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[RP] Trois lys, un léopard, du vin, des aigles, des cœurs...

Zoyah
... pas de doute, on est chez la Fourbe et le Curé.

    - - -

      - -



Ehhhhhhh ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ?! ... résonna le timbre clair de Zoé qui venait de se faire introduire dans le salon.

Mince... me serai-je trompée de jour ?! ...s’interrogea le héraut à haute voix et qui était venu pour un anoblissement à la « vas-y que je te pousse ». Parce qu’il y avait urgence....
Seul l’écho de sa voix lui répondit.

La pièce semblait pourtant tout à fait préparée pour recevoir quelques convives, il y avait même quelques cruchons de vin sur la table et puis le domestique n’avait manifesté aucune surprise.

Dans le dos de Zoyah un petit gazouillis se fit entendre ...
arrrruhhhhhh.....

Elle n’était pas venue seule. No,no,no. La jeune femme ne pouvait pas manquer l’occasion de présenter son tout-petit à ses chers amis. Ironie du sort, ils auront la primeur de voir le bébé avant son propre géniteur. Une petite chose emballée dans une couverture brodée, et carrée entre les bras confortable de la nourrice gitane, agitait deux minuscules poings.
Pourvu que Carmen ne soit pas obligée d’exposer son impressionnante paire de pis devant l’assemblée pour nourrir le bébé déjà doté d’un féroce appétit et de sacrés poumons. En résumé, le nourrisson avait hérité de la margoulette à son père et de son addiction aux nichons, mais pas pour les mêmes raisons.


Après s’être assurée que l’enfant était tranquille, Zoyah entreprit d’installer toutes ses petites affaires sur une table qui lui semblait tout à fait appropriée, en attendant les maîtres des lieux.

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Marie_du_lourdou
Et voilà on y était, Marie allait être anoblie. Elle n'osait pas sauter de joie car soit disant qu'il fallait de la retenue une fois que l'on devenait une dame, mais Marie se sentait euphorique à l'intérieur d'elle même. Devenir la vassale de Cyrinea, même dans ses plus beaux rêves, elle n'aurait pu l'imaginer. Elle appréciait par dessus tout son amie et était très fière de devenir sa vassale. Quand elle le lui avait demandé, Marie avait ressenti beaucoup d'émotion et avait accepter avec joie. Et maintenant c'était le grand jour. C'est accompagné de son Theo que Marie se rendit dans la demeure d'Ornon, la demeure du Duc Kronembourg. Durant le chemin, elle se souvint de sa rencontre avec Kro et penser qu'un jour il deviendrait lui aussi un de leurs amis la fit sourire. Qui l'eut cru, lui un ancien GPS, curé cistercien par excellence, n'avait pas su résister au charme de Cyrinea et depuis était devenu un membre des R$P. Lui qui combattait contre les Réformés à une époque, les côtoyait et Marie sourit en repensant que son Theo ne désespérait pas de le reconvertir à la Réforme.

Plongée dans ses pensées, Marie n'avait pas vu le temps passé et se trouva surprise de se retrouver devant le château d'Ornon. D'un coup elle se trouva intimidée et prit la main de son Theo qu'elle serra fort dans la sienne afin d'y puiser la sérénité dont il faisait toujours preuve. Elle le regarda et lui fit un grand sourire avant de se diriger vers la porte d'entrée et de se présenter.


Bonjour, Je suis Marie du Lourdou et voici mon époux, Theodore du Lourdou. Nous sommes attendu par sa Grâsce Cyrinea de Rondot.

Après les formalités d'usage, on les fit entrer et on les conduisit dans le salon ou devait se dérouler la cérémonie. Zoyah était déjà arrivée et Marie alla la saluer, toujours accompagner de son Theo dont elle n'avait pas lâcher la main. Elle remarqua l'enfançon dans les bras de la nourrice qui se tenait près de l'Héraut.

"Tiens, Zoyah a un enfant ? C'est qui le père ? Se demanda Marie la curieuse. Puis elle sourit à Zoyah.

Bonjour Zoyah ! Comment vas tu ?

Marie lui sourit et tourna sa langue sept fois dans sa bouche, d'habitude elle la tournait dans la bouche de son Theo mais là elle ne pouvait pas le faire, pour éviter de faire sa curieuse puis attendit la suite des évènements.
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Zoyah
*Plic*

Zoyah venait de poser au mur le dernier oriflamme, celui de Carbonnière lorsqu’une présence dans son dos l’alerta. Marie était loin de le savoir, mais en réalité la baronne avait deux enfants. Un garçon de presque sept ans dont le père avait trépassé avant la naissance pour le plus grand désespoir de Zoyah, et le nouveau-né qui gesticulait dans les bras de Carmen. Le nourrisson de deux semaines était le fruit d’une relation sérieuse d’environs un an mais qui n'auait jamais le droit de se vivre au grand jour. Hélas...
Du reste, ils n'avaient été très friands des manifestations d'affection en public.

Un sourire étira la lippe charnue du héraut qui, tout doucement, reprenait de sa superbe après un épuisant accouchement.


Le Bonjour Marie. Ma foi je porte mieux qu’il y a quinze jours... un coup d’œil sur le bébé avant de braquer ses azurs sur l’encadrement de la porte.

Et vous donc ? ... s’adressant aux deux... Avez-vous aperçu Cyrinéa et ... David Stanislas ? ... allez savoir pourquoi, nommer Kro par ses prénoms lui donnait toujours une profonde envie de ricaner bêtement.

J'espère qu'ils ne nous ont pas concocté une partie de cache-cache du genre que si nous ne les trouvons pas, il n'y a pas de cérémonie... on sait jamais.

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Marie_du_lourdou
Marie regardait les blasons accrochés au mur tout en écoutant Zoyah. Franchement elle le trouvait très beau son blason et se foutait éperdument des moqueries du clan R$P sur le fait qu'elle avait fait mettre des cœurs dessus. Puis elle répondit à Zoyah.

David Stanislas ? Ah voui ! Kro ! Enfin le Duc d'Ornon. Nan, on les a po croisé. Et on va très bien. Félicitations pour le joli enfançon.

Marie sourit à Zoyah.

Citation:
J'espère qu'ils ne nous ont pas concocté une partie de cache-cache du genre que si nous ne les trouvons pas, il n'y a pas de cérémonie...


Hannn !! Ils en serait capables hein ! Ou alors, ils sont en train de choisir la couleur des bas pour Cyr et là... *long soupire* ... On risque d'attendre un très grand moment.

Surtout s'il prend la fantaisie à Kro de vouloir les enlever avec les dents, pensa t'elle.

Nous reste plus qu'à attendre patiemment.
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Xanthi
[sur les chemins ....]


Ils en avaient fait de la route les Dudus et elle .... Ils avaient vécu bien des aventures avant de devenir les amis qu'ils étaient aujourd'hui. Ils lui avaient sauvée la vie, elle donnera la sienne pour eux s'il le faut sans état d'âme.
La guerre était arrivée, elle avait pris parti pour le Roy, elle était partie en mission pour sa Duchesse.
L'amour l'avait attrapée par surprise durant ce laps de temps.
Elle leur avait présenté l'homme, celui qui avait su l'apprivoiser, celui qu'elle avait épousé à Genève avec eux pour témoins.
Dans son coeur, Xanthi était déjà la vassale de sa Dudue. Ce sera un honneur et une fierté de recevoir ce titre.
La lettre l'avait trouvée quelque part dans les Royaumes et ils avaient repris gaiement la route.
Elle aimait cet homme qui ne se lassait pas d'elle, qui acceptait de lui faire l'amour partout, tout le temps, dès qu'elle en avait envie, c'est à dire matin, midi, soir, nuit .... tout le temps, quoi !


Aris, mon mari, nous devons accélérer le pas de nos montures.

Un rire, des baisers échangés, des murmures, des gémissements plus tard .....
Ses jupons à la taille, allongée à moitié nue sur lui, comblée et heureuse, elle caresse son torse nonchalamment, jouant la fâchée, d'un ton outré, elle murmure :


Aris, mon Démon, nous sommes attendus, aidez-moi à réajuster ma tenue !

Elle se relève, rit de bon coeur et se laisse habiller par lui, caresser, embrasser aussi, pour mieux le regarder encore. Puis elle l'aide à son tour et c'est dans la soirée qu'ils arrivent en vue du château d'Ornon.
Aristode
[sur les chemins ....]

Parce que son désir de servir la couronne sera toujours le plus fort ,parce qu'il le valait bien aussi, le jeune Aristode de Nanteuil était en route et chevauchant à ses cotés ,il y avait son double des plus que parfait, sa femme Xanthi ,démone ange de ses nuits comme de ses jours ,sujet de toutes ses études et qui le restera à jamais ,parfaite parmi les graciles. ô vous ma dame puissiez- vous comprendre la soif que j'ai de ne jamais être rassasié de votre tout ,mon tout d'à moi . Heureux l'A.D.N ,de savoir que pour une fois il ne courrait point à la guerre ,mais bien vers l'anoblissement de son tout d'à lui .


...''Aris, mon mari, nous devons accélérer le pas de nos montures ... ''

C'est avec le sourire aux lèvres qu'il lui répond:

Vos désirs sont des ordres ma dame ,il en sera donc fait selon votre volonté ... mais voyons ma démone ange ...vous voulez que je rajuste ?????
; sourire en coin et mirettes qui pétillent ; alors que je n'aie que le désir ,que de tout désajuster et tout empiler ? ;Soupir ;Allons il faut que la raison l'emporte sinon ... ; soupir; ... Vous allez être en retard et ce n'est n'y le jour n'y le moment de l'être .

Il l'aide comme elle l'aide ,les gestes sont précis ,il ne portera aucune couleur n'y ornement ,pas de Creil n'y de Souvigny ,même de Nanteuil d'aura de son côté le droit de citer . Il veut par cet acte honorer comme il se doit son épouse et il veut qu'elle voit la fierté qu'il aura à porter si elle le désire leurs couleurs entrelacées .
Theodore_du_lourdou
Nous n'avons vu ni sa Grâce le Duc, ni sa Grâce la Duchesse, bien malheureusement. Répondit-il à la demande de Zoyah, après avoir laissé à son épouse le privilège de répondre en premier.

Il avait au préalable salué Zoyah avec toute la déférence qu'impose sa charge de Héraut et son titre de Baronne. Le sourire quant à lui, léger comme toujours, était là car elle est une amie. Le jour est important, car il s'agit de l'accession à la noblesse de son épouse. Il s'est donc habillé en conséquence. Austère, comme toujours, mais une austérité flamboyante si tant est que cela puisse exister. Dans les faits, cela se traduit par des vêtements teintés de noir mais taillés dans les plus belles pièces d'étoffes brodées que l'on puisse trouver sur les marchés de Bordeaux ou de Montauban.

Inévitablement, le regard céladon du Seigneur de Tombebœuf est venu se poser sur la petite chose maintenue derrière Zoyah dans les bras d'une nourrice qu'il n'aurait pas aimé avoir enfant, de peur de finir étouffé par les poumons hypertrophiés de cette dernière. Peut être - se dit-il - qu'il serait bon de lui faire la remarque. Mais dans l'instant c'est autre chose qu'il envisage.


Ces Dames désirent-elles quelque chose à boire pour patienter ?
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Cyrinea
Ce sera avec plaisir, minauda-t-elle en réponse à Theodore tout en franchissant la porte.

La Duchesse était rayonnante car c’était un grand jour. Un jour de partage, un jour de serments, non pas de ceux que le statut de noble impose de donner ou de recevoir, non. De ceux que l’on choisit car l’on sait que l’on a traversé des épreuves et que des amis qui nous sont chers ont toujours été là.

Elle alla d’abord saluer Guyenne avant de couler un doux regard vers son enfant, espérant que Berthelot n’allait pas oublier de se pointer à la fin de la cérémonie avec le présent qu’elle avait préparé à son intention.


Merci Zoyah, tu es parfaite, comme toujours.

Elle présenta sa main aux deux hommes présents avec un léger sourire. Protocole oblige, la décontraction viendrait à la fin.

J’espère que vous avez fait bon voyage Aris. Theo, tu es beau comme un astre !

Elle rit doucement puis s’avança vers Xanthi qu’elle prit dans ses bras pour la serrer un instant.

C’est un grand jour pour moi tu sais mon amie….

S’avança alors vers Marie et renouvela le geste.

Je suis fière que tu sois ici.

Comme elle était au bord de l’émotion, la sobriété était son seul salut et elle n’en dit pas plus pour l’instant mais s’avança vers le buffet.
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Image trop lourde.
Enlevée par Mouchette admin forum.
Kronembourg
[ Bureau attenant au salon - Pas loin - Juste à côté en fait ]


Citation:
- Dans une baignoire remplie d'écus
- Dans l'armée de Garzimlebo
- A la clairière de Montauban
- Dans une décharge publique
- Dans une église - Sur et Sous l'autel/Dans le bénitier/Dans le confessionnal/Dans la sacristie/Sur la charpente
- Derrière un rideau aux prochaines allégeances
- Dans une fosse commune
- Sous un tapis
- Dans un lit ?


Bottes sur son bureau de travail et chaise mise en bascule contre le mur, le Duc complétait consciencieusement sa liste d'endroits où il élaborait de passer des moments intimes avec sa Sublime.
Il en était resté à " Sur une planche de fakir " la dernière fois qu'il lui avait écrit et c'est en se passant l'extrémité de sa plume sur le rebord de ses lèvres qu'il se concentrait pour réunir de nouvelles idées, jusqu'à ce que Berthelot s'introduise discrètement dans le bureau ducal, un paquet à la main.
Stanislas l'interrogea du regard.
En une seconde, il venait de comprendre qu'il avait complètement oublié quel jour nous étions.


[ Salon Ducal, quelques minutes plus tard ]



A sa décharge et sans mauvais jeu de mots, il faut dire que tout s'était décidé très vite. Non seulement pour le choix des amis qui aujourd'hui se verraient élevés aux rangs de Seigneurs et Dames - Ah bah non, il n'y aurait pas de Seigneur - mais aussi pour celui de la date.

Ce fut la présence du bébé qui attira son attention en tout premier lieu. Dieu que le temps passait vite. Le futur guerrier/super warrior qu'était de petit Domnec avait déjà quelques semaines. Stanislas ne manqua pas de venir gazouiller un instant à ses côtés avant de lancer un regard approbateur vers l'adorable Zoyah qui avait eu la gentillesse d'organiser pour eux cette cérémonie si rapidement.
Tout le monde semblait présent, ponctuel, et même un rien solennel. Qui aurait cru il y a encore quelques mois que le Kro serait ravi d'accueillir le couple du Lourdou en ses murs. Même si bien sûr, il n'en montrerait jamais rien et surtout pas au pasteur.
On a sa fierté de curé.
Comme tout le monde semblait rassemblé près du buffet, il se joignit à la duchesse et à ses invités.


Soyez les bienvenus chez Bénauges & Ornon.Prononça la voix rocailleuse, tandis que son regard se promenait entre Aristode et le ventre de Xanthi. J'espère que cette journée vous apportera autant de joie que je peux en éprouver, en vous accueillant ici.

Et mentalement, il ajouta à sa liste :

Citation:
- Sur un buffet rempli de pâté.

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Marie_du_lourdou
Et voilà, les deux grâces étaient arrivées. Xanthi et son époux aussi. Il en manquait encore surement vu le nombre d'étendards accrochés au mur. Marie rendit l'accolade à Cyr et lui sourit, une boule d'émotion dans la gorge la laissant sans voix. Marie se rapprocha aussi du buffet, même si elle n'était pas tenaillée par la faim. Cela occupe les mains et la bouche, ça lui évitera de parler et de sortir une blague. Malgré tout, avant d'enfourner le premier petit four, elle fit une révérence - et oui elle s'était entrainée à la faire, cette fichue révérence - devant le Seigneur d'Ornon et le salua.

Bonjorn Vostre Grai... - allons ! allons, se morigéna t'elle, ce n'est pas le moment de sortir une vanne, ni l'endroit. Marie jeta un regard vers son Theo, devait elle lui sauter dessus afin de tourner sept fois la langue dans sa bouche à lui. Marie secoua la tête, non ce n'était ni l'endroit ni le moment non plus. Marie se reprit et toussota puis afficha un sourire amusé, le curé comprendrait surement qu'elle se retenait de lui sortir sa vieille blague.-

Bonjorn Vostre Grasce, vous avez l'air en pleine forme ! L'air de la campagne sans doute !

Marie enfourna le petit four, histoire de ne pas en rajouter.
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--Domenc
Niché entre les bras chauds de sa nourrice, le petit Domenc Eusaias roupillait comme un bien heureux.
Baigné, langé et nourri avant de venir, le marmot de quinze jours n'aspirait qu'à une chose, dormir !
De la couverture brodée s'échappait une petit bouille bien joufflue au teint légère mat.
La minuscule figure était parée d'une bouche ourlée dont le pli intransigeant n'était pas sans évoquer une expression paternelle et laissait deviner un futur caractère en acier trempé.
Le marmot n'était pas particulièrement grand, mais semblait déjà doté d'une solide constitution.
En gros, c'était du beau poupon bien potelé.
Et comme ça s'agitait autour de lui, le nourrisson bien dodu poussa un gros soupire.
Il entrouvrit un oeil bleu foncé qui roula sous sa paupière, émit quelques sons
.. rmmmffr uurtrrrrrmmffrrrrr et le referma aussi sec, insensible à ce qui se passait autour de lui.
Domenc faisait une micro sieste.
Xanthi
[un petit pas dans le salon ....]


Voilà à peine la porte du salon passée, elle voit des personnes qu'elle apprécie. Dame Zoyah, toujours aussi belle et magnifique, Dame Marie, la sérénité féminine, qu'elle a rencontrée plusieurs fois avec plaisir, son époux qu'elle connait peu et ses Dudus zadorés.

Elle accepte de bon coeur l'accolade de son amie, lui sourit même et en profite, une fois n'est pas coutume pour l'embrasser et répondre :


Tu sais bien que même sans cela, je suis déjà ta vassale, mon amie.

Un clin d'oeil, un sourire, des amies, elle en a peu et Cyr est la première de la liste suivie de Belt.
Elle remarque le regard de Kro, lui fait un clin d'oeil en signe de salut, pose la main sur son ventre encore plat. L'équation est pourtant à peine ébauchée, elle se penche vers Aris, chuchotant :


Mon époux, mon ventre est encore plat, n'est-ce pas ?

Sa poitrine s'est arrondie, il est vrai que ses vêtements épousent ses formes et les révèlent élégamment et discrètement. Elle lui sourit, son autre main posée sur le bras d'Aris, elle l'entraine et s'avance vers Zoyah, Marie et son époux :

Le bon jour, je suis ravie de vous revoir. Connaissez-vous mon époux, le sieur Aristode de Nanteuil ?

Puis continuant les présentations :

Aris, je vous présente Dame Zoyah, dite Guyenne, Marie du Lourdou et son époux Théodore.

Elle s'incline avec élégance, les révérences n'ont aucun secret pour elle, allez donc savoir pourquoi .....
elle ajoute pour son Aimé :


Tu vas te sentir bien ici, le sieur Théo est pasteur réformé.

Elle sourit de plus belle. Oui, elle est baptisée et fréquente tout le monde. Les affinités ne se discutent pas, elle se vivent.
Marie_du_lourdou
Marie sourit à Xanthi et la salue en retour après avoir avalée le petit four et vidée le verre de vin, si gentiment offert par son Theo, sans s'étranglée.

Lou bonjorn Xanthi, ravie de vous revoir aussi.

Puis salutation à l'heureux époux, après léger pliage d'un genoux tout en remontant vaguement la robe, pas trop non plus pour pas faire vulgaire, mais un peu quand même pour pas monter dessus et se retrouver les quatre fers en l'air en se prenant les pieds dedans, avec légère inclinaison de la tête.

Lou bonjorn Messer Aristode, ravie de vous rencontrer.

Marie sourit au jeune couple, ravie de revoir Xanthi qu'elle n'avait pas revu depuis le baptême de cette dernière, où d'ailleurs Cyrinea avait justement choisi ce moment pour mettre au monde le petit Hugues.
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Aristode
[un petit pas dans le salon .... mais un grand pas pour l'humanitaire guerrier qu'il est ... ]

Juste le temps de claquer ses hommages à la gracile des lieux de faire
'' coucou mon père...vi vi j'ai encore énormément péché ... '" et voila que sa foule d'à lui tout seul , l'embarque pour une présentation en règle des convives ; halte là!, t'à tes papiers, nom, sexe, grade, âge d''abite chez tes parents ? nan chez ma copine répondit l'écho ; le traditionnel cérémonial entre gents de bonne société .
Il s'y plie heureux de mieux connaitre l'univers de son épouse, parce qu'il faut bien le dire depuis leur rencontre ils ont passé même pas un mois complet sur les terres de ce duché .


...Mon époux, mon ventre est encore plat, n'est-ce pas .. .

Il le sait, nan il n'est pas gros, donc encore plat, seule l’harmonie et la volupté que lui procure là vu de ses seins changeants pourrait trahir le fait quelle porte un enfant .

Ma dame vous êtes sublime et croyez-moi la vue de ses longues tables alignées me donne l'envie d'écarter les pâtés et de vous y allonger ...j'aurais comme cela tout le loisir de vous déguster ...
chuchote-t-il alors qu'ils arrivent devant les premières présentations .

... Ravis de vous rencontrer et d'être parmi vous, retoque-t-il a l'ensemble des personnes présentées ... enfin je pourrais percer le dernier mystère qui plane encore sur ma femme ... ... ...
Connaitre avant ce qu'était sa vie, avant que nous décidions d'en bâtir une à deux ...


Il, incline la tête devant la révérence faite

Enchanté de vous connaitre ma dame c'est un régal de pouvoir partager un moment de paix, de joie et de partage ...
Theodore_du_lourdou
Un geste au valet du Duc d'Ornon et quelques instants plus tard les voilà coupes de vin en métal dans les mains. D'ordinaire la sobriété du Seigneur de Tombeboeuf - qui accessoirement est aussi Pasteur de la Réforme Aristotélicienne - est totale, mais aujourd'hui il s'agit de fêter un événement. C'est pourquoi il s'autorise à boire quelques coupes avec un certain plaisir.

Dans le laps de temps séparant la requête formulée au valet et la livraison en vin de ce dernier voilà que Cyrinea lui tends la main. Devait-il la serrer et la secouer fermement quitte à lui briser les os de la main ? Assurément non ! Alors bon gré il se plie au "protocole" et viens embrasser - plus vraisemblablement effleurer du bout des lèvres parce qu'il n'est pas un porc - non pas la main de la Duchesse mais l'une de ses bagues. Comme le ferait un bon papiste avec la main d'un Cardinal. Et puis merde quoi, il ne va tout de même pas embrasser la main d'une autre femme.

Merci Duchesse. Mais ma foi toutes ces Dames sont magnifiques aujourd'hui bien que je le reconnais aisément mon épouse à mes yeux est telle un soleil qui, resplendissant, m'éblouis et captive mon attention.

Un sourire à son épouse et une gorgée de vin plus tard, il s'adresse au couple Ducal.

Quoi qu'il en soit cette assemblée pourrait aisément faire pâlir de honte la cour des Ducs de Guyenne. Compliment qui pourrait passer pour flatterie si l'on ne connait pas la composition de la noblesse de Guyenne. Mais au fait ? Qui manque-t-il à l'appel ?

Et à peine le temps d'avaler une nouvelle gorgée de vin que des présentations sont faites. Il détaille le couple. La femme lui dit quelque chose, son prénom aussi. L'homme par contre lui est totalement inconnu. En guise de salut, il incline légèrement le chef vers le bas alors que le torse s'incline légèrement à son tour.

Donà, Senher, embelinat *. Xanthi, si je ne m'abuse, vous étiez à Montauban quand nous avons combattu Archybald ?

En attendant la réponse, il se tient là, le buste droit, le visage fier et la coupe de vin non loin des lèvres. Du coin de l’œil il observe le Duc d'Ornon. Il s'attarde sur ses habits. Car bien que le cistercien soit devenu un ami, il ne saurait être question qu'un Curé soir mieux sapé qu'un Pasteur.

* Dame, Seigneur, enchanté.
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