieurs mettre de haut

"Il fait peut-être meilleur à l'intérieur, non ? Les bras de dieu serait d'un grand réconfort pour nous réchauffer.
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GF : "Et non, Messire Bekeet n'est pas l'émir du Quatarcastres à qui on baise les pieds pour qu'il ouvre son carnet de cheik."

Simeon.charles

Il salua tour à tour les gens qu'ils connaissaient. Le seigneur de Dourgne, nain de Toulouse, qui compensait ses courtes jambes par de grandes idées. Puis sa suzeraine... il avait l'impression d'avoir oublié une chose lorsqu'elle posa le regard sur lui. Tout compte fait c'était pas une chose, c'était une personne. Elle. oui il avait oublié d'escorté sa suzeraine comme elle lui avait demandé. Argh.

Puis il salua sa "soeur" Calico, le Chevalier à la Sauterelle. Il était content de la voir ailleurs que sur ou sous des remparts ou qu'au conseil de Toulouse. Puis vint la Corbelette, qu'on disait aussi réfléchie et redoutable, tant à la guerre qu'en politique. Elle était accompagné de son "compagnon". Le Borgne savait guère s'il fallait dire : amant, écuyer, soldat, ami... Il n'avais pas compris la relation entre eux, mais les savaient proches. On disait de l'homme d'arme qu'il avait du verbe, de l'esprit et qu'a l'arc il faisait mouche à chaque fois.

Il rit en entendant Jusoor et répliqua d'un :

Et pourtant déos sait que j'aime découper la mortadelle d'Italie.
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Calico

Toujours aussi pragmatique, Calico attendait une réponse à sa question de logement. Ce n'était pas de l'impolitesse, car elle respectait les lieux consacrés et le rituel du mariage, seulement la Sauterelle n'était pas une croyante. Elle croyait à son ventre plein, à son bras pourfendeur mais à un truc divin qui tapait ou récompensait, ça non.

La Corbellette arriva avec son garde du corps très corps à corps. Ils étaient inséparables. Où elle était, il était.

Bonjour Princesse, bonjour Etienne. Ca fait un moment qu'on ne s'était pas vu. Pas de castagne pour une fois mais une union, ça nous change.

La brunette lui sourit. Bien sûr tous les Bouillons avaient des nouvelles les uns des autres. Ils étaient liés autour d'Agnès. Puis un autre visage toulousain arriva en la personne de Kaos.

Bonjour à vous Kaos. Je pense que les mariés ne risquent pas une attaque avec tous les hommes d'armes qu'il y a aujourd'hui.

Ouranos en étant un, il était naturel qu'autour de lui gravitent d'autres gens d'armes.

Ce fut au Roux de répondre à la question existentielle de la Sauterelle.

Calico j'ai cru entendre que tu étais a la recherche d'un auberge pour la nuit, va a cette auberge et dit au tenancier que tu viens de la par de la loutre, il y a encore des chambres j'ai demander a ce qu'il en garde quelques une au cas ou.

Merci de ton tuyau Bermude. Je ne manquerais pas d'y aller de ta part. C'est quand même bien aise de connaitre une loutre dans le coin pour avoir des tarifs préférentiels.

La conversation croisée de Jusoor et Siméon, donna une mauvaise info à la brunette.

En plus ils y font de la mortadelle d'Italie?
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Ouranos

Ouranos sourit à Bermude.

Non mais je ferai une réponse plus tard et je ne voudrai pas perdre ce courrier. J'ai invité quelques personnes oui.

Il regarda tout ce monde arriver sur le parvis de la Cathédrale et cela lui faisait énormément plaisirs. Des Amis de Mortagne, des Amis de Toulouse et des Amis de Belrupt... des Amis tout simplement... Il était heureux, il ne manquait plus que sa Douce et ses témoins. Il s'adressa donc à tous ceux qui venaient d'arriver.

Merci à vous tous d'être venu partager ce merveilleux moment avec nous. Nous attendons Ade et ses témoins et nous entrerons ensuite pour nous réchauffer un peu, Bekeet.

Il fit ensuite le tour de tous les présents pour les saluer... Puis il fut attiré par l'arrivée d'une calèche... Il attendit quelques instants et personne n'en sortit... Est ce que c'était Ade ou pas ? Il ne bougea point, ne sachant pas qui était à l'intérieur.

Aure

[Du bar à la Cathédrale]

En effet c’est le cas, c’est un honneur s rappelez de moi.

Il lui sourit en posant sa main sur son épaule

Veuillez m’excuser, je vais rejoindre le mariage, il doit-être l’heure. A tout à l’heure.

Le blondinet salua ce présent et se rendit avec légèreté et bonne humeur jusqu’à la cathédrale. Il sifflait un air de son comté en regardant les scènes de rues avec une étoile de vie pétillante dans les yeux. Halala que ça fait du bien de voyager !!
En s »y rendant le blondinet croisa le visage de Sgamine Cette personne lui disait quelque chose, d’instinct le nom de « fougères » lui remonta en tête, ou « ferger » comme ils disent là-bas. Enfin il lui semble que c'est ça .... Enfin bon, évitons tant que possible de jouer au blond aujourd’hui
A cette pensée, le sourire sur ses lèvres s’aggrandit et son regard parcoura le monde présent afin de déceler les autres têtes connues.
Ho tient, LE CAC ! Le mainois se dirigea vers l’homme pour le saluer

Bonjour Beckett.
Comment ça va vous ?!

Un regard en coin lui suffit pour apercevoir la belle Aspho, qu’il espérait saluer également. Il avait repéré "le meilleur" et le gardait pour la fin , le fameux Ouranos.

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Amandiere

Amande connaissait très peu de monde mais le rouquin qui accompagnait Ouranos, celui là elle le connaissait très bien. Elle avait tenté un petit signe de tête, puis un grand de la main, mais certains regards se tournaient déjà vers elle, elle n'allait tout de même pas crier pour se faire entendre.

Elle du donc se contenter d'attendre son arrivée vers eux en rongeant son frein pendant qu'il bisait, congratulait, discutait, pérorait, se montrait, dialoguait, devisait ... bref tout pour la faire languir...

Je vais lui en donner des accolades moi !!!!

Etienne_lahire

- Sire Simeon, Calico, le bonjour vous va. Il y avait longtemps !

Il gratifie les Bouillonnants d'un franc sourire. La Sauterelle, il l'a aperçue il y a peu au Tournel en compagnie de Volkmar, mais il y avait tant de monde là-bas, et puis Etienne ne faisait qu'un passage, ils n'avaient pas eu l'occasion de converser beaucoup.

Le borgne Siméon, cela faisait plus longtemps encore. Cela remontait au dernier passage d'Etienne à Bouillon, justement. Jusoor y recevait des gens qu'elle souhaitait rapprocher du clan. La réunion avait été un peu décevante, les invités sans doute pas assez familiers de Bouillon pour se sentir à l'aise avec ces perspectives, mais les contacts avaient été pris. Le reste serait une question de temps, de patience, de moment opportun.
Siméon, ce jour là, accueillait les arrivants à la herse du pont sud pour en guider certains dans le dédale des couloirs de la citadelle. On savait en le suivant qu'ici il ne serait pas question de mondanités. Quelque chose dans le rythme des pas, dans la tension des épaules, dans la voix.
Il avait fait le meilleur gardien pour la porte des Enfers.

- Une belle journée pour Ouranos, donc pour Bouillon.
Gageons que le Très haut va dégager pour l'occasion ces enkhulés de nuages qui nous coupent la lumière, ou alors nous irons lui expliquer les priorités.

Il fait gris en effet, la bruine mange les contours.
Mais elle fait luire le pavé.
Mais elle rehausse d'une couronne étrange les silhouettes hautes qui marchent et qui s'attroupent.

Il sourit. Il observe la Corbelette qui s'est coulée très à son aise parmi ses vieux frères d'armes et de sang. Lui-même apprécie le moment.
Bouillon est un clan un peu particulier. On n'y entre pas comme dans un moulin, les amitiés sont lentes comme des montagnes.
Les premiers contacts, Etienne ne les a eus que parce qu'il suivait, escortait, protégeait la Princesse. Par la suite, avec le temps, les rencontres rares mais denses, il avait peu à peu noué avec cette curieuse alliance une sorte de complicité tacite. Il appréciait, lui qui pouvait être bavard et même un peu verbeux, cette sorte de travail muet.

Bouillon ne riait pas souvent, ne vous tapait pas dans le dos.
Bouillon n'était pas confortable.
Mais avant tout, Bouillon ne mentait pas.

Le temps passant, il appréciait de plus en plus ces rencontres et aujourd'hui, parce que Jusoor lui avait appris qu'Ouranos en était, il avait décidé de venir.

Les flèches de la cathédrale grimpent si haut qu'elles déchirent le ciel.
Un bleu pâle d'abord, puis profond, fait tomber sur la bruine la claque d'or du soleil.

Ebloui, Etienne cligne des yeux dans la pénombre effacée, balayée du feu blanc des reflets qui jaillissent sur le pavé d'argent.
Bien des gens du groupe ont amené avec eux l'accent chantant du Toulousain. Il pose un regard à moitié aveuglé sur le nain qui fait en contrejour, sur l'incendie blafard des pierres mouillées, une silhouette trapue qui a l'air de vibrer.
Il n'avait encore jamais vu de nain.
Est-il, lui aussi, de Bouillon ?

Il cherche des yeux la Corbelette dans la danse des flammes. Non qu'elle courre le moindre danger ici mais il a pris l'habitude, dans les attroupements de foule, de savoir où elle est. Même maintenant qu'il n'est plus uniquement l'homme lige, le rempart, et il ne sait si c'est le simple souci de sa sécurité ou cette jalousie inquiète qui parfois encore, par de plus courts instants de doute, le tourmente.
Il ne sait quel souci et s'en fiche.
Il la garde jusqu'à la fin des temps.

- De la mortadelle !! Où ça ?

Il a entendu parler de charcuterie. Aucun authentique gaulois ne peut négliger cela.
Son regard pensif remonte vers Calico. Voilà une fille qui a de saines préoccupations !

Les lances de feu blanc se déplacent avec les nuages, à présent elles déferlent au dessus de la nef.
Les vitraux leur donnent toutes les couleurs du verre.

- Et où sont donc nos mariés ?

Les flèches de la cathédrale grimpent si haut qu'elles n'ont pas l'air réelles.
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Bermude_de_shanley

Berm était près à retourner vers Ouranos, quand du coin de l'œil il vit une personne lui faire signe, mais pas n'importe qu'elle personne Amandiére la seule et l'unique.

il joua du coude pour la rejoindre, la voir sauter de la sorte le fit sourire on aurait cru qu'elle était montée sur ressort

Bonjour madame, est ce moi que vous saluez de la sorte, avons nous eu le plaisir d'être présenté

il réussit a garder son sérieux, ca faisait trop longtemps qu'il ne l'avait pas vu, il ne pouvait pas ne pas l'embêter un peu

Bermude de shanley enchanté

verrait il ca sœur, si nodo et amande son ici ett espéra que Clody à fait le voyage
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Ouranos

Ouranos sourit en voyant Aure les rejoindre.

Bonjour Aure ! Comment vont les mines du Royaume ?

Il garda du coin de l'œil, la calèche qui ne bougeait point... Sa Douce et ses témoins se faisaient désirer et le stress d'Ouranos augmenta de plus en plus...

Ishtara

Un nouveau mariage, en Normandie, ça changeait un peu, et le Duc était chez lui et la tournée du Duché pour le faire visiter à la Rose se ferait comme d'habitude, dans le calme, dans le temps et avec amour.

Qui dit Normandie dit Mortain pour le Duc et c'est donc de la bas qu'ils partirent pour rejoindre Rouen afin d'assister au mariage du Vicomte et de son épouse. Un nouveau séjour sur les terres sur Duc avait eu l'effet de reposer un peu la Blanche Rose, une sensation de bien être quand elle était la bas, loin de tout, loin de tous, ou ils pouvaient être juste eux. Mortain devenait un véritable lieu d'apaisement pour les deux, et ils s'y sentaient de mieux en mieux. D'ailleurs, Hervald pensait savoir que la belle Tara aimait découvrir les plus beaux endroit des terres, et que parfois même, alors qu'il se reposait...elle s'amusait à visiter les jardins en quête d'une belle plante ou d'une fleur différente.

Un lien de vassalité en commun entre la future épouse et la jeune femme il y avait vers le même Suzerain leur Roi, et avec sourire au bras de son Dragon, le couple se dirigea vers la cérémonie.

Dans l'espoir de pas être en retard, c'est que le couple d'amoureux prenait de plus en plus de temps pour eux.

un petit 4 mains avec JD Hervald,

merci

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Sabaude

Il n'aime pas la foule même s'il lui faut parfois la subir, il s'est donc éclipsé tel le chat devant le chien pour remonter en selle, visiter la ville et finalement revenir au plus calme devant le lieu saint.

Les bottes claquent au sol, la bride est tendue, le présent ré-attaché, la mise ajustée, le sourire remis au gout du jour. L'Ours qui se marie..... Jusqu'ici il en a ri, a imaginé son ami obéissant au doigt et à l’œil à l'injonction féminine, s'est demandé s'il était tombé sur la tête, si Bermude ne lui avait pas fait perdre un pari...

Ses sombres prunelles effleurent les visages connus et inconnus, accrochent les comportements, la vêture, délaisse la superficialité pour peser sur le dos du futur marié qu'il approche discrètement.

La main Renard se pose sur l'épaule d'Ouranos et il pèse avec amusement sur l'homme qu'il apprécie pour sa simplicité, sa bonhomie. Un être qui vous fait oublier combien ce monde aime a être compliqué.

Eh bien vieille branche! Tu as tes deux témoins mais es-tu sûr d'avoir la mariée?

N'y tenant il l’entraîne dans une accolade et une bourrade d'anciens de l'ost.

Plus sérieusement, je dois faire quelque chose en particulier à part assister à ta pendaison et témoigner devant tous quand tu auras un doute que tu as bien dit oui?
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Minah

[Quelques temps auparavant]

Minah avait contemplé la lettre qu'elle avait dans la main, vaguement interloquée. On ne l'avait jamais personnellement invitée à un mariage. Puis elle avait jeté sa pièce à l'écrivain public qui la lui avait lue et l'avait rempochée.
Et oubliée.

[Ze jour...]

Pas oublié un truc, moi ? Hmmm... C'quoi c'machin au fond d'ma poche...?

…

Merdeuh !

[… Un poil en retard]

La petite écuyère manchote se faufila aussi discrètement que possible – un exploit quand on dégageait un fumet comme le sien – parmi les autres invités, espérant ne rien avoir loupé. Enfin, pas les collations et la beuverie, quoi. Il n'avait pas été facile de venir, et la bestiole se sentait curieusement empruntée et mal à l'aise en ces lieux saints, mais Ouranos méritait quand même qu'on fasse honneur à son mariage.
Elle adressa un signe de tête aux rares personnes qu'elle reconnaissait, et entreprit de rechercher de quoi fêter dignement et éthyliquement le joyeux événement.
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Bekeet

Les invités arrivés et le froid était toujours aussi présent. Bekeet attendait patiemment dans le froid

"Bonsoir Messer Aure, ma foi, bien et vous ? Les températures du sud sont bien plus clémente que le froid rugueux du nord. Je suis étonné de ne pas voir de mur de glace, tiens.
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GF : "Et non, Messire Bekeet n'est pas l'émir du Quatarcastres à qui on baise les pieds pour qu'il ouvre son carnet de cheik."

Bermude_de_shanley

Berm regarda autour de lui pour ce rendre compte pas d'Ade pas de Jean.

n'écoutant que lui comme à son habitude, il ce dirigea vers le carrosse, pour voir Ade et une jolie dame, surement son témoin.

Bonjour mes Dames,

il leurs sourit et continua a parler à Ade

Ma belle j'ai une mauvaise nouvelle , ton parrain n'est pas là pour te conduire a l'autel, et une bonne nouvelle si bien sure tu es d'accord je peux t'y conduire.

il lui tendit la main

Madame veuillez me suivre
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Ade

Jean.de.cetzes

Aure

Ade

Ouranos

Bekeet

GF : "Et non, Messire Bekeet n'est pas l'émir du Quatarcastres à qui on baise les pieds pour qu'il ouvre son carnet de cheik."

Jason_de_vissac.

Evenice06 a écrit:

- Coucou mon Jason...j'ai cru que je n'arriverais jamais ..
Je ne suis pas trop en retard? Les futurs mariés ne sont pas encore là?

Sofio.de.valmonte

Satyne

Citation:

Oliver_debonnaire

Bermude_de_shanley

David064

Ouranos

Bermude_de_shanley

Berm suivait Ouranos avec le renard, arrivé devant l'autel il sourit à Ouranos, en ce demandant qui avait les alliances
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Jean.de.cetzes

Sabaude

Quelque part c'est une fatalité....Il y a toujours un mort ou une disparition dans les jours à venir quand Renard est témoin à un mariage. Il ne le sait pas encore mais ce ne sera pas le marié, ironiquement il s'agira du roi, témoin lui aussi. Finira-t-il par croire qu'il cause leur mort? Certes non, mais un instant il doutera, soupçonneux des coïncidences. Rappelons qu'il fut témoin de son suzerain.... mort quelques jours après! Témoin de feu Nicolas 1er...brûlé le soir même.... Il est donc un peu nerveux le jeunot alors qu'il flanque son ourson. Il jette aussi des regards au roux et quelques doux murmures espiègles pour le décontenancer.

Hep! Berm! Je te parie une tournée qu'il bafouille au moment de dire oui!
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Bermude_de_shanley

berm regarde le renard, et a ces dires son visage de fendit d'un bon sourire qui en disait long

Paris tenu

il lui serra la main pour seller le paris
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Ade

Ade sourit aux menaces de son parrain, menaces qu'elle avait fini par prendre pour coutumières sachant que souvent ses actions ne lui plaisaient pas. Il n'avait sûrement pas appris qu'elle avait réussi à échapper à la vigilance des gardes et s'était inscrite en médecine. Elle sourit encore plus.

Ne vous inquiétez pas, je n'essaierai pas de m'enfuir... maintenant que vous êtes là pour m'épauler.

Elle prit son bras et avança avec elle. Plus elle s'approchait plus elle ralentissait ses pas face à toutes ses personnes. Elle se crispa mais continua: plus vite entrée, plus vite fini et elle sera enfin la femme de l'homme qu'elle aimait tant

Nenapaf

Nena était arrivée près de la cathédrale, les bruits courraient qu'il y avait un mariage important, Ade et Ouranos lui avait-on dit.
Ade... elle n'avait entendu ni prononcé ce prénom depuis bien longtemps... Était ce elle?

Elle se mit à côté de l'entrée dans un endroit discret pour observer la mariée. Elle patienta longuement mais l'aperçu enfin. Ade... qu'elle était belle... elle semblait si heureuse...

Elle sourit mais resta cachée. Elles étaient si différentes, elles avaient pris des chemins bien distincts. Elle regarda autour d'elle et reconnue aussi la personne à qui elle tenait le bras. Elle en fut étonnée et se rendit compte qu'elles ne faisaient plus parties du même monde.

Elle essaya d'apercevoir à quoi ressemblait le futur marié et vit un homme qui devait dépasser Ade d'au moins deux trois têtes. Il avait l'air nerveux mais heureux. Elle l'observa de loin et murmura:
prend soin de ma petite soeur, elle mérite le bonheur...

Elle choisit un recoin où elle ne perdrait rien de la cérémonie sans pour autant être vu.

Ouranos

Ouranos croisa le regard de Bermude et le trouva inquiet... Surement qu'il était aussi stressé que lui, pensa-t-il...

Il se tourna ensuite vers l'entrée de la cathédrale et il vit sa Douce entrer avec, d'un côté, au bras de son parrain et de l'autre sa témoin. Il ne pu s'empêcher de la regarder, de la contempler... Il avait tant attendu ce moment... Puis il fut interrompu par les chuchotements de sa loutre et son renard... Il se pencha vers ces derniers...

Il y a un problème ?

David064

L'archevêque sourit aux deux fiancés qui l'avaient rejoint. Il prit alors la parole pour accueillir le couple et ses amis.

Ouranos et Ade, soyez les bienvenus dans la maison du Très-Haut, celle où les aristotéliciens ont l'habitude de se retrouver pour célébrer ensemble l'Amitié. Vous nous avez tous rassemblé pour être les témoins de votre union sous le regard divin.

Il marqua une pause et s'adressa à la foule rassemblée.

Mes très chers frères et sœurs, bienvenue en la maison du Très-Haut afin de célébrer l'union amoureuse de Ouranos et Ade.
Pour commencer, confessons-nous afin d'unir ses jeunes gens dans la paix et la sérénité.

Citation:

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

Il joignit les mains en récitant la prière de confession dans un grand recueillement.

Ouranos

Ouranos regarda sa Belle arriver vers lui aux côtés de son parrain et de sa témoin. Ade était merveilleuse, resplendissante, éblouissante, étincelante,... Que dire de plus, aucun mot ne pouvait traduire autant de beauté. Il se dit alors qu'il avait beaucoup de chance qu'elle l'autorise à partager sa vie.

Quand elle arriva près de lui, il sourit à Jean et se tourna, avec sa Douce, vers l'Archevêque et écouta le début de la cérémonie.

Au moment du récit de la prière du pardon, il se mit à la réciter en français, ne connaissant pas le latin.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Tout en récitant cette prière, il regarda Ade et lui sourit...

Bermude_de_shanley

Berm prit un air solennelle quand la cérémonie commença

en entendant qu'il fallait c confesser, il faillit défaillir , c'est pas une prière qui lui fallait mais bien tout une bible, il soupira et récita, la prière en latin, il trouvait ca plus beau une cérémonie en latin, même si il n'y pipait mots

Citation:

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Sabaude

Se confesser? Mais de quoi?
Oui bon certes.... La chair....un peu. Mais nous pourrions parler de luxurinette depuis quelques temps car il s'est beaucoup assagi...

Il aime bien manger mais avec tous les repas qu'il saute par manque de temps à y consacrer on ne pourrait mettre ceci sur la table.

Regard désespéré à Bermude qui semble tout aussi perplexe.

La boisson? Le cidre n'est pas un pêcher... Il n'y a que des pommes et les pommes c'est bon! Elles éloignent le médecin, mais attirent les vers....Pour cela qu'il vaut mieux les boire.

La paresse? Lui certainement pas! Non franchement il ne voit pas....

Copier sur Bermude!

Les mains jointes viennent cacher la bouche et il se met à meumeumer une suite de mots dont un sur deux deux est déjà oublié.
_________________

Ishtara

En latin ?! Oui ben non, elle a déjà oublié tous les mots qu'a prononcé l'Archevêque. Pourtant même après les longues années passées au couvent, éduquée par des nonnes, la jeune femme n'avait jamais réussi à retenir les prières en latin.

Elle laissa échapper un sourire à son blond, presque amusée de la situation encore car il devait surement rire intérieurement sur le compte de sa Rosa Branca, elle et le latin, clairement deux choses qui n'arrivaient pas à fusionner.

Se confesser... de quoi ?! Bon d'accord quelques petits détails, sans grande importance, enfin le pensait-elle. Et c'est d'une voix basse qu'elle récita en français.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________

Ade

Ade se plaça aux côtés d'Ouranos, heureuse d'avoir ses amis avec elle. Elle sentit un certain malaise collectif lorsque l'Archevêque prononça le mot: se confesser. Elle réussit tant bien que mal à ne pas être prise d'une crise de fou rire.

Au moment de la prière, elle ne fût pas prise au dépourvu ayant prévu des anti-sèches pour ne pas revivre les erreurs de son anoblissement. Elle ne gardait pas facilement en mémoire les prières et encore moins en latin. Discrètement, elle profita que personne ne la regarde de trop pour réciter ou plutôt lire le premier pitit pitit papiers.

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

Comme si de rien n'était en souriant à Ouranos qui la regardait.

Sgamine

Sgamine se confessa a son tour

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

Sga regardait son amie, lui sourit la voyant heureuse.

Jean.de.cetzes

La récitation l'avait toujours ennuyé. Petit, jeune, adulte et aujourd'hui, à la veille de la mort ça le faisait carrément ch***. Mais pour l'infernale filleule, que n'aurait-il pas fait ?

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.
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David064

L'archevêque, s'adressant toujours à l'assemblée, demanda:

Si quelqu'un s'oppose à cette union qu'il l'annonce maintenant ou se taise à jamais.

Haussant un sourcil, il toisa un instant l'assemblée avant de rejoindre le pupitre où il ouvrit le livre des vertu.

Parfait, lisons donc un passage de la Vita de Christos,

La Vita de Christos, Chapitre XIII a écrit:

Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblée, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, serons-nous assez forts pour respecter ce choix et vivre sans pécher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "

Ainsi, le mariage est l'ultime amour que vous pourrez vous offrir mutuellement.
Et comme le dit Christos, priez le Très-Haut dans les moments les plus difficiles, il saura vous réconforter...

Sur ces mots, il marqua une pause avant de poser la question cruciale.

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.
Ouranos et Ade est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Ade

Ade écouta bien et analysa tous les mots de la dernière phrase. Elle fit un grand sourire quand elle est se rendit compte que le mot "obéissance" ou autre synonyme ne s'y trouvait pas. Elle regarda son parrain avec ce même sourire.

Elle répondit donc: oui!

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[RP] Mariage d'Ade et Ouranos