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[RP] Livre d'or au recteur

Estaloth
Les derniers jours avaient été plutôt difficiles pour son ami. Et quelques personnes désirant lui démontrer leur soutien avaient eu l'idée de le faire en gargote sous forme d'un livre d'or.

C'est ainsi que munie de planches, de clous et d'un marteau, Esta fabriqua un petit lutrin qui soutiendrait le livre, la plume et l'encre nécessaires à l'écriture des souhaits et des pensées pour le recteur qui en avait bien besoin.

Quand elle eut terminé de fabriquer, elle songea à ceux qui ne savaient écrire et alla demander l'aide d'un copiste qui resterait à portée.

Voilà donc que sous une petite tente, bien à la vue de tous, les gens viendraient apporter leur sympathie et leur soutien à l'homme. Car Phebus, bien avant d'être un recteur, est un homme.

Et comme elle était là, elle se permit de signer la première.



Mon cher ami, cher Phebus,

Je tiens à te remercier, pour ta droiture, ton respect, ton amitié. Des valeurs que tu défends corps et âme. Ton dévouement, ta patience sont ta force. Tu as toujours combattu les injustices et cherché les compromis quand c'était possible.

Je n'oublie pas le clin d'œil complice. L'homme amusant et passionné que tu es. L'ami sincère et intègre. Le défenseur de ses dames.

Tes tâches ne sont pas faciles, ton travail souvent lourd. Mais je sais que tu fais pour ce que tu crois être le mieux et c'est tout à ton honneur, d'avoir des convictions et d'y tenir. Si j'avais ta force... Enfin non, si j'avais ta force, je ne serais pas ici aujourd'hui avec toi pour ami. Ahah!

Ne baisse pas les bras. Tu es meilleur homme que ce que la situation laisse à penser.

Ton amie pour toujours,

Esta


Il y avait tellement à dire sur l'homme en lui-même. Étrangement, pour une fois, les mots lui manquaient. Elle espérait les retrouver avant leur prochaine rencontre.
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Velindra
Elle s'avance doucement vers le pupitre, la plume à la main, rédige, d'une main sûre, ses propos.



Il y a un homme que je ne connais pas, que j'ai du croiser une fois ou deux, mais dont j'ai énormément entendu parler. On m'a dressé un tel tableau, de vous, messire Phebus, que je ne peux m'empêcher de vous écrire ces quelques mots, en espérant qu'ils vous réconforteront, qu'ils vous ouvrent un peu les yeux. On m'a dressé le tableau d'un homme droit, intègre, qui se bat pour ses idéaux, mais en ce moment, il me semble que ces mêmes idéaux, polluent votre vie. Alors je ne dirais qu'une seule chose, qu'importe ce que l'on dit dans votre dos, ou devant vous, qu'importe les moyens qu'on usera contre vous, n'oubliez pas, qu'il y a au moins une femme qui vous aime, et des amis, de véritables amis qui vous soutiendront. N'oubliez pas ce qui fait votre force, votre intégrité, votre humanité, votre bonté, votre sagesse. Je sais comme il est difficile de sortir du gouffre dans lequel on a été jeté, dans lequel on a été précipité, mais il n'est pas impossible de se relever, et de sortir encore plus fort de cette mauvaise passe. Soyez brillant, restez celui que vous êtes, car de nombreuses personnes vous aime, malheureusement, elles n'oseront jamais vous le dire.
J'espère sincèrement pouvoir connaitre ce recteur, qui a fait renaitre l'université de Guyenne, alors qu'elle se mourrait, mais vous êtes plus que votre poste. Vous êtes un homme, un époux, un père, alors vivez.

Velindra



Déposant sa plume, elle lit une dernière fois ses mots, avant de reprendre sa route
Malou44
que dire de plus? Sinon que j'etais desesperée de ma vie entre mes champs et mes cochons, et que j'envisageais de me laisser mourir de faim...En dernier ressort,je me suis adressée a Messire Phebus . Il ne s'est pas choqué de mon ignorance,mais m'a pris amicalement par la main et m'a montré la voie de l'Université.Mes sottes questions ne l'ont pas rebuté et il a continué a me guider chaque fois que je me perdais dans des dedales pour moi incomprehensibles.
Je lui suis profondement reconnaissante,il a changé ma vie du tout au tout. Je le considére comme un homme loyal,droit et trés soucieux du bien-etre de ses eleves. Je l'admire de continuer sa charge alors qu'il a été l'objet d'attaques fort desagreables qui ont choqué la plupart.
Je souhaite de tout coeur que,malgré les desagrements qu'il a subi,il consente a continuer la tache qu'il a entrepris pour le bien de la plupart des erudits
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Gwenn.
Gwenn s'approcha à son tour du pupitre, émue à cette initiative.
Il n'était pas question ici de parler des méthodes de travail. Juste de reconnaître les mérites d'un homme qui ne comptait pas ses heures et ses peines pour que l'université, qui se mourait à son arrivée, retrouve ses lettres de noblesse.

Elle prit la plume et se mit à écrire avec son cœur. Elle n'était pas là en tant qu'épouse, même si d'aucuns penserait le contraire. Elle était là en tant que doyenne, érudite, enseignante, élève...



Trois ans bientôt que nous nous connaissons… Trois ans que je n'ai pas vu passer, alors que ça pourrait ressembler à une éternité.

Et pourtant, je me souviens de cette rencontre comme au premier jour.

Est-ce ton apparence qui m'a attirée ? non, je ne voyais plus les hommes.

Est-ce tes mots charmeurs et envoutants qui m'ont tournée la tête ? Non, car à aucun moment tu n'as cherché à me séduire.

Ce que j'ai remarqué, c'est que tu n'étais pas comme les autres. J'ai vite compris en te parlant, que tu étais un homme doté de valeurs devenues trop rares à notre époque. Un grand sens de la justice et de l'intégrité. Un profond respect pour chaque vie, et chaque chose sur cette terre. Un sens de l'écoute et du partage, une grande bonté. Et surtout… Une capacité énorme à aimer. Aimer, non seulement d'amour, mais aussi d'amitié.
Aimer tout le monde. Aimer en croyant que chacun sait aimer. Tendre la main, donner sans chercher à recevoir. Aider son prochain, accorder ton amitié, ta confiance, sans craindre d'être trahi ou blessé.

Tout ceci se reflète dans ta charge de recteur, au quotidien. Tu es toujours là pour aider, conseiller, orienter, écouter, arranger. Ta porte est toujours ouverte à tous, amis comme ennemis, tu les traites sur le même pied d'égalité, qu'ils soient là pour te critiquer ou te porter aux nues.

Et qu'importe les coups, les avanies, les injures qui te jettent à terre et te laissent sans force. Car ton feu intérieur, ta capacité à aimer, te fera surmonter les pires épreuves et t'aidera à te relever, plus fort encore.

Aimer, est la plus belle réponse à la haine.

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HRP :
Xytllali
Lali avait été informée de ce livre d'or, alors il était plus que normal qu'elle s'y rende pour déposer à son tour un mot à son ami




Cher Pheb,

Comme je te l'ai déjà écrit personnellement, ne te laisse pas abattre, relèves-toi à nouveau et ce sera encore leur montrer que tu es là, bien là et que tu es soutenu.

Comme recteur, tu as remanié l'Université malgré les réticences de certains et certaines, certes elle a changé, mais cela lui a redonné une nouvelle vie. La plupart se sont adaptés et y ont très bien réussi. Il y aura toujours les mécontents, les commères et ceux qui prennent plaisir à pourrir la vie des autres. Comme tu me l'as dis toi-même, donnons nous la main et remontons, oublions ces personnes si médisantes, remplit de rancoeurs et très souvent affabulatrices.

Mon ami, à moi cette fois d'être là pour toi aujourd'hui. Avec tous mes déboires, je ne croyais même plus au vrai lien d'amitié, ta présence, ton aide et ton soutien m'ont fait à nouveau croire à ces liens, qu'ils pouvaient exister. Le donner sans attendre de recevoir. Tu es un homme juste et qui aide son prochain dans le besoin. Tu as des valeurs,que les autres ont souvent perdus.

Ne baisse pas les bras mon ami !

Tes amis et même juste des connaissances, t'apprécient et te soutiennent et te sont reconnaissant.

Xytllali, ou Lali

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Aelys_de_valreas
S’approche à son tour prend la plume



Que dire de toi, il y en aurait tellement à dire que ce livre n’y suffirait pas, tu es de c’est être rare, et quand ont à la chance de te connaitre on ne peut que devenir meilleur, tu es franc, généreux, droit et intègre, tu déteste l’injustice et tu combats la misère ou qu’elle soit la preuve cette tav ou les plus démunis peuvent manger à moindre coût, le prix de tes menus ne couvre pas l’achat de la farine et les heures que tu passes à faire ton pain.

Je t’ai vu combattre aussi bien l’injustice que l’obscurantisme, on t’a pour ça malmené mais tu as continué à crier vaille que vaille, ton horreur face à un inquisiteur et d’autres du même acabit qui se croyaient meilleurs que toi, simplement parce qu’ils ne concevaient pas qu’on puisse prier autrement. Tu as été pour ça bafoué, humilié, frappé d’interdit ainsi que ton épouse, mais jamais tu n’as flanché et tu es resté fidèle à tes convictions, quand tu as vu que la meilleur façon de t’abattre était de s’en prendre à ce que tu as de plus précieux, ta famille, tu as décidé de partir, ton propre sort t’importait peu, mais que l’on touche à ta famille et tu deviens loup.
Aujourd’hui tu combats toujours l’injustice et une fois de plus on te salit on te fait passer pour ce que tu n’es pas, si tes détracteurs te connaissaient aussi bien que nous, mais hélas vouloir abattre quelqu’un en proférant des mensonges est monnaie courante en notre royaume, malgré tout tu restes encore une fois droit dans tes bottes, défendant bec et ongles ce que tu crois être juste. Que dire de plus sinon que les mots Amour et Amitiés ne sont pas des mots vains pour toi, quand tu donnes ton amour ou ton amitié, c’est pour toujours, et on peut toujours compter sur toi, je le vis au quotidien en tant que doyenne d’une faculté que je ne connais pas bien, mais tu es là pour m’aider, m’encourager, en tant qu’élève tu me pousse à toujours faire mieux et je dois dire que tu y arrive.

Ne te laisse pas abattre, n’oublie jamais qui tu es et ce que tu vaux, et comme tu as l’habitude de dire, laisse glouglouter les égouts, moi je rajouterais simplement que la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.
Nous tous qui te connaissons, sommes fiers de compter parmi tes amis ou ta famille, en conclusion je te dirais simplement ceci. NE CHANGE JAMAIS
.

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Xanthi


Xanthi s'approcha, prit à son tour la plume et écrivit :
Citation:
A vous Recteur Phébus,

Qui n'acceptez de recevoir des demandes d'érudits que par pigeon.
Qui mettez à l'index tout érudit qui ne veut rejoindre votre annexe
Qui transformez en désert l'université de Guyenne.
Qui affichez vos affiches préparées en secret.

Vous que l'on dit si tolérant, si juste, si ouvert, si génial, si généreux, si intègre,…..
Si vous êtes réellement cet homme là, pourquoi vous sentir si abattu ?

Xanthi, dame de la Motte-Maucourt


Elle reposa la plume et passa son chemin.
Elle avait la conscience tranquille, n'ayant jamais critiqué le travail du recteur, juste sa façon d'être à l'encontre de certains érudits.

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Estaloth
Esta venait lire ce que d'autres avaient écrit. Mécontente, elle déchira la dernière page signée de Xanthi et la glissa dans son sac, avant d'écrire à nouveau pour les prochains qui passeraient.



À ceux et celles qui voudraient témoigner dans ce livre,

Je vous prierais de parler de l'homme, en termes respectueux et sans relancer la polémique qui court actuellement dans ce duché. Si vous n'avez que de mauvaises pensées à témoigner, je vous prierais aussi de les garder pour vous, ou d'envoyer un pigeon personnel.

Il ne s'agit pas d'accabler davantage l'homme, mais de lui témoigner du soutien et du respect, comme tout homme ou femme en mérite. Ici, c'est le livre pour le recteur.

Merci à tous de bien vouloir respecter cette idée.

Estaloth de Lauvain

P.S. : Et oui, je me permettrai d'arracher de ce livre les commentaires irrespectueux ou qui entraineraient un dérapage sur un sujet polémique.

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Amolaric


Phebus,

Je ne suis pas érudit. A ce titre, je ne peux donc porter un jugement sur le recteur. En revanche je pense connaître, ce qui est surement plus important, l’homme que tu es au quotidien.

Celui-ci est chaleureux, accueillant, à l’écoute des autres et compatissant. Venir dans ta taverne, c’est venir dans un lieu de repos, un lieu plaisant où l’amitié est sincère et sans calcul.

Aujourd’hui tu sembles être au cœur de critiques sur tes choix, ta manière de travailler, de t’organiser.

Lorsqu’on entreprend des choses, c’est prendre des risques et on s’expose bien évidemment à ce genre de critiques. Que l’on fasse les choses bien ne suffit souvent pas à être épargné. Le plus amusant c’est qu’on trouve bien souvent dans le rang de nos détracteurs, ceux-là même qui nous ont incités à faire ces choix. Mais s’il n’y avait pas des gens comme toi pour assumer de tels risques, nous serions statiquement ancrés dans nos habitudes, incapables d’évoluer et donc voués à mourir.

Je ne porte pas de jugement de fond sur ceux qui te critiquent aujourd’hui, je ne connais pas leurs motivations et je ne souhaite d’ailleurs pas les connaître. Ce qui est certain, en revanche, c’est qu’on a le droit d’avoir une opinion différente. Mais avoir des divergences d’opinion n’autorise pas pour autant à les distiller de façon agressive et avec la volonté manifeste de blesser celui qui en est la cible.

Les gens diront ce qu’ils veulent sur toi. Ils te traineront peut être dans la boue juste pour le plaisir de cracher leur venin. De cette triste histoire, quoi qu’il advienne, ils n’en sortiront pas grandis, contrairement à toi.

Je suis ton ami, Phébus. Je le resterai quoi qu’il advienne car j’ai vu chez toi, une rare bonté et bien d’autres qualités de cœur. Le monde peut éventuellement s’écrouler autour de toi, il te restera toujours tes amis sincères et fidèles. Je serai de ceux-là.
Aelys_de_valreas
regarde la jeune femme, qui n'a pu s'empecher une fois de plus de venir salir le recteur
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Estaloth
Esta attrapa Aelys par le bras. Presque deux fois plus jeune qu'elle, elle n'eut aucun mal à l'entraîner, et se permit même de lui donner un conseil provençal.

- Il ne sert à rien de cracher du venin ici. Ce ne serait pas faire honneur à Phébus. Quand quelqu'un nous déplaît, il vaut mieux l'ignorer simplement et poursuivre sa vie, en sachant ce qui est bien pour nous et pour les gens que l'on aime.

J'aurai au moins appris ça.

Elle lui sourit et la ramena à la taverne.
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Malou44
Je plains sincerement une dame qui ne fait que s'enbourber dans ses afirmations oiseuses...
Gwenn.
Les filles, laissons donc la place aux autres auprès du livre d'or. Nous ne sommes pas responsable si certains ne savent pas se tenir.
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HRP :
Philip_de_st_arnault
Prend la plume à son tour



Je ne suis pas érudit non plus, mais je connais l’homme et je n’ai aucun doute, son comportement de recteur ne doit pas être bien différent de celui qu’il a dans la vie de tous les jours.

Phébus est comme tout le monde, il a des défauts, plus d’un mais tant de qualités qu’on fini par oublier les défauts, par exemple il s’emporte facilement, mais il est sans malice ni rancune et si une fois sa colère retombé, on lui démontre qu’il est dans son tort, alors il sait s’excuser en toute humilité, j’en ai fait l’expérience donc je sais de quoi je parle.

il est perfectionniste et exigeant, aussi bien avec lui qu’avec les autres, il ne revient jamais sur la parole donné et préfèrera mourir que de ne pas honorer une promesse, on peut compter sur lui pour tout, il sait mettre ses propres soucis ou peines de côté pour consoler un illustre inconnu, croyez moi c’est un homme de bien.

Il possède toutes les qualités pour être un bon recteur et peut être même Duc, parce qu’il n’a aucune ambition pour lui-même, mais beaucoup pour son Duché, avec lui la Guyenne vivrait heureuse, il serait la fierté de la Guyenne et non la honte, n’en déplaise à une certaine dame, que je ne nommerais pas.

Phébus je suis heureux de te connaître, de compter parmi tes amis et si j’avais eu la chance d’avoir un frère, j’aurais aimé que ce soit toi.

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Allessandra
C'est au tour de la blonde de laisser un message sur le livre d'or.



Phébus,

C'est en tant qu'amie que je t'écris. Je ne connais pas les griefs qui t'opposent à quelques personnes au sein de l'université mais je ne souhaite les connaître. Ces personnes ne doivent pas avoir pris le temps de te connaître pour agir ainsi.
Si je t'écris ici ce jour c'est pour témoigner et te remercier pour ta gentillesse mais aussi te soutenir. Dès mon arrivée à Bordeaux, tu m'as accueilli avec une extrême gentillesse, ce dont je n'oublierai jamais. Tu es une personne de valeur, valeur que j'ai su reconnaître de suite. Tu es avenant et propose ton aide aux personnes dans le besoin ainsi qu'à tes amis. La cafet de l'université est un endroit à Bordeaux où beaucoup aiment se retrouver en taverne, dans une ambiance bonne enfant. J'ai hâte de revenir à Bordeaux car cet endroit me manque. Saches que je fais partie de tes amis et des nombreuses personnes qui t'apprécient.

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