Thereza
Les Vitalis étaient donc une grosse famille. Elle n'avait eu que quelques échos lorsqu'elle avait entreprit de chercher ses origines, pour finalement tomber sur Jenifael. Elle avait encore tout à apprendre sur les siens, et leur passé qui était aussi un peu le sien. Le fait que la famille ai des bordels lui fit tirer une grimace. Ce n'était pas l'endroit qu'elle préférait, mais si cela devait faire parti d'un possible futur, elle devrait surement s'y faire. Plantant son regard sur sa cousine, elle ne pu sempêcher de remarquer se sourire qu'elle n'avait encore jamais vu. Dérangeant, mais terriblement beau dans un sens.
- Ma vie.. Je ne peux pas te dire grand chose.. Comme tu le sais, j'ai cherchée à te trouver, trouver la famille. En Orléans, je suis ambassadrice pour le Périgord-Angoumois et le Béarn. Il ne se passe rien là-bas.. Je pense partir en voyage, ce ne peut que me faire du bien.. Et parfois.. J'ai des souvenirs qui reviennent.. Il me semble être venue en Bretagne, mais je n'étais pas seule. Je ne peux te dire plus de chose, je ne me rappel de rien, et rien ne se passe à Patay.
Triste réalité, mais aussi triste quotidien. Souriant à sa blondinette quand elle lui mit une mèche derrière l'oreille. Rougissant au compliment, elle poussa délicatement ses cheveux derrière ses épaules.
- Si je te ressemble.. Alors j'accepte le compliment. Les hommes sont vraiment ainsi alors ? Je n'ai.. je n'ai jamais côtoyer d'hommes tu sais.
- Ma vie.. Je ne peux pas te dire grand chose.. Comme tu le sais, j'ai cherchée à te trouver, trouver la famille. En Orléans, je suis ambassadrice pour le Périgord-Angoumois et le Béarn. Il ne se passe rien là-bas.. Je pense partir en voyage, ce ne peut que me faire du bien.. Et parfois.. J'ai des souvenirs qui reviennent.. Il me semble être venue en Bretagne, mais je n'étais pas seule. Je ne peux te dire plus de chose, je ne me rappel de rien, et rien ne se passe à Patay.
Triste réalité, mais aussi triste quotidien. Souriant à sa blondinette quand elle lui mit une mèche derrière l'oreille. Rougissant au compliment, elle poussa délicatement ses cheveux derrière ses épaules.
- Si je te ressemble.. Alors j'accepte le compliment. Les hommes sont vraiment ainsi alors ? Je n'ai.. je n'ai jamais côtoyer d'hommes tu sais.