Atropine
L'amour fait mal, souvent, mais un jour, logiquement, le bon revient et on en oublie le mauvais.
Mais quand le mauvais est plus présent ?
Quand la douleur est constante ?
Quand la confiance n'est qu'illusion et qu'un nuage noir stagne au dessus du couple, que faire ?
Eliance avait choisit. Elle abandonnait et sauterait de sa falaise.
Atro avait peu d'amis. Déjà, parce qu'elle a un caractère de merde, ce qui n'est pas négligeable et ensuite, parce que son franc parler et son manque dempathie avec les inconnus n'aident pas non plus à créer des liens. Et le peu qu'elle a elle y tient. Aussi impossible pour elle de regarder la femme bafouée sombrer et sauter dans le vide. Mais, à part l'attacher à elle, il n'y avait pas milles solutions. Une fois son fils couché et son fiancé endormit la demie portion s'était donc levé et avait espionné la chambre de son amie. De la lumière, un peu de bruit, elle était là, en vie visiblement. Des sanglots ? Possible, peu importait, elle n'avait pas disparu, ne s'était pas jeté dans le vide de désarrois.
Alors la demie portion resterait là. Son blond était au courant. Il saurait où la trouver au besoin. Alors, elle s'adossa à la porte de la belle rousse et s'endormit, enfin, essaya. Car à peine avait elle réussit à fermer l'oeil que son fils réclama son dût.
Le sein donné, l'enfançon repût et voilà Atro qui revient devant la porte. Réécoute, se rassure à nouveau, se rendort et rebelote ! Elle aura passé sa nuit à ça, la dragonne. A veiller sur son amie, de la seule façon qu'elle avait trouvé. Mais, au petit matin, enfin, elle trouva le sommeil. Enfin, jusqu'à ce que chacun sorte de sa chambre et ne fasse un raffut du diable. On aurait dit un lendemain de cuite pour la brunette. Mais sans les bons souvenirs.
Faire bonne figure ... Rejoindre sa chambre, se laver, se changer, profiter de son blond et reprendre la rousse en filature.
Et vite, déjà la meringue sort de sa chambre. Mais elle va où, déjà ?
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Mais quand le mauvais est plus présent ?
Quand la douleur est constante ?
Quand la confiance n'est qu'illusion et qu'un nuage noir stagne au dessus du couple, que faire ?
Eliance avait choisit. Elle abandonnait et sauterait de sa falaise.
Atro avait peu d'amis. Déjà, parce qu'elle a un caractère de merde, ce qui n'est pas négligeable et ensuite, parce que son franc parler et son manque dempathie avec les inconnus n'aident pas non plus à créer des liens. Et le peu qu'elle a elle y tient. Aussi impossible pour elle de regarder la femme bafouée sombrer et sauter dans le vide. Mais, à part l'attacher à elle, il n'y avait pas milles solutions. Une fois son fils couché et son fiancé endormit la demie portion s'était donc levé et avait espionné la chambre de son amie. De la lumière, un peu de bruit, elle était là, en vie visiblement. Des sanglots ? Possible, peu importait, elle n'avait pas disparu, ne s'était pas jeté dans le vide de désarrois.
Alors la demie portion resterait là. Son blond était au courant. Il saurait où la trouver au besoin. Alors, elle s'adossa à la porte de la belle rousse et s'endormit, enfin, essaya. Car à peine avait elle réussit à fermer l'oeil que son fils réclama son dût.
Le sein donné, l'enfançon repût et voilà Atro qui revient devant la porte. Réécoute, se rassure à nouveau, se rendort et rebelote ! Elle aura passé sa nuit à ça, la dragonne. A veiller sur son amie, de la seule façon qu'elle avait trouvé. Mais, au petit matin, enfin, elle trouva le sommeil. Enfin, jusqu'à ce que chacun sorte de sa chambre et ne fasse un raffut du diable. On aurait dit un lendemain de cuite pour la brunette. Mais sans les bons souvenirs.
Faire bonne figure ... Rejoindre sa chambre, se laver, se changer, profiter de son blond et reprendre la rousse en filature.
Et vite, déjà la meringue sort de sa chambre. Mais elle va où, déjà ?
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