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[RP] Eglise de Dijon

Oukile
oukilé de la taverne attendit les cloches, le temps d arriver il vit les portes fermées .oulllllllllllla sa a du commencer , il ne va pas etre content le frere ..

il poussa la porte si lourde qui en plus grince comme tout, c est pas fait pour arranger les choses sa.

il vit tous le monde debout et prier ,se met au fond comme a son habitude et se dit :

j ai interet de faire comme eux

il ne savais pas quoi dire donc remuer les levres

Mogi
Mogi qui était dans son bureau de bonne heure comme d'habitude, entendit les cloches... Après avoir ranger ses affaires, et fermé la mairie, il se dirigea d'un pas pressé vers l'église...

Bender n'était déjà plus sur le parvis..


Mince je suis encore en retard!

Mogi entra discrètement et longea les murs a demi accroupie pour ne pas se faire voir par Bender....puis se glissa à quatre pattes entre les rang jusqu'à Misandrelle..


Bonjour, je suis encore en retard.. merci de m'avoir gardé ma place!

Il pris la main de Mis et écouta Bender avec un grand sourire, en espérant que celui ci n'ai pas vu sa soudaine apparition au premier rang.
Bender.b.rodriguez
Bender terminait la récitation de la prière de confession, il vit entrer Oukile et Mogi qui cherchaient visiblement à ne pas se faire remarquer...

Bender regarda les fidèles et laissa un moment de suspend pour voir qui allait avoir l'audace de s'assoir.

Puis, il déclara :


Mes chers fidèles, maintenant, récitons le crédo, l'affirmation de notre Foi envers le Très haut et toute sa smala : Aristote, Christos, tous les Saints et la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine.

Ne vous donnez pas la peine de poser vos fesses sur les bancs si confortables de ce majestueux édifice !

Allez, tout le monde debout et Alléluia !

Heu...scusez-moi pour cet élan de joie un peu inapproprié...toutes mes confuses.



_________________

L'Ordre Teutonique Recrute !
Clothaire
Clothaire qui regardait les mouches voler entendit Bender parler du Crédo. Après la honte de la semaine dernière, cette fois il avait pris ses précautions. Il fouilla dans sa poche et en sortit discrètement son antisèche.
Il se mit à réciter en essayant de couvrir la voix des autres pour attirer l'attention de l'archidiacre.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
…….

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Tribun de Dijon
Vientiane
Vientiane vit Clothaire arriver et s'installer à ses côtés...
Lorsque Bender commença à réciter le Credo; Clo sortit un parchemin tout chiffonné et d'une voix de stentor envoya vers le ciel sa prière...

Sur que ce matin Dieu n'entendrait que lui...

Impossible de prier, elle le poussa du coude


Tu peux pas lire plus doucement, je ne comprend rien à ce que je dit à t'entendre crier comme un veau

Il lui lança un regard furieux et continua sur sa lancée....
Elle s'éloigna un peu pour pouvoir me concentrer, mais il la suivit et se collant prés d'elle continua inperturbable




Il me vrillait les oreilles, quand finalement il se tut....AMEN ! Un silence bienfaisant m'envahit, Clo se tourna vers moi avec un grand sourire, tout content de sa prestation sans doute
_________________
VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Mogi
Mogi essaye de réciter le credo, mais c'était impossible de se concentrer avec Clothaire qui essayait encore de se faire remarquer...

encore a faire le pitre celui là
Bender.b.rodriguez
Bender était là, debout, face aux fidèles et aux croyants, les yeux fermées à réciter le crédo lorsqu'il entendit comme un veau que l'on égorge.

Il ouvrit les yeux pour s'apercevoir que Clothaire avait semble-t-il retenu quelque chose de la précédente messe.

L'archidiacre n'en tint pas compte et continua jusqu'au bout puis termina par le fameux
"Amen" que tous pouvaient comprendre comme un genre de "Ainsi soit-il".

Il s'adressa alors à l'assemblée et déclara :


Bien le bonjour mon cher Clothaire, je vois que vous avez appris au moins trois phrases du crédo !

Un grand sourire s'afficha sur son visage, Bender repris :

Mes chers fidèles, nous allons donc continuer. Laissez-moi juste le temps de monter à la chair pour vous faire la lecture...

Le jeune religieux laissa l'autel et se dirigea vers la tourelle qui trônait sur l'un des piliers du chœur de la nef.



Il monta l'escalier en colimaçon puis s'installa devant le Livre des vertus, posé sur le pupitre en bois encadré par deux chandelles allumées.



Bender attrapa le livre de la main droite et le mit sous ses yeux, il toussa pour s'éclaircir la voix et débuta sa lecture.

Mes chers amis, cet extrait est issu du livre des vertus, volume 2, la Vita de Christos, chapitre XV...
Citation:

Oui, mes chers enfants, j’aimais tellement Christos que je souhaitais subir son châtiment à sa place et c’est pourquoi j’ai essayé d’attirer sur moi les soupçons… Mais ma candeur était grande : Pierre Ponce n’était pas dupe, il avait en face de lui un grand et bel homme et un jeune rebelle. C’est donc naturellement qu’il s’adressa au premier en ces termes :

" Ainsi, tu es celui qui se fait appeler le messie, le guide, le miroir de la divinité ? et tu trouble l’ordre de la cité ? "
" Tu l’as dit, bouffi ! " répondit Christos.
" Ecoutes, reprit Pierre Ponce, depuis que tu es à Jérusalem, la cité se porte mal, le pain est rassis, les légumes passés, le poisson puant, et la viande nauséabonde. Tout cela parce que maintenant, les gens ne veulent plus rien faire d’autre que de t’écouter. De plus, tu fragilise le pouvoir de Rome et le culte païen en débitant des âneries plus grosses que toi sur l’amour et toutes ces conneries auxquelles personnes ne croient ! Tiens, je viens de recevoir une plainte du grand chef des prêtres païens ; il paraît que tu t’es payé sa fiole, c’est du jolie ! "

La figure de Christos se fendit d’un grand sourire, avant qu’il ne réponde :
" Oui, je le sais. Votre Empire vit tel une roue à aube. Chaque mécanisme a la place qui lui convient de part sa naissance, et accomplit régulièrement la tâche pour laquelle il a été crée. Et vous profitez de cela en asservissant les peuples, et les forçant à travailler pour des salaires indécents. Or, voilà que moi, qui apporte la vérité, je gène, c’est classique… Je connais un gars qui dit ça très bien, d’ailleurs : Le premier qui dit la vérité, il se fera assassiner ! "

Pierre Ponce dit alors : " Comment, n’approuves tu pas l’esclavage ? même quant il est exercé sur d’autres peuplades que la tienne ? "

" Non, affirma Christos, la solidarité doit maintenant dépasser le simple cadre de la cité ! Nous sommes tous humains et en cela des créatures de Dieu. C’est pour cette raison que faire travailler un vagabond à la mine pour moins de 17 écus est une honte, même s’il vient d’une autre Cité. Et le faire suer pour moins de 18 écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée, est un scandale ! "

Pierre Ponce était agacé… Il lui déclara alors :
" Christos tu seras banni. Maintenant dégage. Affaire suivante : Kramer contre Kramer.
Ah, et n’oubliez pas de libérer Bar-Tabac, c’est jour d’amnistie aujourd’hui. "

Alors, Christos s’étonna de la sentence, et prononça ces paroles :
" Procurateur ! Tu peux me bannir, mais dans quelque cité que je serai, j’agirai toujours ainsi, et deviendrai un même danger pour la plénitude des Empires et des républiques qui constituent le monde."

Ponce fut excédé et lui répondit : "Puisque tu te dis si sage, et que j'ai des aigreurs d'estomac, tu seras crucifié, comme les agitateurs, et en prime supplicié pour m’avoir fait perdre mon temps et troublé ma digestion. Fallait pas me chercher ! ".

Puis, Ponce remarqua ma présence, et il eut pitié de moi et de mon jeune âge, me voyant en larme. Il se tourna vers un des ses gardes et lui dit :
" Quand à lui, foutez le moi dehors, allez hop ! "

Mais Christos m’attrapa par la manche et eu le temps de me dire à l’oreille :
" Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous. Rendez également hommage à ceux qui, par leur vertu, seront un exemple à vos yeux de l’amour qui est dû à Dieu. En vérité, il n’est pas de plus bel hommage à Dieu que d’aimer sans rien attendre en retour. "

Les derniers mots furent criés car l’on emportait Christos dans les geôles tandis que des gardes m’empoignait pour me jeter dehors.


Bender referma le livre avec force ce qui laissa entendre un son sourd et claquant : PAF !

Il regarda tout le monde et débuta ainsi son sermon du jour :


Mes chers enfant, pour la compréhension de ce texte, il faut bien évidemment indexer les salaires dont parle Christos sur la valeur actuelle de l'écu, celui-ci ayant été dévalué il y a quelques temps, cela nous fait 15 écus pour la mine et le salaire minimum !

Bon, quand au texte, que nous apprend-il ? Clothaire ? Avez-vous levé le doigt ?

Bender réfléchit un instant et se dit qu'il avait du se tromper...

Hmmm, toutes mes confuses...je reprends.

Ce passage, de quoi parle-t-il ? De l'asservissement des peuples, comment lorsque tout est figé et lorsque l'amour n'a plus de sens, l'on en vient à penser que ceux qui sont différents de nous sont inférieurs...

La parole du messie est sage, il enseigne ici comment l'amitié et la solidarité doit dépasser les clivages de la cité, comment nous, enfants du Très Haut, et avec ce "nous" j'entends Tous les humains, somme frères et soeurs !

Ainsi, pour continuer dans la lancée de la semaine passée, je vous ai lu ce texte, vous, dijonnais, ne devez pas seulement vivre entre vous mais vous sentir membre de la Bourgogne, du Royaume de France et de la communauté des humains dans son entièreté !

Bender resta silencieux quelques instants histoire que tous digèrent ses paroles puis continua :

Christos, lorsque Ponce le condamne à la crucifixion répond par un message d'amour absolu et d'abnégation à Samoht. Ainsi, nous, humains, Dijonnais de surcroît devons l'entendre ainsi :

Aimons-nous les uns les autres, que l'amitié et la vertu deviennent des valeurs centrales de nos cités, de nos vies et n'attendons rien en retour car cela suffit à rapporter la plus grande des richesse : l'amour.


Bender s'arrêta là et demanda :

Avez-vous des questions ? J'attends...

L'archidiacre attendit qu'on lui pose quelque question sur ce qu'il venait de dire...
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L'Ordre Teutonique Recrute !
Clothaire
Clothaire leva la main.

Est-ce qu'on doit aussi aimer les gens d'Autun qui sont tous des branquignolles ?
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Tribun de Dijon
Bender.b.rodriguez
Bender vit Clothaire lever la main, il écouta alors sa question :

Clothaire a écrit:
Est-ce qu'on doit aussi aimer les gens d'Autun qui sont tous des branquignolles ?


Bender éclata de rire devant l'évidente provocation du comique de service. Il répondit :


Oui mon cher Clothaire, d'ailleurs n'avez-vous point pensé qu'ils puissent eux-mêmes avoir un aussi piètre opinion des dijonnais ?

Non, plus sérieusement, nous devons tous être liés dans l'amitié ! Y a-t-il d'autres questions ?


Bender attendait fébrilement qu'une autre question lui soit posée...
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L'Ordre Teutonique Recrute !
Clothaire
J'disais ça parce que moi, y'a que les gens de Sémur que j'aime bien...

D'ailleurs vous êtes de Sémur vous même, je crois, Mon Révérend.

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Tribun de Dijon
Bender.b.rodriguez
Bender écoutait Clothaire qui baragouinait...

Clothaire a écrit:
J'disais ça parce que moi, y'a que les gens de Sémur que j'aime bien...
D'ailleurs vous êtes de Sémur vous même, je crois, Mon Révérend


L'archidiacre répondit :

Vous je crois que vous voulez du rab de vin de messe, me trompe-je ?

Au fait qu'est-ce donc qu'un révérend ? Je vous le dit et redit, appelez-moi mon frère ou Bender ! Allons, continuons !


Bender redescendit de son piédestal pour rejoindre la nef centrale et se placer derrière l'autel, face aux fidèles.

Il saisit la carafe de vin puis en versa le contenu dans le calice et y ajouta quelques gouttes d'eau bénite tout en faisant un signe de croix.

Ensuite, il saisit une grosse miche de pain qu'il déchira de ses mains en petites portions, il les déposa en gros tas à sa droite. A le voir faire on eu dit l'un de ces agités du bocal qui ont des comportements excentriques...

Bender regarda les fidèles et dit :


Bien, mes chers enfants, rejoignez-moi afin qu'ensemble nous puissions partager le pain et le vin, dans l'amitié !



Il fit signe à tous de venir auprès de lui récupérer un morceau de pain et boire une gorgée de vin. Il ajouta :

Messire Clothaire, je serais curieux de voir si vous allez trouver de quelle cuvée il s'agit ! Mais afin d'éviter que vous n'avaliez tout le contenu du calice, vous serez servi en dernier, hé hé hé...

Bender attendit que chacun vienne communier avec un large sourire...

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L'Ordre Teutonique Recrute !
Mogi
Mogi s'approcha pour son morceau de pain et un peu de vin....

attendant son tour il se demanda..

Mais où est Norbert?
Vientiane
qui c'est Norbert ..???
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VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Clothaire
Clothaire, vexé comme un poux, décida d'ignorer les consignes de Bender et se précipita vers l'autel pour la communion.
Il s'agenouilla, prit un morceau de pain puis s'empara prestement du calice qu'il porta à ses lèvres. A cet un instant un sourire gourmand barrait son visage.
Sans prendre le temps d'avaler une seconde gorgée, il se releva. Son sourire avait disparu. Il était livide.
Comme un automate il se tourna vers les fidèles. Il ne pouvait maîtriser ses tremblements.


Mes amis, j'ai une mauvaise nouvelle.

Devant l'intensité dramatique de la situation, Clothaire eut envie de fuir mais ses jambes ne répondaient plus.
Une nouvelle fois ses mains se crispèrent sur le calice. Il fixait le breuvage, les yeux embués.
Alors, dans un sursaut et n'écoutant que son courage, il lâcha ces mots terribles…


Il est bouchonné.
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Tribun de Dijon
Misandrelle
Misandrelle était dans la file pour communier...

elle entendit clothaire : Il est bouchonné.

elle partit d'un fou rire que rien n'arretait.....[/b]
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