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Cathédrale Saint Maximin d'Aix

---fromFRil_vero_Re
hum.. non non.. il y a un leger changement de programme...

Vitou murmura quelques mots à l'oreille de l'officier aptien le plus proche, afin qu'il aille chercher des chevaux à Apt pour ses hommes.

Ceci fait, il se mit au centre de la nef, et dit


Mes frères, mes amis..

Rendons nous à Brignoles. il y a dehors des chevaux, que vous pouvez prendre. Mes hommes nous rejoindrons rapidement.
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Vitorrio E. Martius
avait deux buts dans la vie: servir l'eglise, et cherir sa famille.
un cardinal et une comtesse complotèrent, il se retrouva excommunié, sa femme n'ayant plus rien à gagner de lui le rejetta, et il mourrut
le clergé provencal est bien pourri...
---fromFRbabette570

Babette ayant remarqué l’agitation qui se déroulait vis Avensis se diriger vers Il_Vero

Il avait l’ai plus qu’inquiet, ils echangérent quelques mots
Quand soudain Il-Vero s'adressa auprés de ses amis

il proposait des chevaux pour que tout le monde parte à Brignoles

D’un commun accord avec Avensis, ils sortirent de la Cathédrale, montèrent chacun un cheval
Et partirent en direction de Brignoles

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---fromFRAnonymous
caribert, fillot d'Ingeburge, arriva enfin de compiegne, ayant appris en chemin la détresse de ça marraine il essaya d'avoir plus de renseignements en arrêtant un passant
-Mes excuses mon brave, pourriez vous m'indique ou je peux retrouver dame Ingeburge? je doit allé a son mariage
-brignolles? d'accord mon brave j'y vais de sitôt, en espérant que son rustre fiance et pas encore gaffé[/i]
---fromFRAnonymous
On murmure on s'étonne, on regarde alentour,
En quète d'une réponse, qui lèverait le doute.
Puis le baron enfin, lève un peu le mystère
Tous iront à Brignoles, chevauchant par la route

La belle attend là-bas, c'est ce que l'on espère
---fromFRKaralium
Kara était en chemin pour Aix... son cheval lancé au triple galop.. elle était (encore) en retard ! Vittou allait la massacrer ! !

Arrivée sur les lieux, on l'informa que le mariage n'avait eût lieu, et que son cousin était partit rejoindre son aimée à Brignolles...

Elle remercia le villageois, et repartit de plus belle....

Cheveux et cape au vent....

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---fromFRremideHasbourg
Rémi sortit à l'extérieur monta sur un cheval et partit en direction d'Aix avec un petit groupe d'invité.
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Banniere en cous de refection

---fromFReckris
[Rp se déroulant dans les dépendances de l'Archevêché à Aix, suite à cet êvenement.]

http://forum.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?p=4922424#4922424
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Cardinal Inquisiteur,Archevêque d'Aix.
---fromFRAnonymous
Le ciel de Provence, une jolie senteur de pins dégringolant dans l’air avec à l’horizon, les infimes Alpilles découpant leurs crêtes fines. Pas de bruit en ce jour de Noël, à peine, de loin en loin, un son de fifre, un courlis dans les lavandes froides de l’hiver. Un grelot de mules sur la route au loin avançant en direction de la ville endormie. Tout ce beau paysage provençal était l’opposé de Tulbegh. Un petit coin parfumé et chaud malgré l’hiver, pas de brouillard, pas de vent glacial !

Micklos Serkil arrivait à son but, la Cathédrale Saint Maximin d'Aix, s’étendant comme un roc au milieu de la grande place. Le plus fin roublard du royaume de France s’avançait en direction de la porte, imposante et ouverte pour les visiteurs…

Dedans peu de monde, il était encore tôt et la veille avait été arrosée rudement. Le moment opportun pour se lancer à la recherche du Kitab al azif.

Micklos Serkil s'enfonça sous la voûte, passant au milieu des bancs de bois impassibles pour arriver enfin devant la nef. Là devant l’autel l’Aigle de Semphar exécuta une rotation lente pour admirer le panorama religieux qui se trouvait devant ses yeux.
Il s’arrêta un instant sur un pilier où était visible un aigle ! - Celui de saint Jean ! représentant l’intelligence divine. Celle qui inonde les personnes pénétrant en ce lieu sacré. Micklos marchant toujours silencieusement essayait de trouver l’entrée du repère de l’objet de sa venue...
---fromFRAnonymous
Miklos Selkirk évoluant toujours avec la discrétion d’un félin, découvrit une antichambre, sûrement d’évêque : des étagères pleines d’alambics religieux et des objets ostentatoires à l’effigie du Christ étaient parsemés d’ici et là avec le goût d’un clerc. L’Aigle de Semphar traversa l’antichambre pour aller entrouvrir la battant suivant… Un long passage percé de nombreuses portes… Etrangement, un air de vieillerie formait des volutes au gré de subtils courants d’air. Au bout, un escalier ouvragé conduisait à l’étage proprement dit.
Toujours avec discrétion, Miklos avança, jetant au passage des coups d’œil indiscrets par les portes entrebâillées. Des ateliers, des resserres et des locaux aux usages abscons pour la plupart. - Si je ne trouve pas de salle secrète là-haut, je reviendrai explorer tout ça…
Au bout du couloir, derrière une porte entrouverte, sur sa droite, le roublard entendit des bribes de voix et des murmures. Il se rapprocha et risqua un coup d’œil. Vêtu d’une tunique de cérémonie au liseré doré, un homme lui tournait le dos penché sur un grimoire. Autour de L’évêque s’étalait toute la panoplie associée aux religieux, Serkil s’intéressa au livre poussiéreux. Se pouvait-il que… ? Ou s’agissait-il d’une vulgaire bible, un des ouvrages de référence du maître des lieux ? Mieux valait profiter de ce que l’évêque travaillait pour fouiner les autres pièces. En cas d’insuccès, l’Aigle de Semphar reviendrait ici.
A pas de loup, il gravit l’escalier. Les marches qui s’ornaient d’images de Saints , de gargouilles et de chevaliers conduisaient au-dessus de la nef. Regardant d’un œil admiratif la grande salle où un silence de mort régnait, Serkil s’attarda sur un détail très discret mais suffisamment voyant pour être repéré par un expert. Là à quelques pieds du sol était visible un mur plus ou moins comblé, mais la petite épaisseur par rapport au reste de la cathédrale prouvait qu’il y avait avant une porte ou un couloir.
Redescendant avec la même discrétion, Miklos Selkirk se trouva enfin devant le faux mur. Tapant d’une main sur différents endroits, il posait l’oreille à l’écoute d’un bruit prouvant qu’il y avait quelque chose derrière. Après quelques secondes, un sourire se dessina sur les lèvres de l’homme. Prenant le temps de voir qu’il n’y avait personne, il alla fermer la grande porte double de la cathédrale et bloquer celle de l’antichambre où l’évêque pourrait débouler.
S’armant d’une corde, Selkirk la passa avec agilité dans un anneau destiné à tendre des guirlandes ou il ne savait quoi pour décorer lors des grandes célébrations. Reliant les deux bouts de la corde à un banc, il avait dorénavant devant lui un bélier de fabrication maison pointé en direction de l’entrée cachée.


Soupirant un instant, il espérait que le mur cédera rapidement avant d’avoir la totalité de la ville sur le dos. Décidément ce genre de pratique ne collait pas réellement à ses coutumes mais là il n’avait pas vraiment le choix. – Bon… Voyons voir ce que tu as dans le ventre !

Il y eut un bruit sourd s’ensuivant la chute de gravats, puis un autre… Au bout du quatrième Selkirk pouvait enfin passer dans l’étroit passage. Maintenant il allait falloir faire vite, l’évêque qui était à l’étage aurait été sourd pour ne pas entendre pareil raffut.
Prenant au passage un chandelier pour s’éclairer dans le sombre tunnel où le peu d’éclairage conférait aux ombres d’étranges reflets morbides, il découvrit ce qui devait-être des appartements privés qui devaient être plutôt confortables mais très décadents. Sur les murs, de partout des créatures empaillées et autre curiosité. Des loups, des chauves-souris, des renards… – Hum… Ce fameux évêque avait sûrement appris que le Vatican était sur son dos après son petit détournement et il avait eu le temps de boucher l’entrée de son repère, envoyant pour plusieurs années cet endroit austère dans le silence religieux.
Passant d’une pièce à l’autre, sans se presser, de peur de tomber sur un piège, Selkirk empocha tout ce qui piqua son intérêt. Une statuette ancienne en or, une petite urne d’argent remplie d’encens, un masque funéraire en or représentant la tête d’un démon incrusté de lapis lazulis…
Miklos Selkirk arriva enfin dans un cul de sac, une grande salle de travail aux murs percés de nombreuses niches où s’entassaient des rangés de livres, de rouleaux et de tablettes.


- Ah ah ! Nous y voilà… Voilà donc ton antre où tu jouais avec le Diable. Mais où as-tu pu fourrer le Kitab al azif ?
Prenant des livres avec le plus grand hasard, l’Aigle de Semphar tomba sur des recueils de potions, des manuels pour appeler les esprits : Une multitude d’œuvres qu’avait dû avoir utilisé l’ancien propriétaire des lieux.


Après un dernier coup d’œil circulaire à la bibliothèque, le roublard s’avança en direction d’un pupitre où était posé un livre imposant par la taille.
Serkil passa une main sur le recueil pour enlever la poussière provoquée par le temps, il approcha ensuite le chandelier pour y voir plus clair. C’était un grand livre relié d’un étrange cuir sombre dont les nervures faisaient saillie sur le dos. De sa main libre, il le prit et l’examina délicatement. Un crâne d’humain en argent était gaufré sur la reliure à dos plein et des runes couraient sur chaque fermoir. Le titre était également gaufré en lettres d’argent :
Kitab al Azif ! – Le livre du musicien…

- Te voilà enfin ancienne relique ! Tu m’excuseras nous n’avons pas le temps de faire les présentations.

Le fourrant dans sa besace Selkirk se lança vers la sortie. Il prit cependant son temps pour bien surveiller si personne ne l’attendait dans l’imposante cathédrale. - Personne ! Eh bé… On dirait que la chance est avec moi !

L’Aigle de Semphar sortit, passant sans transition de la pénombre au grand jour. Entendant l’évêque qui essayait de passer la porte bloquée, Selkirk n’attendit pas de lui parler et prit ses jambes à son cou. Se trouvant enfin dehors, il récupéra son cheval pour s’enfuir dans la campagne de la belle Provence !
---fromFReckris
Le Cardinal Archevêque avait passé des fêtes bien mornes… il s’était retiré pendant une semaine dans une Abbaye prêt de Sienne où il avait tant bien que mal essayé de faire le deuil du feu Grand Maître du Temple, Kreuz Von Valendras, son propre oncle. Habillé de la couleur du deuil, il avait passé le plus clair de son temps à jeûner et à prier, il s’était même quelques fois fouetter afin de lui faire oublier la douleur dû à la perte de son mentor.

Néanmoins aujourd’hui, l’Archevêque d’Aix ne pouvait mettre de coté sa charge auprès du Très Haut et de ces fidèles. Il devait baptiser trois conseillers comtaux en la Cathédrale Saint Sauveur d’Aix ; cela faisait longtemps que ces derniers lui avaient demandé l’entrée dans la Communauté Aristotélicienne.

Visiblement amaigri, le visage un peu pâle mais souriant le Cardinal Inquisiteur sortit de la Cathédrale d’Aix afin d’accueillir les candidats aux baptêmes : une petite cinquentaine de personnes, la plupart fidèles de la Cathédrale, notables, marchands et badauds s’étaient agroupés autour d’eux. Une dizaine de gardes épiscopaux se chargaient du service d’Ordres autour des futurs baptisés

L’Archevêque prit alors la parole :


Votre Excellence Farok Cap diplomata e Notari Provençau, Honorable Lordfear Senhor de Allauch e Jutge Provençau, Honorable Jasdes Conselhier Provençau e Jutge Militari je suis heureux de vous accueillir devant la Maison du Seigneur d’Aix.

Par votre entrée dans la maison du Seigneur, et par le geste que je vais accomplir, vous allez abandonnez l’état matérialiste dans lequel vous êtes et rentrés dans l’état où votre corps et votre pensée seront imprégnés des Idées de L’Essence Divine. Vous ferez alors totalement partie de la Communauté Aristotélicienne. Vous accéderez aussi par cette cérémonie à la rémission de vos péchés et à l’accession au Bonheur et à L’Amitié Aristotélicienne.

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Cardinal Inquisiteur,Archevêque d'Aix.
Farok
Le vieux Lombard était de retour, pour quelques jours, de l'isle de beauté ou il avait arrangé rapidement les premières affaires de la Provence.

Sortant d'une entrevue avec le Comte, ou il fut question du départ très prochain pour Naples, enfin, car les affaires Corses seraient reprises en main par l'Ost Provençale, le cap diplomata se rendit à la Catedrala, craintif et soucieux... Depuis toujours, toutes ses demandes de baptême avaient été repoussées, et c'est aujourd'hui, alors qu'il se sentait proche déjà de sa tombe, qu'il allait enfin rentrer dans la maison d'Aristote. Emu, il s'avança vers l'Aquevesque, n'ayant mesme pas vu Allauch et le Juge Martial...

Par votre entrée dans la maison du Seigneur, et par le geste que je vais accomplir, vous allez abandonnez l’état matérialiste dans lequel vous êtes et rentrés dans l’état où votre corps et votre pensée seront imprégnés des Idées de L’Essence Divine. Vous ferez alors totalement partie de la Communauté Aristotélicienne. Vous accéderez aussi par cette cérémonie à la rémission de vos péchés et à l’accession au Bonheur et à L’Amitié Aristotélicienne.

Farok s'approcha tout en examinant ces paroles, et se demandant si l'obligation d'abandonner l'état matérialiste dans lequel il est devait estre une nécessité, mais se dit qu'une rémission de ses pêchés s'averait faire, en fin de compte, une très bonne affaire... Arrivé devant l'Aquevesque, soudain troublé, toutes ces hérétiques pensées s'estomperent et il oublia ce qu'il devait répondre, ému...
Fufanu
Fufanu ne venait pas souvent en la cathédrale d'Aix. Il était assis parmis les gens venu assister aux baptèmes communs de Farok, Lordfear et Jasdes.
Voir le vieux banquier, muet comme une carpe au moment de prendre la parole le fit sourire. Il se demandait bien pendant combien de temps, il allait rester dans cet état.

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Lordfear
Lordfear venait d'amener Jarlmorgoth sur l'estrade publique afin d'y exposer la sentence du Sieur au Peuple de Provence. En arrivant à la Cathédrale Saint Sauveur d’Aix, le Juge de Provence se mit à repenser à tous les bougres qu'il envoya à la potence ou en prison, au nom de la justice provençale. Il se mit à douter de son role "Qui-suis je, pensa-t'il pour décreter ce qui est bien ou mal, pour choisir de la mort d'un homme?". Mais en apercevant le Cardinal Archéveque , Lordfear compris alors qu'il n'avait point à se tourmenter ainsi. En choisissant d'oeuvrer jusqu'à sa mort pour la justice provençale et le bien de la Provence, il se devait de rendre ces jugements. Et ce bapteme serait une preuve supplémentaire de son désir de s'accorder aux valeurs aristotéliciennes.

Lordfear savait, qu'au dela du symbole, ce bapteme représentait beaucoup..Orphelin depuis l'age de 8 ans, ses parents, de fervents croyants, auraient été fier de lui.

Il leva les yeux aux ciel, et l'émotion voulait faire irruption de ses yeux, mais il se rappela qu'en tant que Seigneur d'Allauch et Juge de Provence il ne devait point montrer de faiblesse en public, et s'approcha du Cardinal Archéveque, d'un pas déterminé.

Il se mit aux cotés du Cap Diplomatia, qui semblait essayer de dire quelque chose sans y arriver.

Il regarda le Cardinal Archeveque et lui dit:


Je veux accéder à la rémission de mes péchés et à l’accession du Bonheur et de l’Amitié Aristotélicienne en me faisant baptiser
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Farok
Farok, qui s'était avancé avant de se retenir de parler, vit le Jutge s'avancer à son niveau et prononcer la phrase cérémonielle..
Je veux accéder à la rémission de mes péchés et à l’accession du Bonheur et de l’Amitié Aristotélicienne en me faisant baptiser

Se demandant ce que l'Assemblée, et l'Aquevesque surtout, se demandait de sa bien piètre prestation, il chercha un soutien du regard, avant de voir l'ancien consol de Arle, Fufanu... Réconforté, il prononça la fameuse phrase :
Je... Je veux accéder à la rémission de mes péchés et à l’accession du Bonheur et de l’Amitié Aristotélicienne en me faisant baptiser !
---fromFRAnonymous
Mickaelle était entrée dans la cathédrale d'Aix le coeur en joie. Elle s'installa près de Fufanu pour assister à la cérémonie et s'amusa de voir l'air embarrassé de Farok.. Le désignant du regard, elle chuchota à Fufanu..

J'ai apporté une fiole d'eau de vie pour le réconforter s'il venait à bégayer .. Je vous passe la fiole .. j'ai un fillot qui m'attends pous son baptême à Brignoles ..
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