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[RP] Azzera, forgeron....

Azzera
Et voila... elle rentrait chez elle.
Pour peu elle en aurait oublié l'homme qui était dans sa cuisine!
Pour peu elle en aurait oublié le feu de la forge.
Comment diantre de si petits bébés pouvaient la perturber à ce point...
Elle n'en avait aucune idée, mais c'est l'esprit un peu confus qu'elle entra chez elle.
Un regard dans la cuisine... ah, oui, Yagor était toujours là...
Longs soupirs... il va encore falloir qu'elle parle de tout et de rien en espérant un signe de vie.


J'espère ne pas avoir été trop longue.
Dame Roxetrice et messire Bzeuh ont eu des jumeaux, c'est Laurent, le fils de Rox qui est venu me prévenir.
Dites? avez-vous des enfants?


Et elle continua à poser des questions, à parler seule meme en étant accompagnée...
[/b]
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pnj
Elle avait marché rapidement mais la route lui avait paru durer plus que de coutumes. La forge était là, toujours aussi impressionnante à ses yeux. Sehanne approcha de la porte restée légèrement entre-ouverte et cogna deux fois, ayant pour résultats de l'ouvrir un peu plus.

Voyant Azzera en discussion, elle pénétra timidement.

Bonjour Azzera, Messire .... Je ne veux pas te déranger longtemps ... C'est juste qu'avant notre départ, j'aimerais que tu regardes mon épée et que tu me dises s'il est possible de l'arranger au mieux. C'est un cadeau d'une défunte amie ....

Son regard toujours aussi vide est posé sur Azzera, attendant sa réponse pendant qu'elle observe l'arme tendue par Sehanne.
Azzera
Une voix... cette voix qu'elle connait si bien...
Reste retournée une fraction de seconde qui lui parait une éternité.
Surtout, afficher un merveilleux sourire... Sehanne en a plus besoin qu'elle... elle vient d'enterrer son fils...
Inspiration, expiration... en scène!
Se tourne vers l'ancienne maire et accroche son regard vide.

Bonjour Azzera, Messire ....
Le bon jour Sehanne.
Je te présente messire Yagor...
s'approche un peu d'elle et chuchote t'en fais pas... il cause pas beaucoup !!!

Sehanne cela me fait tellement plai.... Je ne veux pas te déranger longtemps ...
Me déranger? tu plaisante j'espère!!!

C'est juste qu'avant notre départ, j'aimerais que tu regardes mon épée et que tu me dises s'il est possible de l'arranger au mieux. C'est un cadeau d'une défunte amie ....

Quoi? tu veux dire que tu pars?

Elle lui avait en effet parlé du projet de voyage de noces...Maintes fois reporté pour cause d'enterrements successifs.
C'est d'ailleurs à celui de Zak que les deux femmes avaient un peu discuté.

Prise en main de l'épée... belle pièce de suite remarquée par le forgeron...


Un affutage de la lame, et un petit plus de ma fabrication... et je te la rend de suite...
Hum...
petits rires intérieurs tu veux venir avec moi ou rester dans la cuisine à faire causette à cet homme?

Azzera n'attendit pas la reponse de son amie pour se diriger dans la forge... tout en pensant que ce serait bienvenu que Gil arrive...

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Gil_de_treviere
Il lui avait fallu en fouiller des caisses pour trouver les outils nécessaires pour graver la lame de Yagor. Mais Gil avait une devise.

"Patience et longueur de temps font plus que force et que rage."

De retour à la forge d'Azzera, il trouva la porte ouverte. Ne sachant que faire il entra. Yag était fidèle au poste, voir même soudé à sa chaise.

Bon ... mon ami, cette épée ????
Pas de réponse.

Il entendit des bruit provenant de la forge. Azz devait surement travailler.

Laissant Yag, dans ses rêves, il s'approcha.

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pnj
Azzera lui présenta brièvement l'homme. En temps normal, sa remarque sur sa loquacité l'aurait fait sourire mais le cœur n'y était plus. Elle l'écouta lui dire ce qu'elle allait faire à son épée et ne manqua pas de la suivre pour l'admirer dans son œuvre.

Je te fais confiance Azzera, je sais que mon épée est entre de bonnes mains. Tu as carte blanche.
Et pour ce qui est de notre départ, nous attendons que le jugement soit rendu .... La justice gasconne est devenue bien pitoyable .... On lance un procès sur les accusations d'un traitre envers un homme dévoué à sa ville ..... Vraiment le monde à l'envers.


Dans un soupir, elle se laissa tomber sur un siège non loin, larmes aux yeux et tête baissée. Le moral n'y était plus depuis longtemps et tous les évènements qui s'enchainaient eurent raison d'elle, il ne restait plus rien de son regard pétillant ni de sa joie de vivre. Il fallait bien admettre que Sehanne avait perdu de sa superbe depuis un moment.

D'un revers de main elle essuya ses joues et tenta de reprendre un peu de contenance. Des bruits de pas venaient de la cuisine ....
Gil_de_treviere
Gil entra dans la forge,il éprouva une certaine joie en voyant Azz afférée sur une épée. Elle avait retrouvé le sourire, retrouvé aussi, le plaisir de forger. il la voyait appliquée sur son travail, il sentait sans même la voir son visage l'émotion que l'on éprouvait en travaillant sur une lame.

Il ne compris pas ce qu'elle était entrain de faire exactement, quelque chose qu'il avait bien l'intention de découvrir.

Ben vi, je suis là pour apprendre ...

Il s'approcha quand il sentit une présence ...

Sur un siège, il reconnu Sehanne, son cœur se serra.

Il s'approcha d'elle.

Bonsoir Séhanne. Je tiens à te dire que mes pensées se tourne vers vous très souvent depuis que j'ai appris le malheur qui vous frappe, et que je suis de tout cœur avec vous.

Gil se tortillait les mains en tout sens, il se trouvait maladroit. ses mâchoires se crispèrent, il lui arrivait parfois de maudire le très haut pour les épreuves qu'il infligeait à certain.

Ne voulant pas, faire plus de mal à Sehanne, il changea de sujet.

Je vois que tu as confié ton épée à un maitre d'œuvre ... Je me demande bien, quel est le petit secret qu'elle cache si précieusement.

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pnj
Elle entend à peine Gil. Bref hochement de tête pour le saluer puis elle se lève.

Je vais faire un tour dehors, je repasserai plus tard.

Elle les salue et sort de la forge. Elle disparait dans le coin de la rue, plus personne ne la reverra jamais.
Malgré les recherches de nombreux villageois, nulle trace de Sehanne. Elle est partie à tout jamais.




Désolée d'avorter le rp comme ça, je ne me connecte plus à partir de maintenant. Ceux qui ont ma mésange savent où me contacter. Merci pour les bons moments passés avec tous.
Aengus


Il y a des endroits qui semblent être les mêmes où que vous alliez.

Toutes les tavernes se ressemblent... tous les ports se ressemblent... toutes les boutiques se ressemblent.

Bien sur, si vus prenez la peine de vous attarder un peu, d'observer, d'écouter, vous verrez qu'en réalité, rien n'est jamais tout à fait pareil.

Impressions fugaces... Visages et regards... Mots échangés... jusqu'au parfum des choses... Rien, en réalité, n'est semblable... il suffit de regarder, d'écouter, de sentir. Etre à l'écoute du Monde... des Autres.

Ce matin, j'ai encore dans la tête des images de la veille. Ivresse légère due à l'absorption de quelques chopes, mais cependant pas assez pour que tout soit flou dans ma mémoire. Au contraire.

Taverne des Roses Bleues... Rencontres, retrouvailles, regards... Gestes ébauchés, esquissés... Phrases banales échangées... d'autres moins anodines, lourdes de sous-entendus, de non-dits... d'aveux étouffés ou pudiquement ravalés... enfouis dans les tréfonds de l'âme de peur de se dévoiler, de se découvrir... Pour se protéger sans doute... des autres... de soi. Pudeur, retenue, masquée par le paravent du rire ou de la boutade qui détourne l'attention... Douce hypocrisie des gens qui ont trop souffert et veulent se préserver des coups de lame de la vie.

Et, en parlant de lame, la raison de ma présence devant cet atelier bat à ma senestre dans un vieux fourreau de cuir patiné :

"LA FORGE D'AZZERA"


Une jolie dame blonde en sort, une infinie tristesse au fond des yeux. Je la regarde s'éloigner, troublé. Non tant par sa beauté que par sa démarche et son allure qui traduisent une lassitude infinie...

- Brrrr...

Sur le seuil, j'hésite. La cause du trouble de la Dame est-elle derrière cette porte ?... Je l'ignore, mais, o la réflexion, cela ne me concerne pas... je suis nouveau ici et ne connais personne, ou presque...

Avec un soupir, je pousse la porte de la forge.

Immédiatement l'odeur âcre de l'acier chauffé me prend aux narines. J'aime le parfum du métal en fusion... j'aime le tintement du marteau sur l'enclume... Un chant en l'honneur de Vulcain !

Il règne ici une chaleur intense... sensuelle. Je frissonne.

Machinalement, je porte la main à ma bâtarde. En caresse le pommeau avec tendresse... Elle fut forgée pour moi par le vieux Maître-forgeron du manoir paternel, Maître McGhee.

C'est tout ce qui me reste de mon passé Irlandais et, j'avoues que c'est avec un pincement au coeur que j'envisage de la confier aux mains de la forgeronne...
Pourtant, quelque chose me dit que cette jeune femme attachante a toutes les qualités requises pour prendre soin de ma lame.
La manière dont elle l'a prise en mains hier soir lorsque je la lui montrai - avec douceur mais fermeté et respect - me laisse à penser que, malgré son jeune âge, elle doit en savoir long sur son métier...

Et puis, je n'ai guère le choix.

Azzera me tourne le dos. Ses magnifiques chevaux de jais sobrement noués dans le dos coulent en cascade sur son dos. De trois quart, je devine une mèche rebelle qui ondule gracieusement devant ses yeux...

Vêtue de braies qui avaient dû connaître de meilleurs jours et d'un gilet de cuir sans manches qui lui laissait grande liberté de mouvement, la jeune femme, appliquée sur la restauration d'une lame de belle facture faisait chanter le métal en une mélopée tintante et rythmée...

- CLING... CLICLING... CLING... CLICLING...

Sa peau luisante de sueur prenait une coloration d'airain à la lueur rougeoyante des braises de la forge et lui donnait un charme sensuel d'une rare intensité... Fascinant...J'en fus troublé plus que de raison.

Un homme, que je n'avais pas remarqué immédiatement se trouvait là également... Je me tournai vers lui afin de ne pas interrompre Azzera dans son ouvrage.

- Oh... pardon... Bonjour Messire, je me nomme Aengus O'Sullivan... J'ai croisé Dame Azzera hier en Taverne et, apprenant son art, je lui ai demandé de bien vouloir prendre soin de mes lames...


Ce disant, j'ôtai mon baudrier de cuir patiné auquel pendait ma lame et le posai sur la table. Ensuite, tirant ma dague de ma botte, je la joignis à l'épée et poussai le tout vers l'homme.

- Voilà tout mon bien... ma fortune... Voulez vous demander à Dame Azzera, lorsqu'elle en aura le temps, si elle accepte de s'en occuper ?


Gil_de_treviere
La réaction de Sehanne l'inquiéta. Aurait il été désobligeant. Elle quitta la forge rapidement.

Gil n'insista pas. Il se retourna vers Azz, qui continuait à s'affairer sur l'épée.
Ce fut à son tour de l'observer.

De la voir ainsi travailler n'était pas sans lui rappeller certains souvenirs. Des forgerons, il en avait rencontré, mais rare étaient ceux ou celle qui avez une telle élégance et une telle efficacité.

Il se plaisait à regarder Azz, elle était pour lui son mentor en quelques sortes et d'une agréable compagnie. Un peu farceuse, taquine. Ce qui lui faisait énormément plaisir. Ne la connaissant peu, il était surpris d'avoir déjà des ...comment dire. Souvenirs ... c'est ça. de beaux souvenirs.


Gil sourit, il risquait de répéter une action qui c'était déroulé quelques jours avant, mais l'envie était très forte. Il prit de l'eau du baquet dans ses mains, Il allait ... Euh ... la rafraichir.

- Oh... pardon... Bonjour Messire, je me nomme Aengus O'Sullivan... J'ai croisé Dame Azzera hier en Taverne et, apprenant son art, je lui ai demandé de bien vouloir prendre soin de mes lames...

Mince ... Un peu honteux de se faire surprendre par un inconnu, il laissa l'eau tomber sur le sol remettant la douche à plus tard.

Il essuya ses mains sur ses braies, et tendit la main au sire.

Bonjour messire, je suis Gil. Enchanté de vous connaitre. Il lui laissa le temps de déposer ses armes.

Vous ne pouvez pas mieux tomber Sir, Azz est le meilleur forgeron de Mimizan, et je ne pense point abuser en disant, surement le meilleur du duché.


Il prit l'épée entre ses mains, la soupesa, La fit un peu tournoyer et la retourna en tout sens.

Une très belle arme messire. je transmets votre demande, dès que Dame Azz aura terminé.

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Miimi
Miimi arriva devant la boutique que Roxetrice lui avait indiqué. Elle frappa et poussa doucement la porte. Quand elle rentra, elle se rendit compte qu'il y a vait du monde ici. Elle était encore plus génée elle avait peur de déranger.

Bonjour! je cherche dame Azzera, on m'a dit de venir ici !

Miimi attendit dans un coin qu'on lui réponde pour ne pas déranger
Azzera
Occupée...
Elle était occupée, la blanche...
Sans doute l'épée de Sehanne se révélait plus intime qu'imaginé.
Il est des secrets que l'on vit avec son arme et qui ne sont connu que d'elle seule.
C'est la raison pour laquelle Azzera adorait ce métier, non cette passion!
Fichtre pendant son long voyage, elle n'avait pas mesuré l'intensité du plaisir ressenti lorsqu'elle forgeait.
Elle est si concentrée, la Azz, qu'elle entend à peine Gil arriver et s'entretenir avec sa belle soeur... non. Elle ne serait jamais de la famille. Jamais... Le désir de fratrie de l'écuyère avait disparu en même temps que le décès de Zak.

Occupée...
Elle était occupée la Azz, relevant à peine le nez pour saluer son amie qui semblait très pressée, mais il est une priorité incontestée... celle de terminer l'ouvrage, sans jamais défaillir.

Un moulin... on entrait ici comme dans un moulin, heureusement que Gil était arrivé, heureusement qu'elle pouvait compter sur lui. Heureusement qu'il n'était plus temps de se laisser aller à des farces rusées.

Mais il est des phrases que l'on ne peut s'empêcher d'entendre.
Et celle de Gil ne dérogeait pas à cette règle!
La chaleur de la forge lui avait déjà fait monter le rouge aux joues, sa peau, protégée par le cuir ruisselait de sueur.

Épée terminée.
Réapparition de la réalité, Azz se retourna enfin pour découvrir...
Ah ben, oui, il y a du monde

**'tendez vot' tour, m'sieurs dames...**
Sourit à cette pensée.

Ôter la gant qui protège sa main, passer l'avant bras sur son front trempé, cheveux qui lui collent au front... et c'est pas fini.


Gil? vous pouvez m'aider?
Je n'y arriverais pas seule...

Petite conversation murmurée avec le tribun.
Clin d'oeil de satisfaction.

Tiens... à vous maintenant, oui, vous le bellâtre de la taverne.
Un pas vers lui, yeux rivés sur l'épée tournoyant dans les mains de Gil.
Sourire!
Ne rien dire, attendre une réaction du propriétaire de l'arme.

Le bon jour messire Aengus.
Dites-moi, vous n'avez pas tardé!
C'est bien.
Je vois que vous l'avez apportée... vous m'en voyez ravie.

Mains tendue vers l'homme, visage reprenant un tant soit peu forme humaine... piouuu qu'il fait chaud!

Encore une arrivée... Gil va s'en charger, non?
Quoi qu'il en soit, saluer la jeune mimizannaise d'un signe de tête ...geste qui veut dire, j'vous ais vue: "j'arrive dès que possible ... patience!"



Ma joueuse à la drôle d'idée de partir en WE, petit passage rapide demain, pas certaine d'avoir le temps de répondre avant mardi^^

_________________
Aengus


L'homme savait manier une lame. Mais il semblait plus intéressé par la bâtarde que par ma vieille dague. Il ne pouvait pas savoir que le vieux Maître m'avait permis de la forger moi-même... elle ne payait pas de mine. Elle était grossière mais robuste... efficace surtout. Elle m'avait tiré d'affaire à maintes reprises et si, parfois, je laissais ma bâtarde chez moi, jamais je ne me séparais de cette lame effilée et tranchante comme un rasoir.
J'étais loin d'être doué pour la forge, mais le vieux forgeron avait tenu à me faire comprendre ce que peut contenir une lame, de passion et de volonté.
C'est pour cela que j'admirais l'oeuvre de ces artisans du feu.
Les éloges de Gil à l'endroit de Dame Azz, comme il l'appelait familièrement, dénotaient une grande admiration. Admiration que je partageais déjà, mais pour d'autres raisons... il ne me restait plus qu'à vérifier les dires de l'homme; quoique déjà la forgeronne m'avait fait excellente impression quant à son savoir-faire.

- Merci Gil. Cette lame est ce qui me reste de mon passé... et l'autre... je suis ici grâce à elle...et...

Nous fûmes interrompus par Dame Azzera qui, son ouvrage terminé se tournait vers nous :

- Le bon jour messire Aengus.
Dites-moi, vous n'avez pas tardé!
C'est bien.
Je vois que vous l'avez apportée... vous m'en voyez ravie.


Une damoiselle venait de faire son entrée, je la remarquai à peine, Dame Azzera cristallisait soudain toute mon attention.

D'un revers de bras elle avait relevé cette mèche rebelle qui lui conférait un charme sauvage... le front luisant et les yeux brillants elle ressemblait à une déesse sortie tout droits des forges d'Héphaïstos.
Son gilet de cuir entrouvert laissait deviner la naissance de ses seins entre lesquels glissait quelques gouttes de sueur... Malgré son apparence frêle elle donnait une impression sensuelle de puissance et de grâce mélangées qui me troubla malgré moi. Elle devait être une rude combattante... Sa musculature déliée lui donnait une apparence féline dissimulant mal une énergie farouche encore accentuée par l'acuité de son regard.
Regard de braise... sourire avenant, franc... avec sans doute une pointe de malice ou de complicité... Dame la soirée à la taverne devait nous avoir quelque peu rapprochés.. du moins me plaisais-je à le croire.

Je serrai sa main tendue... Poignée de main franche, ferme, presque virile. Main chaude... Main qui serre sans faiblir avec cependant une certaine douceur, je crus la sentir palpiter dans ma large paume et la retins un peu plus que la bienséance l'eût permis, malgré moi.

- Le bonjour à vous Dame Azzera... Non, je n'ai pas traîné... Certaines choses ne peuvent souffrir de délai... Et... je voulais aussi m'enquérir de votre... de vos brûlures.


Je ne pus m'empêcher d'appuyer mon regard avant de lui lâcher la main, non sans avoir, au préalable exercé une légère pression sur ses doigts en signe de complicité.

D'un ton plus léger j'ajoutai en faisant des yeux un rapide tour du propriétaire :

- Voilà... je vous confies mes biens. Je pense qu'ils seront entre bonnes mains. je ne suis pas pressé. Je pense avoir trouvé quelque bonne raison de rester un moment à Mimizan... Et puis, votre officine me rappelle de bons souvenirs... je me sens bien ici... je gages que vous me verrez souvent... sauf si cela vous importune, bien entendu.





Tssssss... décidément... nos joueurs sont bien désinvoltes... ils nous laissent choir en des moments si ... intenses... Seraient-ils donc dénués de tout sens des convenances... ou, plus cruellement encore, indifférents à nos états d'âme ?... Il serait temps que nous les mettions au pas...
Gil_de_treviere
Gil continué d'examiner l'arme, il eut un sourire du coin des lèvres, une pensée lui traversa l'esprit. il eut une envie orgueilleuse. Comparer l'épée qu'il venait de terminer pour Azz et celle du sire. Il chassa vite cette idée.

Plus de bruit, une fin de travail.

Il n'eut pas besoin de la regarder, pour voir son visage, ses yeux. Il connaissait l'expression de ce minois après l'ouvrage. Il releva la tête pour la voir s'approcher. Il lui sourit.


Gil? vous pouvez m'aider?
Je n'y arriverais pas seule...


Deux petits murmures, un sourire complice.

Une jeune dame fit irruption dans la forge.

Je m'en occupe Azz . Il salua ... Messire bonne journée.

Gil reconnu Miimi qu'il avait déjà croisé. Il se dirigea vers elle.

Bonjour! je cherche dame Azzera, on m'a dit de venir ici !

Bonjour Dame Miimi. Quel bon vent vous amène.
Il lui sourit ....

Je puis vous aider ???

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Miimi
Bonjour Dame Miimi. Quel bon vent vous amène. Il lui sourit ....

Je puis vous aider ???


Miimi avança pour ne pas avoir à crier.

Bonjour messire Gil, Roxetrice m'a dit de passer ici pour voir Dame Azzera pour pouvoir avoir droit à un pain à deux écus. Voilà l'objet de ma visite.

Miimi sourit et se remit dans son petit coin si elle avait su, elle serait venut un autre jour, il y a avait du monde ici et elle avait l'impression de déranger.
Gil_de_treviere
Miimi, fit quelques pas vers lui, il la sentait mal à l'aise.

Ne soyez pas gêné dame Miimi, il n'y a aucune raison à cela. Nous sommes entre amis ici.

Pour le pain, c'est à moi qu'il faut vous adresser. Dès que vous avez un moment, je vous le mets sur le marché.

Voila dame ... Autre chose ???

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