[RP ouvert] La fontaine aux souhaits de Guérêt

Liliana_von_selenios

Arrivée depuis deux jours à Guéret, la jeune Constanza Cavallino de Venise y était coincée pour cause de voiture de poste défectueuse. Elle attendait donc patiemment de croiser une charrue ou un quelconque moyen de transport quadripède capable de transporter ses quelques malles pour continuer son voyage. Entre-temps, elle s'était mise en tête de découvrir l'endroit, de se reposer l'esprit et de mieux organiser ses plans d'avenir.

Depuis la mort de son père, quelques mois plus tôt, elle avait effectivement décidé de reprendre en mains l'affaire familiale et de la faire fleurir. Pour cela, il lui fallait voyager, se faire de bons partenaires commerciaux et s'établir, se faire une petite réputation. Les domaines royaux lui semblaient faits pour cela. Mais en attendant, la voilà qui passe près d'une petite fontaine, remplie en son fond de petites pièces d'or, d'argent et de cuivre.

Elle sourit, porte la main à sa bourse, la sent un peu vide... Mais en extirpe tout de même une petite pièce, quelques centimes vénitiens et les lance, dos à la fontaine, par-dessus son épaule gauche.

"Faites que je réussisse à reprendre l'affaire de Papa."

Puis, le sourire aux lèvres, elle reprit sa découverte des lieux, à la recherche d'un autre petit coin à découvrir.
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Loth.

... elle ! La rousse, là, qui semble très concentrée en jetant un truc dans une fontaine. Je m'en approche - de la fontaine - assez pour voir que son fond est jonché de petites pièces. Intrigué, j'interpelle la jeune femme...

- Bonjour !

Mince, elle file déjà. Je trottine quelques pas pour la rattraper, curieux et ayant tout mon temps devant moi, bien décidé à éclaircir ce mystère.

- 'Scusez... mais pourquoi vous j'tez vos p'tits sous dans l'eau ?

Les yeux plein de curiosité, mal fagoté et les cheveux en bataille, je marche désormais à ses cotés, sans savoir où je vais ni avec qui, mais j'y vais.

[* Aux champs Elysées, Joe Dassin. Milles excuses pour le kitch mais c'était trop tentant !]
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Créa : JD Jeronimus ~ Images : indui.deviantart.com & jon-lock.deviantart.com

Liliana_von_selenios

Un bonjour ! lointain était parvenu jusqu'aux oreilles de l'italienne qui, pourtant, n'y avait pas fait attention - sans doute était-il destiné à quelque autre habitant de Guéret. Le regard perdu dans les nuages, la rousse avait donc continué son chemin sans se retourner. Mais bientôt, elle entendit le bruit de pas sur les pavés, un peu rapides, plutôt légers, le bruit de la semelle en moins... Pieds nus ?

- 'Scusez... mais pourquoi vous j'tez vos p'tits sous dans l'eau ?

Car c'est bien à elle que s'adresse le jeune garçon, brun, les vêtements ayant connu des jours et des nuits sans doute meilleurs et les cheveux en bataille. Surprise, elle en oublia de s'arrêter, continuant à marcher, le gamin -car il n'avait guère plus de quinze ans- à ses côtés, visiblement bien déterminé à lui aussi continuer de marcher. Alors marchons !

Sans s'arrêter, donc, elle le regarda attendrie - depuis combien de temps n'avait-elle pas vu ses cousins ? Ils devaient eux aussi avoir pas loin de quinze ans...

"Paraît que ça porte chance. Tu en jettes un, tu fais un voeux et hop ! Il se réalise ! Mais bon, faut déjà être un peu riche parce que si t'as pas du tout de sou à jeter, ton voeu, hein..."

Elle lui sourit, amusée. C'est qu'il avait une bonne bouille, cet enfant-plus-trop-enfant. Et c'est qu'il continuait à marcher, avec elle, aucun d'entre eux ne regardant devant eux. Ainsi donc, s'ils s'étaient implicitement décidés à devenir compagnons de route, aussi courte cette route en question devait-elle être, autant en profiter pour se connaître un peu !

"Moi c'est Constanza, et toi ?"

Hop ! Faisons fi des manières. De toutes façons, Constanza n'est pas noble et il lui faudrait encore être établie pour se prétendre bourgeoise. Pour l'instant elle n'est que voyageuse.
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Anthy

Anthy qui se baladait pour prendre un peu l'air; cela faisait du bien de temps a autres de profiter du beau temps pour déambuler dans les rues et croiser les habitants.
Il arriva devant la fontaine, il n'avait jamais fait vraiment bien attention a cette fontaine ou plutôt ne s'était jamais vraiment arrêté. Il sortit une piécette de sa poche et attendit un instant puis la lança en disant:

"Faites que je les recroisent un jour."

Puis il resta là a contempler la fontaine un instant avant de se retourner et de repartir vers la mairie afin de continuer a travailler. Sans repenser a ce qu'il venait de dire, peu être cela marchait mais il n'y croyait pas vraiment en fin de compte a ces croyances, il était plutôt du genre a croire ce qu'il voyait et non a croire ce qui tombait du ciel; cela venait de chacun mais peu être que le destin existait et faisait prendre certaines direction.

Mya...

[[Chercher conseil, c’est aller à la fontaine du savoir. *]]

La mini fiole sourde et sa sœur avait fini par arriver à un village, c’est sur le bord d’une fontaine au milieu de la place du dit village que la mini brune posa son séant exténuée par le voyage, le temps pour sa grande sœur de leur trouver une auberge ou loger alors qu’elles étaient sans le sou.

La fillette était à la fois triste, en colère et apeurée. Déjà parce qu’elle avait suivi sa sœur sans que leur mère ne les suives alors qu’elle devait faire le voyage toutes les trois. Ensuite parce que la chute de son poney et par la même le réveil avaient était rude lors de l’attaque des brigands.
En plus les vilains lui avaient tout prit son argent qui devait servir à s’offrir une jolie robe, sa nourriture, et ses 5 cailloux magiques auquel la gamine tenait plus que tout. Elle s'en voulait de ne pas avoir bougé, de ne pas avoir agit et de les avoir laissé faire

Mya n’avait plus rien sur elle mais la fillette fit quand un même un vœu la brunette souhaita quand même leur mort.

J’espère qu’ils vont mourir...
Les grands c’est rien que des nuls d'abord.

La petite serra son poing en disant cela elle était furieuse, puis elle se mit à pleurer sans trop savoir pourquoi au final la colère, la douleur, la fatigue, les nerfs qui lâche.

Je voudrais ma maman...
Je voudrais que Lou reviennent vite.

Tout en pleurant Mya se mit à trembler de froid et de peur.
les nerfs, le choc de de l'agression, le tout la rendez amer, larmoyante et tremblante.

*de Hazrat Ali

Alice._

Sortie de taverne un peu en trombe, la rousse traine ses pieds nus dans les ruelles de Guéret ... tout fout le camp ou tout le monde s'en fout c'est au choix !

Les yeux gris sont levés vers le ciel couvert des nuages du soir tombant, elle rejoindra sa cahute plus tard ... pas envie de rentrer !

Entre la prendre pour une gamine et une naïve qui n'a pas deux écus de jugeotte elle n'a que l'embarras du choix, et encore, quand on ne veut pas l'envoyer se faire flamber à cause de sa roussitude ... Alice soupire !

Une place, une fontaine et Alice tend une main sous l'eau fraiche et baisse la tête aveuglée par un dernier rayon de soleil se réfléchissant dans l'eau et qui fait briller ... des écus ?

Une fontaine aux voeux, quelle drôle d'idée, comme si gagner son pain de chaque jour n'était pas assez difficile, que d'aller jeter son argent par les fontaines ... mais un voeu ça coute combien ? un écu ou moins ... après tout je risque quoi ?

Et toute fière, elle sort un denier de sa poche, ferme les yeux, formule son voeu à voix très basse et jette la pièce au fond de l'eau .... pas un gros plouf pour un si petit voeu, mais après tout ce n'est pas la somme qui compte, c'est le geste .

Faut il que je sois naïve pour croire à ces foutaises ?

Les pieds trainent dans la poussière, et Alice repasse devant les tavernes pleines ... pour ce soir non, elle n'a plus envie ! plus envie !
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Kazelmd

Quittant la taverne où il avait pris un peu de bon temps toute la soirée durant, il croisait la jeune femme au couleur de feu qu'il avait déjà eu honneur à rencontrer.

L'oeil brillant d'avoir bu plus que de raison, il s'adresse à la demoiselle.

Bonsoir...Alice il commence à faire bien sombre, heureusement que la lune trouve encore quelques troués dans les nuages pour nous éclairer le chemin.

Et comme pour démontrer ses dires s'éloigne de la rouquine en suivant sinueusement la rue en fredonnant un petit air joyeux.

Arrivé à la fontaine, décidé à se passer un peu d'eau sur le visage pour se raffraichir, il vit quelque chose briller dans l'eau. Se penchant il remarquait là des pièces, interloqué.
Pas qu'il y avait là de quoi faire fortune, mais il se demandait qui et pourquoi !?
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Alice._

Alice avait sursauté, le brun se confondant avec les ombres tombantes. Il avait le pas mal assuré, et la rousse dissimula un sourire ironique en le regardant s'éloigner en chantonnant vers la fontaine.

Attention à ne pas te noyer dans la fontaine Kazel ... et puis ce n'est que de l'eau !! personne n'a songé encore à y mélanger de la bière ! Mais c'est une fontaine à voeux ... jettes y une pièce on ne sait jamais !

Et elle s'échappa en riant ... bonne nuit Kazel !
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Syrrah

Une pièce, un sourire... On l'envoie dans la fontaine et on la regarde briller à la lueur du soleil. Un enfant viendrait sans doute la ramasser mais tant pis, au moins ferait-elle un heureux. Des pièces, elle en avait une malle pleine quand certains avaient de vide même le ventre.

La demoiselle rebattit sur son visage sa fine voilette blanche qui protégeait sa peau diaphane de l'été. Elle était très richement vêtue et derrière elle son équipage l'attendait. Son chemin avait été long depuis l'est, elle avait été envoyée en France par Whoopie de la Rose Noire pour délaisser au royaume de France un message. Pourquoi donc la baronne du Puy-Vallée envoyait-elle une vierge blanche ? Il n'y avait pas plus fragile et plus vulnérable qu'elle pour déposer un message aussi important... Et pourtant, la fragilité n'était qu'une façade. En se brisant la porcelaine était capable de trancher et la blonde en serait dans l'Histoire un exemple des plus frappants.

-Quel est donc votre vœu, mademoiselle ?

Ah oui, c'est vrai... En déplacement on avait imposé à la demoiselle deux suivantes qu'elle supportait difficilement mais qu’elle était obligée de tolérer. Pour toute réponse elle murmura dans un sourire:

-Normalement quand l'on fait part de son secret alors ce dernier ne se réalisera jamais. Je trouve cela dommage, j'aurai adoré vous voir agoniser sous les roues de la calèche.

Elle retint un rire et haussa légèrement ses épaules avant de faire demi tour.

-Trouvez-moi une auberge dans les environs, j'ai envie de me reposer. Nous reprendrons la route quand je le déciderai. Nous ne sommes plus bien loin maintenant.

Les ordres déclenchèrent une envolée de moineau et quand chacun eut disparu de sa vue la dénommée Syrrah plongea son bras dans la fontaine pour récupérer son bien. Au diable la charité ! Maintenant qu'elle avait avoué son plus profond désir à demi-mot il n'était nul question de laisser aux flots le moindre denier. La jeune femme possédait sous les traits d'un ange les vices les plus démoniaques mais il n'était nullement question de le montrer... Non, jamais de front, surtout pas... De front on souriait et on attendait toujours de voir à qui l'on avait à faire. De dos l'on pouvait plus facilement asséner les coups, l'adversaire savait toujours d'où ils venaient, cela était une certitude, mais il le savait toujours trop tard.

La blonde rabattit à nouveau son voile blanc sur son visage avant de remonter dans sa calèche. Quand son équipage aurait trouvé un endroit assez acceptable pour l'accueillir alors il reviendrait la chercher, comme d'habitude. En attendant elle enlevait les pétales d'une marguerite cueillie au hasard qui n'avait rien demandé.
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Kazelmd

Ce soir il revint à la fontaine, il en avait été question dans la journée avec Alice

Tu as jeté une pièces ? lui avait elle demandé

Non je n'avais plus de monnaie , et il était vrai qu'il avait tout dépensé en taverne ce soir là.

Mais ce soir il lui en restait, alors pourquoi pas faire un voeux... oui mais lequel.
Kazel, pièce au bout des doigts passait en revu tout ce qu'il pouvait souhaiter... l'embarra du choix... de trouver un trésor ? non, devenir riche n'était pas une priorité pour lui, il accordait bien plus d'importance aux valeurs humaines. Devenir populaire ? être un homme politique respecté... beaucoup de futilités en somme... plus il y pensait, moins il trouvait. Un voeux devait il forcément être égoïste !? Si ce n'était pas pour lui, pour qui ? La liste des personnes qu'il appréciait s'allongeait de jour en jour, alors en choisir une une...
Que de questions pour juste jeter une pièce dans une fontaine dans une hypothétique possibilité de voir un souhait se réaliser. Voeux qu'il faut garder sous silence selon la croyance habituelle sous peine qu'il ne se réalise jamais.

Hey ! Alors je souhaite que les tonneaux des tavernes se tarrissent à jamais !

Dit-il à haute et claire voix, tout en laissant la pièce fendre la surface de l'eau.
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Alice._

Les pieds trainent près de la fontaine, la tête aussi d'ailleurs qui renvoie la rousse à une certaine journée où un denier avait été gaspillé pour un voeu si ténu .

Cette fois elle sort un écu de sa poche ... faut il donc qu'elle y tienne à ce voeu formulé en silence ... faut il donc qu'elle y croit à ces foutaises ?

Elle regarde l'écu dans un éclat du soleil, elle songe à son impulsivité et à sa malice qui font certainement croire aux autres des choses fausses sur elle. Son voeu, elle l'avait bien gardé pour elle, bien à l'abri des apparences et Alice s'était cachée derrière une indifférence qui pourtant était bien mensongère, gênée par des sentiments dont elle n'avait guère l'habitude et qui la déstabilisaient un peu.

Avait il fallu qu'Arry "interprète" à sa manière les lignes de sa main pour que le voeu refasse surface et qu'elle comprenne enfin ? ou plutôt qu'elle accepte enfin ce qui se passait en elle ?

Elle se souvint de son baiser sur la joue qui l'avait tellement troublé, tellement, qu'elle avait été incapable de lui rendre ! jamais personne jusqu'à cet instant n'avait encore posé ses lèvres sur elle, ne serait ce que sur sa joue ! et elle sentait encore la chaleur de son dos et le battement de son coeur tandis qu'elle se cramponnait à lui pendant cette chasse aux lapins.

Mais la petite libellule doutait à ce jour, non pas d'elle, mais de ce que lui ressentait .. un doute qui la prenait toute entière comme une morsure, et elle s'assit sur le rebord de la fontaine, l'écu bien serré dans sa paume.

Elle ferma les yeux bien fort, tendit la main, l'ouvrit brusquement et songea en silence ... je voudrais qu'il vienne là maintenant !
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Kazelmd

Floc !

Floc !

Deux ondes viennent troubler le reflêt de la libellule dans le miroir ondoyant, la seconde provoqué par la chute d'un écu laché de la main de Kazel.

Le jeune homme voyant son amie près de la fontaine, s'était apprôché d'un pas silencieux pour ne point troubler la prière que la rouquine semblait faire.
Il n'avait aucune idée de ce qu'elle pouvait bien souhaiter, mais il se souvenait que son dernier voeux à lui était d'une telle futilité qu'il en avait un peu honte.
Alors comme pour s'en racheter, il venait de jeter un écu en pensant fortement... que le voeux d'Alice se réalise...
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Alice._

floc !

Alice soupire, le voeu est lancé et il a atteint le fond de la fontaine, mais la petite rousse n'ouvre pas les yeux, la main toujours ouverte au dessus de l'eau ...

floc !

Etonnée, Alice ouvre les yeux et se trouve presque nez à nez avec son voeu réalisé ... tellement étonnée que la libellule sursaute avant de battre l'air des mains en perdant l'équilibre, et de fouetter l'eau du plat de son dos en éclaboussant alentour.

Oh, une fontaine ce n'est guère profond, mais remonter à la surface demande une once de courage, quand sa dignité et sa fierté viennent d'être bafouées ... sans compter les cheveux emmêlés et les vêtements trempés ... voilà bien un baptême de braies dont elle se serait bien passé !

Alors, repoussant sa tignasse qui lui tombe sur la figure, elle se relève et reste debout dans la fontaine, de l'eau jusqu'aux cuisses, ridicule sans doute, un sourire niais sur les lèvres ... oh ! t'es là Kazel !

Quand l'inspiration vient aux niaises, elle leur fait dire n'importe quoi et Alice n'a trouvé que cette phrase idiote pour cacher son trouble face à lui.
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Kazelmd

Alice...

Il n'eut pas le temps de la rattrapper, et la voilà qui se retrouvait à l'eau...le voeux d'Alice avait il été qu'elle soit changée en poisson !?

Passé la surprise des éclaboussures, l'esprit du jeune homme était soudainement assaillis par une volée d'émotions.
Inquiétude qu'elle se soit fait mal... soulagement de la voir émmerger... craintes qu'elle soit fâchée après lui de l'avoir ainsi prise au dépourvu...
étonnement de la voir sourire et prononcer son nom de cette façon.

Tout va bien ? te voilà trempée... à cause de moi, je suis désolé...

"te voilà trempée" Pertinente remarque qui laissait peu de mystère sur le trouble qui envahissait Kazel.
Il la regardait de la surface de l'eau jusqu'à ses cheveux couleur coucher de soleil, ses vêtements mouillés faisant apparaitre sa silhouete de femme.
Alors oui il la regardait, mais différement de d'habitude, un peu comme si en cet instant il la découvrait.

Kazel qui de toujours s'était imposé de respecter la gente féminine, quitte à se faire railler par les autres hommes, était fort gêné d'oser ce regard,
qu'allait elle penser de lui ? Cherchant à échapper à son trouble, il croisait les yeux gris de la belle.

Alice tu vas bien ?
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Alice._

Le sourire toujours niais accroché à sa bouche, Alice le regardait et ce qu'elle découvrait dans son regard la fit frissonner. Oh pas de peur, ni de crainte ... juste un frisson qui lui rappelait qu'elle était femme sous son regard ... et brusquement elle sentit sa chemise mouillée collée à sa peau. Les yeux dans les siens, son frisson se renouvela et le bras se posa en travers de sa poitrine menue sous une sensation inconnue qui dessinait encore bien davantage ses seins.

Oui, à cause de toi ! ... murmura t-elle à mi-voix.

Il ne saurait pas si elle parlait de sa chute à l'eau, ou de cette émotion inconnue qui s'emparait d'elle, la laissant un peu pétrifiée. Ce qu'elle découvrait là, elle n'était pas si ingénue pour ne pas le comprendre, et le sourire se fit éclatant.

Elle finit par sortir de l'eau et s'ébroua en riant, l'aspergeant abondamment avant d'enfin le regarder ... Mais oui je vais bien Kazel !

Tu étais venu faire un voeu toi aussi ?
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La fontaine aux souhaits de Guérêt

Pierrette.

Elle se promenait ou plutôt elle marchait sans véritable but dans Guéret. Elle avait dû lui faire l'effet d'une douche froide et elle s'en voulait mais il était trop tard maintenant pour changer quoi que ce soit. Le regard dans le vide, elle trainait des pieds par les chemins lorsqu'elle arriva vers une fontaine.
Se penchant un peu, elle remarqua que cela brillait dans le fond de celle-ci et elle comprit qu'il s'agissait sûrement d'une fontaine à souhaits. Il y en avait presque dans toutes les villes, parfois même des puits, et elle n'avait jamais voulu se prêter au jeu.

Sauf qu'aujourd'hui tout était différent. Elle fouilla dans ses poches et en sortit une pièce qu'elle serra fort dans la main avant de la laisser tomber en faisant un voeu. Elle ferma les yeux, espérant que tout s'arrangerait comme par magie puis les rouvrit. Elle savait que ça ne pouvait pas être immédiat alors elle reprit le chemin en sens inverse en direction des tavernes.

Edit pour correction parce que fontaine et non pas puits ...

Aphykit

Superstitieuse la brunette ? Certes pas... pourtant son errance dans Guéret la mène vers cette fontaine. Dans le fond, des pièces qui étincellent au soleil attirent son regard, elle s'en approche, s'assoit sur le rebord.
Non, elle ne va pas se mirer dans l'eau, ni plonger son bras pour récupérer quelques deniers, elle baisse juste les yeux et contemple la surface de l'eau parsemée de mille lueurs.
La pensée s'égare, comme souvent ces temps-ci. Blancs nuages dans un ciel d'azur, sommets enneigés, furie de l'océan, tout se mêle, tout se trouble...
Elle soupire, nul voeu à faire...

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Merci à JD Lou Audrea

Kenneth._de_virelade

Ce jour la apres des multiples aventures ,des coups et des gnons des jours passes,
Entre 2 tours de mine,Kenneth decide de partir decouvrir cette ville de gueret,avec son blason si joli.
Une ville qui porte un ecu raffine et bucolique doit bien avoir des mysteres.
Bucolique,il pense l’anglois ,pas exotique, c’est il y a une sacre difference !
Donc il avance tranquile dans les petites rues,il decouvre une fortification et ca jamais encore il voit, faut dire ,
voila des mois, qu’ils sont partis et tout change vite, les murs comme les personnes…….
Parfois il aimerait prendre une pour frapper l’autre,mais c’est pas civilise.
Perdu au fond de ses pensees, il debouche sur un lieu…..

Voila c’est bien ca une ville des mysteres.
Si mysterieux ils semblent les herbes et la nature fredonne des chansons.
Le puit des vœux,il se souvient un gars jadis dans Saintes avait decouvert un, puis le gars meurt et le puit retourne des mauvaise herbes,
pourtant il y avait des vœux de faire et pieux.
Et pieux pieux et puis puis, et puit puit…….
Il s’approche, lui c’est pas un vœux aujourd’hui il aimerait faire c’est 100, mais bon faut laisser des vœux des autres et il a pas tant d’argent dans sa poche.
Il lance un piece dans le puit, le bruit du metal qui coule dans le fond resonne jusque son oreille.
Il sait ce dicton : jamais demander quand le vœux se realise, cependant son vœux secret, c’est que deux amies cheres se retrouvent,
c’est ca en faisant le vœux qu’il souhaite ce moment precis l’anglois.
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Nos carnets de voyage : tome 1 - Atalante -☸♒⚓

Liaze

La fuite encore et toujours...
Je ne voyais pas d'issue simple à cette vie étrange que je menais depuis des jours, des mois même...

Les nonnes me donnaient de quoi me sustenter tant que j'étais à l'heure pour la soupe commune. Ce n'était pas la grande vie, mais c'était toujours mieux que de errer dans la forêt comme je l'avais fait un temps.
J'avais songé bien des fois à reprendre la route, mais j'hésitais à le faire.

Le village me plaisait. Il n'y avait presque personne dans les rues. Des légumes et des fruits à profusion et même plus récoltés...
Je pouvais m'éloigner quelques jours du couvent sans trop en souffrir.
Restait cette maudite chemise qui trahissait ma condition des plus déplorables. Si le tissu en était de bonne qualité, la couleur indéfinissable qu'elle avait pris, tant elle était tachée, ne jouait pas en ma faveur.

Au hasard de mes déambulations dans les ruelles du village, mon regard se fixa sur la fontaine qui trônait là.
Je m'approchai, jetant des œillades autour de moi sans déceler âme qui vive. Je m'enhardis même jusqu'à ôter mes bottes et, assise sur le rebord, à plonger mes pieds dans l'eau fraiche. Mes paupières se fermèrent un instant tellement la sensation en était douce et un sourire ravi vint égailler mon visage amaigri.

Un nuage se disloqua dans les nuées, et les rayons du soleil ainsi dévoilés firent miroiter les écus qui en tapissaient le fond. Quiconque serait passé à cet instant aurait vu scintiller également mes yeux verts qui tentaient de les dénombrer sans succès.
La naïveté des gens ferait elle ma fortune ?
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Sachatouille

Sacha vagabonde depuis un moment dans Gueret...Elle est passé plusieurs fois devant LE puit, celui des souhaits..

Dans sa jeunesse, là d'où elle venait, c'était une petite fontaine naturelle...il fallait grimper, oser traverser les fourrés piquants, protecteurs de ce bel endroit.

Avalant sa salive, la roussee amère lançe un sou, faisant un souhait intime.
Elle attend le son de la réception, fait une petite moue de tristesse, espérant tout de même et rejoint son époux chéri.

Gedeonor

jeune d environ une dizaine d anné , affamé orphelin apres un passage en taverne ou Gedeon ou eu le plaisir de trouver son nouvel employeur , il visita le village et s arretta devant le puit.
il jeta une piece faisant le voeux que le destin continue sur cette voie de croire en elle .....

[b]encore merci...

[i]il repris chemin en direction de son taudis la miche de pain enlacer dans son bras

Jeliza.rose

Ah-ah ! Encore une fontaine à souhaits. Si je n'ai pas pu accéder directement à celle de la dernière ville visitée, je peux au moins tenter de profiter de celle-là.

La nuit est tombée assez tôt, et le son des gouttes de pluie rencontrant l'eau de la fontaine résonne doucement.
J'aime bien le son de la pluie, et l'odeur qui se dégage des pavés et des routes.
Et, pour ne rien gâcher, elle a l'avantage de faire fuir les indésirables.
Un coup d’œil à droite. Personne. A gauche. Pas un chat.

Je me penche pour aller récupérer les piécettes jetées et plonge mon bras, draguant consciencieusement le fond de la fontaine.
Soudain, une idée lumineuse me fait me redresser. Qu'est-ce qui rend cette fontaine magique, après tout ? L'emplacement ? La pierre ? Ou bien.. l'eau ?
Imaginons que ça fonctionne vraiment... je n'ai qu'à m'en imprégner pour avoir à mon tour des pouvoirs !
En tout cas, je serais idiote de ne pas tenter. Dans le pire des cas, j'aurais pris un bain, ce qui n'est pas un mal, quand on pense que le dernier remonte à.. bref, il remonte.

Je vérifie à nouveau si la place est déserte, et me débarrasse de mes habits tout en les pliant sur le rebord. De toute manière, avec la pluie, il faut être motivé pour se promener le soir.

Hou, c'est froid c'est froid c'est froid !

Sans surprise, l'eau est glacée. Mais il faut souffrir pour faire partie des meilleurs. Tremblant dans l'eau, je continue à faire ma cueillette de piécettes, et, tandis que je les rassemble près de mes habits, j'hésite.
Il faudrait que je me baigne entièrement, pour avoir tous les pouvoirs. La tête aussi...

Allez, on se motive, t'es une guerrière ! Tu crains rien ! T'es la future Magnificence du Mal !

C'est donc déterminée que je plonge aussi la tête dans l'eau. C'est vrai après tout, c'est pas de l'eau qui va me faire reculer.
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Jeliza.rose

Cette fontaine est nulle.
Je tremble, je claque des dents depuis plusieurs minutes, je suis sûre que je sens mes cheveux trempés commencer à durcir sous le froid, et pourtant.. rien.
Pas l'ombre d'un pouvoir magique. Pas même une petite sensation étrange, si ce n'est que je ne sens plus mes orteils. Quand il se produit un changement aussi important que l'acquisition d'un super-pouvoir, on devrait le sentir passer, non ?
Je m'y attendais, mais j’espérais que ce soit possible. Puis pas un grand super-pouvoir. Je me serais contentée d'un petit.

Déçue, je sors de la fontaine, et me sèche grossièrement avec ma cape. De toute manière, avec la pluie, je ne peux pas non plus demander un miracle.

Avec un soupir, je me rhabille et roule ma cape en boule. Il faudra que je l'étende près du feu de la taverne, si je veux pouvoir m'en resservir rapidement.

Au moins, j'ai quelques pièces.

C'est toujours ça de pris.
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Nizam

Engouffré dans une venelle de la cité, les bottes du mercenaire au cuir durci par le froid avalaient les pavés, sa chienne foulait les mêmes pierres à ses côtés et s'écartait rarement. L'homme avait le regard bas, comme si la crasse logée dans les sillons de la ruelle avait plus d'intérêt que le chemin emprunté. L'une de ses pognes tenait le manche d'une torche puant le gras, comme celui d'une viande mordue par le feu, ses doigts rudes et fermes en serraient le bois avec l'espoir vain d'y sentir une chaleur. Une cape de peaux épaisse couvrait la carne malade de l'angevin, les mauvaisetés de ses bronches avaient affaibli l'homme d'armes, mais une outre de gnôle vide parut raison suffisante pour le faire se lever, ceci malgré le noir tombé. Nizam cracha à plusieurs reprises une toux grasse, à cette sensation d'aiguilles enfoncées dedans sa gorge, il crachait au sol plutôt que de déglutir la glaire de son gosier.

La chienne jappa et le mercenaire se remit à marcher, son regard ne s'était pas levé, ni pour les ombres léchant les murs à cause de sa torche, ni pour un ciel noir où les nuages gris, lourds d'eau comme le vieux linge d'une matrone au lavoir, ne réclamaient que des mains de géant pour les tordre et leur faire vomir toute leur flotte. L'homme et la jeune braque arrivèrent enfin à une place de la cité, et les prunelles du Balafré n'auraient pas quitté ces pavés si la bête ne s'était pas éloignée vers une fontaine. La braque aboya avec la vigueur des jeunes chiens et il fallut que le mercenaire plisse ses yeux cernés, torche penchée, afin de distinguer la silhouette ayant attiré la curiosité de la bestiole. Fichtre, la fille du Malin faisait-elle trempette dans les fontaines du royaume ? Une raison de plus pour bouillir la flotte avant de la boire.

L'étonnement vitement tombé, Nizam maugréa et s'approcha de la tremblotante en faisant taire d'un ordre sec la chienne. Il flatta le cou de la braque dont la queue battait joyeusement l'air, l'animal avait la fâcheuse tendance à flairer le lièvre comme la donzelle et à considérer que toute découverte méritait récompense. Le mercenaire détailla brièvement la jeune femme et se racla la gorge avant de s'adresser à elle, l'oeil lourd de reproches.

- Idiote, qu'est-ce qui t'as pris ? T'vas y laisser ta peau si tu t'trempes dans la froidure. Foutredieu, regarde-toi grelotter, on dirait un vieillard qui a sifflé toute sa gnôle.

A dire vrai, la raison du bain de la Rougeaude l'intéressait peu, il voyait sa tignasse mouillée et songeait que le clan n'avait guère besoin d'un malade de plus. Nizam pencha davantage la torche pour éclairer le minois de l'adolescente, elle avait plus de chance de caner gueule ouverte que de dominer le monde si elle restait dans ce froid.

- J'vais dégoter de la picole dans un rade, s'coue-toi et suis-moi, ça t'réchauffera l'lard.

L'homme d'armes conclua ces mots par une nouvelle toux, tant qu'il dut se contenter de faire signe à la femme de lui emboîter le pas. Il rappela la chienne qui n'avait cessé de renifler la brigande et attendit cette dernière pour reprendre sa marche.

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Jeliza.rose

Ah, tiens, il a arrêté de pleuvoir. Je ne m'en étais pas rendue compte, trempée comme je suis, mais ce n'est pas plus mal. Au moins, je peux tourner un peu autour de la place le temps de dégoter une taverne.
Parce que si en journée, c'est facile à repérer, la nuit, sans torche, c'est plus dur. Les mauvais esprits pourraient me rétorquer de me fier au bruit et à l'animation, certes. Le souci, c'est que c'est pas tous les jours le cas, et qu'il faut parfois coller l'oreille à la porte ou le nez sur les fenêtres pour vérifier si on est bien dans le bouge local, ou chez Mémé Ginette.
Bonjour l'ambiance, sinon.

A peine mon pied se soulève du sol qu'un aboiement me pétrifie sur place. Un maréchal ? Un pigeon potentiel ? Puis je reconnais la braque. C'est pire.
Passer pour une idiote devant des inconnus, ça passe. Au pire, je dis pas que c'est moi, et, avec la nuit, ils oublient vite mon visage. Alors que quelqu'un du Clan.. Bon, d'accord, ce sont encore pour la plupart tous des inconnus, et, à bien y réfléchir, je ne suis pas non plus très familière avec ceux qui m'ont déjà adressé la parole.. Mais c'est pas pareil. Enfin, peut-être qu'il n'a aucune mémoire, et qu'avec un peu de chance, il oubliera.

En attendant, je rentre instinctivement la tête dans mes épaules pendant que je me prends un sermon en tremblant. De froid, bien sûr. Je vais lui préciser, d'ailleurs. Qu'il ne se méprenne pas. Et même mieux, je vais lui dire ma façon de penser. Non mais c'est vrai, là, il me parle comme un espèce de prévôt à un maréchal, ou, pire, un adulte à un enfant. J'ai quand même à peu près l'âge d'Arsene, voire un peu plus. Un chouïa.

Aussi, je me redresse fièrement, tout en le suivant - je ne vais pas cracher sur l'opportunité d'aller boire au chaud-.

Moi au moins, je me promène dans la nuit alors que je suis en bonne santé, et pour de bonnes raisons , c'est pas comme d'autres qui se mettent en danger pour rien !

Enfin, il a peut-être lui aussi de bonnes raisons pour se promener dans les rues par ce temps, mais je peux au moins tenter.
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Nizam

Si tôt que la marche reprit, la fille du Sans Nom foulant le pavé dans son dos, Nizam creusait dans ses lointains souvenirs de la cité guérétoise afin d'emprunter la ruelle la plus courte menant aux bouges, et plus précisément au premier godet de picrate sec qui saura noyer son mal. Cloîtré depuis que les mauvaisetés le faisaient cracher tout son air, l'homme avait été contre son gré sevré de la gnôle dont il rinçait quotidiennement son gosier comme l'on renversait un seau de flotte sur de la saleté. La toux lui crevait les bronches, mais elle n'était certainement pas responsable du spasme qui l'eût fait trémuler et tiré de son somme ce soir-là.
L'homme d'armes considéra une venelle, si étroite que deux rustauds ne pouvaient l'arpenter épaule contre épaule. La braque allait et venait autour des affiliés, la truffe flanquée contre la pierre mouillée. Il y eut un silence. Enfin, la brigande s'était tue après son bref sermon en guise de réponse aux mots du Balafré. Nizam tourna sa trogne entaillée vers elle et, à la lueur de la torche, il planta ses prunelles luisantes dans celles de la brigande.

- J'ai l'air en danger, Rougeaude ? Puis tes trempettes en pleine place, la nuit tombée, tu m'sortiras une aut' bonne raison pas'que je n'vais pas gober celle-là. Ramène-toi, au bout on s'ra au rade d'la municipale.

L'homme toussa contre le revers de sa manche, avala difficilement sa salive, puis en profita pour essuyer son blair écrasé que le froid faisait morver. Il était davantage un danger ambulant pour qui respirait sainement à ses côtés. Nizam s'enfonça dans la ruelle, les flammes de la torche luttant contre un air humide.

- Je croyais qu'Arsène était avec toi. Je la boucle sur tes bains d'fontaine s'tu n'lui dis pas que j'me suis tiré d'la piaule ce soir.

Le marchandage, fut-il semblable à une gaminerie, collait durement à la peau du Balafré, en dépit de la malingrerie qui le rongeait avec le même plaisir. C'était prendre le risque que la péronnelle au capuchon écarlate réclame une part plus généreuse, mais elle serait niaise aux yeux du mercenaire de ne rien tenter.

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Cyraxe

Il ce balader dans le village quand il aperçus la Fontaine.
Une fontaine à souhait
Il sourit et s'approcha pour la voir de plus près.

peut être qu'elle réalise réellement les souhait qui sait !

Il haussa les épaules et pris une pièce dans sa bourse.
lança un Regarde vers le ciel et murmura...

Prend soin des être qui me sont cher!
de ces magnifique Bambin que je ne pourrais voir grandir!
et de leurs mère!.

fait qu'un jour je puisse les retrouver à nouveaux!

lança la pièce dans la Fontaine et resta la un moment à attendre le regarde fixe sur l'eau qui couler.
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Liliana_von_selenios

Loth.

Créa : JD Jeronimus ~ Images : indui.deviantart.com & jon-lock.deviantart.com

Liliana_von_selenios

Anthy

Mya...

Alice._

Kazelmd

Alice._

Syrrah

Kazelmd

Alice._

Kazelmd

Alice._

Kazelmd

Alice._

Kazelmd

Il la regardait comme si elle était une nymphe sortant des eaux, hypnotisé jusqu'à recevoir les gerbes d'eau.

Hey ! arrêtes... je vais être tout mouillé ! c'est malin regardes çà... rhoo

Il ne la grondait pas... oh que non, il riait avec elle de la situation.

un voeu... moi !? oui... euh nan !

Il se rendait soudain compte qu'il ne savait pas ce qui l'avait amené ici.
Quelqu'en pouvait être la raison, il remercierait le Très Haut de l'avoir mené là, en cet instant. Regardant Alice, de ses les lèvres tremblotantes il tentait de s'exprimer.

Alice tu es si... un sursaut de retenu juste sur le fil, le coeur battant à rompre ... si mouillée, tu risques d'attrapper froid... mais déjà la raison du jeune homme était entrain de fondre pour ce visage là ...jolie
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Alice._

Alice avait grande envie de se pincer, croyant nager en plein rêve ! mais elle ne dormait pas, sentait sur elle ses vêtements mouillés et la petite chair de poule sur ses bras n'était pas une illusion .... le voeu s'était réalisé !

Son regard allait de la fontaine à Kazel, de Kazel à la fontaine et les yeux gris finirent par accrocher les lèvres tremblantes du jeune homme tandis qu'il bafouillait pour finalement murmurer ... "jolie"

Comment cette foutue fontaine avait elle fait pour l'amener jusqu'ici ? avait elle donc pensé si fort que l'appel avait volé jusqu'à Kazel ? les pensées se bousculaient dans sa tête, mais elle finit par accepter le fait que les "foutaises" n'étaient peut êtres pas si foutaises que ça !

"Jolie" ... le mot la transporta un peu plus loin encore dans son voeu et comme une cruche posée sur le bord d'une fontaine, elle n'en finissait pas de s'égoutter, une flaque se formant à ses pieds . "Jolie" ... l'était elle donc vraiment avec son air de chien mouillé ? mais elle n'en avait cure, elle le regardait , trempé lui aussi, beau comme jamais encore elle ne l'avait remarqué, et sans réfléchir, elle posa une main sur le haut de son bras ... mais t'es déjà mouillé !

Le geste semblait anodin, mais pour Alice il ne l'était pas, et elle la laissa là, le bras tendu entre elle et lui ... comme une barrière invisible qui ne demanderait qu'un pas pour être franchie.

Le coeur battait une chamade quasi inconnue, les yeux poursuivaient leur course sur le visage de Kazel, s'attardant sur la profondeur du regard avant de suivre lentement la courbe de sa bouche, ce qui la fit rougir sans doute, mais elle ne détourna pas les yeux.

tu vas avoir froid toi aussi !... murmura t-elle en frissonnant un peu.
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Kazelmd

La main d'Alice posée sur lui venait de faire disparaitre le monde autour.

Oui, il frissonnait le jeune homme, mais ce n'était pas de froid, une vague d'émotions inhabituelles étaient entrain de le submerger. Son coeur martelait si fort dans sa poitrinne. Il n'avait pas froid, tout au contraire même, il sentait naitre en lui une douce chaleur, irradiant tout son corps.

Il posait délicatement une main sur la joue droite de la jeune femme, repoussant une mêche de cheveux tombée devant les yeux gris dont il ne pouvait plus se détacher.
Peau si douce sous sa paume si chaude, il regardait ce visage en apprenant chaque détail, comme pour le graver à jamais dans sa mémoire. Imperceptiblement il s'était approché d'elle, attiré par une force contre laquelle il ne pouvait lutter.

Alice...
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Alice._

Il tendit le bras lui aussi, pour poser sa main sur sa joue et Alice pencha légèrement la tête sur le côté. Ce qui se passait en elle c'était comme une tempête d'été qui la faisait vibrer toute entière et quand il repoussa une mèche de ses cheveux, elle ferma les yeux en poussant un léger soupir.

Citation:

Alice...

La malicieuse avait perdu la notion du temps et quand au son de sa voix, elle rouvrit les yeux, elle fit également un pas vers lui sa main toujours posée sur le haut de son bras ...

Et tout à coup, tout ce qui jusqu'à présent l'avait tenu à distance des autres hommes disparut sous l'émotion de le sentir si près ... et elle franchit un autre pas, levant vers lui un visage serein, les yeux brillants ... et la bouche entrouverte sur un souffle rapide provoqué par un coeur saisi par un ouragan.

Kazel ...

Ce fut une force exaltante qui la poussa vers lui et la petite ingénue eut l'audace de poser ses lèvres sur les siennes pour un baiser si tendre que les yeux restèrent ouverts pour ne en pas perdre une miette.

Ce n'était pas un rêve Alice ! ce n'est pas un rêve ! il est là ton Pays Des Merveilles.
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Kazelmd

Chaque parcelle de son corps vibrait sous le coup de l'émotion, son coeur cognant si fort qu'il lui semblait qu'il allait éclater, même son esprit commençait à s'emballer, tant ce qu'il ressentait était intense.

Et puis soudain, tout se calmait... les lèvres d'Alice, posées sur les siennes dans une tendresse infinie telle que Kazel n'en avait jamais connu, venait comme par enchantement d'appaiser le corps et l'esprit du jeune homme.

La douceur absolue d'un tout premier baiser, une poignée de seconde valant une éternité.
C'était donc celà le don que le Très Haut dans sa bonté infinie avait donné aux hommes.

Les vers que la belle avait déclamé, et qui l'avait tant impréssionné lors du cours de poésie lui revinrent soudain. Il était là le papillon aux délicates ailes rosées, sur ses lèvres il s'était posé. Prolongeant le baiser, le regard toujours noyé dans les yeux gris, il comprit en cet instant ce que voulait dire le mot Aimer.
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Kazelmd

Presqu'un mois c'était déjà écoulé depuis leur premier baiser devant cette même fontaine, alors en passant ce soir par la Place des voeux, il ne put s'empêcher d'y repenser.

Il ne savait toujours pas ce qui l'avait conduit là en cette belle journée, mais depuis la vie n'avait été pour lui que bonheur. Il aimait tellement Alice qu'il lui semblait que le monde ne serait pas assez vaste pour contenir tout l'amour qu'il avait pour elle. Il sentait qu'elle avait pour lui le même égard. Déjà il devinait l'esquisse d'une vie entière à passer avec sa rousse, et celà lui suffisait pour se lever chaque matin avec le sourire aux lèvres.

Il Fouillait sa pôche, et en sortit un écu qu'il tenait entre deux doigts au-dessus de la fontaine.
La voute étoilée se reflétait dans le miroir ondoyant, chaque point lumineux brillait le tout formant comme un tas de pièces d'or. Kazel lachait alors sa pièce qui vint troubler les eaux tranquilles, mais ce ne fut pas un voeux que fit Kazel, il se contentait juste de dire...

merci !

Dans le reflêt, il aperçut alors la trainée furtive d'une étoile filante, peut être un signe pour lui signifier que son message avait été entendu...
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Ariane_

Ils avaient beau papoter encore et encore. Enfin surtout elle. Ariane avait quand même réussi à semer Vigghelm. Pourtant, c’était un grand gaillard imposant. Le perdre c’était un peu comme-ci d’un coup d’un seul on voyait une montagne disparaitre de l’horizon en quelques minutes ou jours. Une chose improbable en soit. Mais la Brune avait réussi cet exploit. C’est donc un peu dépitée, qu’elle arriva à Guéret. Durant vingt-quatre heures, il faudrait qu’elle s’occupe. Et en bonne curieuse qu’elle était, la petite Norfienne flâna dans les rues pour visiter cette ville qu’elle n’avait fait que traverser jusque-là.

Lorsqu’elle arriva à la fontaine à souhaits, elle resta un moment à regarder les pièces au fond de l’eau. La solitude lui permettait de réfléchir à un certain nombre de choses. Un soupir franchit ses lèvres. Ariane prit dans sa bourse une piécette afin qu’elle aille rejoindre ses jumelles. Ensuite la Brune joignit les mains, ferma les yeux et dans un souffle :

Ô Dieu Très-Haut,
Père de l’humanité
Et Toute-Puissance divine,
Ferme mes oreilles
Aux tentations
Et ouvre mes yeux
A l’amour sans fin que tu me donnes,
Que je puisse donner à ceux qui doivent recevoir,
Aimer ceux qui doivent l’être,
En sachant toujours,
Que si je n’étais pas là,
Quelqu’un d’autre serait là pour le faire
Car c’est Toi qui parle par ma bouche
Et qui œuvre par mes mains.
Pardonne à mon frère et à tous les autres
Ils ne savent pas ce qu’Ils font.

Pour sûr, ils avaient tous perdu l'esprit. Elle redoutait ce qu'ils allaient retrouver là-bas. Et si tout avait changé, bien que leur départ remonte à seulement quelques semaines? Nouveau soupir. Qui vivra verra. Ariane resta donc devant la fontaine un moment, assise sur un banc. Se perdant encore un peu dans ses méandres.
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Helwena

La fontaine, plusieurs fois elle était passée devant sans vraiment s'y arrêter. De la pierre, de l'eau, une fontaine quoi, rien d'extraordinaire en sommes. Mais tout ça c'était sans compter la quinte de toux qui la secoua de part en part au moment où elle passait à nouveau devant. Une main appuyée sur le rebord, l'autre sur la poitrine pour contrôler le flux de toux, c'est là qu'elle vit les nombreuses pièces au fond de l'eau.

A Tulle il n'y avait pas de telle fontaine et c'était peut être même la première fois qu'elle en voyait une avec pour fonction les souhaits. Notion tout à fait relative puisqu'il fallait être sacrément croyant pour croire qu'une pièce tombée au fond de l'eau pouvait réaliser un voeux.

Se redressant pour reprendre son souffle, la jeune fille passa une main sur son front avant de s'asseoir au bord de la fontaine et de sortir l'outre de sa besace pour boire une longue gorgée d'eau. Sa gorge lui brûlait et sa respiration reprenait doucement son rythme normal.
Après l'accident dont elle en avait réchappé in extremis grâce à Gildwen, il lui était devenu risqué de prendre froid et de malmener ses poumons. Elle était devenue fragile et passa une mèche rebelle derrière son oreille avant de réajuster la large capuche de son manteau de fourrure offert par le jeune M-N.

Avisant à nouveau les pièces au fond de l'eau, elle porta sa main gantée au fond de sa besace et en sortit une petite bourse. Détachant le cordon, elle en attrapa une pièce et la serra entre ses doigts, se demandant bien ce qu'elle pouvait souhaiter. Rien et tellement de choses en fait.
Fermant les yeux, elle remua quelque peu les lèvres pour son souhait muet puis ouvrit ses améthystes et lança la pièce dans l'eau froide.
Elle la regarda plonger et se déposer au fond de la fontaine aux côtés des autres, l'esprit préoccupé parce qu'elle venait de souhaiter.
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Eden15

Après avoir déambulé dans la ville quelque temps, Eden finit par trouver la fontaine, enfin.. Elle regarda l'eau claire qui y coulait puis s'assit sur le rebord réfléchissant à son amour...

Au bout d'un long moment de rêveries, elle sortit sa bourse, y prit un écu et réfléchit encore, l'écu en main..

Depuis le temps que Perta lui parlait de mariage elle commençait à ressentir un peu d'impatience... Il fallait qu'elle soit noble or elle l'était, il fallait un titre maintenant... la famille MN est vraiment exigeante, pensait-elle... seul un miracle pourrait hâter ce mariage et c'est en pensant à cela qu'elle jeta son écu dans l'eau.

Elle regarda son écu tomber au fond de la fontaine et souhaita très fort que ce mariage puisse se faire rapidement...

Eden reprit le chemin de l'auberge afin d'y retrouver son bien aimé...
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Foudre

Après une nuit plutôt agitée à l'auberge, Foudre se réveille et regarde Jeanne couchée à ses cotés encore plongée dans un profond sommeil.

Il se lève doucement sans faire de bruit, enfile ses vêtements et sort discrètement de la chambre.

Il se souvient que son ami Kazel lui avait parlé d'une certaine fontaine à la sortie du village qui serait magique.

Malgré que la vie était en train de lui sourire, il était curieux de la voir.

Après quelques quelques minutes, il voit de loin la chose en question.

Sur le bord de la fontaine, une Damoiselle y est assise pensive.

Foudre s'approche un peu plus, et reconnait de loin sa cousine Eden qui semble soucieuse.
Pour ne pas la déranger, il attend dissimulé derrière un buisson.

Après quelques temps,Eden se relève et s'éloigne tranquillement.

Foudre, curieux se présente devant la fontaine admire toutes ces piècettes qui scintillent dans l'eau.
Il jette un regard autour de lui afin de s'assurer qu'il est bien seul, glisse un doigt dans sa bourse et en retire une pièce d'un écu.

Il embrasse la piècette et la lance dans l'eau, se disant qu'il serait difficile pour lui d'être plus heureux qu'il ne l'est.

Mais bref, nous sommes, vendredi 13 et c'est le jour idéal pour faire un voeu.

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Julia..

La petite julia avais suivit les gens du village ceci l'amuser elle arriva a une grande fontaine qu'elle s'approcha et fit sont petite vœux

J’espère ne pas croiser de brigand en route......

Ceci fait elle jeta une pièces au fond puis partit direction la route qui l’amenez la ou se tiendrais sont futur......
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Pertacus

Comme il l'avait promis a sa belle , le moustachu s'approcha de la fontaine , il n'était pas superstitieux et avait beaucoup de mal a croire a ce genre de chose , mais une promesse étant une promesse , le jeune Montbazon vint s'asseoir sur le bord de la fontaine .

Il ne savait pas lui même ce qu'il voulait , du moins , il voulait épouser éden certes , réussir a crée une grande compagnie franche qui deviendrait réputé , mais il n'avait pas vraiment besoin de tout cela pour être heureux.
Depuis sa rencontre avec Eden et leur départ de Périgueux , chaque jours était meilleurs que le précèdent.

Apres d'intense minutes de réflexions Perta se décida a prononcer ses deux vœux , le premier et le plus important a ses yeux , être heureux avec Eden , le second était un souhait plus personnel concernant son projet , il fit donc le souhait de voir sa compagnie grandir et être connu , adulé par certain , crainte sur les champs de batailles.

Il laissa tomber deux écus dans la fontaine et s'en retourna a l'auberge rejoindre Eden
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http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=13742
Un petit MP pour rejoindre les moustachus

Foudre

Foudre était tout exité, il venait de quitter sa princesse Jeanne après lui avoir demandé si elle voulait bien l'épouser

Mais quelle ne fut pas sa réaction ?

Elle lui sauta au cou et lui déclara:

Oui mon Amour je veux bien être ta femme pour toute la vie !

Foudre se dit que son voeu fut réalisé et décida de se rendre à la fontaine pour la remercier
Il sortit sa bourse, en vida tout le contenu dans sa main, ferma les yeux et dit:

Fontaine, je te remercie pour avoir réalisé le plus beau et le plus important de tous mes voeux !

Foudre lança dans l'eau limpide tout le reste de sa fortune et s'en retourna retrouver sa belle
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Kamylle

La brune depuis le lever du jour était passée par tous les états, d'abord la tristesse d'être seule depuis l'avant veille au soir. Puis la colère puisque dans la matinée furieuse elle s'était enfoncée sa propre dague dans le creux de la main, maladroitement ou volontairement, afin de faire couler son sang un temps certain pour oublier sa tristesse, et se faire souffrir, mais n'ayant pas le courage d'aller au bout par culpabilité, elle avait finit par bandée le tout grossièrement.

Puis après le déjeuner Kamylle avait gagner une taverne afin de penser à autre chose et rencontrer du monde pour lui donner le sourire et la faire rire mais en vain au final.

Du coup la jeune femme se trouvait là maintenant au bord de cette fontaine au souhait, elle y jeta une pièce sans vraiment trop y croire et fit un premier vœu, celui de retrouver son âme, son souffle, son blond rapidement pour revivre parce qu'elle commençait cruellement à manquer d'air et à mourir de son absence.

Puis la brune jeta une seconde pièce pour un second vœu, celui de se lier pour longtemps, pour la vie avec le blond dont elle ne pouvait vraiment plus se passer.

La vairon ne voulait pas l'étouffer mais sans lui c'était sombre au final, un vide total l'envahissait au point de ne plus respirer et si au départ elle était sur la réserve de peur de souffrir, aujourd'hui Cyxe avait la toute puissance pour l'anéantir, ce qui avait le don de l'effrayer quand cette pensée l'envahissait...

Ces deux vœux fait la brune qui avait pâlie et dont le teint blafard avait prit la couleur de la neige pour plusieurs raisons reprit sa balade afin d'oublier ses heures sombres ou pas...

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Kazelmd

Ce matin, Kazel vint à la fontaine d'où coulait déjà tant de doux souvenirs.
Six mois étaient passés depuis le premier baiser qu'il avait reçu d'Alice, après que deux pièces aient fendu la surface de l'eau.
D'aucun dirait que les pièces n'y avaient été pour rien, qu'il était niais de voir là un effet de sortilège. Peut être, mais on a tous besoin d'un peu de magie dans nos vies, et puis çà avait marché, alors pourquoi ne pas y croire ?

Bien sûr il est aussi question de volonté, celle de vivre pleinement chaque moment de bonheur que la vie veut bien nous apporter, car ils sont suffisamment rares pour être précieux. Alors il faut réinventer chaque jour pour que ne s'éteigne pas cet amour, et c'est ce qu'il s'efforçait de faire le Kazel. Il mesurait très bien la chance qu'il avait, vivre avec Alice était merveilleux.

Kazel sortait de sa poche non pas un écu, mais trois, formulant tout autant de vœux silencieux. L'un était pour sa belle aux cheveux coucher de soleil, le second pour une vie qui verrait bientôt le jour, et le dernier fut pour le vent...

Et les pièces allèrent rejoindre leurs semblables au fond de l'eau.

Les cloches de l'église se firent soudain entendre, faisant raisonner les rues de la ville, il se dépêchait donc de rentrer retrouver Alice pour qu'ils aillent ensemble à l'office.
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Aytasi

Quelques jours qu'elle était là et elle se sentait de mieux en mieux la belle Aytasi.
Elle se faisait des amis, aimait de plus en plus son travail et s'épanouissait à vue d'oeil.
Quand elle ne travaillait pas, la belle allait se promener dans le village.
Elle avait bien remarqué la fontaine de guérêt qui trônait au milieu de la place.

Elle s'en approcha et cherche un piécette dans sa maigre bourse.

Moi aimer fontaine, pouvoir faire voeu et espérer réaliser.

Elle sourit et ferma les yeux en cherchant ce qu'elle pourrait bien demandé puis jeta la pièce qui fit un petit "plouf".

Moi vouloir être amoureuse, pas savoir quoi être !

Elle regarda la pièce au fond de la fontaine et partit toute contente reprendre son travail.

Moi espérer habitants faire pareil après moi rigolo faire voeu...

Tuladanlos

La bourgmestre passait dans le coin, et aperçut au loin la jeune Aytasi, elle lui fit signe de la main, puis le temps qu'elle arriva vers la fontaine, elle était déjà retournée dans la taverne de Chazy.
Tulad s'installa sur le rebord de la fontaine,laissa aller ses pensées au rythme de l'eau qui coulait. Une étrange sensation courrait le long de son corps, elle respirait toujours son odeur, son cœur en pincer fort.
Dans ses poches elle trouva un écu, qu'elle jeta dans l'eau.

J'ai très envie qu'on se retrouve de nouveau...

Une fois debout, elle observa une dernière fois la fontaine, puis repartit dans les artères de la ville.

Yvy

Nous avions entendu dire qu'il existait une fontaine au souhait quelque part en ville, vous savez ces fontaines où on peut jeter une pièce en espérant qu'un voeu se réalise. Bien entendu, ce qui attira les oreilles de notre rationnel radin de colocataire cérébral n'était pas les voeux.

Une telle fontaine est une vraie manne céleste pour ceux qui comme moi font fi de la moralité.

Après quelques minutes de recherches, il trouva enfin la fontaine tant espérée. Voyant s'éloigner la silhouette de la bourgmestre, il s'approcha discrètement de la fontaine.

Elle est plus profonde que ce que je pensait.

Un petit coup d'oeil aux alentours, les manches remontées et voici notre sagouin qui se penche en tentant d'attraper les piécettes au fond de l'eau.

Je fait le voeu de devenir riche ha ha...

Aller, j'y suis presque, elle sont à quelques pouces, encore un peu et ...

Chazy

Chazy passait par là à tout hasard. Il venait du lavoir et se rendait dans sa taverne, et il devait passer devant la taverne aux souhaits.
Il apperçu la bourgmestre sortant du coin de la rue, laquelle il devait prendre, et s'éloigner à l'opposé d'où il arrivait.
Quand il arriva au coin de la rue, il vit un homme agenouillé devant la fontaine. Il était entrain de récupérer les pièces que les personnes souhaitant faire un voeu jettaient !
Sans bruit il avança, et une fois à distance un peu plus rapprochée, il dit bien fort :

Je crois que vous n'avez pas compris le principe de cette fontaine ! On y jette les pièces, on les prend pas !

Yvy

Je crois que vous n'avez pas compris le principe de cette fontaine ! On y jette les pièces, on les prend pas !

Ah, il est pris !! Enfin ! Manquant de tomber à la renverse dans le bassin, le profanateur se retourne.

Quoi moy ? Récupérationer des pièces, jamais, ce s'rait honteux, stupide, immoral, grotesqu',...

Quel menteur

D'où vient il celui là, il ne faut pas arriver par derrière comme ça, voyons, ça ne se fait pas.

Et récupérer des pièces ça se fait peut être ?

Tu voy, comm'le disait ma grand mère l'meilleur moyen d'faire s'réaliser un souhait, cé de j'ter une pièce de 2 deniers, pas plu, pas moinss', dans la flott', tu voy, mais attention, l'voeu n's'réalise qu'si la pièce tomb' sur pile, et point face, vous m'suivez ? Alors, chui malin, pour tricher un brin, j'me suis mis au plus pré du fond pour lâcher ma pièce et êt' sûr de réaliser mon voeu, tu voy ?

Faut espérer qu'il gobe ça, mais bon en général l'accent paysan bouché ça aide à l'embrouille.

Chazy

Le maraud sursaute, avait-il quelque chose à se reprocher ? Ou bien Chazy lui avait juste fait peur ? En tout cas, il avait du mal à saisir son charabia, et encore plus à le croire. C'pas qu'il doutait de sa parole, mais bon, il était resté longtemps le bras dans l'eau, parce qu'approcher doucement, ça prend du temps. M'enfin...

Mouais, passons, j'vais pas vous accuser à tort tout d'même. J'vous laisse le bénéfice du doute. J'suis Chazy, l'propriétaire d'la taverne "Au Plaisir des Sens". D'ailleurs, c'est là qu'je vais. Si jamais ça vous dit, vous en s'rez l'bienvenu.

Il le salua et continua son chemin, pour se rendre dans la taverne, du moins c'est c'qu'il dit. Il allait bien voir si c'qu'il disait est vrai, et s'éloignant et en regardant du coin de la rue.

Raph95610

Raph s'approcha de la fontaine, son voeu lui faisait un peu honte et pouvait sembler ridicule, il souhaitait donc le faire discrètement, et à cet heure, il n'y avait pas grand monde dans les rues, normalement. E s'approchant de la fontaine, il vit deux hommes discuter. Ils semblaient trop occupé pour le voir et rebroussa donc discrètement chemin. Le voeu attendrait

Yvy

Mouais, passons, j'vais pas vous accuser à tort tout d'même. J'vous laisse le bénéfice du doute. J'suis Chazy, l'propriétaire d'la taverne "Au Plaisir des Sens". D'ailleurs, c'est là qu'je vais. Si jamais ça vous dit, vous en s'rez l'bienvenu.

Au plaisir des sens, je n'ai pas spécialement intérêt à ce qu'on m'y voie, ça ne m'apporterait pas forcément une bonne réputation.

"Au plaisir, décence", cé ben la nouvel' bouge qu'vous z'avez ouvert, cé que ben, j'avait promis à ma pauv'mère qu'j'mettrait jamais les panards dans une auberge pour homme seul, tu voy, et d'après c'que j'ai ouï dire à c'propos, ben, c'en est une, tu voy ?

Nous voyons une autre personne restée en retrait, qui finalement s'éloigne.

Cette place n'est vraiment pas discrete, j'ai plutôt intérêt à revenir à une heure plus propice et avec une bonne excuse.

Bon, ben, c'est qu'j'ai à faire moué.

Et nous partons prestement.

Chazy

Chazy le vit s'éloigner. Finalement, le maraud n'en était peut être pas un. Il avait dû le juger trop vite.
Il voulait juste l'empêcher de voler l'argent des pauvres gens venus y jeter une pièce en espérant qu'un voeu se réalise.
Il sortit donc de sa cachette et continua sa route vers sa taverne.

Aytasi

Le soir venu avant d'aller me coucher je me trouvais à me balader dans le village j'aimais le calme d'une fin de journée bien remplie.
Mon esprit était embrumé, j'avais le coeur qui battait la chamade à chaque fois que je croisais messire Raphaeil et ça me faisait peur.
Je voulais que ça cesse, sachant pertinemment qu'il n'en était rien de son côté.
Il me fallait trouver un moyen pour que ça s'arrête.
Je ne pouvais continuer ainsi, j'allais en souffrir ça faisait aucun doute.
Pourtant je savais déjà que s'il s'en allait sans moi, j'en aurais surement mal et pendant longtemps...

C'est donc naturellement que je vins me placer face à la fontaine.
J'y jetais ma pièce tout en fermant les yeux.

Vouloir que coeur à moi cesse de battre fort quand Messire Raphaeil s'approcher de moi.

Je restais regarder la pièce au fond de la fontaine.

--Venturine

Il m'en avait fait voir des vertes et des pas mûres mon zozio mais là j'l'r'connaissais p'us, mais p'us du tout.
Ses gestes étaient bien p'us violent qu'avant.
J'avais bien vu qu'il n'avait pas aimé la baffe d'la tavernière mais bon y avait pas mort d'homme quand même.
Pis il n'avait qu'à pas la toucher non p'us.
J'étais dans tous mes états, j'étais partie d'l'auberge mécontente d'son attitude.

Ch'uis allée faire un tour du village et je vis une jolie fontaine et m'en approchait.
Je vis dans l'fond des piécettes.

Héhé, une fontaine aux souhaits ben c'est l'moment d'voir si ça marche c'truc là.

J'sortis vingt deniers d'ma poche et j'fis mon voeu.

J'fais l'voeu qu'mon mari m'revienne comme avant, qu'on r'parte sur les ch'mins bien vite.

J'balançais le sou et repartit m'promener.

Arriette

Me promenant dans cette nouvelle ville où les rencontres étaient un peu spéciales, ce que je n'avais guère apprécié, j'arrivais devant une fontaine.
Quelle ne fut pas ma surprise, en constatant, après m'être penchée pour m'y désaltérer, qu'il y avait, au fond de celle ci, pléthore de piécettes.
Me demandant ce que cela pouvait bien signifier, puisque je n'avais encore jamais vu pareille coutume, je regardais autour de moi pour m'enquérir de la signification de cette étrangeté.

Puis me rappelant d'un conte que j'avais lu à l'orphelinat, je me mis à réfléchir. Cela parlait de puits et de voeux et de pièces que l'on y jetait pour conjurer le sort ou demander quelque chose. Peut être cette fontaine avait elle les mêmes fins, après tout.
Je ne risquais sans doute rien à m'y essayer. Tout au plus y perdrais je la pièce que j'y lancerai.

Fouillant ma bourse, j'en sorti un simple sou. Je le regardais, le faisant tourner entre mes doigts, me perdant dans sa contemplation et me demandant ce que j'allais bien pouvoir souhaiter.

De ma vie à l'orphelinat, je ne voulais plus jamais me souvenir.
De ce peu de temps depuis, je ne savais s'il fallait que j'en ris u en pleure, mais j'en tirerais la leçon de ne plus jamais me fier aux belles paroles d'un homme. Pourtant Lyd avait essayer de m'ouvrir les yeux, mais, dans ma jeunesse et ma naïveté vis à vis des hommes, j'avais suivi celui-là qui m'avait laissée en chemin, sans nouvelles.
Là je repartais vers SA, reprendre mes affaires.
De nouveau, un jeune homme m'accompagnait. Je l'avais rencontrer la veille à Bourganeuf et il s'était gentiment proposé pour que je ne fasses pas route seule. Je ne le connaissais guère, mais il m'avait semblé sympathique et nous devions nous rejoindre ce jour, dans cette ville. J'attendrais de faire connaissance et de voir venir les choses.
Je n'étais point tant empressée et j'avais, du haut de mes 16 ans pour encore quelques mois, le temps de vivre et d'aimer. Alors, le prochain homme, devrait se faire à l'idée que je ne serais, certes, plus une proie facile. Je n'étais pas prête à me donner de nouveau contre un sourire et de belles promesses qui finiraient par s'envoler avec le vent, aussi légères que les notes qui sortaient de mon flutiau.

Machinalement, je finis par lancer la pièce dans la fontaine. Je m'entendis dire, sans vraiment avoir même penser ces paroles :
Que le temps fasse son oeuvre et qu'il m'apporte le bonheur du coeur. Le reste ne m'importe guère....

Je souris en regardant la pièce plonger sous la surface de l'eau claire de la fontaine de cette ville.
Si seulement un peu de joie pouvait venir éclairer ma route et ma vie, j'en serais ravie. Mais je n'y croyais guère, pour n'avoir jusqu'ici eut que peu de chance.
Enfin, je pouvais toujours vivre dans l'espoir d'un meilleur, car, j'espérais avoir connu le pire jusque là....

Duncan_mac_campbell

Duncan tournait en rond depuis deux jours, il n'en pouvait plus tant son stress était important. Il ne vivait tout simplement plus depuis leur dispute épistolaire, avait fait le mécontent et se sentait mal, affreusement mal. De plus, les agressions qu'avaient subi son frère et sa soeur avait réveillé en lui une immense colère qui n'était pas prête de s'endormir. En cette fin d'après-midi, il était toujours dans le village, à traîner sa misère quand il vit la fontaine aux voeux de Guéret. Un petit sourire illumina son visage, depuis tout petit, le jeune homme adorait ce genre de superstitions qui prétendaient qu'en jetant un simple écu dans une fontaine aux voeux, ces derniers pouvaient se réaliser.

Il s'approcha de sa démarche un peu militaire gardée depuis son année passée à l'armée, sa stature imposante et musclée se mouvant avec souplesse puis sortit de sa besace un écu qu'il jeta dans l'eau de la fontaine.

La retrouver et réussir à lui avouer mes sentiments pour la rendre enfin heureuse et lui faire oublier ses souvenirs douloureux.

Ses paroles avaient été prononcées dans un murmure. Il le souhaitait de toutes ses forces.
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Sakurah

Le petit jour se soulevait petit à petit, une fine brise fraîche venait trahir l'humidité à la saveur estivale de temps à autre, la journée s'annonçait ensoleillée et agréable. Ayant galoper à dos de leur monture une majeure partie de la nuit, le trio se cherchaient donc un logis pour le temps de leur séjour. D'un pas traînant, ils vagabondaient dans le village, les yeux cernés par la fatigue, scrutant ça et là en recherche de leur endroit de choix, ou pas ... Du coup, une fontaine qui semblait se trouver sur la place commune du village, là où les gens vont au marché ou bien chez le forgeron voyez vous ? Bref ...Chose sûre, sa curiosité fût piquée et elle n'était pas la seule, un petit sourire vint s'afficher sur son visage et puis, il s'effaça quand la lunatique, l'étourdie, se rendit compte qu'elle n'avait plus un écu qui l'adorait. Haussant son regard vers le ciel en soupirant, la blondine se rappela qu'elle cachait un vieux porte-bonheur qui lui était d'aucune utilité depuis belle lurette ! Presque soulagée par cette pensée saugrenue, presque ... Elle se mit dos à eux qui de toute façon, admirait le spectacle qu'offrait cet ornement qu'elle trouvait d'une beauté mais d'un ridicule à la fois ...

Mais comment une modeste fontaine peut-elle exaucée nos vœux ? Sorcellerie ?... Pensa-t-elle.

Tant bien que mal, la langue pincée entre les dents, elle récupéra son dict porte-chance tel qu'un vulgaire bouton et s'avança vers ses deux ours.

Vous savez qu'une légende raconte que si l'on jette une pièce dans l'eau d'une fontaine et que l'on dit un vœu, il s'exaucera ? Si vous ne le saviez pas, bien c'est chose faite maintenant ! C'est dingue hein ?

La chipie s'esclaffa et poursuivit en donnant le bouton à Damien.

Donc, là faute de sous hein ... Nous allons jeter cet objet dans cette fontaine et prononcer un souhait ! Donc ... Ô toi jolie fontaine !!! Faite que les étoiles veillent sur l'essentiel et sur notre route de grâce ! Ô je vous implore, je vous implore !

Et elle en mettait et en rajoutait, comme quoi elle ne prenait pas du tout ce mythe au sérieux. Des rires retentirent et avec raison, la blonde aimait bien déconner et là, elle allait être servie. Pas plus folle qu'une autre, une autre idée lui traversa l'esprit, esquissant un sourire espiègle, elle s'empressa de leur chuchoter tout bas.

Il y a une autre légende qui raconte que ceux qui trouveront les pièces, leurs souhaits se réaliseront alors ...

La belle se mit à observer les alentours et tapota l'épaule du gamin en pointant du doigt une direction quelconque, pour faire diversion et surtout, ne pas lui apprendre ses bêtises ...

Oh Damien, regarde par là-bas ! Y'a une drôle de bête, tu sais ce que c'est ?

Pendant que son attention était ailleurs, elle fit un clin d'œil à son bellâtre et se dépêcha d'empoigner quelques écus à l'aide d'une de ses mains et enfouit le tout dans sa besace en sifflottant mine de rien et sourit au môme.

Ah, on dirait qu'il s'est enfuit ... curieux ... Et si on faisait la même chose ? Continuons de chercher notre maisonnette que la m'dame nature voudra bien nous offrir ... Aller zou !

La blondinette pinça discrètement la fesse de Sukh et ils s'en allèrent outre part en quête d'un endroit où ils pourraient trouver repos pour la nuit.
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[RP ouvert] La fontaine aux souhaits de Guérêt