Lavoyageuse
Voya vit arriver Bacchus à la porte, elle le regarda, elle n'avait jamais vraiment aimé cet homme, lui et la Matheline, elle ne les appréciait pas énormément, pourquoi? elle ne le savait pas elle-même, juste un ressenti, une maladresse de sa part puisqu'elle ne les connaissait pas.
Voya avait fait beaucoup d'erreurs de jugements dernièrement alors peut être qu'il était temps pour elle d'arrêter de se protéger des autres en les jugeant. Peut-être était-il dans de donner sa confiance aux bonnes personnes. Elle posa ses yeux sur Bacchus et l'écouta, il est vrai que cet homme et la matheline avait toujours été là pour Anne, quand elle avait perdue sa mère et son frère plus récemment, ils ne l'avaient pas abandonné. Voya se souvenait de ce qu'elle avait ressenti quand sa mère était morte dans ses bras, elle aurait voulu avoir un Bacchus ou une matheline près d'elle et ensuite même chose quand elle avait appris la mort de son frère.
Voya réalisa que son histoire et celle d'Anne finalement n'était pas si éloignées, et au lieu de la comprendre, Voya l'avait jugée et mal qui plus est. Voya avait été obligée de grandir trop vite et de devenir adulte rapidement, mais au fond d'elle, il y avait une petite fille qui avait refusée de grandir, une petite fille qui réclamait sans cesse attention et affection, une petite fille qu'elle protégeait tant bien que mal et qui faisait d'elle une femme gentille mais qui se faisait souvent avoir. Voya savait tout ça parfaitement et en voyant Bacchus elle se demande si Anne avait au fond d'elle cette même petite fille qui souffrait en permanence d'un terrible sentiment de solitude et de doute. Elle avait beau se battre contre ça, quand on a grandi sans maman et sans personne pour vous guider ce n'est pas facile. Ce que Anne devait souffrir!
Voya revint d'un coup à elle, combien de temps était-elle restée pensive devant Bacchus? Elle bafouilla et se reprit:
Euh... euh... Et bien oui je souhaiterais l'attendre si c'est possible.
Voya avait fait beaucoup d'erreurs de jugements dernièrement alors peut être qu'il était temps pour elle d'arrêter de se protéger des autres en les jugeant. Peut-être était-il dans de donner sa confiance aux bonnes personnes. Elle posa ses yeux sur Bacchus et l'écouta, il est vrai que cet homme et la matheline avait toujours été là pour Anne, quand elle avait perdue sa mère et son frère plus récemment, ils ne l'avaient pas abandonné. Voya se souvenait de ce qu'elle avait ressenti quand sa mère était morte dans ses bras, elle aurait voulu avoir un Bacchus ou une matheline près d'elle et ensuite même chose quand elle avait appris la mort de son frère.
Voya réalisa que son histoire et celle d'Anne finalement n'était pas si éloignées, et au lieu de la comprendre, Voya l'avait jugée et mal qui plus est. Voya avait été obligée de grandir trop vite et de devenir adulte rapidement, mais au fond d'elle, il y avait une petite fille qui avait refusée de grandir, une petite fille qui réclamait sans cesse attention et affection, une petite fille qu'elle protégeait tant bien que mal et qui faisait d'elle une femme gentille mais qui se faisait souvent avoir. Voya savait tout ça parfaitement et en voyant Bacchus elle se demande si Anne avait au fond d'elle cette même petite fille qui souffrait en permanence d'un terrible sentiment de solitude et de doute. Elle avait beau se battre contre ça, quand on a grandi sans maman et sans personne pour vous guider ce n'est pas facile. Ce que Anne devait souffrir!
Voya revint d'un coup à elle, combien de temps était-elle restée pensive devant Bacchus? Elle bafouilla et se reprit:
Euh... euh... Et bien oui je souhaiterais l'attendre si c'est possible.