Tillas_hector
Écoutant les paroles de la Diaconesse, celles-ci firent directement mouche à l'âme du Soudard. Elles arrivèrent directement au plus profond de l'Hector. Elles résonnaient à ses oreilles, et ce faisant, elles raisonnaient en lui. elles apportaient, no pas réponse à ses questions, mais évidence du chemin parcouru. Évidence des erreurs passées. Évidence des mauvais choix qui l'avait guidé jusqu'à présent. C'est comme si la lumière venait à présent de se faire. L'expérience est une lanterne que l'on porte dans le dos, avait dit Confucius. Et c'était exactement le cas ici présent. C'était précisément ce dont il s'agissait à l'instant. Jusqu'à maintenant, il avait pratiqué un parcours de vie qui n'était surement pas sur les pas de dieu. qui n'était pas sur le chemin du Très-Haut. C'était sur. Mais il se rendait compte que la souffrance qu'il avait vécu, celle qu'il avait infligé, toutes les épreuves traversées n'avaient que pour but de l'éprouver, et qu'il puisse prouver sa foi. Prouver son amour du Seigneur, ce dont il n'avait même pas idée.
Regardant la diaconesse reprendre une gorgée de vin, Le Batârd se rendit compte que son regard changeait. Ses yeux avaient-ils aussi changé ? Ou bien n'était-ce que la lumière, qui d'un coup devenait plus éclairante ? Et cette lumière venait d'où ? De qui ?
C'était comme les mots de l'hagiographie de Gabriel, dont se remémorait Hector, souvenir d'une messe à laquelle il avait participé pour se cacher d'un larçin réalisé quelques minutes auparavant.
Hector prenait enfin conscience. Enfgin, il saisissait de ce dont il s'agissait. Intérieurement, il remerciait Le Seigneur pour deux choses.
La première, c'est de l'avoir aimé. de l'avoir suivi tout le long de ce chemin sinueux, ce chemin de traverse dans lequel les ténebres avaient entouré Hector, qui n'avait pas réussi à voir la lumière.
La seconde, c'est pour la diaconesse qui se trouvait devant lui, en ce moment. A cet instant présent. Sa lumière qu'Elle dégageait avec un naturel désarmant. Cette sérénité qu'elle diffusait à ce qui l'entourait et rendait tout si évident. Ce calme qui pouvait sans nul doute déplacer les montagnes. Elle avait une force intérieure qui avait d'abord intrigué le Soudard. Mais à présent qu'il ressentait pour la première fois ce que d'autres appelaient la Foi, il comprenait. Il saisissait ce qu'elle-même vivait surement à chaque instant. Alors, les lèvres d'Hector formèrent un sourire. Un de ceux inébranlable et qui n'était, ni condescendant, ni moqueur. Ni amusé, ni hautain. Juste un sourire compréhensif, un sourire qui acceptait la totalité de ce qui l'entourait, simplement parce que c'était là l'oeuvre de Dieu.
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Regardant la diaconesse reprendre une gorgée de vin, Le Batârd se rendit compte que son regard changeait. Ses yeux avaient-ils aussi changé ? Ou bien n'était-ce que la lumière, qui d'un coup devenait plus éclairante ? Et cette lumière venait d'où ? De qui ?
C'était comme les mots de l'hagiographie de Gabriel, dont se remémorait Hector, souvenir d'une messe à laquelle il avait participé pour se cacher d'un larçin réalisé quelques minutes auparavant.
- Car seule la souffrance pourra te faire voir que chaque jour juvre pour ton bien.
En te faisant souffrir je te ferai comprendre que sans moi rien nest et rien ne peut être.
Si je tobligeais à me suivre tu ne comprendrais pas en quoi il est bon de me suivre.
Tu mets du temps à comprendre, Homme, Et pourtant je taime.
Ne cherche pas, Le bonheur est là, Dans la simplicité de ton cur.
Hector prenait enfin conscience. Enfgin, il saisissait de ce dont il s'agissait. Intérieurement, il remerciait Le Seigneur pour deux choses.
La première, c'est de l'avoir aimé. de l'avoir suivi tout le long de ce chemin sinueux, ce chemin de traverse dans lequel les ténebres avaient entouré Hector, qui n'avait pas réussi à voir la lumière.
La seconde, c'est pour la diaconesse qui se trouvait devant lui, en ce moment. A cet instant présent. Sa lumière qu'Elle dégageait avec un naturel désarmant. Cette sérénité qu'elle diffusait à ce qui l'entourait et rendait tout si évident. Ce calme qui pouvait sans nul doute déplacer les montagnes. Elle avait une force intérieure qui avait d'abord intrigué le Soudard. Mais à présent qu'il ressentait pour la première fois ce que d'autres appelaient la Foi, il comprenait. Il saisissait ce qu'elle-même vivait surement à chaque instant. Alors, les lèvres d'Hector formèrent un sourire. Un de ceux inébranlable et qui n'était, ni condescendant, ni moqueur. Ni amusé, ni hautain. Juste un sourire compréhensif, un sourire qui acceptait la totalité de ce qui l'entourait, simplement parce que c'était là l'oeuvre de Dieu.
- Je comprends, Ma Dame.
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