--Pere_comis
Le Père Comis n'a plus grand chose à faire, en l'hôtel de Culan.
Alors, il prie. Après tout, c'est son rôle.
Il prie pour le salut de l'âme de Dame Maryan, partie rejoindre le Très-haut.
Il prie pour la sauvegarde du corps mortel de Monseigneur Gabriel, nommé évêque chez des hérétiques qui ont juré la mort de tout noble, de tout aristotélicien. Un évêque noble, c'est pain bénit pour ces suppôts du Sans-nom.
Il prie pour Demoiselle Anne, si frêle, si malheureuse qu'elle est une proie toute désignée pour le Sans-nom.
Il prie pour Messire Walan, que l'on ne voit plus en-dehors des couloirs du Castel de Lyon, depuis la funeste nouvelle.
Il prie pour Messire Homme_des_bois, qui avait juré de prendre soin de Dame Maryan, lors de son veuvage, et n'a pu la protéger de la maladie.
Il prie pour Messire Hugoruth, dont la charge écrasante à la Cour d'Appel mange les jours et les nuits.
Le Père Comis prie aussi pour lui. Le bon moine a perdu un peu de sa confortable bedaine, ces derniers temps. Il se demande s'il a bien rempli sa tâche, s'il a su conforter en Anne la foi reçue à son baptême, de façon à la mettre à l'abri des manigances du Sans-nom.
Le Père Comis est inquiet.
Alors, il prie. Après tout, c'est son rôle.
Il prie pour le salut de l'âme de Dame Maryan, partie rejoindre le Très-haut.
Il prie pour la sauvegarde du corps mortel de Monseigneur Gabriel, nommé évêque chez des hérétiques qui ont juré la mort de tout noble, de tout aristotélicien. Un évêque noble, c'est pain bénit pour ces suppôts du Sans-nom.
Il prie pour Demoiselle Anne, si frêle, si malheureuse qu'elle est une proie toute désignée pour le Sans-nom.
Il prie pour Messire Walan, que l'on ne voit plus en-dehors des couloirs du Castel de Lyon, depuis la funeste nouvelle.
Il prie pour Messire Homme_des_bois, qui avait juré de prendre soin de Dame Maryan, lors de son veuvage, et n'a pu la protéger de la maladie.
Il prie pour Messire Hugoruth, dont la charge écrasante à la Cour d'Appel mange les jours et les nuits.
Le Père Comis prie aussi pour lui. Le bon moine a perdu un peu de sa confortable bedaine, ces derniers temps. Il se demande s'il a bien rempli sa tâche, s'il a su conforter en Anne la foi reçue à son baptême, de façon à la mettre à l'abri des manigances du Sans-nom.
Le Père Comis est inquiet.