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[RP] Eglise de Dijon

Lylou
Lylou resta assise dans le fond de l'église, elle écouta la prière du père Bender tout en jouant ave la pièce que Clothaire lu avait jeté....
Clothaire
Clothaire se pencha vers Vientiane...

Il peut se le garder son édredon...C'est des trucs pour les pauvres, ça.... Ca doit être plein de puces !
_________________
Tribun de Dijon
Ella
Ella venait chercher la paix intérieure et la grâce du Très-Haut.

Elle récita ses prières. Elle était très concentrée. Elle voulait se rapprocher de son père éternel, le seul qu'elle se connaissait.


Je confesse à Dieu Tout Puissant,
à tout les saints,
et à vous aussi,
mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action,
Je supplie tout les saints et vous,
mes amis,
de prier le créateur pour moi.
Que le Très Haut
nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission
de tous nos péchés.

Amen.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la Terre,
Des enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote son prophète,
Le Fils de Nicomaque et Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse,
Et les lois divines de l'univers
aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa vie à nous monter
le chemin de Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine,
En la Sainte Eglise aristotélicienne romaine,
une et indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission despéchés;
En la vie éternelle.

AMEN
_________________
Vientiane
En voyant Sirantonio se lever, Vientiane prit peur ....Un géant à Dijon, elle se fondit encore plus au fond de son banc, jeta l'édredon au loin en entendant Clo dire que c'était plein de puces, et effectivement une envie irrépressible de se gratter la prit...
Elle sussura doucement sa prière, Sirantonio de toute façon lui cachait toute l'église depuis qu'il s'était levé, aussi ce fut entre Dieu et elle que le message passa


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la Terre,
Des enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote son prophète,
Le Fils de Nicomaque et Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse,
Et les lois divines de l'univers
aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa vie à nous monter
le chemin de Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine,
En la Sainte Eglise aristotélicienne romaine,
une et indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission despéchés;
En la vie éternelle.

AMEN


Ah; mon père vous nous avez bien surpris ce matin, je n'ai même pas pu allez communier, vu que je ne voyais plus l'Autel, une autre fois, sivouplait, placez Sirantonio au fond que l'on puisse assister à votre bénédiction
_________________
VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Mogi
Mogi récita le credo..

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________
Maire de Dijon.
Membre du Rassemblement Populaire de Bourgogne : Démocratie, Partage et Justice.
Misandrelle
misandrelle recita elle aussi le credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Bender.b.rodriguez
Voyant Sirantonio se lever comme un seul devant lui et réciter le crédo d'une seule traite sans aucune faute Bender pensa qu'il ne fallait pas titiller le géant au risque de se ramasser un claque digne de l'apocalypse.

Il regarda tout le monde debout et remarqua que Vientiane et Clothaire avaient jeté leurs édredons au sol, il leur fit remarquer :


Mes chers enfants, ne laissez pas trainer ces édredons par terre, j'ai passé la dernière semaine à les faire laver par les enfants de chœur au lavoir !

Puis, le curé fit signe à l'assemblée de se rassoir, d'un geste élégant et distingué. Il montra la chaise à Sirantonio pour qu'il se repose dessus et tourna les talons en direction de la chair.

Il y alla le pas léger et le cœur embrumé de bonheur, grimpant les marches avec la légèreté d'un félin qui a siesté toute la journée.




Arrivant en haut de son promontoire, il ouvrit le livre des vertus et alluma la chandelle qui était posé juste à côté afin d'éclairer correctement le livre et ne pas faire de bourdes.



Le curé toussota rapidement et discrètement pour s'éclaircir la voix pendant qu'il cherchait le passage qu'il llait lire aux fidèles en ce glorieux jour de baptême.

Un sourire et un air de soulagement montra qu'il avait trouvé le passage qu'il avait préalablement choisit. D'un ton amical et d'une forte voix, il débuta :


Livre II : Partie 2 : Vita de Christos : Chapitre 3 a écrit:

Christos passa donc son enfance dans le village de Nazareth où il fut élevé par son père Giosep, charpentier, et sa mère Maria.

Comme Christos était un enfant exemplaire et plein d’amour, il était aimé de tout le voisinage. Aussi, une femme, bienveillante parmi les bienveillants, offrit au couple un petit potager. Ainsi, alors que Giosep allait couper du bois dans la forêt avoisinante, Maria cultivait les légumes. Cette saine nourriture semblait faire merveille sur Christos, qui, tout au long de son enfance, fit preuve d’un charisme extraordinaire pour un si jeune enfant. Ses paroles étaient d’or et, lorsqu’il parlait, tous l’écoutaient avec attention, sans oser l’interrompre.

Et Maria, qui poursuivait ses récoltes de légumes, put bientôt acheter un petit pré où quelques moutons purent brouter paisiblement.

Christos aimait s’occuper de ces placides animaux. Quand on lui demandait pourquoi, arguant du pénible labeur que cela nécessitait, Christos répondait:
" Dieu a donné aux humains le travail pour qu’à chaque jour ils méritent le titre d’enfants de Dieu. Il a permit que nous soyons supérieurs aux animaux et seuls bénéficiaires du don du langage, car nous sommes les seuls capables d’aimer sans attendre en retour. J’aime ces moutons et ces brebis, non pas en espérant qu’elles me le rendent, mais parce qu’elles sont comme nous issues du Très Haut. "

Christos aidait souvent son père à transporter les stères de bois du marché jusqu’à chez lui, et là, il regardait Giosep travailler le bois et lui donner forme.

Un jour, Christos dit :
" Ce bois que tu rabote et que tu coupes pour en faire des charpentes, il est à l’image du monde. Car le monde sera tel que nous le bâtirons, aussi, il est important d’y travailler avec amour et attention. Les hommes sont des charpentes, et je ferais de ces charpentes le faîte de mon Eglise. "

Maria préparait un repas en mélangeant du pain rassis à du maïs et du lait, le tout bouilli dans une jarre.

Christos dit :
" Ce plat que tu prépare, ces aliments que tu mêle et que tu mélange sont à l’image des peuples. Car ceux-ci doivent se mêler pour s’entendre et dégager ce parfum de bonheur. "

En retour, Giosep et Maria enseignèrent à leur enfant les principes de la vertu. Christos faisait preuve dans ce domaine d’une réceptivité extraordinaire. Il ne faisait pas qu’appliquer ses préceptes: ils les vivait pleinement. Il respirait la vertu et tous les habitants du village étaient inspirés par son exemple.


Refermant le livre dans un claquement qui résonna comme une sentence divine, Bender laissa le temps à tous de digérer cette lecture. Le curé de Dijon aimait ce passage et aurait voulu vivre une telle enfance et connaitre un tel homme, il se mit à rêvasser l'espace de quelques secondes.

Reprenant pied dans ce qu'il faisait, il débuta son sermon :


"Nous sommes les seuls capables d’aimer sans attendre en retour"

Quelle vérité que cette phrase mes chers enfants. Nous sommes tous ici astreints à cette affirmation et c'est bien parce que nous rendons à Dieu l'amour qu'il nous porte que nous la concevons comme notre vérité.

"Le monde sera tel que nous le bâtirons, aussi, il est important d’y travailler avec amour et attention. Les hommes sont des charpentes, et je ferais de ces charpentes le faîte de mon Église"

Ainsi mes chers enfants, Christos par ces mots nous donne un rôle, celui d'aider ceux que la lumière n'éclaire pas afin qu'ils puissent se reposer sur nous et constituer à leur tour un morceau de notre communauté.

" Ce plat que tu prépare, ces aliments que tu mêle et que tu mélange sont à l’image des peuples. Car ceux-ci doivent se mêler pour s’entendre et dégager ce parfum de bonheur. "

Là encore, notre messie nous assène un coup de semonce que nous devons garder à l'esprit : nous sommes tous différents mais nous faisons tous partie du même monde ! Cultivons ensemble la différence et portons là haut, très haut, tel un symbole de l'amour de l'homme pour l'homme.


Bender s'arrêta de parler, il se tourna et redescendit pour se placer derrière l'autel central, là, il regarda Sirantonio et déclara :


Aujourd'hui tu deviens frère de la communauté des fidèles, tu t'engages à ne pas pécher et à aimer ton prochain.

Aujourd'hui ton âme sera le reflet de ta foi, pèses tes pensées, tes actes et tes paroles car c'est cela que Dieu jugera à l'heure de ton dernier soupir.

Ainsi tu prends le chemin du croyant et de la purification de ton âme, libère-toi du monde matériel et de ses contraintes.

Entre avec nous sur les routes du paradis car Dieu, dans sa grande miséricorde et dans son amour pour chacune de ses créatures saura t'accueillir à ses côtés.


Laissant un temps de suspens pour que la l'intensité du moment puisse monter progressivement, Bender renforça son regard vers Sirantonio et ajouta :

Mon enfant, as-tu compris ce qu'était la religion aristotélicienne ? A quel engagement elle te liais ?

Le curé attendit la réponse de Sirantonio avant de continuer la cérémonie...
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L'Ordre Teutonique Recrute !
Vientiane
Cloooooo, regarde le voler vers sa chaire pendant que l'on se gèle sans son église...

Il a beau dire que les édredons sont propres, lui il reste sous le sien et viens nous narguer de son pas dansant,comme un fauve qui a dormi bien au chaud...

Tu crois pas qu'on lui dit trop souvent qu'on l'aime et qu'il en profite !!!

Et son sourire, son sourire, il a quelque chose de vorace ce matin brrrrrrrr!!!


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VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Sirantonio
Oui mon père j'ai compris ce qu'était la religion aristotélicienne. Elle me lie à ne pas pécher, à aimer mon prochain ainsi que mes frères et à venerer Dieu.

Sirantonio s'assit que la chaise.
Bender.b.rodriguez
Une fois que SIrantonie eu terminé sa phrase, Bender lui fit signe de se lever et dit :

Mon cher, lève-toi et suis-moi jusqu'au baptistère.



Bender avança jusqu'aux abords du baptistère, là, il regarda le jeune homme puis l'ensemble des fidèles et déclara :

Mon enfant, ici, devant nous et dans la maison de Dieu, je te demande de réciter le serment du baptisé. Que ta foi envers la Sainte Eglise Aristotélicienne Une et Indivisible soit reconnue par tous !


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L'Ordre Teutonique Recrute !
Sirantonio
Sirantonio se leva et alla rejoindre le père Bender près du baptistère. Il sentait qu'il était à quelques minutes de son baptême qu'il attendait depuis longtemps. Une fois arrivé il récita le serment du baptisé.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'a son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant.
Bender.b.rodriguez
Ensuite, le père Bender se tourna et trempa ses petits doigts potelés dans le baptistère rempli d'eau bénite et traça une croix sur le front de Sirantonio en prononçant les rituelles paroles :

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

Bender tendit alors un cierge au jeune homme afin qu'il le prenne entre ses mains.



Le curé déclara :

Prends ce cierge mon fils, il est le symbole de ta foi, de la lumière Divine qui te guide à présent.

Ainsi, mon fils, tu es maintenant un fidèle de l'église et comme cette flamme, puisses-tu éclairer la route de ceux qui souffrent, de tes proches et de tous ceux que tu croiseras.

A présent, le Tout Puissant te reconnait comme son fils, aime-le comme un père mais crains sa colère si tu t'écartes du droit chemin de la vertu !


Bender tendit la médaille des fidèles aristotéliciens.



Prends cette médaille mon fils, elle est le symbole de ton appartenance à l'église aristotélicienne et de ta foi, tu pourras la porter dans ta signature afin de montrer au monde que tu appartiens à la Sainte Eglise. Elle est la preuve de ton baptême mon enfant. Prend-la et sois-en digne.

Le curé se tourna alors vers les fidèles et leur proposa de se lever d'un signe de la main droite, alors, d'un ton plein de bonne humeur il ajouta :

Mes chers enfants, rejoignez-nous donc devant l'autel afin que tous ensemble nous puissions communier et accueillir ce nouvel enfant de Dieu Tout Puissant.




Bender se rendit alors derrière l'autel et fit péter le bouchon du Chambertin 1451 puis versa son contenu dans le calice. Il ajouta ensuite quelques goutes d'eau bénite issues d'une petite fiole en verre et fit un signe de croix, déchira la grosse miche de pain frais qu'il avait fait cuire spécialement pour l'occasion. Il déposa les bouts de pain sur le napperon qui couvrait l'autel central, on pouvait voir les morceaux d'olives qui étaient incrustés dans le pain. Le vin avait un parfum fruité et semblait frétiller dans la coupe qui servait à communier.

Il invita d'abord Sirantonio à les rejoindre et lui tendit un morceau de pain et le calice...

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L'Ordre Teutonique Recrute !
Sirantonio
Sirantonio prit tous ce que lui avait donné le père Bender et il les garda précieusement. Puis il rejoigna les autres.

Je ne vous remercirez jamais assez mon père.
Merci beaucoup.
Sirantonio
Votre vin est délicieux, très bon cru, Chambertin 1451 vous dites?
J'en acheterais.

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Asclepiade
Asclepiade adorait toujours les baptemes mais celui ci s'acheva sur une note d'jumour qui le fit rire un peu lorque Sirantonio lui demanda la marque du vin.
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Chambellan de Bourgogne
Copiste des Sciences à l'Academie Royale
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