Thomas_sauveur
Thomas et son épouse étaient tout deux à Vaudemont, une méchante rencontre avec une armée Impériale avait sérieusement blessée la Duchesse Consort qui ne pouvait guère trop bouger et lui en bon époux avait décidé d'être à ses cotés et en profiter pour apprendre le métier de Maire à la Mairesse de la ville, un bon compromis. Enfin... pas loin. Ce fut donc la-bas que les domestiques lui apportait son courrier, dans une petite auberge ou gardes ducaux et domestiques avaient prit toutes la place. L'aubergiste un homme aussi vieux que gros était aimable et Thomas parfois profitait du sommeil des Lorrains pour jouer aux cartes en sa compagnie. Rare était les fois ou le Talleyrand perdait ce qui rendait le jeu plus passionnant et enivrant, les sommes folles et les rires nerveusement caché.
Brelan !
Fait chie...
Tsss
Un courrier pour Sa Grâce.
Une admiratrice ?
Possible.
Il y à foule en ce moment.
Assez
Il est beau le petiot.
Il as des dents surtout
Quoi ?
Il as du talent surtout
La beauté, le talent, le physique, que demande le peuple !
Un salaire à quarante écus
Oh fermez-là.
Il se lève prend le courrier et séclipse pour la nuit ou surtout pour répondre tranquillement. Lecture, sourire, avant de répondre tranquillement.
Brelan !
Fait chie...
Tsss
Un courrier pour Sa Grâce.
Une admiratrice ?
Possible.
Il y à foule en ce moment.
Assez
Il est beau le petiot.
Il as des dents surtout
Quoi ?
Il as du talent surtout
La beauté, le talent, le physique, que demande le peuple !
Un salaire à quarante écus
Oh fermez-là.
Il se lève prend le courrier et séclipse pour la nuit ou surtout pour répondre tranquillement. Lecture, sourire, avant de répondre tranquillement.
Citation:
Eliance,
Nous sommes heureux de vous lire. Notre mariage est complexe depuis le début, mais nous nous sommes mariés pour assurer à notre fils James Thomas le nom et le rang qui lui est dû, un ''Bâtard'' n'est pas une vie que nous voulions lui offrir et aujourd'hui, aujourd'hui nous avons décidé de reprendre le mariage en main.
L'amour ne manque pas, les sentiments non plus, mais il manquait les mots, les confiances et puis avouons-le rare sont les instants ou nous pouvons être tout deux et pas entourés de ce que nous nommerons les ''autres''.
Nous aimons nos amis, nos familles, mais parfois cela étouffe. Enfin ! Peu importe n'est-ce pas ? L'important est que nous sommes sur le chemin du renouveau.
Vous avez donc une fille est-elle jeune ? Belle ? Parlez-nous de cette nièce dont nous ignorons tout.
Et vous ? Vous nous avez rien dit de vous, êtes vous blonde ? Brune ? Avez-vous les yeux de la couleur de la foret ou de la mer ? Nous sommes impatient d'avoir de vos nouvelles et avons lespoir que vous êtes en bonne santé.
Qu'Aristote veille sur vous.
Thomas Sauveur de Talleyrand.
_________________