Theodule
[Avant le détroit, la première demande....]
Entre Bordeaux et Porto, le blond Toc et la dérobante Givré avaient évoqué les hommes de sa vie : l'ancien fiancé, le défunt époux, l'écossais, un rouge... Toc aimait la découvrir au travers de son passé, ses réflexions. Il l'aimait. Il l'aimait et usait de ce moyen détourné pour connaître ses pensées. Doucement mais sûrement, il mena la conversation sur les possibles prochains mariages et surtout qui pourrait être, à ses yeux, un futur époux.
Les paroles de la Dérobade lui apportèrent grande joie. Il en sourit même. Il aurait même pu sauter en tout sens. Il en fut tellement heureux qu'il en oublia de lui déclarer sa flamme. Cet oubli le rongea bien des jours après. Un jour plus tard, il l'avoua l'aimer depuis la chopinette. Son aveu fut maladroit. L'oubli de la déclaration le rongeait toujours. Même après le départ pour la montagne de Tarik.
Il l'emmenait en aventure, il ne savait où mais en aventure.
Les jours passèrent. Le navire se trouvait sur la mer océane. Chaque soir, la nuit revêtait son noir manteau. Les grincements du navire, le claquement des voiles, le souffle du vent et la brisure du clapot sur l'étrave résonnaient sur le navire. Un de ces soirs, le blond assaillit plus de coutume la douce et ambrée Dérobade. Il goûtait à ses lèvres carmines, couvrait son corps de baisers et de caresses. Soudain, au détour de quelques paroles échangées, il s'agenouilla. Les yeux verts plongés dans son regard, ses mains tenant sa douce et fine sienne.
Ma douce amie, mon aimée ....
Je garantis des moments de rudes épreuves et je garantis quil arrivera un jour ou lun de nous, cest inévitable, aura envie de tout quitter
mais
je garantis aussi que si je ne vous demande pas de mépouser je vivrais dans le remord jusquà la fin de ma vie parce que je sais, je sens au plus profond de mon cur, que vous es faite pour moi. Nous sommes faits l'un pour l'autre.*
Marrions nous ....
Estainoise, voulez vous m'épouser ?
... Iscelieu et maintenant et devant Déos ?
Sa réponse fut des plus dérobantes.
[Après le détroit, l'attente.... et la seconde demande]
Le navire est devant ce port espagnol....et depuis combien de temps déjà?
Ah oui, cela faisait maintenant deux peut-être trois voire quatre jours. Ces journées étaient remplies d'apprentissage de la langue de Valence, de baignade court vêtus, de poursuites en tenues légères sur le pont, de caresses, de baisers échangés, d'un angloy boudeur et enfermé. Une idée trottait constamment en la blonde tête du marchand. Il en devenait soucieux.
mon aimée ...
Vous savez que ces instants partagés avec vous me font penser au temps de ce que les papistes nomment le paradis solaire.
- Mais vous avez des réminiscence de votre éducation religieuse...
ça vous travaille tant que cela?
- Le paradis dans la mer car toute vie vient de la mer
Vous connaissez tant de choses.
Je tache de combler mes lacunes sur la réforme. J 'ai tant a apprendre de vous ...
Mais autre affaire me pose souci
Le blond toc se tut. Il baissa les yeux et rassembla tout son amour, tout son courage.
Souci d'unir nos corps sans s'être promis l'un a l'autre.
Je souhaite vous plaire en tant de chose que peur me prend de mal y faire, d'être trop emporté d...
*Déclaration d'Ike Graham à Maggie Carpenter dans Just Married (ou presque)
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Entre Bordeaux et Porto, le blond Toc et la dérobante Givré avaient évoqué les hommes de sa vie : l'ancien fiancé, le défunt époux, l'écossais, un rouge... Toc aimait la découvrir au travers de son passé, ses réflexions. Il l'aimait. Il l'aimait et usait de ce moyen détourné pour connaître ses pensées. Doucement mais sûrement, il mena la conversation sur les possibles prochains mariages et surtout qui pourrait être, à ses yeux, un futur époux.
Les paroles de la Dérobade lui apportèrent grande joie. Il en sourit même. Il aurait même pu sauter en tout sens. Il en fut tellement heureux qu'il en oublia de lui déclarer sa flamme. Cet oubli le rongea bien des jours après. Un jour plus tard, il l'avoua l'aimer depuis la chopinette. Son aveu fut maladroit. L'oubli de la déclaration le rongeait toujours. Même après le départ pour la montagne de Tarik.
Il l'emmenait en aventure, il ne savait où mais en aventure.
Les jours passèrent. Le navire se trouvait sur la mer océane. Chaque soir, la nuit revêtait son noir manteau. Les grincements du navire, le claquement des voiles, le souffle du vent et la brisure du clapot sur l'étrave résonnaient sur le navire. Un de ces soirs, le blond assaillit plus de coutume la douce et ambrée Dérobade. Il goûtait à ses lèvres carmines, couvrait son corps de baisers et de caresses. Soudain, au détour de quelques paroles échangées, il s'agenouilla. Les yeux verts plongés dans son regard, ses mains tenant sa douce et fine sienne.
Ma douce amie, mon aimée ....
Je garantis des moments de rudes épreuves et je garantis quil arrivera un jour ou lun de nous, cest inévitable, aura envie de tout quitter
mais
je garantis aussi que si je ne vous demande pas de mépouser je vivrais dans le remord jusquà la fin de ma vie parce que je sais, je sens au plus profond de mon cur, que vous es faite pour moi. Nous sommes faits l'un pour l'autre.*
Marrions nous ....
Estainoise, voulez vous m'épouser ?
... Iscelieu et maintenant et devant Déos ?
Sa réponse fut des plus dérobantes.
[Après le détroit, l'attente.... et la seconde demande]
Le navire est devant ce port espagnol....et depuis combien de temps déjà?
Ah oui, cela faisait maintenant deux peut-être trois voire quatre jours. Ces journées étaient remplies d'apprentissage de la langue de Valence, de baignade court vêtus, de poursuites en tenues légères sur le pont, de caresses, de baisers échangés, d'un angloy boudeur et enfermé. Une idée trottait constamment en la blonde tête du marchand. Il en devenait soucieux.
mon aimée ...
Vous savez que ces instants partagés avec vous me font penser au temps de ce que les papistes nomment le paradis solaire.
- Mais vous avez des réminiscence de votre éducation religieuse...
ça vous travaille tant que cela?
- Le paradis dans la mer car toute vie vient de la mer
Vous connaissez tant de choses.
Je tache de combler mes lacunes sur la réforme. J 'ai tant a apprendre de vous ...
Mais autre affaire me pose souci
Le blond toc se tut. Il baissa les yeux et rassembla tout son amour, tout son courage.
Souci d'unir nos corps sans s'être promis l'un a l'autre.
Je souhaite vous plaire en tant de chose que peur me prend de mal y faire, d'être trop emporté d...
*Déclaration d'Ike Graham à Maggie Carpenter dans Just Married (ou presque)
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