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Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Ghelar
Ghelar crut déceler, dans les paroles d'Ingeburge, une note d'émotion, un mélange de tristesse et de je-ne-sais-quoi... mais c'était sans doute sa propre émotion qui lui jouait des tours.

Attentivement, il écouta les paroles de Son Eminence sur le baptême et l'amitié. Bien que concentré sur les mots, certains lui échappaient tant son émotion était grande.

Puis Ingeburge s'adressa à lui. Rien qu'à lui, se dit-il. Elle semblait attendre quelque chose de lui. Ghelar lança un regard à Ascram, sa marraine, qui se tenait à coté de lui (on fera comme si). Elle lui fit un petit signe, qui ramena Ghelar à la réalité.


Oui, je confirme vouloir librement faire partie de l'Eglise Aristotélicienne.
Oui, je désire recevoir le sacrement du baptême et ainsi entrer dans la communauté Aristotélicienne.
Oui, je suis prêt à servir le Très-Haut et Son Eglise en toute circonstance.


Il avait prononcé ces paroles lentement, pesant leur poids et leur valeur à mesure que les mots sortaient de sa bouche. Puis, après une inspiration profonde, il déclara :

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur Terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.


Vais pas tarder à aller me coucher non plus, je tombe de fatigue...
Hersende
Hersende arriva en retard à son habitude. De toutes façons, tout allait mal aujourd'hui et elle était d'humeur particulièrement morose. Elle savait que cette messe marquait les adieux d'Ingeburge à la Provence. Encore une personne investie qui quittait cette terre. A qui le tour ensuite? Au sien peut-être?...

Elle se morigéna de ne pas être plus attentive à la cérémonie et tenta de se concentrer, sans grand succès.
Pourtant un baptême était un moment de joie. Elle essaya de se mettre à l'unisson avec le reste de l'assistance.

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Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas, Baroùna d'Istres
Ingeburge
Ghelar avait semblé marquer un temps d'hésitation. Ingeburge savait bien qu'il ne doutait pas mais elle savait aussi combien la solennellité du baptême pouvait paraître intimidante. L'engagement était fort et significatif.

Ingeburge sourit à Ghelar, pour le rassurer tandis qu'il prêtait finalement serment.
Elle se tourna ensuite vers la marraine et demanda :

_ Asram, vous qui avez choisi en ce jour de devenir la marraine de Ghelar, acceptez-vous d'aider votre futur filleul, de le soutenir et de l'orienter dans leur vie de tous les jours et dans la foi ?
Acceptez-vous de le guider sur le chemin de la Vraie Foi?
Acceptez-vous d'être toujours à son écoute au gré des aléas et des joies de la vie?

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Kad
Encore un peu de temps... Un dernier tour avant d'entrer. Voici quatre fois qu'il tente de se convaincre. Il n'en demeure pas moins dehors, cape claquant au vent, l'esprit ailleurs. Il est parfois si dur d'affronter la réalité. Non, ne pas entrer. Ainsi espére t'il ne pas se retrouver confronté à cet aléas de la vie. Aléas ? Quelle vision bien pessimiste. Pourquoi ? Parce qu'elle représente tant pour lui. Ne pas entrer. Battre le dallage du parvis de sa crosse primatiale, cheveux au vent, du moins ce qu'il lui reste d'une coiffe jadis si fournie. Vieux dégarni. Regard rivé sur ses chausses. Méditer sur cette annone qu'il avait, de sa main tremblotante, scellée. Ne pas entrer, gouter à l'illusion, rien qu'un instant de plus, imaginer qu'elle sera la, demain, après demain et plus encore le surlendemain, à trainer en les bureaux les plus reculés de l'archevêché. Ces lieux en lesquels ils s'assommaient à coup d'olives parfumées aux délicats arômes plantaires...

Encore un peu de vent... Un dernier tour avant d'entrer. Contourner la sacristie, les différentes chapelles, trainer des pieds. Égoïste. Il n'est qu'un égoïste. Il respecte ce choix, le comprend, l'encourage. Mais... Et pourtant, il la reverrait à Rome, en la forteresse Motarde d'Ascalon ou siègent les Vidames, dans les assemblées épiscopales. Que demander de plus. Alors pourquoi demeure il néanmoins peiné ? Il ne peut en être autrement. Ingeburge. Il s'en était venu chercher le soleil de Provence. Le retrouverait il ? Y avait il d'autres rayons ? Non.

Encore, encore, oui, encore un peu... Un dernier tour avant d'entrer. Sentir la plus précieuse des pierres pendouiller à son cou. Rater ça ? Il relève la tête, les rides creusées, des charniers sous les yeux. Une esquisse de sourire illumine enfin ce visage marqué par les années. Son pas se fait plus ferme. Ah, les deux Primats en Provence, quelle histoire. Querelles insignifiantes, éclats de rire, folie, masque de marbre, anecdotes, glissades et blagues. Les souvenirs affluent. Mais ou est ce fichu parvis ? Se presser, penser qu'il va manquer l'ultime office, se demander ce qu'il fait la alors qu'il pèle à congeler un canard. Assister à cette célébration, une dernière fois, à Aix. S'engouffrer dans la cathédrale, ne point trop penser et regarder...

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Porte le deuil de sa sœur, Wiatt d'Azayes
Ascram
Ascram s'avança en souriant. Et, regardant Ghelar :

"Oui ! J'accepte avec grand plaisir, en devenant ta marraine, de t'aider, te soutenir et t'orienter dans ta vie de tous les jours et dans la foi. Et oui, j'accepte de te guider sur le chemin de la Vraie Foi.
Oui ! j'accepte d'être toujours à ton écoute au gré des aléas et des joies de la vie. "

En prononçant la dernière phrase, elle se dit que pour le moment, c'était plutôt Ghelar qui était à son écoute.....
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Uterpendragon
Il avait longuement hésité, mais il était temps, il avait relevé son ample soutane et s'était mis à courir à travers Aix, la ville des Calissons, point n'était le temps de perdre son souffle, alors il respirait tant bien que mal, il fallait qu'il la voie, il le fallait. Alors il se pressait de plus en plus vite, se rapprochant inexorablement des pointes tendues vers le ciel... Il fut devant, reprenant à peine son souffle, il aperçut son confrère et supérieur d'Arles, n'hésitant pas, il le rattrapa, le salua brièvement :

Monseigneur... Il est temps de... Rentrer je crois ! Et... Est-elle encore...?

Ne prenant pas le temps d'attendre la réponse, il se précipita à l'intérieur, jeta un regard circulaire, espérant revoir ce visage qu'il adorait tant, qu'il vénérait même, ce visage qui faisait fondre les coeurs de certains et durcir ceux d'autres, non, il était bien là... Soupirant de soulagement, il s'assit devant un poteau et attendit, il était si rassuré que... Il en aurait pleuré, et il n'en était sérieusement pas loin...
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Deminerve
Deminerve avait reçu une convocation quelques heures avant la messe, par chance, il était à Aix, en train de régler quelques derniers problèmes, avant de partir à Beaumes de Venise, revenir à Aix, et finalement, quitter la Provence. Tout celà promettait une semaine fort chargée. Habituellement, celà le rendait quelque peu euphorique, ce n'était pas le cas cette fois-ci. Comment être joyeux dans de tels moments? Il entra dans la cathédrale, et resta le plus au fond possible, caché par les fidèles, dans la pénombre crée par les pilliers de la nef centrale.
Ledzeppelin
Led vit Mgr Kad et allait s'élancer vers lui toute joyeuse de le voir mais se retint ... il est pas bien là ... il tourne en rond, il tournique quoi ... il rumine je ne sais trop quoi, il est pas bien et ça se voit.

Elle ne veut pas le mettre mal à l'aise et puis .... elle sait bien pourquoi il est pas bien .... Tout le monde est un peu bizarre ... même son Kika à elle était tout chose en apprenant la nouvelle.

Ingeburge s'en va !

Ingeburge ... Led sourit et se souvient qu'elle a gagné 100 écus à un concours grâce à elle. A Brignoles, en octobre dernier, elle était encore jeune vagabonde et avait gagné 100 écus en écrivant un petit texte avec son nom (il fallait choisir le nom d'un ancien Maire du village). Led avait lié son nom avec celui d'une reine de France d'y il y a 3 siècles du même nom en disant que la nôtre d'Ingeburge était plus belle.

Arf ! Souvenirs ! Nostalgie !
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Ingeburge
Toutes mes excuses, un imprévu...
LJD Ingeburge.



Ingeburge perdue dans ses pensées fut intriguée par le silence qui régnait. Ascram venait de s'engager auprès de Ghelar et c'était maintenant à elle de poursuivre. Elle regarda un instant droit devant elle, un peu perdue puis se ressaissit.
Elle s'avança vers Ghelar et l'invita à se pencher au-dessus de la vasque. A l'aide d'une coupelle, elle versa de l'eau sur le visage du Forcalquiéren en déclarant :

_ Par cette plongée dans l'eau, je te purifie de tes fautes passées.
Ghelar, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi te voilà purifié par la grâce du Tout-Puissant. Tes fautes sont pardonnées. Ton âme est libérée des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que ta vie soit vertueuse.



Elle tendit un mouchoir au jeune gomme afin qu'il puisse se sécher le visage puis elle revint devant l'autel où elle prit d'abord un cierge allumé qu'elle tendit à Ghelar, déclarant :
_ Par cette lumière que je te confie au nom de la communauté aristotélicienne, je t'invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Te voici désormais éclairé par la Lumière du Très-Haut.
Reste sur le chemin de la vertu, sers Dieu ou tu retomberas dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices.



Elle lui passa ensuite un bijou autour du cou :
_ Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise ton appartenance à notre Sainte Eglise ainsi que ton engagement dans notre Communauté.


Le Primat donna un parchemin enluminé par ses soins :
_ Voici ton certificat de baptême, conserve-le soigneusement:


Elle lui sourit et présenta Ghelar à tous :
_ Bienvenue dans la Famille Aristotélicienne Ghelar.

Elle s'écarta, laisant Ghelar profiter de ce moment et s'affaira autour de l'autel afin de préparer la suite de la cérémonie.
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Yluxe
Il régnait une ambiance très particulière en la cathédrale d'Aix lorsqu'Yluxe y pénétra, une sorte de joie mélancolique. Il y avait beaucoup de monde mais les âmes étaient tristes.
La dernière messe d'Ingeburge en Provence avant longtemps certainement. Elle n'aurait jamais pensé y assister, et encore moins que celle-ci marque en même temps son entrée dans la communauté Aristotélicienne. L'archevêque avait été pour beaucoup responsable de la Foi grandissante d'Yluxe et la voir partir lui pesait, mais ainsi était la vie. Aristote avait voulu qu'elle soit affectée ailleurs, pour guider d'autres fidèles, grand bien leur fasse. Elle espérait que l'Eglise provençale ne soit pas trop affectée par ce départ et que les autres clercs soient aussi compétents et attentifs qu'elle dans leur mission. L'arrivée de Nécrobutcher à Marseille était déjà une avancée très importante pour la petite communauté.

La jeune femme s'avança dans une nef adjacente à la nef principale, dépassant deux clercs importants qui semblaient tourmentés, et s'assit sur un banc dans les premiers rangs pour qu'Ingeburge la voit et lui fasse signe quand le moment serait le bon.

Un autre baptême se terminait, elle espérait ne pas avoir été trop en retard, ou trop en avance, mais avec le départ l'organisation avait été un peu complexe et précipitée.
Se retournant à peu près toutes les deux minutes, elle guettait l'arrivée de sa marraine et de son fiancé, espérant qu'ils aient bien reçu les messages à temps. Elle ne tenait pas en place...le moment qu'elle attendait tant arrivait...enfin.
Un regard vers Ingeburge, elle admirait son calme et sa contenance dans une telle situation. Elle se calma un peu, respira à fond, et laissa son esprit vagabonder, tentant de calmer ses tourments intérieurs, un certain besoin de vengeance notamment qui lui empoisonnait l'existence et dont elle était honteuse.


pour la suite je ne suis disponible que ce soir après 20h30 mais ça laisse le temps aux gens d'arriver. Merci!
LJD YLuxe
Damearwen
Arwen arriva devant la Cathédrale dans sa plus belle robe de Cérémonie et accompagnée de ses trois enfants qu'elle faisait taire avant de pousser la lourde porte d'entrée. Krista blottie dans ses bras et Melvina et Melvin main dans la main juste derrière, ils entrèrent tous ensemble et passèrent discrètement sur le côté pour rejoindre une nef annexe lorsque la Maman vit un baptême encore en cours. Elle espérait ne pas s'être trompée d'heure et de jour, pour rien au monde elle aurait raté le baptême de son amie dont elle avait l'immense joie et honneur de devenir marraine.

Elle avança doucement dans la Nef, berçant Krista qui babillait un peu trop fort et jetant un oeil aux jumeaux pour voir si ils suivaient. Son amie lui avait demandé de les amener mais pour être sure qu'ils soient surveillés durant la Cérémonie elle avait fait appeler Gudule pour qu'elle vienne s'en occuper et espérait que celle-ci ne traine pas trop... Depuis qu'elle s'était amourachée de leur Intendant elle avait un peu la tête dans les nuages...

Enfin elle aperçut son amie et afficha un large sourire, heureuse de la voir et bien en vie. Elle lui donna une chaleureuse accolade et l'embrassa en faisant attention à Krista puis chuchota


"Bonjour, j'avais peur d'être en retard... Je te présente Krista et les jumeaux que tu connais mais qui ont bien grandi... Gudule devrait arriver pour les surveiller...

Je suis heureuse de te revoir ainsi..."


Elle fit assoir les jumeaux et s'installa aussi à côté de son amie en attendant la suite
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Ghelar
Ghelar s'était attendu à ressentir quelque chose de spécial lorsque Son Eminence Ingeburge versa l'eau du baptême sur son visage. Il fut un peu déçu. Mais la différence se ferait sans doute ressentir par la suite, dans sa vie quotidienne !

C'est avec un mélange de fierté et de respect qu'il reçut le cierge, la médaille et son certificat de baptême et c'est avec grande joie qu'il se dit qu'il était désormais membre de la grande communauté aristotélicienne.

Il retourna ensuite s'asseoir avec sa marraine pour suivre la suite de la cérémonie.
Rethy
C'est avec humilité que Rethy entra dans la Cathédrale d'Aix. Il avait toujours été impressionné par la grandeur architecturale du lieu et par la chaleur spirituelle qui s'en dégageait.

Il avança lentement, fit une inclinaison de la tête devant le buste d'Aristote, puis se dirigea , imprégné par les énergies positives rayonnant de l'Assemblée, vers sa Fiancée, son Amie Arwen et les enfants de celle-ci.

Cianfarano embrassa Yluxe tendrement, remerciant ainsi le Très Haut qui avait protégé son couple des méfaits du temps qui passe. Il se permit également de faire une bise à la Marraine ainsi qu'à Melvina, Melvin et Krista.

Réthy, ému par l'imminence du Baptême de sa Douce, pensait également au départ de Monseigneur Ingeburge. Cette dernière avait, il y a quelques années, donné au gueux qu'il était, dans un geste touchant et généreux, un Livre de Prières. Il sortit celui-ci de la poche de son mantel, et commença sa méditation contemplative...

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Yluxe
Des cris d'enfants au fond de l'édifice. Yluxe était partagée entre la joie de voir Arwen et ses enfants arriver, et la souffrance de sa stérilité.
Cependant, le visage du poupon rose magnifique qu'était Krista et l'énergie que dégageaient les jumeaux lui arrachèrent un sourire triste.
Elle rendit son étreinte à Arwen, lui murmurant
"Non non tu vois, tu es largement dans les temps! Ça me fait tellement plaisir de t'avoir à mes côtés aujourd'hui et de voir tes enfants, si plein de vie!"Elle fit un petit gazouillis discret à Krista, émerveillée d'avoir devant elle l'être qu'elle avait senti à travers la peau du ventre de son amie, il y a déjà plusieurs mois.

Réthy vint l'embrasser peu après, elle lui rendit son baiser furtif, ils n'étaient pas encore mariés et elle était toujours un peu gênée de l'embrasser dans une église, mais elle lui offrit un sourire et un regard qui en disaient long, en glissant sa main dans la sienne. Il se plongea dans son livre de prière. Yluxe se retint de trop parler avec sa voisine ne voulant pas troubler la cérémonie, observant les enfants qui jouaient un peu plus loin, décidément la méditation n'était pas son fort aujourd'hui.
Ascram
Elle sourit, amusée, en voyant poindre sur le visage de Ghelar une légère déception, vite remplacée par sa placidité habituelle (hum).

Quand il l'eut rejointe, elle se pencha vers lui et lui chuchota : "ton cadeau, je te l'offrirai plus tard, dans un endroit plus discret..."

Et elle se replongea dans la contemplation de la "foule" qui commençait à arriver, essayant en vain de mettre un nom sur chacun.
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