Ceydan.izmir
Absurde abandon de soi, comment mettre des mots sur les inexorable alternations de chaque émotions quil était capable de ressentir à cet instant. Dune violence extrême, la lame suante du désir de sang, les voilà à présent agenouillé lun en face de lautre, si près. Son regard se noie dans locéan azur de ses prunelles, son âme soumis à la douceur de cette main. Ses yeux se ferment pour graver à jamais dans sa mémoire ce tableau qui sera pour lui à jamais et pour toujours.
Doucement, les iris émeraude surgissent derrière le voile de ses paupières qui se lève. La main glisse sur lépaule de litalienne, les doigts effleurent le bras pour ne pas oublier cette douceur, avant de venir poser sa paume sur celle de Théréza. Leurs mains se joignent en une union indiscrète, leurs doigts senlacent dans une pulsion incomprise. Et lhomme détache de sa joue la chaleur pourtant enivrante, la douceur pourtant exaltantes, que la blonde procure à ce « Perse ».
Ne laisse pas mon cur souffrir de toi,
Ne laisse pas ta douceur effacer mes malheurs,
Ne deviens pas mon pardon,
Reste à jamais létoile dune nuit.
Ses deux mains viennent enlacer cette main dapparence si fragile qui se tenait sur sa joue. La culpabilité était son souffle de vie, sans elle il nétait rien. Chaque homme vit de principe, de règles même le plus gueux des esclaves. Entre ses mains, elle était morte fuyant le monarque de cette terre sous la volonté de Ceydan, plongeant pour intercepter la flèche qui aurait dû lui prendre sa vie. Comment ne pas être coupable de cet acte. Chaque décision de lhomme avait mené à la déchéance dune vie, si seulement
Je ne pourrai jamais oublier qui ce que je suis car il nexiste dhomme sans attache.
Alors ses propres mains ouvrent un à un les boutons de sa chemise. Mouvement des épaules, puis des bras, la chemise se dégage pour laisser la place à un torse parfaitement dessiné derrière les multiples lacérations. Le dos, lui, est meurtri de lacérations aussi longues que tranchantes.
Je ne suis homme que depuis peu
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Doucement, les iris émeraude surgissent derrière le voile de ses paupières qui se lève. La main glisse sur lépaule de litalienne, les doigts effleurent le bras pour ne pas oublier cette douceur, avant de venir poser sa paume sur celle de Théréza. Leurs mains se joignent en une union indiscrète, leurs doigts senlacent dans une pulsion incomprise. Et lhomme détache de sa joue la chaleur pourtant enivrante, la douceur pourtant exaltantes, que la blonde procure à ce « Perse ».
Ne laisse pas mon cur souffrir de toi,
Ne laisse pas ta douceur effacer mes malheurs,
Ne deviens pas mon pardon,
Reste à jamais létoile dune nuit.
Ses deux mains viennent enlacer cette main dapparence si fragile qui se tenait sur sa joue. La culpabilité était son souffle de vie, sans elle il nétait rien. Chaque homme vit de principe, de règles même le plus gueux des esclaves. Entre ses mains, elle était morte fuyant le monarque de cette terre sous la volonté de Ceydan, plongeant pour intercepter la flèche qui aurait dû lui prendre sa vie. Comment ne pas être coupable de cet acte. Chaque décision de lhomme avait mené à la déchéance dune vie, si seulement
Je ne pourrai jamais oublier qui ce que je suis car il nexiste dhomme sans attache.
Alors ses propres mains ouvrent un à un les boutons de sa chemise. Mouvement des épaules, puis des bras, la chemise se dégage pour laisser la place à un torse parfaitement dessiné derrière les multiples lacérations. Le dos, lui, est meurtri de lacérations aussi longues que tranchantes.
Je ne suis homme que depuis peu
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