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[RP] On avait dit NON (enfin moi, c'est le plus important)

Finn
Une fumée noire envahissait la pièce et avec elle, son cortège d’odeurs acres. Ses fringues partaient en fumée mais ce furent les restes d’un cœur floral carbonisé qui lui firent pencher le chef. Le cadeau de sa maîtresse ? Tissouille ?... L’ASSASSINER ? Et lui avec, pour ne rien gâcher.

L’Irlandais avait pour habitude de jouer avec sa vie mais pas à ce point. Un pas en arrière, il la dévisagea gravement.


J’ai pas de maîtresse, espèce de barjot ! C’est ma FILLE.

Lui, coucher avec son propre sang. Où se croyait-elle ? Chez les Français ?

Et au passage, vous venez de détruire l’un de vos cadeaux. Joyeuse Saint-Valentin !

C’était sans compter l’entrée en scène de l’ouvrier mainois charriant une pleine cage de palmipèdes. Jusqu’où irait-elle ?!

...Si vous touchez à une plume de ces canards, j’incendie votre harpe.
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Marzina
Elle était relativement calme en fait, si on prenait en compte le fait qu'elle n'avait encore tué personne -même si dans sa tête elle l'avait fait plusieurs fois, et qu'elle n'avait pas encore décidé quelle mort était la plus atroce.
Haha! L'odieux mari volage fait un pas en arrière, prouvant ainsi qu'il tenait à la vie. Ridicule. Comme si un pas en arrière suffirait à le sauver de l'humeur vengeresse d'une Bretonne trahie! Ou presque. Enfin elle le croit en tout cas.


"Votre fille OUAIS! Payez-vous ma tronche, allez-y!"

Répéter encore son pauvre mensonge, alors même qu'elle avait eu la preuve de sa fourberie sous les yeux! Et même, MÊME, si le cadeau avait été pour elle, il était vraiment trop moche, c'était une insulte! Et voilà qu'il menace sa harpe en plus!

"ENFLURE d'IRLANDAIS! Je vais vous CREVER les yeux!"

Non seulement il sera sourd, mais en plus il sera aveugle aussi. Dans la plus pure mode angevine.
Tout en annonçant le verdict du procès express qui s'était joué sous les boucles blondes, elle lâche à terre la dague et lui saute dessus toutes griffes dehors, visant les yeux. Comme ça, il ne pourra plus la voir, l'autre.


"Et après je vous couperai les mains!"

Il pourra plus la toucher non plus.
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Finn
Impossible de lui faire entendre raison quand elle est comme ça. Il s’apprêtait malgré tout à plaider son innocence véritable, à la lui enfoncer dans le crâne à coup de pioche s’il le fallait, quand elle se jeta sur lui pour le rendre un peu plus Angevin.

À terre, il ne lui restait plus qu’une seule option pour tenter de sauver ses prunelles de la tigresse qui le chevauchait.


Vous êtes belle…

Et de sortir de sa poche une petite rose rouge autour de laquelle était enroulé un mot, accompagné d’un morceau de bidoche humaine fraîchement prélevé. Il ne s’était quand même pas tapé la honte à trimbaler ça depuis le marché pour rien, si ?


14/02/1463 : Vous offrez à Marzina une rose rouge et un cœur humain encore chaud pour la Saint-Valentin. Vile courtisan.

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Marzina
Non, impossible de lui faire entendre raison, elle est alors programmée pour la vengeance. La Blonde dans sa vie n'a eu que trop d'occasions de se méfier des hommes, notamment des pères, même si -étrangement- aucun amant n'a jamais osé lui faire d'infidélité. Mais il fallait avouer que le passé de Finn ne jouait pas en sa faveur.
La dispute n'était pas loin de muter en lutte sans merci, l'une luttant pour sa vengeance, l'autre pour sa vie, le tout au milieu de la chambre conjugale ayant pris feu. Un tableau duquel on voyait s'échapper les divers esclaves mainois, hurlant au feu avec une expression de franche terreur. Il y avait une certaine beauté, que malheureusement beaucoup ne savent pas apprécier.
Fort heureusement le mari connait son épouse -sinon ils se seraient déjà entretués depuis fort longtemps- et tente une manœuvre de diversion.


Vous êtes belle…

Les flagorneries n'ont jamais fait grand effet sur l'Altesse, trop habituée aux courbettes et aux mensonges de la Cour, mais elle a toujours beaucoup apprécié les offrandes. Elle fixa un instant la rose, partagée entre méfiance et joie, avant de finalement s'emparer du cadeau avec un sourire ravi.

"C'est pour moi?"

Et de lui jeter un nouveau regard noir méfiant, avant de répéter beaucoup plus agressive:

"C'est pour moi n'est-ce pas?!"

Mais l'autre cadeau, beaucoup plus personnel, finit de la convaincre: aucune autre femme n'aurait su apprécier le présent à sa juste valeur! Un petit ricanement s'échappe de ses lèvres à l'idée de ce qu'elle va pouvoir en faire. Elle dépose alors un rapide baiser sur les lèvres de l'Irlandais, et se relevant rapidement avec les deux présents, s'empresse de se diriger vers son cabinet jusqu'à présent désert.

"Trugarez ma garan*! J'ai hâte de le disséquer!"

Elle en trépigne comme une enfant.

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* merci mon amour
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