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[RP] Eglise de Dijon

Bella04
Un carrosse aux armoiries de Granges s'arrêta devant le parvis de la Cathédrale de Dijon. Son cocher mit pied à terre et se précipita vers la portière pour l'ouvrir. Le Juge de Bourgogne descendit du véhicule, les bras encore chargés de dossiers juridiques. Cette dernière revenait de la Cour de Justice Bourguignonne et n'avait point dormi de la nuit; il fallait absolument rattraper les erreurs faites par ces rustauds de brigands. Elle s'était néanmoins attribuée une pose afin de rejoindre la Cathédrale pour assister à la Messe du Curé et aussi pour prier. En ces temps durs, tous Bourguignons devaient se rendre dans ces édifices pour écouter les paroles d'un homme d'Eglise; c'était un devoir !

Le Juge de Bourgogne était vêtue comme à son habitude désormais de sa robe noire de Fonction accompagnée d'une cape en fourrure jetée sur ses épaules délicates. Ses cheveux châtains étaient attachés en chignon et laissaient échapper une douce odeur de rose.

La Jeune Femme gravit ensuite les marches du bâtiment religieux et entra dans celui-ci, les yeux rivés sur les magnifiques vitraux qui ornaient la Cathédrale. Puis, basculant son regard dans toutes les directions, elle put apercevoir une place dans le fond, loin des regards. Elle s'installa donc à ce siège et posa ses documents sur un autre pour pouvoir prier tranquillement.
---fromFRAnonymous
Tranquillement à regarder Christos, Guigui entendit un petit bruit de porte, et sentit un courant d'air frais. Il se retourna doucement, puis vit une Sainte, cette chère Bella, portant toujours et encore ses dossiers dans les bras, s'installer sur un banc, au fond de l'édifice. Le Sémurois se demanda quelques instants, s'il allait lui crier de venir à ses côtés, mais il ne voulait pas non plus subir le courroux du Très Haut. C'est donc, essayant de ne pas se recevoir le Livre des Vertus du Curé, qu'il se leva, avec tout son courage, pour se diriger vers la Dame de Granges.

Enfin devant elle, il ne put s'empêcher de lui faire un énorme sourire, puis se posa sans faire attention, sur les parchemins de la Juge.


Ah ! Content de vous revoir... je remarque que vous n'avez pas changé, et même avec toute cette agitation, vostre visage reste encore sain, sans aucun trait à l'horizon.

Puis, il la regarda, avec un regard aimable, comme si cela faisait une éternité, qu'il ne l'avait pas vu.
Bella04
En attendant le début de la messe, Le Juge décida de prier en silence. La Dame rejoignit ses mains entre elles, et les apporta au creux de son encolure en V. Ses yeux verts pailletés d'éclats marron se fermèrent peu à peu et elle commença à murmurer quelques saintes paroles. Soudain elle sursauta quand elle entendit la voix de son Cousin et posa furtivement sa main droite sur son cœur, où les battements cardiaques s'accéléraient au fur et à mesure du temps.

Oh Guigui, quelle peur vous m'avez faite. Décidément, vous aimez me faire des frayeurs mon cher Cousin.


Un sourire se dessina sur les douces lèvres du Juge. Cependant, son minois se crispa à l'instant qu'elle vit l'homme poser son fessier sur ses dossiers. Ses yeux s'écarquillèrent et elle hurla dans toute l'église.


Non mais faites attention maladroit, vous êtes assis sur des Dossiers importants que je dois rendre à la Duchesse de Bourgogne, Dame Clothylde ! Poussez vous ! Allez plus vite !


Le Juge, à l'aide de ses mains, fit plusieurs signes consécutifs à Guigui pour qu'il se retire de ce siège. Quand il l'eut fait, elle happa les parchemins tout en soupirant. Ces derniers étaient complètement abimés et comportés quelques trous de différents tailles.
---fromFRAnonymous
Il ne fallait tout de même pas en faire trop. Cette Bella, même si on pouvait lui faire des compliments, elle n'arrêtait pas de trouver un moyen pour vous enguirlander et cela, depuis son enfance. En plus, comme en cette circonstance, on pouvait la comparer à une poule qui faisait attention à ses oeufs, et qui béquetait les éleveurs voulant lui voler. Même des fois, Guigui se demandait pourquoi on laissait entrer cette boule de nerf, dans un endroit calme.

Alors, quand elle fit ses gestes avec ses ailes, Guigui tomba à terre, sur les fesses. Il la regarda, puis lui dit :


Voyons... on est pas dans vostre poulailler Ma Dame !

Puis, il se releva en se frottant le derrière, puis vit quelques regards. Il fit très vite un signe de doigt sur Bella, pour la donner en spectacle. Puis, après quelques minutes, il sortit de l'église comme un voleur.
Aeliana
Arrivée dans la nuit et étant depuis bien longtemps sur les routes, Aéliana n'avait pas pu aller à la messe du dimanche.
En ce lundi, pouvant se libérer un court moment, elle se rendit en l'église de Dijon.

A la Bourgogne, ces Terres fraîches et verdoyantes. Cet air pur et frais. Cette Bourgogne qui me plaît tend.

Aéliana avait cette pensée était sereine, ici elle se retrouvait un tantinet chez elle. C'était si bon de retrouver des sensations si paisible ...

Arrivée devant l'église, Aéliana s'interrompit. Elle vérifia que sa tenue était tout en place. Il ne s'agirait pas d'être mal fagoter pour entrer dans un tel lieu.
Elle n'avait pas encore été baptisée. Trop de mouvements faisaient, qu'elle devait à chaque fois repousser ses demandes. Mais elle savait que cela n'empêchait pas qu'Aristote l'entende.
Elle monta calmement les marche et entra dans le lieu si saint, si calme, si silencieux où seuls les recueillements avaient le droits de se faire.

Elle s'installa à un banc en faisant ce qu'il fallait avant de prendre place.
Elle plaça paume contre paume et vida son esprit.

Une personne suffisamment proche pouvait entendre en tendant l'oreille sans se l'arracher :


Je viens ici en ce lieu, pour me retrouver.
Aristote, pouvez Vous me pardonner de n'avoir pu entre le sermon, d'être allée à la messe en ce dernier dimanche d'octobre de l'an MCDLV ?
Aristote, Vous qui veuillez tant sur moi, que puis je faire pour sentir moins l'oppression de Vous devoir quoique ce soit ?
O Aristote, je Vous prie d'accepter mes humbles remerciements.
Vous le savez ma foi est sans limite. Veuillez sur moi, mais encore plus sur Ma Dame, sur les Siens


Aéliana se tut. Il n'y avait rien à dire de plus. Le reste était dans ses pensées.
Elle restait ainsi dans le silence le plus total.

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ce n'est pas toi
Aeliana
N'ayant vu personne, Aéliana repartit comme elle était venue.
L'air apaisé l'avait envahie.
Nul doute que les églises sont le slieux de prédilection au calme et à la sérénité.

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ce n'est pas toi
Aarnizhwalki
Grincement serein sur des gonds sans âge –
Poussée la lourde porte – les doigts n’ont pas encore quitté le bois âpre, un souffle frais les capture ; comme une main prenant la sienne, qui l’attire dans la douce pénombre.
Quelques pas, un peu gauches, appliqués – claquements légers sur le pavé austère – des échos éclatent en procession riante, qu’elle s’arrête pour écouter mourir vers les hauteurs. Course maladroite jusqu’aux voûtes paisibles.

Silence
Alentour, l’éther –
Lèvres qui tremblent, quelques mots sans suite, pas même murmurés – simple béatitude du souffle vivant mêlé à l’air des limbes.

Sort des profondeurs aveugles, l’œil clos, bras tendu – s’arrête au bord de la lumière.
Souffle glacé de la clarté, caressant les paupières, une seconde – une minute – une heure… qu’importe ? un temps – celui d’ouvrir les yeux.
Dans un coin sombre, un vieil homme ignoré – visage marqué de saintes ornières.

Recule, main qui caresse au passage une colonne fruste ; s’y arrête – impulsion, poser le front contre la pierre usée – râpeuse, comme le tissu de ce pourpoint sombre, il y a longtemps, lorsque son front atteignait tout juste le coude d’un colosse aux yeux noirs.
Puis, recule encore, pas légers, un peu gauches, appliqués – pas courir, pas faire de bruit… pas déranger l’homme aux ornières…

Lourde porte, qui se referme.
Quittée la pureté rayonnante – jour agressif, un peu. Quelque mal à s’arracher à cet air ; il en reste quelque chose, une trace, au coin de l’œil, à la racine des cheveux, dans l’oreille, au cou, entre les doigts...
Vigueur nouvelle au corps – voudrait prendre sa course, s’élancer vers les champs… Mais la foule se presse sur le parvis chamarré, qu’on ne fend pas si facilement.
Alors, s’éloigne sagement, à pas légers, un peu gauche, appliqués. A profiter, muette, des traces de silence sur la peau encore froide.
---fromFRmarie33c
A chaque passage dans une ville Marie ne manque pas de s’arrêter à l’église pour y prier. Elle poussa la grande porte se signa et avança dans la grande allée fit une génuflexion, se mit dans un coin et commença sa prière.
Me voici à vos pieds glorieux Aristote qui répandait sur le monde vos insignes bienfaits. Me voici donc pour vous offrir le quotidien hommage de mon cœur reconnaissant et dévoué. Gardez-moi toujours des malheurs irréparables. Eloignez de moi et des miens le désespoir de la mort et de l'âme. Guidais moi guidé ceux que j'aime à travers la mer orageuse de cette vie jusqu'au port du ciel, afin que là aussi nous puissions vous aimer vous bénir et être à jamais heureux auprès de vous. Repoussez de nous toutes armes tranchantes. Faites que nous ne tombions pas entre les mains de nos ennemis Amen
Marie sorti de la chapelle le cœur rasséréné et retourna à ses occupations
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---fromFRSamBott
AMEN.
Heleneis
Heleneis arriva sur le parvis de l' Eglise, emmitouflée dans son habituel châle pourpre, et regarda au loin s'il elle n'entendait pas le galop de la jument d'Helven.

- "Que fais tu donc..."

Elle n'osait pas entrer sans lui et décida donc de l'attendre malgré le vent froid qui lui fouettait les joues.
---fromFRSamBott
Ma fille !

La cérémonie se déroule ici, comme prévu (!) :

http://archidioceselyon-rr.lightbb.com/paroisse-de-dijon-f79/bapteme-d-heleneis-t1801.htm

Je vous y attends.
---fromFRjm09
Je travaille a l'eglise aujourd'hui
Vientiane
JMOG9


Pour travailler à l'"glise, ce n'est pas ici....

Vous alez sur vilage --->clic sur eglise ---> clic sur travailler à l'église en haut de la page ce doit être la 2 éme ligne allez-y vous êtes encore à tempsmais demain allez travailer à la mine, tous les jours sauf et je vous aiderais , je vous donerais une marraine ou u parrain qui vous aidera mais n'oubliez pas, ecrivezmi , il est vrai que les tavernes sont un peu vides, vous aurez plus de chance ce soir

demandez moi moi tout ce qui vous tracasse

n'oubliez pas, faites une prière .......
_________________
VIENTIANE---

exMaire de Dijon = 11 mandats
bérgère sans moutons
Tisserande à ses moments perdus
Infirmière de l'ost de Bourgogne
La vérité c'est la justice du monde
Iseult_la_douce
Iseult était arrivée de Bonne heure à Djon. Ils avaient voyagé de nuit et s'étaient arrêtés dans un hôtel aux portes de la ville. Elle avait peu dormi et s'était levée de bonne heure, avec la décision de se rendre à l'Eglise. La veille elle avait prié à la cathédrale de Langres. Elle voulais faire de même à Dijon!

Sa besace à la main, elle gravit les marches menant à l'Eglise et entra. Quelques personnes y marchaient déjà en silence ou priaient. Mais elle n'y reconnu aucun de ses compagnons de voyage.
Elle admira la nef immense qui s'étalait evant elle, conduisant au choeur où se dressait l'autel.

Se signant, elle avança doucement, et remonta l'allée pour rejoindre l'endroit où l'on allumait des cierges et de petites bougies en guise de prière. Elle sortit de sa besace une bougie rouge, la même que celles qu'elle avait allumées pour la première fois à Joinville et langres.



Elle plongea son regard dans la petite flamme :


Pour vous mes amis...

Elle s'agenouilla tout près et commença sa prière à Aristote. Elle pria pour ses amis restés à Joinville, pour ceux qui erraient en ce moment même dans les méandres de l'indécision et des rancoeurs... Miss et Pto... qu'ils fassent le bon choix...
Elle pria pour ses compagnons de voyage... Pour Mani qui, elle l'espérait, retrouverait un peu de gaieté dans ce voyage, pour Bagacum, puisse t'il ne point partir trop loin pour combattre...
Enfin elle eut une pensée pour sa ville, espérant qu'elle garde la gaieté et la vie nouvelle qu'elle connaissait ces dernières semaines.

Elle demanda enfin, tournant les yeux vers l'autel :


Très saint Aristote, protège nous pendant notre voyage, que nos amis nous retrouvent saints et saufs et que je ne perde aucun être cher...

Amen


Elle resta ainsi de longues minutes, les yeux fermés, respirant l'atmosphère reposante et apaisante des lieux.
---fromFRladycharmed
La Stratège de l'OCF venait d'arriver en ville avec sa lance d'escorte et sentait le besoin de prier et de se recentrer sur le Très Haut.

Ladycharmed entra dans l'église , se signa et s'agenouilla.

Le point sur le coeur et les yeux fermés elle priait


Mon épée et ma vie sont peu de chose à côte de Votre Divine Lumière.
Accordez-nous s'il vous plait votre protection pour escorter notre Frère Son eXcellence Leg l'ancien.
Une pensée pour mes Frères et Soeurs de l'Ordre et pour notre GM qui vient d'etre Chevalier Moine de part notre Reconnaissance.
Une demande particulière pour mon adorable petite fille Romane qui depuis son adoption a su grace dans Votre Amour trouver sa place et vivre heureuse.
Merci de m'accorder la force et la sagesse de faire face à mes responsabilités au sein de l'Ordre et à rester sereine et ferme face aux attaques incessantes de celui qui oeuvre dans les ténèbres et aveugle par ses fourberies le jugement et l'impartialité.
Merci pour mon enfant elle m'est si chère et gardez nous tous en bonne santé.
Une prère pour ceux qui n'ont pas encore entrevue votre Lumière .


Ladycharmed resta là un long instant avant de se relever et d'aller offrir un cierge de remerciements
Quelques écus sortirent de sa bourse pour les pauvres ...

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