Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, ..., 20, 21, 22   >   >>

[RP] Vies et Péripéties au domaine d'Ytres...(Manoir d'Omby)

Brunehautdartois
Une joute, en voilà une mauvaise idée, elle aurait pourtant du garder en souvenir la dernière à laquelle elle avait participé, et surtout l'état dans lequel elle s'était retrouvée.
Une épaule luxée, et un fessier en piteux état, heureusement que Néfi était présente le jour de sa fabuleuse chute face à ce jouteur dont elle à jusqu'à oublié le nom.
Il faut croire que les douleurs ne furent pas assez vives pour lui redonner l'envie de recommencer.
Après donc avoir répondu dans l'affirmative pour participer à ses premières joutes artésiennes, elle partit à la recherche d'un écuyer...
Son choix se posa sur Izeliah, la jeune fille avait du caractère et semblait avoir besoin d'un peu d'air, elle espérait bien qu'elle accepte sa proposition, elle ne se voyait pas arriver seule à la joute sans ecuyer....sur qui compter pour s'habiller, non c'était inconcevable.
Ne restait plus qu'à attendre patiemment la réponse de la jeune cambrésienne tout en faisant préparer tout ce qu'elle avait besoin pour installer un campement de plusieurs jours sur les terres de la baronne d'Ytres, sans oublier sa fameuse armure....


_________________
Ombeline
[Crénom d'une bobine, pas joli, joli quand on a un coup dans le nez ... ]



Grrrrr, toi tu ne bouges pas d'ici.

Elle se cala de nouveau dans le fauteuil docilement, clignotant des mirettes espérant avoir les idées ainsi plus claires.

Hip's ... Bien bien, les gars, faites ........... hip's, faites.
Qu'est-ce hip's que ...... qu'est-ce que ..... hip's .... vous ressemblez à Lou ........... vous deux, j'savais pas hip's qu'il avait des frères jumeaux. Hip's .... aussi pien bâti .... Ah, hip's bour sur, et pis galbé là.
petite tapette sur le fessier de Leportel alors qu'il embarquait Jehanne... sourire malicieux, et yeux pétillants ... piouffff, les effluves rendaient bien audacieuse la jeune femme envers l'un des gaillards. ouioui hip's pas mal du tout, tout ça, hip's ... humm ... prometteur ... hip's ... bour sur.

La jeune femme se sentait sereine, voir même sur une petit nuage euphorique et poursuivit son monologue dans le salon pendant que "les gaillards" aux traits si identiques qu'il ne pouvait s'agit que de jumeaux, pas de doute ... Elle eut soudain un fou rire suivis de propos incohérents, et refila une petite fessée au jumeau de Lou quand il revint chercher cette fois Sate ... Pourquoi donc Lou les avait-il planqué ces deux là ? ... Dormaient-ils quelque part dans la grange, ou même la cave ... ou bien peut-être ... Piouffffffffff ... Ses pensées devinrent confuses, elle avait bien du mal à réfléchir et commençait surtout à avoir chaud. Elle se leva avec difficulté ... Ses mouvements n'étaient guère coordonnés mais elle réussit à se hisser non loin du fauteuil de Sate.

Hisse et ooooooooooooooohhh, ohoh Sate, hip's t'es engore là ? Waouuu, trop fort, j' croyais qu'il vous avais empaqueté le gars, allez, on s' prend un autre verre ?

Elle tenta de se tenir droite, en grimpant sur le fauteuil et scanda fortement une ritournelle guère compréhensible ou du moins, entremêlant diverses chansonnettes sans queue ni tête ... mais bon, vu son état d'ébriété, il ne fallait point trop lui en demander à la jeune femme.

C'est à poire, à poire, à poire,
C'est à poire qu'il nous faut.
Oh ! oh ! oh ! oh ! Hisse et ho !!! Matelottttttttttt
Faut lever l’ancre
R` Tenir pon la barre
et tiens pon le vent,
Car zest zà poire, à poire, à poire,
C'est zà poire qu'il nous faut !
Elle est des nôtres, notreuuuuuuuuuuuu
Sate a bu son verre comme les autres
Z'est une chambionne
Ça se voit rien qu'à sa trombineeeeeeuuu.
Vite, vite largons les amarres
Et à boireeeeeeeeee
Chef, chef, un p'tit verre, on a soifffffffffff !!!



La jeune femme, légèrement étourdie, attrapa maladroitement la bouteille et trinqua avec Sate, enfin ce qu'elle croyait être Sate car là en l'occurrence, il ne s'agissait que de sa veste avec qui elle tenait la conversation. Elle but une nouvelle rasade de vin.

Et ben ... Ohhhhhhhhhhh, hip's .... les beaux papillonssssssss qu' vl'a là, hip's.
Arfff, j'commence à avoir mal à la tête.
Hip's, encore .... hip's... ses maupites gigraines qui rebiennent... za ponctionne ba pien les gremèdes de Nefi.... hip's.


Soudain, elle se sentit soulevée de terre.

Oulalalala pou... hip's... cement pou... ce.... hip's... ment le gaillard !!!
Pouce ... ment ...
Allez, tayo tayo, Za l'abordage !!!!!!!!!!
......... oulalalaa ............ ça tangueeeeeeeeeeuuuu.... hip's.... zune femme ..... hip's.... za la merrrrrrrrrrrrrrrr ... la bouée, la bouéééééééé .... moussaillonnnnnn ... Assaut !!!! Hip's ....


Elle s'agrippa sur le rocher mouvant, gesticulant en tout sens puis se calma d'un coup. Elle porta une main à sa bouche, des nausées la tiraillaient. Après quelques cahincaha-caha, le rocher s'immobilisa ... Venait-elle de s'échouer sur une plage ??? ... Elle ouvrit à moitié les mirettes, et vit une silhouette au dessus d'elle. Serait-ce le sauveur de son naufrage ??? Elle tendit les bras, l'enlaça quelques instants, susurrant des mots doux quelque peu incohérents, resta près de sa nuque, et le libéra laissant une petite coloration violette au niveau du cou puis son esprit s'engouffra dans les brumes.




[Un réveil bien difficile et douloureux.]


La jeune femme ouvrit les yeux et les referma aussi sec. Arggggggggg. Crénom de nom. Son réveil était difficile et même douloureux, sa bouche était sèche et pâteuse, elle avait terriblement soif mais se sentait en même temps nauséeuse. Elle se tint les tempes.

Quelle horreur, elle avait l’impression d’avoir la tête prise dans un étau. Olalalaala, elle devait avoir une trombine à faire peur. Elle réussit à garder les mirettes ouvertes, et les contours du lit, puis de la chambrée tout simplement se firent plus nets. Quelque chose clochait dans sa chambre, mais elle n’arrivait point à mettre le doigt dessus.

Un lourd marteau sonnait sur l'enclume dans sa caboche, ce qui mettait bien à mal sa réflexion. Horrible, horrible… Elle avait du pas mal boulasser hier avec les filles. Quelle honte, que devaient-elles penser d'elle, rooo et pis Leportel …. Elle repoussa le duvet, et se redressa pour quitter sur le champ son lit mais interrompit son geste sous un cri strident.


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh, ma tête !!!
Nom de nom ...


Elle tint sa tête entre les mains, grimaçant.
Luzifer
[Domaine de Ponthieu]

Le comte de Ponthieu pour une fois se leva au chant du coq.

Le grand jour était enfin arrivé, il allait enfin pourvoir s’adonner de nouveau au plaisir des joutes.

Le soir passé il avait donné ses dernières instructions pour que tout soit prêt pour le matin.

Après un dernier repas il prit la direction du Domaine Ytres.



[Arrivée au domaine d’Ytres]



Après un petit voyage fort intéressant en rencontre le comte de Ponthieu arriva enfin au domaine.

Il vit au loin le garde rufus qui essaya de régler les petits litiges d’emplacement.



Hep l’ami j’ai besoin de la plus grande place pour ma tente.
Je reçois toujours de la visite et il me faudrait la plus grande place, pour y faire monter ma tente.
J’espère que vous pourrez faire quelque chose pour moi.


Luzi agita dans sa main une bourse.
Nul doute qu’il allait avoir le meilleur emplacement.

_________________
Leportel62
Quelle nuit il avait passé!!!!!! La baronne avait ronflé, râlé, engueulé je ne sais qui, s'était battue avec l'oreiller et lui avait fait des calins avait hurlé des propos totalement incomprésensibles.

Auparavant, elle lui avait laissé une marque dans le cou en l'embrassant.

Elle en tenait une bonne.

Au cours de la nuit, il en avait même profité pour aérer la piéce et s'aérer lui-même. Une forte odeur d'alcool régnait dans la chambre.

Sur le petit matin, il était descendu lui faire un jus d'orange. Il ne prit rien d'autre pensant que rien ne passerait. Il sourit. Une petité idée venait de germer en lui de quoi traumatiser la baronne durant quelques jours.

Il remonta la boisson qu'il posa à côté d'elle.

Il semblait qu'elle commençait à émerger un peu.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh, ma tête !!!
Nom de nom ...


Elle tenait sa tête entre les mains, grimaçante.

Tiens, bonjour. Je t'ai rapporté un jus d'orange. Quelle nuit, hein? Tu m'as éreinté, j'en ai pas dormi de la nuit. Quelle tigresse tu fais sous tes airs calmes. J'ai mal partout et mon dos est tout griffé. J'ai même des bleus jusqu'au visage. Lui montre son cou. Arf......je m'en souviendrai. On remet ça quand tu veux. Je te laisse, j'ai un boulot énorme qui m'attend.

Il lui tourna le dos et se mit à sourire de sa bonne blague.

Penses à regagner ta chambre!!!!!!
_________________
--Rufus
[Naviguant entre la Cour, le portail et la prairie.]





Salut mon bon Ruru, je suis désolé, j'ai oublié les clés de la grille. Je sais que tu es pressé et que tu as une grande mission à remplir mais tu seras un amour de m'ouvrir l'entrée de ton domaine.
J'ai de plus, un petit bonjour à te donner. Ta flageolette d'amour pense à toi et a hâte de te voir en ces lieux dont tu es le maître.


Le vieux coursier rumina dans sa barbiche quand le Major évoqua les clefs. Ah pour sur, la patronne ne devait plus avoir le ciboulot qui tournait rond pour lui avoir confié un trousseau. Ventre Dieu. Pffff. Quel coquebert, pas savoir où il a fichu ses clefs, zelui-là.

Toutefois, la suite des paroles de l’Asticot, lui fit changer illico presto son humeur. Ah, enfin, il devait avoir finalement un brin d’intelligence le gringalet, songea-t-il. Il se rend compte enfin que face à Ruru, il ne fait pas le poids.

Et pardi, c’est qui qui fait tourner la baraque ici, c’est bien Ruru, hein, personne d’autre ne sait mieux que lui. Ola par contre le « un amour » là, ça ne passait guère, c’est qu’il croit quoi l’Asticot, m’attirer les bonnes grâces par de la pommade en veux-tu en voilà. Pffff. Marmonnements rufulesques.

Attitude de conquistador, sourire édenté laissant entrevoir ses chicots noirâtres, et posant nonchalant le bras sur les grilles forgées, il lui répondit d’un air hautain.



Et oui, hein, je suis INDISPENZABLE ZICI !!! Zety pas donné à tout l’monde, ça, bondiousss.
Zinon, zavez ma toute mansuétude d’ faire zoffice de zimple courzier zà mon égard.


P’tite courbette appuyée, et il le laissa passer avec sa carriole.

Zattention à la Marie, faudra sans doute vous décrottez zun peu ... Le sol est tout juste lezzivé, elle a récuré de laudes à prime et za zorti zon rouleau à patisserie. Zety za doit pas faire que du bien zon ustensil sur v’tre caboche.

Prenant très au sérieux sa tâche, il surveilla le déplacement de la carriole en direction du manoir. Il laissa passer d’autres convois, puis retourna vers la cour, histoire de houspiller les gens là bas et leur montrer qui commandait dans cette baraque, non de dioussss.

Molassons là, zety qu’jvais pas dis de fiche za là, bon bon, allez fauty refaire là.
Hep, toi là, va trouver zencore de la fouaille.


Alors qu’il était en plein dans son élément, ses esgourdes entendit le tintement des cloches du portail. Grimaces rufulesques, mirettes en direction du chemin menant de l’entrée du Domaine d’Ytres.

Qui zety donc qu’est pas fichu d’avoir les mirettes en faze des trous pour sonner comme une truie pris dans un piège.

Il allait pour gueuler comme un putois contre le bougre mais partit en retraite en découvrant la Mediscatre venue en force.

Chiabrena, faut que je déguerpisse, pas le moment de montrer ma goule, bonté de mère, trois carrioles, rien que za.

Aussitôt dis, aussitôt fait, il détala comme un lapin et trouva oh par miracle de quoi occuper son temps… poursuivre ses invectives sur le premier venu. C’est sur ses entrefaites, qu’il fut abordé par le Comte de Ponthieu en personne.

Hep l’ami j’ai besoin de la plus grande place pour ma tente.
Je reçois toujours de la visite et il me faudrait la plus grande place, pour y faire monter ma tente.
J’espère que vous pourrez faire quelque chose pour moi.



Le noble agitait dans sa main une bourse, qui fit brillaient les pupilles de Rufus.
Foutredieu, vl’a ty pas un noblio qui s’rend compte de la valeur du vaillant Ruru, songea-t-il. Rufus lissa sa moustache lentement, histoire de se donner de l'importance tout en le mirant attentivement ... zety que pareille attitude pour ceux qui étaient des familiers de l’homme, za montrait bien qu'il cogitait sur la question et pas que sur cela ...
Accepter la petite boursette ou pas, telle était la question^^, zaprès tout, zes zefforts méritaient bien un bakchich zaussi, et pis y avait zencore de la place à perte de vue … mais une autre idée en tête s’agitait dans ses pensées rufulesques. Zety qu’il était pas trop vilain le noblio, même élégant, za changeait de l’autre coquebert de Leportel… Zety bien, qu’il pourrait faire l’affaire, pour sur.
Enfin, il décrocha quelques paroles rauques, tout en tendant la paluche mine de rien.


Zety que Messire, zaura le plus beau panorama, zety par zici.

Démarche chaloupé, bombage du torse, et hop, le vl’a en train de faire son numéro^^. Il indiqua au Comte l’emplacement.

Zety zune plaze de choix, pour sur, près de l’étang.
Vais vous laizez, faut qu’ je prévienne la patronne des arrivées d’importanze telle que vous. Zety pas qu'je doute pas, pour sur, qu'za lui f'ra rudement plaizir de zavoir za.
Bonne zinstallation, pour sur.


Une dernière petite courbette, et le vieux coursier filocha en direction du manoir en quête de la Baronne d’Ytres.

***


[Aux portes des Écuries du domaine]


Il tendit la goule à l'intérieur et scanda un...

Patronneuuuuuuuuu, zety qu'vous zêtes là ?



coquebert =nigaud // Fouaille= bois de chauffage
Killian


Killian avait revêtu sa petite armure qu'on lui avait fabriquer rien que pour lui (un simple casque et une légère cote de maille ^^), il tirait derrière lui une grosse épée plutôt lourde et etait suivi de son cheval.

Moi aussi ze veux zouter z'ai une épée et un seval
Pink69
Départ de Cambrai)


Jetant une casserole par la fenêtre sur le coq Pink grommella en se reveillant, ouvrant un oeil elle se rappela soudain qu'elle devait vite se preparer pour se rendre au domaine d'Ytres à quelques lieux de là pour les fameuses joutes.La jeune femme se leva , s'etira puis alla grignotter une tartine de confiture en laissant son esprit vagabonder..

Vite le temps passait trop vite et déjà son écuyer s'impatientait en bas au milieu de ses malles.La brunette alla le retrouver et ils se mirent en route ....





Arrivée au domaine d'Ytres


Le voyage fut des plus agréable, un beau soleil printanier carressait les joues de la jeunefemme ce qui la mit de fort bonne humeur.Chevauchant sa mule Pink lassait son ecuyer lui ouvrir la route, il montait comme a son habitude le bel étalon car Pink avait le vertige sur le dos du cheval, suivait derriere des champis esclaves qui portaient ses malles.

Arrivée au portes du domaine elle vit son Seigneur Lulu qui reclamait a Ruffus une graaande place pour sa tente. Pink fit de même en réclama elle une belle place pour son lit a baldaquin qui l'a suivait dans tout ses déplacements.

_________________
[center][/center]
Leportel62
L'essayage terminait, lou commença à retirer élément par élement en prenant soin de bien redisposer convenablement les différentes parties.

Omby lui baragouinait un tas de questions mais il était trop attentionné à ce qu'il faisait. Il ne retint que la dernière.

Et pour Tonnerre, comment cela s’est-il fait ?

Hum, pour Tonnerre, c'est tout en discutaillant que j'ai remarqué une protection pour un cheval. M'ayant dit que cela avait été conçu pour un grand cheval et que le chevalier n'était jamais venu chercher sa commande et aprés quelques marchandages de derrière les fagots, il a été d'accord pour me la laisser pour quelques écus.
Je ne veux pas dire que votre cheval est conçue pour une naine mais disons que Tonnerre est beaucoup plus grand. Et l'autre, je ne pense pas que vous l'ayez bien en mains. De plus, il a déjà l'habitude d'être guidé avec les genoux quand je m'amuse à chasser avec Somat et Mascotte.
Puis, au moins, vous serez à la même hauteur que les autres ainsi.


Il commençait à pouffer de rire quand la voix rufunesque se fit entendre :

Patronneuuuuuuuuu, zety qu'vous zêtes là ?
_________________
Nefi
[arrivée dans le prés. ]

elle n'en croyait pas ses mirettes alors que le rufus s'approchait elle le vit stopper net et ... prendre la poudre d'escampette en la voyant.

non mais c'est la meilleur cela et je fais quoi de mon convoie moi. Parbleu, puisque c'est ainsi j'en ferais à ma guise pour pas changer. il pourra toujours râler.

suivez moi nous allons nous installer au abord de la lice, pas trop près non plus pour pas gêner mais suffisamment pour pas traverser le domaine avec les brancards.

vous savez tous ce que vous avez à faire, donc au travail, je file voir si ma fille et notre tente sont arrivée et je reviens. ne perdez pas de temps nous n'en auront pas trop.


sautant au bas de la charrette elle chercha des yeux une petite princesse rose mais ne vit rien, peut être n'était t'elle pas encore ici. elle lui avait donnée pour mission le convoie familiale, aidé par la vieille marie, à qui elle avait donné des indications précises elles devaient rassembler le nécessaire pour leur campement et effets personnel, ainsi que son armure.
elle sourit en repensant à sa fille trépignant sur place alors qu'elle se creusait les méninges pour trouver qui pourrait lui faire office d'écuyer. voyant la mine de la petite elle en avait fait un jeu, faisant semblant de pas la voir sauter sur place pour dire "moi, moi, maman je veux être ton écuyer.... mais il fait quoi l'écuyer ???" elles étaient parti à rire alors puis avait établit une liste de ce qui devrait être fait.
_________________

porte de l'"Auberja Amoreta" ouverte à tous
Brunehautdartois
Le jeune fille avait repondu à sa requête, Brune en était ravie, peut être que son grand frère aurait à son tour envie de les accompagner, deux ecuyers ne seraient pas de trop pour l'assister, enfin donc le petit convoi avait quitté Cambrai, direction Bertincourt, le domaine d'Ytres jouxtait la ville, Brunehaut ne connaissait que trop bien le chemin qui y menait, souvenir d'une longue nuit à assister la noble dame à donner naissance à son petit Nath.
La promenade était joyeuse, Guilhem ne cessait de poser un tas de questions, semblait emerveillé par l'idée de voir des chevaliers en armure, quant à Brune elle se plaisait d'y répondre, le voyage se déroula sans encombres, et ils arrivaient devant les hautes grilles du domaine des gardes leur indiquèrent le chemin à suivre, direction une grande prairie aménagée, dejà d'autres concurrents s'y installaient, première chose que Brune fit installer, les couleurs de son fief, l'étendard bleu azur flottait maintenant personne ne pouvait plus douter de sa présence.
Les ordres étaient donnés, la tente se montait...ne manquait plus que de se desaltérer, balayant les environs du regard elle cherchait où donc pouvait avoir été installé les futs.




A ton avis Ize....toi qui a de bons yeux, aurais tu vu où avait été placée la buvette.
Je ne sais pas pour toi mais moi j'ai grand soif!

_________________
Poildecawotte
[préparatifs à l'hôpital ]


Poildecarotte aimait les événements de grande envergure, elle était impressionnée par tout l'organisation que cela demandait. Les préparations était commencé et tous su ce qu'il devait faire.

poilinette tu prends les jeni et noéliana avec toi et vous vous occupez des linges pansement charpie etc.

Sans un mot, elle partit avec ses deux consœurs. Bientôt les matériaux fut rassemblés et chargés dans la charrette.

Maintenant préparons nous pour le voyage, le signal du départ ne devrais pas tarder.
Les chevaux furent seller, et l'équipe prêt.


[arrivée au domaine d'ytres]

Le voyage c'était bien déroulé, aucun accident, aucun retard. À la vu du domaine Poildecarotte ouvrit grand ses yeux et fut émerveiller par le paysage. Voyant effervescence de l'organisation elle reprit ses esprit et redevint sérieuse.

non mais c'est la meilleur cela et je fais quoi de mon convoie moi. Parbleu, puisque c'est ainsi j'en ferais à ma guise pour pas changer. il pourra toujours râler.

suivez moi nous allons nous installer au abord de la lice, pas trop près non plus pour pas gêner mais suffisamment pour pas traverser le domaine avec les brancards.

vous savez tous ce que vous avez à faire, donc au travail, je file voir si ma fille et notre tente sont arrivée et je reviens. ne perdez pas de temps nous n'en auront pas trop.


Une nouvelle fois l'équipe médicale s'activa. Tout fut déballer, placer et vérifier et ce en moins de temps que prévus.
Prenant une pause, la soigneuse se prépara mentalement pour la suite.
Lndil
[A Guine]

Les préparatifs furent longs... et sa Douce avait été retenue par moults tâches importantes de natures très personnelles.
Lndil ne voulait pas la laisser seule, ni se retrouver seul sans elle... pas un seul moment il n'avait pu l'imaginer.

Il avait donc diriger, à l'aide de Victo-ygor, la préparation des affaires nécessaires aux joutes.
L'heureux époux n'était pas des plus rassurés connaissant l'état physiologique de sa Belle... mais il n'osait pas lui proposer de se retirer connaissant sa volonté. Il avait décidé de lui faire confiance.

Ils avaient arnaché 3voitures... rien que ca.
Lndil pensa que cela faisait un ptit peu prétentieux toutes ces affaires de déplacées mais bon, ces joutes demandaient pas mal de matériels pour faire face à tous les ptits imprévus et prévus !

Erwyndyll arriva

Mon Amour... est tu prête ?
j'espère n'avoir rien oublié !

_________________
Erwyndyll
Hmmm... Elle se plaisait à l'épier du haut du chemin de ronde. Bien cachée derrière un pillier, elle pouvait tout voir sans être vue... Elle le regardait s'agiter, donner des ordres, crier sur telle ou telle personne, vérifier encore et encore.
Diable qu'il était élégant son vicomte ! Elle était fière de lui, comment ne pas l'être après tout ? Il était tout ce qu'elle avait toujours voulu et espéré. Elle se prit à sourire toute seule tout en passant une main discrète sur son ventre. Rien encore ne laissait présager quoi que ce soit... Une bonne chose ! Elle ne tenait pas à ce qu'on lui interdise de jouter même s'il était vrai qu'elle devrait faire plus qu'attention !
Elle descendit les marches une par une, s'avança vers lui en souriant.


Mon Amour... est tu prête ?
j'espère n'avoir rien oublié !


Elle sauta dans ses bras, lui déposa un baiser

Tu allais m'oublier j'en suis sure ! Avoue moi tout !

Elle lui adressa un sourire taquin, signe de leur complicité.
Lndil
Elle lui sauta dans les bras.... il ne la lâcha pas après son baiser... s'il s'écoutait...
Tu allais m'oublier j'en suis sure ! Avoue moi tout !


Il lui fit un énorme sourire et l'embrassa tendrement.
Arrête de me taquiner Sale Bête... tu sais très bien que je ne puis me passer de toi
Lui caressa furtivement son ventre.
Nous pouvons donc nous mettre en chemin.

Bras dessus, bras dessous ils se dirigèrent vers la voiture de tête... il lui ouvrit la porte et l'aida à monter en lui présentant son bras.
Si ma tendre Épouse veut bien monter dans cette modeste voiture en ma compagnie ?.

Il monta à sa suite, profitant pour laisser une main glisser sur son psotérieur de façon tout aussi furtive.... lui fit un clin d'œil et un sourire à son regard espiègle.
Il sortit sa tête par la fenêtre de la voiture et s'adressa au laquais en chef de Guines qui serait leur conducteur.

Victo ? Je pense que nous pouvons démarrer.... direction le domaine d'Ytres.
_________________
--Lavieillemarie


[Domaine de Mercatel]

debout depuis l'aurore, trainant sa vieille carcasse perclu de rhumatisme, la vieille marie s'affairait dans ses nouveaux quartier. ça lui avait bien chamboullé son quotidien pour sur, c'est qu'avec dame Nefi fallait suivre, mais c'est qu'elle l'aimait bien c'te dame, elle t'nait jamais en place mais l'tait une bonne patronne. Pour sur qu'ça y'avait fait peine de la voir quitter Cambrai avec les loupiots, elle aurait ben voulu les suivre, mais on lui avait confié l'intendance de l'auberge "les yeux verts" l'pôve maître Chris, un brave homme que c'ti chen, l'avait b'soin d'elle pour tenir son établissement comme dame Nefi le faisait. pi quand ça avait tout cramé, elle avait eu ben peur ça pour sur. c'voyait déjà à la rue, avec le maître qui avait disparue d'pi ben longtemps, qu'personne s'avait où qu'il té. elle s'voyait déjà à la rue avec el raymond queté plus tout jeune non plus. elle s'était pris d'courage, et avait écrit à dame Nefi, c'tait point facile pour elle, c'est qu'elle écrivait point souvent.
Dame Nefi lui avait bien vite répondu de v'nir à bertincourt la rejoindre, et v'là ti pô qué temps plus tard, ils z'avaient tous déménagé au domaine de Mercatel. ben biô domaine pour sur l'en était toute fière la vieille Marie d'voir qu'sa dame l'était qu'chicun.

mais fallait qu'elle arrête donc de rêver l'avait une mission c'tantôt, les joutes chez la comtesse, fallait déjà réveiller la ch'iote lauri, qu'elle avait ben grandi aussi celle là ça toute p'tiote, sous son air bougon l'aimait comme sa fille c'te blondinette. elle entra dans sa chambre un plateau dans les mains qu'elle avait préparé en rêvassant elle entra dans la chambre toute rose et appela.

m'zelle lauri, fô vous l'vez, c'est'le grand jour c'tantôt. fait d'jà bio d'hors.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, ..., 20, 21, 22   >   >>