Fabrizio_d_alaric
Le miroir lui retourne son image, celle d'un homme où les cheveux sur ses tempes commencent à devenir grises.
Déjà un moment que des rides sont apparus aux coins de ses yeux ou à la commissure des lèvres.Bien qu'une ancienne et longue cicatrice barre sa joue à gauche, il ne peut s'empêcher de passer un doigt dessus et en apprécier cette funeste image qu'il a devant lui.
Dans son dos un large et profond bac laisse les dernières vapeurs d'eau chaude s'échapper dans l'air, il en a cure.Pour lui il sait qu'il est en retard mais sa femme ne voudrait pas qu'il vienne fagoté comme le dernier des clochards.
Alors il fini de prendre son temps, celui de revoir son faciès rasé de près, de voir que son regard d'un vert froid s'est un peu détendu.
Détendu diriez vous mais pourquoi ?
Il a une belle femme, des enfants qu'il l'adore et qui lui rendent bien quoi que ....
Une très belle demeure avec une nouvelle chambre plus spacieuse et un futur titre et terres que sa femme à eu en récompense de services rendus au comté D'Armagnac.
Mais non ce là lui plait pas trop, la demeure est trop grande pour lui, les nouveaux loufiats , il ne les connait pas; pas encore.
Non il a besoin d'espace, de voyages, de dormir à la belle étoile, de sentir la pluie sur son visage, de sentir le froid pénétrer dans ses os et de rêver aux beaux jours du Printemps ou de lÉté.
Il n'est pas homme à avoir son cul poser sur un fauteuil et d'attendre...
Doucement il quitte ce miroir qui ne fait que lui renvoyer l'image d'un homme qui devient vieux, mais qu'un feu, qu'un volcan brûle en lui et il suffirait d'un mot d'un geste pour....
Ses pas l'amène vers l'une des fenestres qui donne dans les jardins où se pressent les invités de sa femme, Fabrizio laissent ses mains finalisés de serrer un morceau d'étoffe blanc autour de son cou.Seul artifice qu'il affiche sur son habit de noir écarlate.
Signe ostentatoire de son appartenance à sa religion; puis il se décide à quitter la pièce, et ouvrant la porte il fait signe aux deux loufiats de l'accompagner.
Oui nous sommes chez les D'Alaric mais vous êtes chez les spadassins de l'ombre où le maistre des lieux au contraire de sa femme sait que tout peut se produire même le plus con.
Et pis surtout en ce moment se tient la Comtesse et qu'il a promis à sa moitié d'être civiliser et curial à la fois.
Alors...il ne pétera pas à table , lèvera le petit doigt et dira merci tout en disant d'un regard vers son interlocuteur....crève charogne !
Fabrizio apparaît très vite de pas plus que décider , il s'approche de sa rousse et pose un baiser dans son cou lui dit tout bas,tout en arborant le plus grand et franc des sourires.
Ch'ui là ma poule !,j'ai manqué quoi?!
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Déjà un moment que des rides sont apparus aux coins de ses yeux ou à la commissure des lèvres.Bien qu'une ancienne et longue cicatrice barre sa joue à gauche, il ne peut s'empêcher de passer un doigt dessus et en apprécier cette funeste image qu'il a devant lui.
Dans son dos un large et profond bac laisse les dernières vapeurs d'eau chaude s'échapper dans l'air, il en a cure.Pour lui il sait qu'il est en retard mais sa femme ne voudrait pas qu'il vienne fagoté comme le dernier des clochards.
Alors il fini de prendre son temps, celui de revoir son faciès rasé de près, de voir que son regard d'un vert froid s'est un peu détendu.
Détendu diriez vous mais pourquoi ?
Il a une belle femme, des enfants qu'il l'adore et qui lui rendent bien quoi que ....
Une très belle demeure avec une nouvelle chambre plus spacieuse et un futur titre et terres que sa femme à eu en récompense de services rendus au comté D'Armagnac.
Mais non ce là lui plait pas trop, la demeure est trop grande pour lui, les nouveaux loufiats , il ne les connait pas; pas encore.
Non il a besoin d'espace, de voyages, de dormir à la belle étoile, de sentir la pluie sur son visage, de sentir le froid pénétrer dans ses os et de rêver aux beaux jours du Printemps ou de lÉté.
Il n'est pas homme à avoir son cul poser sur un fauteuil et d'attendre...
Doucement il quitte ce miroir qui ne fait que lui renvoyer l'image d'un homme qui devient vieux, mais qu'un feu, qu'un volcan brûle en lui et il suffirait d'un mot d'un geste pour....
Ses pas l'amène vers l'une des fenestres qui donne dans les jardins où se pressent les invités de sa femme, Fabrizio laissent ses mains finalisés de serrer un morceau d'étoffe blanc autour de son cou.Seul artifice qu'il affiche sur son habit de noir écarlate.
Signe ostentatoire de son appartenance à sa religion; puis il se décide à quitter la pièce, et ouvrant la porte il fait signe aux deux loufiats de l'accompagner.
Oui nous sommes chez les D'Alaric mais vous êtes chez les spadassins de l'ombre où le maistre des lieux au contraire de sa femme sait que tout peut se produire même le plus con.
Et pis surtout en ce moment se tient la Comtesse et qu'il a promis à sa moitié d'être civiliser et curial à la fois.
Alors...il ne pétera pas à table , lèvera le petit doigt et dira merci tout en disant d'un regard vers son interlocuteur....crève charogne !
Fabrizio apparaît très vite de pas plus que décider , il s'approche de sa rousse et pose un baiser dans son cou lui dit tout bas,tout en arborant le plus grand et franc des sourires.
Ch'ui là ma poule !,j'ai manqué quoi?!
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