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[RP] Vies et Péripéties au domaine d'Ytres...(Manoir d'Omby)

Izeliah
Izeliah avait suivi avec joie le petit équipage. Elle ne savait pas trop ce qu'elle venait faire dans cette histoire, mais, ça lui plaisait. Guilhem avait accueillie avec joie le voyage. Il avait passablement saoulé Izeliah, chose assez facile à faire en ce moment, durant le voyage avec ses questions.

Elle avait besoins de changer d'air, je voir autre chose. Participer à ses joutes la ravissait. De plus, elle aimait bien Brune. Elle prenait sa tache avec intérêt et ça lui permettrait de connaitre autre chose.

Aidée de Guilhem, elle fini d'installer les Affaires de Brunehaut.


Ouais, je l'ai vu la buvette, elle est juste à l'opposée de l'endroit où nous nous trouvons, j'suis sur c'est fait expret !


Je pète de Soif moi.

Guilhem lui tira sur la manche...

Et moi aussi !
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Leportel62
Toujours montés sur Tonnerre, Killian et Lou regardaient les tentes se monter tranquillement.

Rho, tu veux jouter un peu killian. Regarde un peu là bas le Rufus qui gesticule de partout. On va passer à côté de lui, tu vas te pencher et lui taper sur les fesses avec ton épée. T'inquiétes pas, je te tiendrais bien. T'es prêt. Allez, hop c'est parti.

Lou tapa sur les flancs de Tonnerre lequel se mit au galop immédiatement.

Tayo, tayo et Tayooooo. A l'attaqueuhhhhhhhhhhhh......

Passant à côté de Ruru, killian se pencha et asséna un coup d'épée en bois dans les fesses du coursier. Lou freina la course du pur-sang et lui fit faire demi-tour. Il se cabra, hennit et lou le relança à l'attaque. Notre brave hidalgo avait pris la poudre d'escampette et dévalait la prairie à toute vitesse.

Killian hurla à son tour :

A l'attaqueuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhh!!!

Au moment où il allait être rattrapé, le vieux débridé enjamba les fûts et se cacha derrière.

HUM, hum, encore bien souple le vieux pour son âge.

Rends toi, sinon attenzion à tes fezes lui dit killian.

Arf, je crois que nous avons gagné. Il doit être entrain de reprendre son souffle. Bravo, prince Killian, vous avez gagné votre premiére joute.


Bon, on a déjà trouvé la réserve, voilà qui est une bonne chose. Allez Killian, nous allons saluer les personnes arrivées.

Certaines personnes lui étaient peu familières. Par contre, il fut heureux de croiser Brune. Il descendit de son cheval et continua à pieds en tenant bien les rênes.

Bonjour, Brune, heureux de te revoir. A plus tard, j'espére.

Il continua et tomba sur la piquouseuse.

Bonjour Nefi, bonjour Poilinette. Il les bisouilla. Si tu as besoin, n'hésites pas à demander, si je peux me rendre utile......
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Brunehautdartois
Elle ecarquilla les yeux aux dires d'Ize.

Oh non c'est avouer que ce n'est pas de chance...tu as raison ils ont fait exprès de me placer si loin! J'irais me plaindre aux organisateurs, d'ailleurs...

Voyant soudain Leportel se diriger dans sa direction, elle était dejà prête à raler..pas la marraine d'Odas pour rien non plus!

Bonjour Loulou, justement je voulais dire que....

Mais ce dernier semblait bien pressé egalement et ne s'attarda pas continuant son chemin, elle le regarda bouche bée, puis prenant alors dans sa main la petite main de Guilhem.

Bon...puisque c'est comme ça, qu'on fasse descendre le fut du charriot!

Un large sourire en direction d'Ize.

Tu ne pensais pas que j'allais voyager sans en emporter au moins un! bon en attendant direction la buvette, le temps qu'ils mettent en perce le fut, nous n'allons pas non plus laisser ce pauvre enfant mourrir de soif, et nous non plus d'ailleurs.

Elle entraina donc à sa suite les deux jeunes Rovel pour enfin etancher cette soif qui les tenaillait.
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Yliano
Le baron de Montreuil était doublement énervé. Son page et les deux laquais qui l'accompagnait (tous trois en livrée jaune et bleue), se gardaient bien d'émettre le moindre son de peur d'attirer sur eux les foudres de leur maitre.
Ce dernier pestait tout haut
: "maudites routes (il époussète en même temps son manteau passablement malmené par la boue), nous voila en retard! Maintenant il ne reste qu'un emplacement ombrageux et humide pour ma tente!
Et une mauvaise nouvelle n'arrivant jamais seule, il apprend le nom de son premier adversaire.
"Le comte Lndil! tu parles d'un échauffement! Pour une premier tour j'aurais préféré plus facile..."

Mais il fallait se reprendre, et essayer de se débarrasser de la fatigue de la route. Pour se détendre Yliano décide de partir ouspiller légèrement ses serviteurs, avant de faire un petit somme. Un rapide coup d'œil vers le campement lui ayant appris que les 3 hommes qui l'accompagnait, n'avait pas chômé pour installer la tente
Ombeline
[Chambrée de Lou]

Tiens, bonjour. Je t'ai rapporté un jus d'orange. Quelle nuit, hein? Tu m'as éreinté, j'en ai pas dormi de la nuit. Quelle tigresse tu fais sous tes airs calmes. J'ai mal partout et mon dos est tout griffé. J'ai même des bleus jusqu'au visage. Lui montre son cou. Arf......je m'en souviendrai. On remet ça quand tu veux. Je te laisse, j'ai un boulot énorme qui m'attend.

La jeune femme changea de teinte ... Cireux, pivoine, verdâtre enfin bien difficile à décrire, mais point son teint habituel ... Les émotions étaient là ... peur panique, colère, culpabilité, envie, confusion, mouarff et surtout nausées berk berk ... Bref, un vrai branle bas de combat dans la caboche de la jeune femme. Elle écarquilla les mirettes en découvrant la trace violette laisser par ses .... rooo ... ses crocs ... et une fois, sa diatribe faite, le voilà, qui fuyait la chambrée.

Penses à regagner ta chambre!!!!!!


Elle soupira, reposa sa tête contre l'oreiller, et resta pensive ... du moins, tâchait de réfléchir aux dires de Lou ... Disait-il vrai ou était-ce encore une de ses taquineries ... Tigresse qu'il l'avait surnommée ... Et Rufus, non de non, si c'était le cas, pourvu qu'il dormait à point fermé ... Rooo, mais non, je devais être trop ivre pour avancer déjà un pied devant l'autre, alors pour enfin pour ... Pas possible que cela, il doit me faire courir là ... Ses joues se colorèrent ... Son esprit malgré les martèlements de cette horrible enclume arrivait tout de même à avoir quelques idées saugrenues ... La jeune femme se tenant d'une main la tempe, attrapa son verre de jus d'orange et en but une gorgée ... Une fois le verre reposé mais au bout de nombreuses longues minutes de méditations des plus prolixes, elle repoussa le duvet et s'extirpa du grand lit à baldaquin. Elle nota malgré son mal de tête, qu'elle était encore vêtue, bon, cela pouvait répondre à ses premiers questions, et encore que ...

Les cheveux entremêles, elle quitta la chambre afin de retourner dans ses propres appartements avec au programme un bon bain relaxant, loin du boucan infernal de sa caboche, si cela était possible ... Elle irait voir les filles et les enfants ensuite.... et pis bien entendu le lascar chez qui elle avait squatté cette nuit.

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Orick95
[Domaine de Mercatel]


c'est donc par un beau matin qu'orick répondant au courrier se son amie, lui demandant de superviser sa jeune écuyer aux joutes de la contesse, se retrouva à guider sa jument saphira jusqu'aux écurie du domaine de mercatel

lorsque retentit une voix qu'il aurait reconnue entre mille


m'zelle lauri, fô vous l'vez, c'est'le grand jour c'tantôt. fait d'jà bio d'hors.

lavieillemarie pensa t'il j'espère qu'elle fait toujour ses suculent repas car se voyage ma ouvert l'appétit.

se dirigeant à l'endroit d'où la voix venait Orick fit irruption dans la chambre de Laurie et vit la jeune fille encore endormie et lamarie qui gesticulait autours de la petite pour la réveiller.

attrappant le lit de la petiote devant les grand yeux de marie stupéfaite, Orick benna le lit en pronnonçant de sa voix forte


jeune fille tu a souhaité être l'écuyer de ta mère, alors maintenant debout la sieste est terminé

puis il serra lamarie dans ses bras, en lui murmurant: j'espère que tu a de quoi rasasié une armée car j'ai une fain de loup
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Ombeline
simple messagère^^


Nicolas Eymerich a écrit:




[Domaine d'Ytres]

Le soleil avait commencé son lent déclin vers l'horizon, et déjà une lueur écarlate se répandait sur le monde, quand l'équipage du seigneur de Tramecourt arriva en vue du domaine d'Ytres.

Équipage était d'ailleurs un mot bien trop fort pour le maigre convoi, puisqu'il n'y avait que le seigneur sur sa cavale, son valet marchant derrière, tenant par le licou une mule et le palefroi de guerre de son maître. La mule portait la tente du duo, ainsi que quelques affaires et pièces d'armure. Le palefroi de guerre, malgré le fait que cela puisse paraitre indigne à un animal de son rang, portait le reste des affaires, ce qui en réalité ne le gênait pas, vu qu'il portait sans souci les 190 livres de son maître en armure. Quand au valet, connu sous le pseudonyme de paul of perth, c'était une brute épaisse et vulgaire, portant un manteau agrémenté de quelques membres humains desséchés, qui rappelait ses tristement macabres exploits sur les champs de bataille.

Après s'être fait annoncer à l'entrée du domaine, et qu'un garde lui eut montré l'emplacement qui lui était réservé - une parcelle minuscule dans un coin insalubre loin de l'étang évidemment, il n'était que seigneur - leur convoi s'y dirigea. Au passage, le seigneur de Tramecourt ne manqua pas de saluer tous ceux qu'ils connaissaient, exhibant fièrement son étendard céruléen.

Après une ou deux heures d'hésitations, Nicolas et son valet réussirent enfin à dresser la tente qui allait les abriter durant leur séjour à Ytres. L'un et l'autre, peu habitués à cette tâche, avait failli s'enrouler dans la toile de tente en désespoir de cause. Et même si l'ensemble n'avait pas l'allure des tentes de leurs voisins, au moins seraient-ils au sec.

Finalement, alors que la nuit étendait de plus en plus son emprise sur le monde, les deux hommes s'assirent autour d'un feu, faisant mijoter un petit ragout, en devisant gaiment et en affutant leurs armes. La journée du lendemain sera difficile.


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Elena7
Au Domaine d'Autingues, près de Guînes


Bon, l'heure de la check-list avait sonné.
C'est une jeune femme têtue et de mauvaise humeur qui était plantée devant la lourde porte du Château d'Autingues. Une planche en bois dans les mains, une plume noire dans l'autre, elle s'amusait à mettre des petites croix devant le nom des objets qui étaient déjà terrés dans les différentes charrettes prévues à cet effet. Un mouvement régulier, le clap clap de ses talons contre le sol en marbre, annonçait un certain agacement. Elle zieutait les allées et les venues des laquais qui transportaient toutes les affaires qu'elle avait besoin pour les joutes. Certes, la liste qu'elle leur avait glissée était impressionnante, gigantesque, monumentale, et contenait des choses complétement inutiles et qui, sûrement, ne serviraient pas le moins du monde, mais la Dame s'en fichait comme de l'an 1450. Ces derniers temps, elle était sur les nerfs, et trouvait à chaque fois une raison pour vociférer dans tout le Domaine. Enceinte la p'tite Dame ? Fichtre que non, pas avant le mariage, mais on aurait pu s'y méprendre en voyant les traits crispés qui étaient dessinés sur son minois.
Ses prunelles retrouvèrent le vélin qu'elle tenait entre ses mains afin de vérifier toute cette organisation.
Charrettes : Ok, Chevaux : Ok, Laquais pour planter la tente : Ok, Ecuyer : Ok, Armure : Ok, Lances : Ok, Tissus pour la tente : Ok, et patati et patata ... Bref, au final, tout était prêt pour son départ, et il ne manquait rien. Enfin si, quelque chose, ou plutôt quelqu'un, mais cette personne ne se trouvait pas à Autingues. Pincement au cœur lorsque ses pensées voguent contre son gré en direction de son fiancé, absent ces derniers temps. La Harlegnan soupira, tendit sa planche en bois à un domestique avec les mains vides pour s'en défaire, et d'une mine froide, mangea les pas qui la séparaient de son coche afin de s'y engouffrer. Direction : Le Domaine d' Ytres.


Au Domaine d'Ytres


Quelle idée saugrenue, j'vous le fais pas dire. Quelle idée elle avait eu de s'inscrire à ces joutes équestres et Artésiennes. Ses premières en plus. Elle ne pensait pas que celles-ci seraient ses dernières, mais elle avait comme l'impression que ces dernières ne se passeraient pas très bien et qu'elle recevrait une dérouillé de la part de son adversaire. Intuition féminine ? Peut-être après tout. Le voyage en direction du Domaine de la Baronne Ombeline s'était fait dans le calme. La jeune femme lançait de temps à autre, des petits regards à travers la fenêtre du véhicule mais son regard était absent, et ne profitait pas du paysage. A vrai dire, regarder à l'extérieur, elle s'en fichait, c'était juste pour passer le temps. Après tout, les parcelles se ressemblaient toutes par ici, non ?
Toutefois, quelques heures plus tard, l'équipage Harlegnien débarqua au Domaine tant désiré, y pénétra après un bref contrôle d'identité, et roula jusqu'à l'emplacement qu'un certain Rufus leur avait indiqué.

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Jehanne66
L'énorme sanglier lui faisait face... le plus gros qu'elle n'avait jamais vu...
Elle se tâtait dans tous les sens, mais quelqu'un de malintentionné lui avait piqué son épée !
Pas d'autre solution que d'essayer de le bloquer à mains nues...

Courage Jehanne, tu vas y'arriver !
T'en as vu d'autres !!!


Sans plus réfléchir, elle couru vers ce monstre poilu, sauta par dessus lui et l'agrippa dans ses bras.

A sa grande surprise, la bête semblait creuse et son poitrail céda sous son emprise !

Elle la bascula sur le côté pour ne pas qu'elle lui échappe et fut surprise de tomber d'aussi haut...


Ciel que la terre est basse aujourd'hui !!!

Jehanne se cogna la tête dans le pied d'une table de chevet en se demandant ce que foutait cet engin dans la forêt...


Puis tout à coup, elle réalisa qu'elle était dans une chambre et que c'est l'oreiller qu'elle étranglait avec férocité... les plumes volaient tout autour d'elle...

Elle finit par se relever en se tenant la tête.
Quelques bribes de la beuverie de la veille lui revint en mémoire.
Décidément, les soirées chez la Comtesse risquaient d'être fort sympathiques, même si les réveils l'étaient moins !

Elle avait comme qui dirait une petite fringale, mais avant toute chose, il fallait faire disparaitre l'objet du délit...


Elle attrapa l'oreiller qu'elle avait un tantinet éventré, et le jeta dans la chambre d'à côté.
Regardant vers le lit, elle aperçut Sate qui cuvait, elle lui piqua son oreiller et se sauva à toutes pompes pour le jeter sur son lit, balayant grossièrement du pied les plumes qui témoignaient encore de la violence de l'attaque.

Ensuite, l'air de rien, Jehanne descendit vers les cuisines pour y trouver son bonheur, quand elle vit remonter Lou avec un verre de jus d'orange... Elle se fit discrète sur le coup, pour pas qu'il la remarque.


Étrange qu'il mette son verre sur un plateau...

Puis elle crut l'entendre parler à quelqu'un ?!?!

C'était pas Sate, elle était seule dans sa chambre...
La Comtesse ?!?! Nan quand même pas !!!
Il devait se faire une soubrette quelconque...

L'important était de se caler l'estomac !

Jehanne continua donc son chemin jusqu'aux cuisines qu'elle comptait bien dévaliser.

Benjaminp
[Préparatif à l'Hopitâl]

L'équipe était prète, Nefi donnait à chacun une liste de chose à faire et de chose à prendre.

romi et benji, vous vous occuperez de la tente, vérifiez qu'elle est en bon état, et complète, je vous charge de la monter sur place. et pensez aussi au mobilier, brancard et autres matériels indispensable. tenez voilà la liste complète.

Benjaminp regarda la liste puis avec Romi il s'attelait à tous rassembler dans une seul pièce ensuite une fois que tout fut rassemblé, ce qui avait déjà pris pas mal de temps, ils regardèrent si le matériel était au complet.

Après avoir tout vérifier, tous se mirent en route vers le domaine d'Ytres.




[arrivée au domaine d'ytres]

Durant le voyage benjaminp avait bien pris bonne note de ce qu'attendait le médecin Néfi de Romi et de lui, ainsi que de l'équipe en entier.
Tous arriverent et firent signaler leur présence.


Suivez moi nous allons nous installer au abord de la lice, pas trop près non plus pour pas gêner mais suffisamment pour pas traverser le domaine avec les brancards.

Benjaminp suivit Néfi ainsi que le convois des charettes. Il n'en revenait pas le domaine était très grand et si beau. Il croyais réver. Il arrivèrent ensuite là où Néfi pensait etre l'endroit le plus approprié pour s'installer.

Vous savez tous ce que vous avez à faire, donc au travail, je file voir si ma fille et notre tente sont arrivée et je reviens. ne perdez pas de temps nous n'en auront pas trop.

Benjaminp et Romi se mirent au travail pour tout décharger, ils installèrent tout pour que Néfi puise leur montrer comment monter la tente qu'ils avait au préalable mit dans la charette.
Il faisait chaud aujourd'hui et le jour ne faisait que commencé benjaminp était impatient d'apporter son aide.

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bureau de recrutement OST
Leportel62
Lou avait laissé Killian avec Nathy lesquels voulaient regardaient les tentes s'installer.

Il s'en était retourné vers le campement de Brune où il était passé en coup de vent.

Il tombait bien, un fût était en préparation.

Excuses-moi, Brune, un truc à faire avant de venir vraiment te saluer.

Il la bisouilla.

Tu voulais me demander quelquechose? Comment vas-tu depuis.....laverdin, je crois? Prêtes à te faire démonter encore une épaule? Vraiment heureux de te revoir......
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Ombeline
[Écuries du Domaine d'Ytres]


Hum, pour Tonnerre, c'est tout en discutaillant que j'ai remarqué une protection pour un cheval. M'ayant dit que cela avait été conçu pour un grand cheval et que le chevalier n'était jamais venu chercher sa commande et aprés quelques marchandages de derrière les fagots, il a été d'accord pour me la laisser pour quelques écus.
Je ne veux pas dire que votre cheval est conçue pour une naine mais disons que Tonnerre est beaucoup plus grand. Et l'autre, je ne pense pas que vous l'ayez bien en mains. De plus, il a déjà l'habitude d'être guidé avec les genoux quand je m'amuse à chasser avec Somat et Mascotte.
Puis, au moins, vous serez à la même hauteur que les autres ainsi.


Marmonnements de la jeune femme au fur et à mesure que Lou parlait.
La vl'à maintenant décrite comme une naine ... Point si petite que cela, tout de même ... Pfff ... Parfois, celui-ci avait vraiment le talent de l'énerver pour une broutille, un je ne sais quoi chez lui ... M'enfin, il savait se faire facilement pardonner, un je ne sais quoi sans doute aussi^^ ... Hum, complexe tout cela ... Elle marmonna tout de même un merci.
Tout à coup, la voix rauque de son coursier retentit.


Patronneuuuuuuuuu, zety qu'vous zêtes là ?

Oui, Rufus. Vous pouvez entrer.
Lou a fini de m'ôter toute cette artillerie.
Merci encore Lou.
Merci les enfants, hein^^. Je vous ai entendu rire en coin durant tout ce temps.


Elle leur déposa un baiser sur le front de chacun.

Allez zoup, filez vous amuser et voir les arrivées. J'suis certaine que vous verrez des têtes connues.
Il me semble que Laureline sera de la partie. Il y aura peut-être d'autres enfants. Allez zoup !

J'dois parler avec Rufus.


Elle regarda les enfants et Lou quitter en riant les écuries, puis se tourna vers son coursier.

Hum .... Quelle classe, cher Rufus. Vous êtes ... hum ... un tout autre homme, vêtu de la sorte ... Alors tout se passe-t-il au mieux ?

Elle vit rougir le vieux bougon sous son compliment, arfff, il lui fallait vraiment peu de chose. Elle esquissa un sourire amusée en le voyant redressant son buste, et se lancer dans un p'tit compte rendu de ses activités.
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--Rufus



[Écuries du domaine]


Alors, zety q'y du monde, pour sur, pour sur, patronne qui s' prezze au portillon.

Za ze bouscule mais pouver zêtre rassurée, patronne, pour sur, car j' suis là, j' veille zau graingrain tel le dindon dans l' poulailler, ben qu' oui, pour sur !

Bon, y la mégè....
Toussotements de Rufus. euu, la Médicastre qui zest pointé zaussi. Là, za doit être en train d'installer zon campement. Zety qu'elle en a amené tout un pataqués. Pioufffff. Za doit valoir zon pezant d'or, tout za ... Doivent bien bourriner zes zinfirmiers, moi j' vous l' dis.

J'ai zaperçu zaussi v'tre zamie, zavait zelle qui a des ... eu des ....


Il commençait à faire des gestes, mimant une poitrine généreuse, mais sous le regard courroucé de la Baronne, le coursier s'interrompit, déglutissant au passage ... Terrain glissant, terrain glissant, songea-t-il ... Il se reprit, point la peine de s'prendre un zermon pour pareille broutille.

Oui, m'enfin, la bellisima d'Oblingini, quelque chose comme za. Elle était là zaux joutes du Lavardou, zi vous vous souvenez. Zétait même retrouvé à moitié à poil, quand la mégé eu la médicastre l'avait soigné.

Toussotements du Rufus, se rendant compte qu'il venait de se dénoncer lui même d'espionner... Il voulut enchaîner prestement, mais sous el coup de la panique fit tomber au passage l'une des fourches, accolée au mur.

Ah, non de dioussssssss ....

Il la rattrapa et continua sa parlotte.

Alors, zalors, zety vu zaussi, un noblio zavec d'la clazze. Zety zautre chose qu'le gringalet qui vous colle aux basques si j' puis permettre patronne.

Zety za, qu' zerait bas trop mal, pour zur. Zen plus, m'a l'air zavoir les bourses pleines. Za zety tout bon. Zeriez za l'abri, et pis pourriez m'augmentez zanz en zouffrir de vos finanzes, enfin moi ce qu' j' en dis. J'dis bien za comme za, hein. Pas de mal d'ergoter sur mon zavenir, m'enfin, j'veux dire le v'tre, patronne.
Zety zimportant tout za. Et pis, za peut vous permettre de prendre à v'tre zervice, d'la qualité, pas zune cannibale, qui coute blus en réparation. Veut pas dire, m'enfin loin de moi, de médire zencore, mais zest qu'elle s'en met plein la panse la bougresse, et za comparze zaussi, hein, comme le gringalet d'ailleurs. Les zécus za défilent zec, moi 'qui vous l'dis, hein. M'enfin, pour sur, j'dis za zencore comme za, hein.

J'lui ai fourni l'plus beau emplazement. Comte de Ponthiou, si j'ai pien retenu, pour sur. Faudra vous zalliez l'voir. Pourrait zetre v'tre type quand même, zelui-là, m'enfin il est riche comme crézus, pas négligeable, tout za.


L'homme aperçut quelques plissements de nez de la patronne qui ne lui disait rien qui vaille. Bonté de mère, vite, vite changement de sujet avant de s'en prendre une dans les esgourdes. Il devra faire preuve de plus de finesse, la prochaine fois, il le sentait là comme qui dirait que l'herbe est bien verte. Toussotements ...

Ah, j'vu zaussi, un Baron ... euuu zattendez, qu'je réfléchizze ... Ah oui, Montreuil qu'à dit son page. zety qu'il a un page, ben zety un peu comme moi za, hein patronne ? J'suis zintendant et page, moi ? Quoique Intendant, zety bien plus de responzabilités, tout ça, pour zur.

Il allait baragouiner encore, mais la jeune femme d'un mouvement gracile arrêta sa diatribe.

Parfait. Parfait.
Vous êtes une perle. Que ferais-je sans vous ?
Enfin, presque une perle. Je vous remercie de vous soucier de ma personne à ce point mais n'ayez crainte, le domaine ne périclitera point et votre solde sera réajustée à votre juste valeur.

Concernant le reste, s'il me plait d'avoir untel ou untel à mon service, cela ne vous regarde en aucune façon. Attention, Rufus, cela fait plusieurs fois que vous frôlez la limite, il serait fort navrant de vous voir quitter mon service pour incompatibilité d'humeur. Fort heureusement, je sais que vous arriverez à passer au dessus de tout cela... Comme toujours, n'est-il pas ?

Bien, Bien ...

Finalement, j'ai décidé d'installer moi aussi ma tente avec les autres.
Cela sera plus pratique que de faire des allées et venues au manoir.
Puisque vous parler des joutes du domaine de Lavardin, auxquelles vous avez été apparemment des plus attentifs et bien, même tente et même installation. Point trop loin du petit ruisseau, de préférence.
Hum, il vous faudra emmener mon armure, là bas, aussi. N'hésitez point à mander de l'aide auprès de Lou. Il a su fort bien tendre la toile, la dernière fois avec Lordkiche.

Sur ce, je vais vous laisser faire votre office, car je sais que vous avez à cœur votre mission. Je vais aller saluer nos invités.


Rufus sentit qu'il avait eu chaud les marrons. La patronne était aveuglée par les hurluberlus qui avaient rejoint le domaine. S'il lui avait passé son caprice de prendre Lordkiche, pour les deux bougresses et l'Asticot, c'était autre chose. M'enfin, fallait croire qu'il n'était plus le patron dans cette baraque, du monde marchait sur SES plates bandes. Qui plus est, elle lui mandait encore de se mettre au turbin avec le gringalet. Qu'avait-il fait tout petiot, pour mériter tout za... M'enfin, le pire n'était pas zencore là, elle aurait pu s'amouracher de l'Asticot. Marmonnant, il acquiesça et fila droit, allez direction la prairie.


[Prairie du domaine]


Il observait bien tranquille le déroulement des installations, une chique dans le bec ... Marmonnant toujours sur ses malheurs. Soudain, des cris retentirent.

Tayo, tayo et Tayooooo. A l'attaqueuhhhhhhhhhhhh......

Avec stupeur, il reçu un coup d'épée en bois dans les fesses.

Zety des maladeuuuu !!!
Zespece de vaurien !!!!


Il gesticula de plus belle et prit la poudre d'escampette quand il les vit revenir sur lui. Il sauta sur les fûts.


A l'attaqueuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhh!!!


Rends toi, sinon attenzion à tes fezes

De son perchoir, le vieux coursier beugla comme un beau diable.


Raoust, bande de sauvageons !!!

Aucun respect pour le Grand Intendant.
Vais t'apprendre moi c'qu'est le respect l' mouflet !!! ... mais pas là ... plus tard, hein ... T'as de la chanze qu' j'ai du travail .... car moi, pour sur, j' travailleuuu, j' flanette pas sur zun canasson.

Y a la tente d'la patronne à monter, zety ton comparze qu'a été dézigné pour za par l' patronne, alors feriez mieux, faire za, hein ... Allez, allez au turbin le Major !!!

Près du p'tit ruisseau qu'elle a dit, l' patronne !!! J'sais pas pourquoi, mais fauty la fiche là bas. Allez allez !!!


Il frappa dans ses paluches et attendit que les deux assaillants ne soient plus en vu afin de descendre de son perchoir.
Marmonnements rufulesques.
Rufus alla houspiller le premier gars zous la main qui n'aurait pas mis ze qu'il fallait, là où il fallait pour lui.^^
Lndil
[Sur le domaine d'Ytres]

Les 3 voitures arrivaient sur le domaine d'Ombeline. Lndil demanda à Victo-Ygor de trouver un endroit dégagé non loin des bâtisses.

L'endroit trouvé, Erwyndyll et Lndil descendirent de leur véhicule.

Mon Amour, nous pourrions passer un bonjour à Ombeline... si toutefois elle n'est pas trop occupée... pendant que tes gens montent les tentes !

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Laureline_squire


[[Quand une princesse passe d'un monde magique au monde réel brutalement et sans prévention aucune.]]

Mercatel, chapitre I

Laurie dormait paisiblement dans son lit rêvant de rose, et de Na... enfin de prince.
Quand une voix féminine et vielle vint à son oreille, cette voix la petite la connaissait bien puisque celle de sa nounou depuis sa plus tendre enfance.
La blondinette ne bougea pas d'un cil continuant son rêve, enfin pas pour longtemps car elle chuta bien vite son lit, et ce coup ci, elle fut bel bien réveillée mais la voix féminine était devenue plus forte et masculine.


Groumph... Argh...


La fillette était furieuse elle se releva et avant de frotter son petit derrière squirien elle balança son oreiller à travers la pièce.


Non mais ça va pas bien la haut.
On réveille pas une princesse ainsi.
Groumph...


La journée de Laurie commença par une bouderie, la môme sortie de sa chambre en robe de nuit, furieuse, se frottant le derrière, elle claqua la porte et fila.
Elle traversa le domaine de sa mère, et fonça droit sur la chariote déjà prête pour Ytres.
Une fois devant la charrette la petiote fit demi tour elle avait omit un détail plus que important, la petite retraversa tout le domaine à toute jambe, puis revint dans sa chambre , elle attrapa le nain par la manche et l'entraina avec elle.


Pas le temps de manger Nainrick on est en retard.
Zou direction Ytres.
Tu viens Marie, maman nous attends.


Laureline dans sa chemise de nuit attrapa quelques victuailles sur le plateau de sa nourrice et repris le chemin des extérieurs du domaine les deux adultes à sa suite.
La marie ayant juste eut le temps de chopper les braies, la chemise et les chausses de la gamine, et Orick la poursuivant surement pour lui faire des misère encore.


Ytres, chapitre II

La petite troupe mercatélienne avait pris la direction de Ytres ou les joutes nobles devaient avoir lieux.
Laurie avait hâte d'y arriver sa maman devait y participer, et elle devait être son écuyère.
De plus la gamine savait qu'elle y retrouverait surement ses deux amis Nathy et Killian.
Tout avait été préparé la veille sous vigilance pour que rien ne manque, l'amure Néfiresque, l'installation chapiteaunesque, tout, rien ne devait et surtout rien ne manquait dans la liste.

Après quelques heures de voyage le petit groupe arriva enfin au domaine Ombilesque.
Après plusieurs étape, tel qu'un contrôle des identités, une petite dispute rufuslinesque et quatre ou cinq coup de coude, La troupe Mercatélienne trouva enfin l'emplacement ou tout devait être installé.
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