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[RP] "Tout vient à point...

Michalak
Citation:
C'est... très gentil de vostre part Sieur mais j'ai ma propre litière ainsi que deux gardes. Comme vous le dites, une femme qui plus est Vicomtesse ne se promène pas seule à Paris.


Michalak sourit en entendant finalement la Vicomtesse accepter son offre.

Je n'allais pas vous laisser partir toute seule dans Paris à cette heure les rues ne sont pas si sûr et puis il fait un froid de canard. Tenez d'ailleurs prenez cette cape bien chaude en plus cela vous tiendra bien plus chaud encore.

Michalak lui déposa sur les épaules une jolie cape rouge bien chaude. Elle était faite avec de la fourrure ce qui tenait bien chaud quand on était en hiver. un plus en somme par ses températures glaciale. En effet y a peu les températures étaient passé sous la barre du 0 ce qui finalement avait finit par rendre les rues gelés. La Seine était même gelé à certains endroit où le courant était assez faible sous les berges.

La vicomtesse tentait néanmoins à n'en pas douter à se débarrasser de lui mais c'était manque de peau une vaine tentative. Elle ne s'en débarrasserait pas si facilement. Il était coriace le Micha.

Citation:
Puis je dois me rendre dans un atelier de couture pour commander des robes afin d'affronter le froid Savoyard.
Je ne pense pas que cela vous intéresse tant que ça ?


Oh vous savez je n'ai peur de rien et par le passé j'avais l'habitude de me rendre à l'atelier de ma Grande tante Valéryane couturière Royal pour aller me faire confectionner des tenues ou même en faire faire à ma défunte compagne.... ou à mes filles. Vous devriez voir c'est vraiment de superbes créations qu'elle fait là.

Et non le froufrou ne rebute pas. Et je suis adepte des belles tenues. Que ce soit pour les hommes ou les femmes. j'ai horreur du mauvais goûts de certains. Et puis qui mieux que moi pourrait vous conseiller si je vous emmène voir ma tante.

D'ailleurs je suis sûr qu'à cette heure tardive vos gens sont déjà en train de dormir. Vous n'allez pas les déranger pour cela ? Surtout si vous reprenez la route ensuite.

Michalak sourit et prit doucement la main de la Vicomtesse pour finalement sortir de son bureau.

Vous allez voir vous n'allez pas vous ennuyer Vicomtesse. Vous allez être comme une petite fille devant un gros cadeau de Noël. Et je suis certains que cela vous ira comme un gant.

Michalak était pour le coup à la limite de l'incorrection mais qu'importe il était passionné et comme tout messire passionné il n'allait pas laisser une Dame dans la panade.

Ses pas ainsi que ceux de la Vicomtesse entrainé malgré elle dans cette aventure raisonnait ainsi dans les couloirs du louvre. Ils finirent par sortir du louvre. C'est alors que l'huissier fit appeler rapidement son carrosse. Il fit monter la Vicomtesse comme tout noble éduqué qui se respecte puis monta dans celui-ci avant de donner l'ordre au cocher de partir.

Direction l'atelier des fées tisserandes mon brave.
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Michalak
Pour voir Paris l’hiver ce n’est ni la matinée ni l’après-midi qu’il faut choisir, à moins qu’il ne se présente une de ces belles et froides journées où la gelée, qui seule s’entend à nettoyer Paris, suspend ses brillants stalactites aux arbres.

Quand la neige, durcie par le froid, étend ses tapis blancs sous les pieds des promeneurs, en amortissant le bruit des roues, et qu’un rayon de soleil se joue dans cette ornementation d’albâtre qui remplace sur les arbres les vertes livrées du printemps, Paris offre de splendides points de vue. Les carrosses passent rapides dans les rues de paris, en emportant vers le lac du bois de Boulogne les promeneurs, quelquefois les patineurs ; les cochers, couverts de fourrures, pressent le pas des chevaux, qui, comme les coursiers des chars des immortels, dans Homère, semblent entourés d’un nuage par la vapeur qui sort de leur corps et par leur chaude haleine.

Quelquefois un traîneau, conduit par un étranger qui a importé à Paris le véhicule des climats du Nord, glisse aussi vite qu’une flèche, en vous laissant dans l’oreille le bruit de ses grelots. Quelques cavaliers intrépides, bravant la rigueur de la saison, devancent les voitures en mettant leurs chevaux au galop. Les allées et les contre-allées sont remplies de femmes et d’enfants couverts de riches toilettes d’hiver, car Paris est par excellence la ville de la promenade. Dès que la pluie cesse de tomber et quand la grande armée des balayeurs ne menace pas d’ajouter à un déluge d’eau un déluge de boue, tout le monde est dehors.

Quand la véritable nuit succède à ce jour opaque et douteux, on peut dire que Paris s’allume. C’est comme une féerie que de voir chacune des rives de la Seine illuminé par d’innombrables feu éclairant la capitale endormit sous ce manteau de neige et ce vent Glaciale.

Michalak regardait par la fenêtre du fiacre paris sous la Neige tout en souriant à la Vicomtesse émerveillé par temps de beauté. Paris était magique. L’huissier demanda soudain à la Vicomtesse si elle souhaitait qu’il fasse arrêter le carrosse afin qu’ils puissent marcher ensemble dans la neige quelques pas avant de rejoindre l’atelier de sa Grande Tante Valéryane.

Le seigneur était sûr que cela allait lui plaire. Aucune femme ne saurait résister au charmes de voir Paris sous la Neige. C’était d’un Romantisme !!!
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Sofja
      « La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre. »
      de Gandhi



Sofja se résous donc à se faire accompagner à l'atelier de couture mais son visage rayonna lorsque se dernier lui fit une confidence de grande ampleur. Sa Grande tante était Valéryane, une des grandes couturières de ce Royaume. Elle se souvint des belles robes que portait la Reyne Nebisa ainsi que d'autres personnalités Limousines.

Ohhhh mais je connais très bien ces créations pour en avoir dévoré des yeux plus d'une. Vostre tante a un talent indéniable. Je rêverai de la rencontrer... et de posséder une de ces robes.

La Vicomtesse n'avait jamais osé pousser la porte de son atelier, de peur de n'être pas à la hauteur de son talent. Son regard se posa sur cet homme aux mille et une surprises. Décidément il avait plusieurs cordes à son arc pour séduire les femmes. Elle se surprit d'éprouver pour cet officier une sympathique confiance.

Je vous suis donc Sir Michalak.

Sofja laissa le gentleman saisir sa main et la glissa, d'elle mesme, autour de son bras.

Je ne sais pas ce que vous manigancer mais vos pupilles vous trahissent, elles pétillent d'avance.

A cet instant, la Jagellon était assurée du projet de l'huissier, la séduire. Mesme si elle n'en avait aucune envie en poussant les portes du Louvre, fallait le reconnaitre, c'était agréable de se sentir femme, de se sentir séduisante. A elle juste de ne pas tomber dans le panneau comme dans sa précédente et unique relation. Elle devait tenir les reines de son destin afin d'éviter toute souffrance.

La calèche s'engouffra dans les rues de Paris, qu'elle connaissait très peu. Ses yeux ne quittèrent pas la fenestre afin d'admirer le spectacle. Parce qu’une fois le soleil couché, tout devenait possible ! De quartier en quartier, Paris s’animait. La nuit était synonyme d’agitation, d’ébullition. Tous les goûts, toutes les nationalités, toutes les classes sociales se mélangeaient dans des lieux originaux et hétéroclites.

C'est magnifique. Je n'avais jamais vu la capitale ainsi. Paris est en ébullition !

Ses yeux brillèrent de mille feux. Et cela réveilla tous ses sens qu'elle exploita au mieux.
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Michalak
Michalak avait réussi son petit manège. Elle qui ne voulait pas qu'il l'accompagne semblait s'être laisser séduire par sa façon d'être. Après tout il n'allait pas la manger mais seulement lui faire découvrir miles choses auxquels elle ne saurait s'attendre. Il avait envie pour une fois de montrer les choses à quelqu'un. Finalement même s'il avait ses filles il n'avait jamais prit le temps de partager certaines choses avec quelqu'un. Cette Vicomtesse avait quelque chose de bien différent. Elle semblait adoré les choses les plus simples. Voir et découvrir le monde à travers d'autres yeux que les siennes.

Citation:
Ohhhh mais je connais très bien ces créations pour en avoir dévoré des yeux plus d'une. Vostre tante a un talent indéniable. Je rêverai de la rencontrer... et de posséder une de ces robes.


Je vois que ma Grande Tante ne vas pas avoir beaucoup à faire pour que vous ayez de la sympathie pour elle. Elle a le coeur sur la mains et je suis certaine qu'elle sera contente de vous aider à trouver ce que vous aimerez porter. Et puis à vrai dire je serais content qu'elle retrouve encore sa place auprès de la Noblesse. Celle de grand maistre couturière. Elle a été malheureusement mit au banc des ateliers contacter par la couronne parce que cela ne plaisait pas à certains atelier qu'elle ait été choisit par la Reine Nébisa et pas eux. Les querelles restent souvent bien longtemps entre les gens. C'est dommage car l'art ne devrait pas être à l'origine de querelles de cette sorte.

Mais avant les robes contemplez Paris que nous traversons. J'ai bien quelques petites idées pour vous.

Citation:
Je ne sais pas ce que vous manigancer mais vos pupilles vous trahissent, elles pétillent d'avance.


Michalak regardait quelques fois sans ce faire prendre Sofja admirer par la fenêtre du carrosse Paris sous la Neige.

Citation:
C'est magnifique. Je n'avais jamais vu la capitale ainsi. Paris est en ébullition !


On se serait cru dans un de ses comtes de fées qu'on raconte aux enfants. Avec un prince et une princesse ensemble dans un beau carrosse.

A l'a différence près que dans ce Comte de fée le prince semblait être Michalak et la Princesse la Vicomtesse Sofja.

Michalak se décida à descendre du carrosse avec elle lui tenant la main comme un parfait gentleman l'entrainant doucement dans la neige.

Citation:
Je vous suis donc Sir Michalak.


A moins que cela soit trop périlleux pour vous de marcher dans la neige.

Le petit seigneur du sud de la France commença doucement à marcher en compagnie de la belle princesse. Leurs pas s'entendaient dans la neige lorsqu'ils marchaient. Le bruit perceptible du craquement de la neige sous les chaussures des deux protagonistes ne laissait aucun doute.

Le froid était mordant à cause de la nuit qui venait de tomber mais le seigneur tenait doucement sa compagne improvisé afin qu'elle n'ai pas trop froid. Il en avait même profiter au sortir du carrosse pour lui donner une jolie cape rouge en plus de sa robe afin qu'elle n'attrape pas froid.


Les deux se dirigeait donc vers une ruelle parisienne longeant la Seine. Après quelques pas dans la neige Michalak s'arrêta en compagnie de la Vicomtesse afin de lui faire contempler la cathédrale notre Dame sous la Neige.

Il l'a laissa contempler la Cathédrale avant de lui demander avec douceur si elle voulait éventuellement qu'il lui achète des marrons grillé dont l'odeur s'échappait assez rapidement d'un petit commerçant ambulant qui vendait ce petit met de circonstance.

Voulez vous que je vous achète des marrons? c'est une spécialité ici d'en manger le soir venue pour se réchauffer. En plus ils sont tout chaud. Ainsi terminait t'il sa phrase en l'entourant de ses bras pour l'a réchauffer doucement.
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Sofja
Trop périlleux ? Je vous rappelle, mon cher, que je vis en Savoie. La neige Savoyarde est comme la foule Parisienne. Autant vous dire qu'il faut s'y faire et très rapidement !

L'un contre l'autre, le couple avançait dans les rues, longeant la Seine. Elle était si imposante, si belle de part ses ponts éclairés, de son architecture environnementale. Ils ne tardèrent pas à arriver devant la si majestueuse cathédrale "Notre Dame".

Et dire qu'il a fallu plus de deux siècles pour la construire. C'est l'une des plus grandes cathédrales d’occident. Nous pouvons être fier de ce patrimoine.
Ce que je préfère, ceux sont les deux rosaces qui ornent chacun des bras du transept. Et ces mosaïques... c'est sublime !

Ces yeux n'arrivèrent pas à se détacher de l'édifice sauf lorsque le Seigneur lui proposa quelques marrons grillés. Ahh la gourmandise prenait toujours le dessus.

C'est un des fruits d'hiver que j'affectionne. Et sous toutes ses déclinaisons.

Sofja se raidit sous l'enlacement subit du Valdesti, d'ailleurs ce dernier du le ressentir puisqu'il alla auprès du vendeur faire ses emplettes.

Merci beaucoup, c'est délicieux.
Reprenons donc cette visite de Paris, c'est une excellente idée que vous avez eu. Car jusqu'à présent, Paris avec une odeur exécrable et un bruit sourd.
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Michalak
Michalak n'avait pas raté son coup Sofja s'intéressait semble t'il énormément à l'aspect architecturale et culturel de la Cathédrale notre Dame de Paris. Il fallait dire que la bâtisse était majestueuse. Elle était visible de loin à cause de ses deux grosses tours.

Sofja semblait avoir lu les parchemins ou les archives traitant de la construction de la fameuse Cathédrale car elle lui parlait de celle-ci avec détaille. Comme si elle voulait lui faire un cours d'histoire. Ce n'était pas pour déplaire à Michalak qui aimait l'histoire. L'officier aimait connaitre l'histoire de chaque chose de chaque endroit afin de mieux comprendre ce qui l'entoure. Il était de nature très curieuse. Apparemment Sofja l'était tout autant que frileuse en l'a voyant s'accrocher à son bras.

Michalak sentie néanmoins la raideur de sa compagne lorsqu'il l'enlaça dans ses bras. Apparemment elle ne semblait pas affectionné ce genre d'épanchement... L'homme sembla un peu déçu mais n'en laissa rien paraitre. Après tout vient à point pour qui sait se montrer patient. Il tenait réellement à elle. Il ne voulait pas la brusqué. Ainsi l'excuse des marrons sembla un plan judicieux puisqu'elle sourit à sa commande auprès du vendeur de marrons bien chaud.

Michalak continuait son petit parcours doucement en faisant en sorte que la Vicomtesse ne se vautre pas dans la neige à cause de ses chaussures qui n'étaient pas faite pour ce genre de marche dans la neige.

Le seigneur se dirigea vers un petit parcs non loin du louvre. Le lac artificiel semblait bien gelé. De par et d'autre la neige qui était tombé sur les espaces vert avaient été abondante. Il en profita pour lâcher le bras de la vicomtesse. Il s'amusa ainsi à la bombarder de neige pour s'amuser. Après tout le temps s'y prêtait autant en profiter.

Gare à vous, défendez vous vous êtes attaquer par un vilain troublions !!!. Michalak rigola et continua ses vilaines attaques sur la pauvre Vicomtesse.

Allait elle répliqué il n'en savait rien. Il espérait qu'elle ne le prendrait que comme un jeu et non pas une attaque personnel.
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Sofja
Les marrons à peine avalés, qu'une boule de neige vint s'éclater contre elle. La surprise était de mise. A aucun moment elle ne s'était attendue à cela lorsqu'il quitta son bras. Les gros yeux, la Vicomtesse posa ses mains sur ses hanches.

Ahhh oui, vous voulez jouer à ça !! Très bien, faites bien attention à vous.

A peine eut elle finit de parler, qu'elle attrapa la neige sur une barrière, en fit une belle grosse boule et la lança sur l'huissier Royal. Son coup était réussi puisqu'il la reçu en plein visage. Sofja partie dans un grand fou-rire tout en n'oubliant pas l'essentiel, se réarmer. Car oui, le Seigneur n'en était pas à son dernier coup, il continuait à l'attaquer.

Après quelques lancé de boule de neige, dont elle essayait tant bien que mal d’éviter en se cachant derrière un arbre, une charrette, elle préparait son offensif ! Et dans les jeux de mains, la Jagellon était souvent gagnante.

Sans réfléchir, elle s’enfonça dans le col de son manteau en fourrure, rabaissa son chapeau et fonça sans réfléchir sur l'attaquant. Tel un boulet, elle le percuta et ils tombèrent tous les deux dans un tas de neige. Toujours dans la surprise de l'attaque, elle le recouvrit avec toute la neige qu'elle avait sous les mains. Son rire était sans fin.

Fière de son travail, elle se releva.

Alors, c'est qui la guerrière ici ???
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Michalak
A peine avait il commencer la fameuse bataille de boules de neige que la Vicomtesse n'était pas resté en reste.

Citation:
Ahhh oui, vous voulez jouer à ça !! Très bien, faites bien attention à vous.


Sans crier gare elle jeta une boule de neige sur le pauvre seigneur victime d'une erreur judiciaire en somme. Il n'avait rien fait pour mérité la vilaine vengeance de la Vicomtesse. Encore que selon certains témoin de l'histoire il avait amplement mérité cette sentence. Il avait osé tiré comme un oiseau la pauvre Sofja. Son tempérament de battante avait repris le dessus sur sa timidité envers l'officier Royal.

Après quelques boules de neige échangé michalak reçu une en plein visage et gueula.

Vous perdez rien pour attendre vous allez voir espèce de chipie !!!!

Et ça vous fait rire en plus. Vous allez voir !!!

Michalak rigola et en prépara d'autre bien tassé pour lui balancer dessus en faisant attention à se planquer parfois derrière quelques arbres histoire de pas se faire toucher par la 1ère boules de neige lancé.

Il répliqua donc avec une nouvelle salve de boules de neiges bien tassé sur la Vicomtesse profitant qu'elle soit dans une tenue rose des plus voyante pour l'a pilonné littéralement.

Tout un coup il vit bonbon rose foncé sur lui la tête caché dans son col. Il balança quelques boules de neiges espérant qu'elle s'arrête mais celle-ci continuait aussi vite que possible. Il finit par se prendre le si jolie bonbon rose assez ravissant il faut le dire sur lui. Il finit par tomber l'entrainant avec elle dans la neige déstabilisé par son attaque. Il se fit victimisation littéralement par la vicomtesse qui l'attaqua de toute part avec la neige qu'elle avait dans les mains. Il se mit à rire amuser de la situation. Alors qu'elle commençait à se relever il l'a refit tomber sur lui et l'enlaça de ses bras.

N'y tenant plus il finit par l'embrasser avec tendresse sur ses lèvres caressant avec une douceur infinie ses joues toute froide à cause de la température.

Je vous aime ma petite guérrière mais je n'osais pas vous le dire. Michalak rougit et se releva puis l'aida à se relever.

Je crois qu'il serait sans doute temps qu'on aille faire ce pourquoi vous étiez venu. A savoir aller chercher les robes chez ma Grande cousine Valéryane.
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Sofja
La Jagellon était fière de son attaque et oui, qui pouvait croire que bonbon rose pouvait foncer dans le tas tel qu'un joueur de soule ! Elle avait vu son père pratiquer ce sport et ce dernier lui avait appris quelques attaques digne de ce nom. Jusqu'à présent, elle n'avait jamais eu occasion de les mettre en pratique, qui l'aurait cru qu'elle le ferait ainsi.

A peine eut elle le temps de reprendre sa respiration, de savourer son coup qu'elle se retrouva à nouveau sur lui, dans cette neige. Les bras du Seigneur l'enlaça délicatement mais surement. Une petite seconde lui suffit pour comprendre ce qui allait arriver.

Elle aurait pu le gifler, crier au scandale, au viol (en exagérant un peu beaucoup) mais non, ces dernières heures furent un régal en sa présence. Il avait l'air sérieux, attentionné, joueur et surtout plein de surprise. Ce n'était pas un baiser qui nuirait à sa réputation. Elle n'était pas des premières fraicheurs, son honneur s'était déjà envolé depuis longtemps.
En 28 ans, son deuxième flirts, il y a avait pire qu'elle dans ce royaume.

La Vicomtesse se laissa faire et profita de cet instant magique. Un doux baiser entourait de neige dans la plus belle ville, Paris by night. Son corps, tous détendu, frémissait à nouveau au contact d'un homme. Que c'était bon de retrouver ces émotions. Lorsqu'ils retrouvèrent leurs esprits, le Valdesti lui avoua ses sentiments.
Ce fut à la Vicomtesse de rougir et surtout de rester sans un mot.

Merci... je... je... ne sais que dire. Cela va un peu trop vite pour moi.

L'huissier de la Reyne l'aida à se relever, elle fit attention de ne pas croiser son regard, gênée.

Oui allons y !

Une fois dans la calèche, Sofja lui fit, à son tour, une confidence.

Sachez que je vous apprécie fortement, Michalak et j'espère qu'on aura d'autres occasions pour échanger à nouveau.

Cela ne valait pas un "je t'aime" mais elle ne fermait pas les portes...
La suite au prochain épisode.
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