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[RP] Eglise de Dijon

Mogi
Mogi récita le crédo, puis écouter l'appel de Bender...

il se pencha vers mis...


peut être qu'on pourrait se faire baptiser.. qu'en pense tu?
Misandrelle
Misandrelle recitait avec ferveur...

Mogi lui souffla a l'oreille "peut être qu'on pourrait se faire baptiser.. qu'en pense tu?"

et lui repondit "oui pourquoi pas si les formalités ne son pas trop lourdes....dans ce cas
parlons en a frére Bender...."


Le credo était fini,ils s'asseyaient....
Vientiane
Vientiane, entendit Asclépiade et à son tour annonça

Mon père, moi aussi je suis baptisée depuis autant de temps si ce n'est plus qu'Asclépiade...

Je suis une fidèle Aristotélicienne et j'ai même fais partie ( pas trés longtemps vu l'injustice le mensonge et le manque de bonté qu'il y règne ) de l'OT


Le père Bender allait encore la sermonner, sur!!! de chez sur !!!
De dire ainsi ce qu'elle pensait !!!
Devant tout le monde, mais elle était trop sincère, il fallait sérieusement qu'elle se corrige et qu'elle apprenne à faire la sournoise ....
Elle se mit à réciter son crédo


.................................
Bender.b.rodriguez
Bender était entrain de se tourner pour prendre le chemin de la chair, une voix se fit entendre, il s'agissait de Vientiante qui avait, semble-t-il, quelque chose à dire.

Vientiane a écrit:
Mon père, moi aussi je suis baptisée depuis autant de temps si ce n'est plus qu'Asclépiade...

Je suis une fidèle Aristotélicienne et j'ai même fais partie ( pas trés longtemps vu l'injustice le mensonge et le manque de bonté qu'il y règne ) de l'OT


L'archidiacre décida de répondre :

Ma chère, je sens en vous une forte douleur à évoquer ce passé... N'ayez crainte celle-ci s'atténuera à mesure que le temps passera.

Le jeune homme pris ensuite le chemin de la chair, le livre des vertus dans la main droite et bloqué contre sa poitrine. Il monta les marches de la chair lentement.



Celles-ci craquaient sous le poids de l'homme et émettaient des bruits plutôt désagréables.

Bender s'installa en posant le livre face à lui et en tenant la chair face à lui comme l'aurait fait un maire à la tribune. Aujourd'hui, il avait prévu de repartir de la base.


Mes chers enfants, je dois d'abord vous dire que je suis heureux de l'accueil des dijonnais.

Maintenant, je vais vous lire un passage du livre des vertus, il est tiré du livre II, la Vita de Aristote.
Aristote marchait dans les collines non loin de thèbes, il se trompa de chemin et trouva une bâtisse isolée ou il décida d'aller demander son chemin.



Bender plongea son regard dans le divin bouquin et se mit à lire sur un ton enjoué et approprié. Bender y mettait de la conviction, et, cela donnait l'impression de se croire devant Aristote et l'ermite.

Citation:
Il frappa à la porte et héla, on vint lui ouvrir. L'homme, âgé, était à peine vêtu, et seulement de haillons. Il était maigre et hirsute.

Aristote : "Bonjour, vieil homme. Je me suis perdu et cherche le chemin de Mégare."

Ermite : "C'est si tu y vas, que tu seras perdu."

Aristote : "Je n'ai point souvenir que la ville ou les routes alentours soient à ce point peuplées de brigands."

Ermite : "Qui donc te parle de brigands. Elles sont peuplées d'humains. C'est déjà bien assez dangereux. "

Aristote comprit alors qu'il avait affaire à un ermite.

Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"

Ermite : "Si je suis heureux ? Et comment ! J'ai tout ce qu'il me faut : l'eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j'ai besoin. Je n'ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux."

Aristote : "Un homme ne peut pas se contenter d'une telle vie. Ou alors il n'est pas pleinement humain."

Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."

Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.


Bender releva les yeux et regarda les fidèles, il déposa le livre sur le pupitre de la chair et déclara à l'assistance :

Chers enfants, chers amis,

Ce texte, pourquoi je vous l'ai lu ? Hein ? Vous l'avez compris, c'est simple, pas la peine de vous faire un dessin.

Mais, bon, pour ceux qui dormaient je vais tout de même faire un petit sermon.


Bender semblait prendre un malin plaisir à dire ses sermon et à ennuyer le fidèles...

La vertu, comme nous l'enseigne Aristote ne peut se pratiquer dans la solitude et dans l'individualisme non plus.

Par la même, l'amitié ne peut s'établir que si vous prenez pleinement part à la communauté dans laquelle vous vivez !

Voilà ou je voulais en venir, après, je cesse de vous enquiquiner...

Mes chers enfants, vous devez partagez avec les vôtres, être solidaires de votre communauté, la fraternité doit régner, ainsi, vous embrasserez la vertu.

Voilà mes amis, entendez les paroles d'Aristote et croyez-le, vous vivrez bien mieux ainsi.


Bender descendit de la chaire et rejoignit l'autel central, il s'adressa aux fidèles et déclara :

Mes chers amis, chers fidèles, rejoignez-moi et, ensemble, partageons le pain, le vin, communions quoi !

Allez, aujourd'hui j'ai débouché une bonne bouteille de Bourgogne...


Bender saisit la carafe de vin de messe et une fiole posée à côté, fiole qui contenait certainement de l'eau bénite puisque l'archidiacre versa quelques gouttes de celle-ci dans la carafe en marmonnant quelques mots puis en se signant.

Il versa le vin dans le calice et attrapa le pain pour le couper avec ses gros doigts dont les fidèles qui assistaient à la messe espéraient qu'ils furent propre...



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L'Ordre Teutonique Recrute !
Mogi
Mogi avait écouté attentivement la lecture et le sermon de Bender...
Lui qui donnait beaucoup de son temps à l'usure de sa plume pour Dijon, savait de quoi il parlé...
Il espérait également que ce message serait entendu jusqu'au confins des ruelles de Dijon, car c'est tout ensemble qu'il faut avancer vers la lumière...

Mogi se leva et alla rejoindre l'autel main dans la main avec Misandrelle....
Clothaire
Clothaire s'avança pour la communion. Au passage il s'arrêta près de Vientiane.

Bon t'as entendu ? C'est à toi qu'il parlait le curé. Il faut que t'arrête de vivre comme une termite. D'ailleurs j'ai une idée. Demain je déménage et je viens habiter chez toi. Comme ça tu seras plus toute seule.
Pour l'histoire de la vertu, c'est facile. Tu me reprises mes chaussettes et toc, le tour est joué. On est pile poil en phase avec Aristote.
Ah, il a des bonnes idées ce Bender, tu trouves pas ?


Clothaire continua son chemin et s'agenouilla. Il se saisit fébrilement du calice, et le porta à ses lèvres. Après quelques instants de réflexion, il recommença et fit claquer sa langue.
Il releva la tête et s'adressant à Bender.....


Chassagne-Montrachet 1451.
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Tribun de Dijon
Vientiane
Vientiane regarda Clothaire avec des yeux ronds d'étonnement en entendant sa diatribe...Il était toujours aussi surprenant dans ses propos son si cher ami , mais moi une termite....Ecoute un peu ce que dit le Père Bender pensa t-elle...

Un ermite, ça vit tout seul, une termite en communauté alors oui, je suis une termite, car j'ai toujours tout fait pour que Dijon sois une ville ou il fait bon vivre et ce jusqu'à épuisement....

Mais j'ai grande confiance dans les capacités de Mogi...Il continue à oeuvrer pour ses concitoyens...Comme je l'ai fait et je l'admire de se donner ainsi à ce travail qui n'est pas de tout repos depuis que le duché ne nous accorde plus d'assistance...

Elle se mit à prier Aristote avec encore plus de ferveur, ne pensant qu'au devenir de cette cité qui l'avait vu naitre, ou elle avait connu son premier amour...Celui qui resterait gravé dans son coeur pour l'éternité...

Pardon Aristote de tout ce méli-mélo dans ma tête, tout à coup elle se releva en entendant une phrase plutôt dépourvue de sens en ce lieu saint

Citation:

Chassagne-Montrachet 1451.


Devinez qui s'extasiait ainsi à l'autel, il faut dire qu'il était connaisseur le bougre... Un sourire se dessina sur ses lèvres...
Bender.b.rodriguez
Bender avait vu défiler les fidèles un à un devant lui et leur avait tendu un morceau de pain puis fait boire une gorgée du vin de messe.

Soudain, Clothaire se présenta, saisit le pain et bu à la coupe, agenouillé devant l'archidiacre, il resta quelques instants sans bouger, faisant uniquement quelques bruits avec sa langue.

Bender sembla surpris de l'attitude de Clothaire mais attendit la suite car il était sûr qu'il préparait encore une de ses surprises dont il était passé maître.

Clothaire leva les yeux vers Bender et déclara :


Clothaire a écrit:
Chassagne-Montrachet 1451.


Bender ne put s'empêcher d'éclater de rire et répondit :


Très bien mon cher, vous m'impressionnez ! Il s'agissait en effet d'un Chassagne-Montrachet de 1451.


Bender termina ensuite la communion en finissant le calice, en vérité, il restait à peine une gorgée de vin, puis, il avala le dernier morceau de pain.

Ensuite, l'archidiacre demanda à chacun de rejoindre sa place et déclara :


Mes chers fidèles, chers croyants,
Pendant la semaine, je vous demanderais de réfléchir à ce que je vous ai dit aujourd'hui, je vous dit donc à la semaine prochaine.

Que Dieu veille sur vous !


Bender accompagna les fidèles jusque sur le parvis de l'église, il leur souhaita une bonne semaine...



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L'Ordre Teutonique Recrute !
Vientiane
Vientiane attendait le Père Bender sur le parvis de l'église...elle voulait le féliciter pour son humour face à Clothaire .....
Ele le vit finalement sortir de l'église, peu de monde.
Le dimanche tous voulaient un repas en famille, comme elle n'en avait pas ... Problème résolu...

Mon père, je tenais à vous féliciter pour le sermon que vous avez fait, tout le monde vous écoutait extasié, belle prestation ....
Sauf ceux qui sommeillaient un peu, mais pardonnez leur, ce sont que de braves paysans qui travaillent dur toute la semaine...Ils viennent honorer Dieu et son prophète Aristote avec bonne volonté, mais parfois la fatigue est plus forte que leur désir...

Vous nous êtes vraiment très sympathique et si vous décidiez de rester parmi nous vous feriez beaucoup d'heureux et le dimanche votre nef s'emplirait chaque fois un peu plus...
Devez vous vraiment nous quittez ..?

Je voudrais aussi savoir si vous servez toujours de si bon vin lors de la communion car dans ce cas, je viens me confesser illico pour avoir le droit de goûter un peu aux crus si merveilleux de notre Bourgogne...

Pardonnez-moi, cette question un peu triviale, et je m'en excuse, mais je suis amateur aussi : peu mais bon, un peu comme pour vous mon père, vous êtes pour nous celui que nous attendions tous à Dijon...
Bender.b.rodriguez
Bender saluait chaleureusement les fidèles et les croyants qui sortaient de l'église, il vit arriver auprès de lui Vientiane.

Celle-ci semblait être contente d'être venue et déclara à l'archidiacre :


Vientiane a écrit:
Mon père, je tenais à vous féliciter pour le sermon que vous avez fait, tout le monde vous écoutait extasié, belle prestation ....
Sauf ceux qui sommeillaient un peu, mais pardonnez leur, ce sont que de braves paysans qui travaillent dur toute la semaine...Ils viennent honorer Dieu et son prophète Aristote avec bonne volonté, mais parfois la fatigue est plus forte que leur désir...

Vous nous êtes vraiment très sympathique et si vous décidiez de rester parmi nous vous feriez beaucoup d'heureux et le dimanche votre nef s'emplirait chaque fois un peu plus...
Devez vous vraiment nous quittez ..?

Je voudrais aussi savoir si vous servez toujours de si bon vin lors de la communion car dans ce cas, je viens me confesser illico pour avoir le droit de goûter un peu aux crus si merveilleux de notre Bourgogne...

Pardonnez-moi, cette question un peu triviale, et je m'en excuse, mais je suis amateur aussi : peu mais bon, un peu comme pour vous mon père, vous êtes pour nous celui que nous attendions tous à Dijon...


Bender répondit :

Je vous remercie ma chère, et, pour répondre à vos questions, ouiu, pour le moment je vais devoir repartir, mais pas tout de suite puisque plusieurs fidèles m'ont demandé le baptême ici.

De toute façon, je partirais pour mieux revenir ! Et quand au vin de messe, je citerais Sainte Boulasse qui disait :

"C’est pas parce que la communion est gratuite, qu’il faut se moquer des fidèles et distribuer du picrate."


Bender souriait et regarda Vientiane pour lui dire :

Je voulais aussi vous demander, ne m'appelez pas mon père, cela me gêne. Seul les prêtres ordonnés portent ce titre, pour le moment, je ne suis que votre frère, donc appelez-moi Bender ou mon frère !

Bender se remémora cette phrase qu'il avait du prononcer au moins une centaine de fois, il repris :

Voyez-vous, j'ai l'impression de radoter à force de dire cette phrase !

Bender salua chaleureusement Vientiane et lui répondit :

Je vous souhaite une très bonne semaine ma chère, que la Très Haut vous guide.
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L'Ordre Teutonique Recrute !
Bender.b.rodriguez
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Une semaine après...

Bender avait eu fort à faire la semaine passée, il avait beaucoup travaillé pour le diocèse, s'appliquant à faire synthèse sur synthèse de texte religieux. Ainsi, il avait dormi très peu et donnait l'air d'avoir pris dix ans depuis la dernière messe.

Cette nuit, il avait pourtant bien dormi et avait un peu récupéré, il avait tellement roupillé d'ailleurs qu'il ne s'était pas levé, comme d'ahbitude diront certains...

L'archidiacre avait ouvert les yeux alors que le soleil était levé depuis déjà quelques heures, l'homme d'église n'était pas ce qu'on pouvait appeler un lève-tôt.

S'étant aperçu qu'il était bien en retard, Bender se leva rapidement et alla se débarbouiller pour ne pas fouetter et embaumer toute la nef, il y avait déjà bien assez de ceux qui ne prenaient qu'un bain par an...

Ensuite, il enfila sa soutane puis descendit rapidement vérifier que l'église était en place, ensuite, il monta sonner les cloches pour faire venir les fidèles.



Alors que les lourdes cloches de fonte s'entrechoquaient grâce à la force qu'avait imprimé Bender, il se rendit sur le parvis de l'église pour accueillir les fidèles...


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L'Ordre Teutonique Recrute !
Misandrelle
Misandrelle avait entendu les cloches,elle hâta son pas.....

Elle arriva sur le parvis de l'église ou attendait frére Bender bonjour frére bender!

beau dimanche....a plus tard


Elle entra dans l'église ,se signa ,il n'y avait encore personne; et allait s'installer en gardant

une place a côté d'elle pourMogi.....
Vientiane
Vientiane, ce dimanche, se prépara avec soin, se lava consciencieusement puis revêtit une jolie robe , elle partit guillerette pour l'office, se demandant si ce dimanche encore son Ti-loup lui ferait faux bond et ne viendrait pas...
Chemin faisant elle admirait la frondaison et toutes les couleurs chatoyantes que les feuilles avaient prises et qui sous le soleil brillaient de mille feux...

Dieu est grand... Tout est si beau et chaque saison apporte une nouvelle parure pour ravir les yeux...

Elle arriva à l'Eglise et ouvrant la porte se faufila dans l'ombre paisible et si propice à la prière de ce lieu saint...

Elle apperçut sa Miss lui sourit avec un petit signe de la main, une place libre auprès d'elle mais elle devait la garder pour son tendre Mogi...

Durant la semaine elle était allée se confesser, elle pourrait ainsi communier , elle attendait que Clothaire arrive enfin, curieuse de voir s'il devinerait le cru que Bender avait choisi pour la communion... Son sourire s'accentua...

Ensuite elle s'agenouilla et se mit à prier le trés haut et ses prophètes...

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VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Clothaire
Clothaire qui était en train d'arnaquer quelques vendeurs sur le marché sursauta en entendant l'appel des cloches. Heureusement l'église était à deux pas et il fut vite sur le parvis.

Bonjour Sir.

Dans un élan de dévotion il s'inclina pour baiser les mains du Saint Homme puis s'agenouilla. Au moment d'effleurer la soutane il eut un mouvement de recul. L'odeur peut-être. C'est vrai que ça doit pas être facile de faire pipi avec une soutane, pensa-t-il.

Clothaire se releva et pénétra dans l'église. Il croyait être le premier mais fut fort contrarié en voyant que Vientiane et Mimi la Bigote était déjà arrivées. Qu'à cela ne tienne, il se génuflexia et alla s'installer.

Pendant un moment il se demanda ce qu'il pourrait bien faire en attendant le début de la messe. Soudain il eut un déclic. Puisque le lieu était propice, autant en profiter pour faire une prière.
Il s'agenouilla, et pendant de longues minutes demanda au Seigneur que Bender remette du chauffage dans l'église.

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Tribun de Dijon
Bender.b.rodriguez
Bender avait attendu dans le frais de ce début d'après-midi dominical, il avait vu défiler les fidèles.

Certains lui avaient glissé un petit mot, d'autres pas, Vientiane lui avait dit :


Vientiane a écrit:
bonjour frére Bender! Beau dimanche....a plus tard


Ce à quoi l'archidiacre répondit :

Merci ma chère, beau mais frais en ce début novembre...rentrez donc vous réchauffer un tantinet !

Puis, Misandrelle arriva et le jeune religieux la gratifia d'un chaleureux salut.

Alors qu'il tentait de se réchauffer en sautillant sur place, Bender vit arriver Clothaire qui s'agenouilla pour lui baiser les mains. Une pensée lui vint à l'esprit : J'imagine qu'il essaye de me soudoyer pour avoir du bon vin...


Clothaire a écrit:
Bonjour Sir.


Bender déclara :


Bonjour mon cher, alors ? Devinerez-vous quel cru je vous ai trouvé aujourd'hui ? Allez, rentrons, car je vous l'avour, je me les gèles...


Bender rentra à la suite de Clothaire. Il le vit s'agenouiller et faire une prière en grelotant et en claquant des dents, ce qui l'amusa beaucoup.

L'archidiacre traversa la nef centrale d'un pas pressé, il se dirigea vers l'autel central et s'y arrêta. Il fit un signe de croix, un génuflexion, puis, se retourna face au fidèles et déclara :


M...m...mmmes chers f...f...ffffidèles...

Bender se frotta les bras contre lui, il semblait avoir froid, il repris :

Toutes mes confuses, j'ai froid ! Je disais...

Mes chers fidèles, nous voilà réunis ensemble pour honorer le Tout Puissant en ce dimanche 2 novembre 1456. Levez-vous je vous prie, en plus...ça vous réchauffera !

Ensemble, confessons-nous.



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L'Ordre Teutonique Recrute !
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