Greenwarrior
Juste avant de partir, et comme l'avait si bien explicité un narrateur plus tôt, Greenwarrior se tenait paré, en couverture de Lothilde. Scrutant chaque angle de ruelle. Un gars avec un gros pif d'alcoolique non sevré, qui se trouve dans un angle à observer tout ce qui bouge avec un regard de fouine, ça ne pouvait être qu'un brigand.
De ce fait, pour une fois, il se taisait. il en allait de la sécurité de tous.
Le baron rouge portait son écu au bras gauche et s'étira pile au moment ou un bruit traversa l'air.
*BLONG*.
Surprit, il fit volte face, son épée déjà en main, celle qui portait l'objet de défense sur les sangles de cuir. Ses yeux défilèrent sur la probable origine de la pierre. Un léger mouvement vers l'arrière, ajouté à un mouvement de poignet firent reculer Kanawa jusqu'à Lothilde.
Ils se passent des choses étranges ma capichef.
Surveillant toujours, protégé par sa cote de mailles et les légères pièces d'armure concues par ses soins, alliage de métal et de charbon en poudre pour assombrir l'ensemble. Pas de la fonte, non. Juste une couleur sombre comme le deuil un jour de novembre. Du même gris que les nuages.
C'est alors qu'Occorax revint, tout frétillant comme à son habitude. celà amusait Green. Les gens ne changaient pas. Lothilde l'insouciante qui se moque si la mort vient la prendre et Occorax qui a ce petit comportement habituel quand il vient de faire une vacherie.
Il écrirait un livre sur la psychologie dans la guerre un jour. Pour sûr qu'il y aurait de quoi écrire.
L'épée rangée et Occorax revenu, le convoi léger quitta les lieux.
Sur la route, Green aurait bien aimé se faufiler dans les sous-bois comme on chasse les lynx, les goupils et les loups. bien qu'à Rougemont, toutes ces chasses barbares étaient interdites. "Que les brigands" disait-il. 364 jours de l'année, Noël était la seule trêve autorisée.
Le déplacement calme, il se permit de sortir un pochon de framboises fraichement ceuillies.
Vous en voulez? Lothilde oui sûrement mais vous Seigneur Occorax? Ca ne vous dérange pas de manger avec les doigts au moins?
Il avait remarqué la terre apparue sur les mains de ce dernier au retour de la cabane au coin de la rue.
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De ce fait, pour une fois, il se taisait. il en allait de la sécurité de tous.
Le baron rouge portait son écu au bras gauche et s'étira pile au moment ou un bruit traversa l'air.
*BLONG*.
Surprit, il fit volte face, son épée déjà en main, celle qui portait l'objet de défense sur les sangles de cuir. Ses yeux défilèrent sur la probable origine de la pierre. Un léger mouvement vers l'arrière, ajouté à un mouvement de poignet firent reculer Kanawa jusqu'à Lothilde.
Ils se passent des choses étranges ma capichef.
Surveillant toujours, protégé par sa cote de mailles et les légères pièces d'armure concues par ses soins, alliage de métal et de charbon en poudre pour assombrir l'ensemble. Pas de la fonte, non. Juste une couleur sombre comme le deuil un jour de novembre. Du même gris que les nuages.
C'est alors qu'Occorax revint, tout frétillant comme à son habitude. celà amusait Green. Les gens ne changaient pas. Lothilde l'insouciante qui se moque si la mort vient la prendre et Occorax qui a ce petit comportement habituel quand il vient de faire une vacherie.
Il écrirait un livre sur la psychologie dans la guerre un jour. Pour sûr qu'il y aurait de quoi écrire.
L'épée rangée et Occorax revenu, le convoi léger quitta les lieux.
Sur la route, Green aurait bien aimé se faufiler dans les sous-bois comme on chasse les lynx, les goupils et les loups. bien qu'à Rougemont, toutes ces chasses barbares étaient interdites. "Que les brigands" disait-il. 364 jours de l'année, Noël était la seule trêve autorisée.
Le déplacement calme, il se permit de sortir un pochon de framboises fraichement ceuillies.
Vous en voulez? Lothilde oui sûrement mais vous Seigneur Occorax? Ca ne vous dérange pas de manger avec les doigts au moins?
Il avait remarqué la terre apparue sur les mains de ce dernier au retour de la cabane au coin de la rue.
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