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[Rp Joutes Février] LICE

Leanore
Elle avait tenu à accompagner son cousin au Mont Saint MIchel. Tout d'abord pour l'encourager même si elle-même ne joutait pas et n'avait pas à officier en tant que médecin des joutes mais aussi pour se rendre à l'excellente maison de couture où elle avait fait une commande qu'elle espérait récupérer avant son retour.

Guy avait échappé aux éliminatoires et ils avaient pu profiter de cette journée de relâche pour se promener sur la grêve du Mont. Ce qui était le plus impressionnant, c'était lorsque la marée entourait complétement l'endroit transformant le Mont Saint MIchel en île où tout une vie grouillait malgré l'isolement temporaire d'environ 6 heures.

Le jour des seizièmes arriva. Ils avaient tous les deux consulter le panneau d'affichage et grimacèrent de concert. Ursus..... le même adversaire qu'aux joutes de Mézières où Guy avait du s'incliner. Tiendrait-il sa revanche ?

Bien emmitouflée, la jeune médecin s'installa donc dans les tribunes attendant patiemment le passage de Guy. Elle avait suivi plutôt d'un regard distrait les autres duels, s'intéressant lorsque les noms annoncés étaient pour elle connaissance ou ami.
La journée fut plutôt longue, le juge Aimelin choisissant de faire deux pauses entre trois manches. La fin de la seconde fit le match entre la Baronne d'Evron et le duc de la Mothe. Elle leva donc les yeux, impatiente de voir comment ce dernier s'en sortirait. Elle l'avait battu lors des joutes de Mézières mais ce n'était pas le meilleur souvenir qu'elle avait. Le Duc s'était blessé lors de la joute précédente et elle l'avait soigné. Il s'était donc présenté face à elle légèrement amoindri. Le Duc semblait aller bien et n'avait visiblement plus aucune séquelle des joutes précédentes. Il dut s'incliner cependant encore mais cette fois-ci avec plus de chance au niveau état de santé.

Quelques minutes après ce fut le tour de Keltica qui perdit son duel.




Citation:
Guy de Dampierre, Seigneur de Castelnau d'Auzan, de Pibrac et de Lévignac
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenardn Baron d'Illiersn Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.



Un jouteur habitué des lices et quelques palmarès à son actif, face à au Seigneur de Castelnau d'Auzan aux participations moins nombreuses.
Sonnez buccines !

Première lance.
Joute d'observation et aucun des deux ne touche.

Deuxième lance.
Guy de Dampierre rate sa cible, mais Ursus ne rate pas, brise sa lance et entraine le Seigneur à bas de sa monture. Celui-ci se relève avec une légère blessure au bras.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !



Mais voilà que se présentaient Ursus et Guy et Léanore se redressa pour mieux apercevoir l'échange. La première passe ne vit aucune action. C'était en quelque sorte un échauffement. Léanore put admirer la parfait assiette des deux cavaliers. La seconde fut fatale à son cousin car en plus de ne pas toucher l'écu d'Ursus, il chûta sous le choc que lui imposa le Duc. Léanore se leva au même moment où Guy touchait le sol, faisant voler autour de lui les brins de paille sensés amortir sa chûte. Il se releva en se tenant le bras.

Pendant que les deux hommes se saluaient, Léanore quitta les tribunes afin d'aller au devant de Guy. On annonçait le dernier duel auquel elle n'assisterait pas.

Guy..... Comment vas-tu ?

Elle imaginait sa déception, un regard rapide vers le bras pour évaluer le degré de gravité.

Toi qui ne voulais pas avoir affaire au médecin pour ces joutes, je crains que tu es quitte pour consulter quand même. Viens allons à notre campement et je vais regarder cette blessure qui ne doit pas être très grave.
_________________
Elizabelle
Citation:

Elizabelle d'Irissarri, Dame d'Allos, de Sevron et de Bernstein
affronte
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Brinnay



Un duel féminin qui va suivre, et un signe une fois que les cavalières sont prêtes.

Sonnez buccines !

Première lance.
Un passage où les jouteurs s'observent, rien ne se passe.

Deuxième lance.
La même que la première. Les lances s'abaissent trop tard, aucune ne touche.

Troisième lance.
Les chevaux sont relancés. La Baronne rate sa cible, mais la Dame touche et brise sa lance, entrainant son adversaire à bas de sa monture.
La Baronne de Sobernon se relève en se tenant le bras et le juge fait signe aux valets.


Par chute de son adversaire, Elizabelle d'Irissarri est déclaré vainqueur !



Elizabelle posa un regard navré sur le garde qu'Hélène lui avait envoyé pour l'aider à se préparer. Comme elle n'avait pas encore d'écuyer et que sa Suzeraine devait aussi se préparer, elle n'avait pas d'autre choix que d'accepter... Tout en sachant parfaitement que le privilège de s'occuper d'elle avait été joué aux dés.... Et qu'il était revenu au perdant. Poussant un soupire résigné, l'Ange se laissa empaqueter dans le vêtement de protection puis l'armure, toujours aussi inconfortable. Les séances d'entrainement avaient été laborieuse, mais finalement elle avait réussis à tenir en selle avec une armure et une lance. Pour l'épée, c'était toujours un désastre et elle priait pour ne pas en arriver là. Il fallut pas moins de deux hommes pour la hisser sur l'énorme destrier qu'elle avait acheté pour jouter. Le cheval, bien plus grand et nerveux que sa calme jument l'effrayait un peu. Il était pourtant d'une belle robe grise fonçant jusqu'au noir aux paturons et d'une ligne racée. Mais la seule chose qu'elle voyait c'était sa distance au sol.

Jetant un regard aux lices pour voir qui passait, elle nota les couleurs de Thybault sur l'un des concurrents. C'était donc son tour ! Voilà plusieurs semaines que le jeune Vicomte avait fait irruption dans a vie en chamboulant tout, mais ce n'était pas pour lui déplaire. Rougissant à la cours assidus qu'il lui faisait, elle regarda les deux adversaires se charger. Serrant ses mains gantées de fer, elle songea que son soupirant avait fière allure dans son armure alors qu'elle-même, petite et maigrichonne ressemblait à un enfant coincé dans l'attirail de son père. Seulement dès la première passe, tout se passa mal. La lance de Leonin, car elle avait reconnu ses couleurs, se brisa sur son écu, tandis que la sienne éclatait sur l'autre. Malheureusement, Thybault ne parvint pas à garder l'équilibre et tomba lourdement de cheval. Inquiète, Elizabelle tenta de descendre de son perchoir pour lui porter secours, oubliant momentanément qu'elle était dan l'incapacité de bouger, manquant se vautrer avant même de commencer les joutes.


Dame, ne bougez pas ! Vous aller vous casser le nez en tombant et la Vicomtesse me cassera les coui.... heu... bref, je vais avoir des ennuis.

Mais il est blessé ! Il tient son bras, vous voyez ! Celui qu'il avait blessé à cause de moi en plus !

Je vous bien mais y a des valets pour s'occuper de lui et des médecins, si vous continuez à vous agiter, vous allez le rejoindre sur un lit de la tente médicale.

Mais...


Le temps donna raison au garde, mais cela n'empêcha pas l'Ange de l'expédier aux nouvelles. Avant qu'il est pu revenir, elle regarda le nouveau mari d'Hélène perdre sans toute fois tomber de cheval. Ce fut alors son tour. Son écuyer forcé revint juste à temps, lui annonçant qu'on s'occupait du Vicomte qui n'était pas inconscient mais qu'il n'en savait guère plus, inutile homme... Il lui tendit donc une lance, alors qu'elle se positionnait tant bien que mal dans sa ligne sur la lice. Maintenant maladroitement cette longue perche trop lourde pour sa silhouette malingre, Elizabelle adressa deux prières à Saint Michel. Une pour Thybault afin qu'il s'en sorte sans trop de mal et une pour elle-même afin de ne pas le rejoindre en position allongée... En songeant cela ses joues s'enflammèrent à l'idée d'un autre type de position allongée. La cloche sonna, interrompant ses pensées, tandis que sa monture, bien entraînée chargeait sans attendre que sa cavalière fut prête.

Lâchant un Hiiiiiiic bien peu courageux, Elizabelle eut la chance que son adversaire, qui s’avérait être une femme comme elle, ne semblait guère plus concentrée qu'elle, ou alors elle avait hésité. Ou bien c'était un coup de pouce du Saint Patron du Mont. Faisant demi tour au bout de la lice, elle lança de nouveau son étalon au galop, tentant de lever sa lance pour viser l'écu adversaire, en vain, la perche de bois étant bien lourde pour ses muscles encore faibles. Voyant arriver la troisième passe avec angoisse car craignant de lâcher son arme de joute et de plus en plus inquiète pour Thybault dont elle n'avait pas de nouvelle, l'Ange talonna sa monture pour se rendre au devant de la Baronne, donnant un dernier coup de force dans ses bras, en désespoir de cause. Visiblement, Saint Michel était avec elle, car non seulement elle toucha en son centre l'écu, brisant sa lance, mais l'autre concurrente rata le sien et chuta à terre, entraînée par la force de l'impact dont son cheval était en grande partie responsable.

Lâchant sa lance avec un soupire soulagé, Elizabelle dut attendre que le garde vint l'aider à descendre de cheval pour pouvoir saluer la Baronne qu'elle avait affronté et qui s'en sortait visiblement blessée. Petit pincement au coeur du médecin qu'elle était.


Bonjour Baronne. J'espère que vous n'avez pas trop mal à votre bras, je suis navrée de vous avoir blessé...

Puis se tournant vers son malheureux assistant du jour.

Vite ! Dégage moi ça que je puisse bouger toute seule !

Tout en se faisant libérer de son armure comme une huître de sa coquille, Elizabelle eut un sourire ravie en voyant son amie Hélène mettre à terre son adversaire dès la première lance. Quelle combattante franchement. Une fois rassurée sur la victoire de sa Suzeraine, elle se dirigea vers la tente médicale à la recherche de son soupirant malchanceux.
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Deedee
[2e jour – Quand faut y aller… faut y aller !]

Citation:
Torvar Kedzia Nazarov, Seigneur de Cheny
affronte
Adeline Cyrielle de Courcy, Duchesse de Vire, Vicomtesse de Valogne, Baronne de la Haye du Puits et de Briquebec



    On y était, prêt à entrer dans l’arène. Comme un gladiateur devant césar, un condamné sur la place publique, la duchesse se tenait dans son armure l’âme en peine et le trouillomètre a zéro.
    L’avantage de cette armure au moins, c’est que même morte de trouille, grâce au heaume, personne ne le voyait !


    -Allez Duchesse, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Se moqua gentiment l’un des jeunes palefreniers de sa maison qui l’avait aidé à s’équiper et monter.
    -Louis ce n’est pas le moment de faire de l’humour, allez plutôt voir ce que donne le premier duel ! Répondit-elle en grimaçant.
    Un mauvais moment à passer… C’était un peu cela en plus.
    Elle aimait les joutes, prenait plaisir à combattre, a regarder, mais allez savoir pourquoi des qu’elle devait passer en lice, il n’y avait plus personne…

    Si seulement sa cousine avait été là pour lui mettre un coup de pied au séant… Ou même son cousin, pour la sermonner un peu plus. Mais… Celui qui lui manquait le plus à cette heure fatidique, c’était sans aucun doute son époux… Sa présence aurait été tellement réconfortante…

    Le premier duel se termina sur la victoire de Della, et Adeline oublia aussitôt ses craintes pour se mettre en place pour le prochain combat.
    Derrière son armure, elle reconnu le Vassal de la Duchesse, celui là même qui avait expédié son adversaire en un seul coup la veille, celui la même qu’elle avait croisé furtivement dans l’auberge de la mère poularde… Et la Viroire ne put s’empêcher de pousser un long soupire…
    Quand faut y aller… Faut y aller !

    Les buccins résonnèrent, et d’un coup de talons dans les flans de sa monture Adeline s’élança au galop sur la lice sans réfléchir, abaissant sa lance sans que rien ne se passe.

    Une seconde fois, elle s’élança, lance en avant, le regard fixé sur son adversaire, mais comme la première fois, sa lance manqua sa cible et rien ne se passa…
    Rajustant les rênes de la monture dans une main, sa lance dans l’autre, Adeline s’élança pour une troisième passe et…
    Touché ! Mais pas coulé !
    Sa lance venait de se brisé contre l’écu du Seigneur, même si celui n’avait pas été désarçonné.
    Ouf !

    Revenant alors au petit trop vers Torvar, Adeline releva la visière de son heaume et salua le Seigneur d’un sourire amical.


    -Beau duel Messire, merci pour cette lice. Mais j’espère que tout va bien pour vous ?

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Ursus
Citation:
Guy de Dampierre, Seigneur de Castelnau d'Auzan, de Pibrac et de Lévignac
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenardn Baron d'Illiersn Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.



Un jouteur habitué des lices et quelques palmarès à son actif, face à au Seigneur de Castelnau d'Auzan aux participations moins nombreuses.
Sonnez buccines !

Première lance.
Joute d'observation et aucun des deux ne touche.

Deuxième lance.
Guy de Dampierre rate sa cible, mais Ursus ne rate pas, brise sa lance et entraine le Seigneur à bas de sa monture. Celui-ci se relève avec une légère blessure au bras.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !



On prend les mêmes et on recommence. Pour cette deuxième rencontre entre les deux jouteurs, Guy de Dampierre n'eut pas plus de chance que la première fois.

Le scénario se répéta à l'identique et se solda encore par une chute avec blessure. Peut être que le Seigneur de Castelnau d'Auzan appréciait en fait de se retrouver entre les mains expertes de Léanore... Qui sait !


Désolé pour la blessure Messire. Prenez bien soin de vous.

Ursus revint ensuite auprès de Rose qui l'aida à descendre de sa monture.

Je crois que nous aurons le temps de nous recueillir dans le cloître de l'abbaye... et puis de fêter cela par un bon repas!
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Erwelyn
Erwelyn Corleone de Jeneffe vs Petitrusse

Le Mont Saint Michel... la Corleone n'y avait mis les pieds qu'une fois, courant décembre, lorsqu'elle était venue officier pour une cérémonie d'octroi. Elle y avait rencontré Hélène, hôte charmante qui l'avait gavée de petits biscuits tous aussi bons les uns que les autres. L'endroit étant d'une beauté à couper le souffle, malgré le froid mordant qui y régnait, surtout en ces journées d'hiver, la baronne avait allongé son séjour pour se balader au sein de la cité et visiter les recoins du château. Donc, revenir en ces lieux était plaisant, mais elle songea que la prochaine fois, c'est en été qu'elle y remettrait les poulaines, car sans doute devait-il y faire moins froid que maintenant.

En tous cas, loin de ces considérations météorologiques, voici qu'Erwelyn se présentait en lice pour jouter contre un duc jamais rencontré. Se méfiant des inconnus, la baronne chassa tout ce qui pourrait la déconcentrer, comme par exemple l'image d'un Ysengrin revenue danser en son esprit, et talonna Cheval lorsque le départ fut sonné. Tout comme à Mézières et le premier duel, la victoire fut sans appel, touchant, brisant et envoyant valser son adversaire du jour, non sans un sourire satisfait une fois rendue en bout de lice. D'un demi-tour habituel, sa monture prit la direction du duc qui se relevait pour aller le saluer avant de filer se changer et assister à la suite des duels du jour.

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Wunderliche
Citation:

Wunderliche Glas Erementar, Seigneur de Bousquet sur Thoré.
affronte
Alix du Vivier, Vicomtesse de Biron, Baronne de Neauphle le Châtel, du Gros Theil, Dame de Mories, de Matécoulon, du Mont d'Astarac, de Molies, des Aix anguillon, Connétable de France



Le duel qui va suivre clôturera cette série des seizièmes. Les prunelles du juge se fixent d'abord sur la Vicomtesse de Biron qui compte parmi ses amis, et comme toujours il se contente de suivre les mouvements des deux cavaliers imperturbable.
Les jouteurs son prêts. Sonnez buccines !

Première lance.
Encore une lance d'observation. Les lances s'abaissent mais aucune ne touche.

Deuxième lance.
Cette fois ci les deux lances touchent leur cible et volent toutes les deux en éclats. Mais Alix semble perdre l'équilibre et ne parvient pas à rester en selle. Elle chute assez lourdement sur le sol et se blesse derrière le genoux. Le juge fait signe et le médecin vient aider la Vicomtesse.


Par chute de son adversaire, Wunderliche Glas Erementar est déclaré vainqueur !



Nouvel an et nouvelle joute du Mont Saint Michel. Une de ses premières fois qui avait marqué le début de son longue suite de chutes.
Maintenant il avait plus d'expérience et il avait connu quelques succès mais il y avait toujours une chute pour lui remémorer que l'échec était toujours là. Au final il n'y avait qu'un seul vainqueur et tout les autres perdaient à un moment.
Au final, il n'avait le privilège et la chance de ne gagner qu'une seul fois un tournoi mais cela ne risquait pas de reproduire de sitôt.
Aussi il revint donc aux joutes avec la volonté faire au mieux dans la limite de ses moyens.

Au bout de la lice, après avoir revêtu son armure et enfourné son destrier Comète de Sable, il patientait en attendant le signal du départ.
Il avait échappé au éliminatoires mais cela ne voulait rien dire car en face il y avait la Connétable de France. Le petit héraut n'avait pas eu l'occasion de la rencontrer en duel mais une noble habituée au maniement des armes ne devait pas être une mince affaire.

Enfin le signal du départ mais au final le premier affrontement ne donna rien surement la mise en jambe.
Au deuxième affrontement, il réussi à toucher et faire basculer son adversaire.
Suffisamment lourdement pour qu'il s'en inquiète.


Vicomtesse, je vous remercie pour ce duel mais je suis inquiet pour votre chute. Permettez que je vous aide à vous relever.

Puis il descendit de cheval afin d'aider au mieux la vicomtesse.
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Devilie
Citation:
Devilie, Dame de Laudine
affronte
Leepo Do Urden, Baron de Caumont , seigneur de Virazeil et d'Epinas



Les jouteurs se mettent en place.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les montures foulent le sable de la lice à toute vitesse mais rien ne se passe et les lances ne rencontrent que le vide.

Deuxième lance.
Pour ce deuxième passage la Dame de Laudine ne fait pas dans la dentelle.
Elle seule touche sa cible et brise sa lance, entrainant dans la foulée son adversaire qui chute de cheval.
Il se relève toutefois sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Devilie est déclarée vainqueur !


J'avais pris un bon repos. Après, avoir voyager quelques jours à cheval pour me rendre au Mont Saint Michel. Ce jour là je m'étais lever tôt. Restaurer comme il se doit, j'étais parti à l'entrainement. Le mannequin avait passer un sale quart d'heure.
Assise sur l'herbe, un godet d'eau fraiche à la main. Un palefrenier apparait, il m'annonça l'ouverture du tournoi et m'informa que je faisais parti des jouteurs appeler. Je me dirige alors vers mon campement. Je reconnu au loin mon lion de feu et pénétra à l'intérieur.
Je reconnu Clotaire et Rosella, il me suivait à chaque tournois. Il était prêt à me parer de mon armure et m'aider à monter en selle.
Quelques minutes après, assise sur mon étalon je me dirige sur la lice.

Je salut d'un revers de main l'arbitre, ainsi que mon adversaire.

En bout de lice, après la résonance du buccines, j'élance mon cheval. Ce premier passage à vide, me met en situation. Il ne fallait pas que je laisse mon adversaire me toucher.
Arriver de l'autre coté, je fais faire demi tour à ma monture et nous repartons à la rencontre du Baron. On entendit la lance se briser. Cela me faisait toujours un drôle d’effet d'entendre se bruit. Une fois Diabolo arrêté. Je descend de cheval. Je remarque le seigneur à terre. Je m’apprêtais à lui tendre une main amicale pour l'aider à se relever quand je le vis se relever.
Tout prêt de lui.


Seigneur, vous allez bien !!!!!!!!
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Simeon.charles
Citation:
Siméon Charles Saint Just du Livel Rees, Vicomte de Blagnac, Baron de Mirepoix, Seigneur de Chassy, Seigneur de Lias en Lavedan, Chevalier de l'ordre du Corbeau
affronte
Son Altesse impériale Actarius Malzac d'Euphor, pair de France, duc impérial de Limbourg, marquis de Dourdan, duc d'Auxerre, comte immédiat de Namur, comte du Tournel, vicomte de Durbuy & de Milly-en-Gâtinais, baron de Donzy & de Florac.



Un vicomte qui affronte une Altesse impériale et pair de France, habitué des lices.
Ils sont en place.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les lances s'abaissent rapidement, mais seul Simeon Charles touche sans toutefois briser sa lance.
Actarius rate sa cible et semble déséquilibré. Il tente de garder son équilibre mais n'y parvient pas et chute de cheval.
Aucune blessure n'est cependant à déplorer.


Par chute de son adversaire, Siméon Charles Saint Just du Livel Rees est déclaré vainqueur !


Le bâtard artésien chevauchait son destrier. Tout en armure il guettait les combats. S'il passait ce tour il voulait savoir qui serait son adversaire. Évidemment il ne croyait pas vraiment en sa victoire face à un jouteur chevronné comme l'était le prince impérial.
Le vieux condottiere n'était, quant à lui, que fort mal entraîné pour cet exercice.

Il put apprécier la victoire d'Asphodelle avant d'entrer en lice.

Lance en main il s'élança à l'assaut de son adversaire. Ses yeux se voulaient perçants et précis à travers la visière de sa tête de crapaud. Le choc fut bref, mais réel. Le bruit sourd de l'armure de son adversaire rencontrant la poussière, le fit sourire.

Il fit faire demi tour à sa monture


Altesse j'espère que je ne vous ai point navré. Que Déos me pardonne si c'est hélas le cas.
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Keltica
Citation:
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives
affronte
Hélène Blackney Guérande, Vicomtesse du Mont Saint Michel, et d'Ecotay, Dame de Jugy.



C'est au tour de l'organisatrice de ces joutes de faire face à une vicomtesse, juge diseur elle aussi pour Minerve.
Le juge fait signe.
Sonnez buccines !
Première lance.
Si Keltica rate sa cible malgré geste rapide pour abaisser sa lance, Hélène Blackney ne rate pas, touche et brise sa lance. Et comme pour en finir plus rapidement avec cette joute, elle envoie son adversaire rejoindre le sable de la lice.
Fort heureusement, aucune blessure n'est à déclarée cette fois.


Par chute de son adversaire, Hélène Blackney Guérande est déclarée vainqueur !




Le sort n'était pas tendre avec elle ; non seulement il lui envoyait une jouteuse de qualité pour adversaire, mais en plus la maîtresse des lieux ! Mais telle était la volonté du hasard, alors quand il faut y aller, faut y aller !

Keltica s'était préparée en avance, faisant attention à son genou récemment blessé ; cela avait été très long de devoir se retenir, être calme, marcher peu et laisser de côté son cheval, elle ne comptait pas se blesser à nouveau par-dessus ! Elle s'approcha de la lice pour pouvoir voir Do jouter ; son amie débutait dans les tournois, mais elle était pleine de bonne volonté et d'envie. Cela ne suffit pas puisqu'elle se blessa. La vicomtesse fit une moue inquiète, allait prendre le chemin de la tente lorsqu'on l'informa que ce serait bientôt son tour. Bien, elle irait voir son amie après. Elle prit le temps d'achever sa préparation avant d'entrer en lice, sur son bel étalon. Un sourire amical fut attribué au juge Aimelin, son désormais collègue, puis Keltica alla se placer en bout de lice, saluant son adversaire d'un signe de tête aimable. Lorsqu'elle mit son heaume, plus de sourire, plus rien ; concentration et sérénité en attendant le signal, tâchant d'oublier la légère inquiétude pour son genou...

Gooooo !!! D'un coup de talons, elle aiguille son cheval qui s'élance ; geste rapide pour abaisser sa lance, comme lui a appris son mentor. Bien ! Il aurait été fier de son apprentissage, du moins jusqu'à cet instant ; car la jeune femme, malgré sa rapidité, rata complètement sa cible. Le choc dans tout son corps, les éclats de bois qui s'envolèrent l'informèrent que son adversaire a été bien plus douée qu'elle, et Keltica sentit son cheval s'échapper sous elle, malgré ses efforts pour se maintenir. Brève sensation de voler - I belieeeeve I can flyyyyyyyyyy (*) ! juste avant le retour brutal à la terre ferme, dans un grand fracas métallique.

Le souffle coupé, Keltica resta étendue un instant, puis se redressa lentement, vérifiant chaque membre tour à tour, pas de blessure à déplorer pour cette fois ! Elle retira son heaume et s'approcha de la vicomtesse Hélène.


Mes félicitations, Vicomtesse, vous êtes une redoutable adversaire, je m'en souviendrai lors d'une prochaine rencontre si nous nous retrouvons encore face à face. Je vous souhaite la victoire de vos propres joutes !

Elle inclina la tête avec un sourire chaleureux, puis quitta la lice pour laisser place au duel suivant, et pour aller rendre visite à son amie.




(*) R. Kelly

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Brunehaut_
[Dans les tribunes, privée de duel pour félonie]

Elle n'avait pu jouter contre le Champion de Sa Majesté et pour cause! L'ironie du sort n'avait été jusqu'à son terme. Heureuse ou pas de ne pas avoir le plaisir de mettre à bas le félon qui avait coulé l'économie du Poitou sans aucune vergogne?

En attendant, après avoir assisté au énième vidage d'étriers de Monseigneur Guillaume, comparse de Joutes, en ronchonnant parce que franchement ce n'était pas juste qu'il soit mis à terre, elle assista au duel de son presque époux et applaudit à tout rompre en admirant sa maîtrise du combat. Finalement, il s'améliorait de duel en duel le CaCounet.

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Secrétaire d'Etat pour le Poitou
Maud
16 ème de finale
Citation:

Maud Saint Anthelme, Vicomtesse de Sennecey,
affronte
Zelenka, Dame d'Adonville



Un duel qui allait voir s'affronter une Vicomtesse habituée des lices et une Dame qui malgré peu de tournois à son actif n'en était pas moins un jouteur de talent. Les cavalières sont prêtes, les buccines résonnent.

Première lance.
Rien ne se passe, les deux lances se croisent sans rien toucher.

Deuxième lance.
Plein galop et les deux lances touchent leur cible, se brisent sous le choc entrainant la chute des deux cavalières. Petit moment de flottement dans les tribunes. Zelenka se relève sans aucune blessure alors que Maud semble souffrir légèrement au bras.
Après un accord du médecin, le juge fait apporter les épées et s'approche.


Ayant brisé chacune une lance, vous allez devoir vous départager à l'épée. La première d'entre vous qui pose 4 touches gagne ce duel, ainsi que par l'abandon de son adversaire.

Et de se reculer, toujours plus prudent.

Les deux duellistes attaquent en même temps, les épées s'entrechoquent. Maud réussit à repousser Zelenka et la touche au bras sans la blesser.
Maud une touche Zelenka aucune
La vicomtesse semble vouloir se venger de la blessure infligée en tombant et touche à nouveau la Dame au coude cette fois, la blessant légèrement.
Maud deux touches Zelenka aucune
Et une autre attaque de Maud devançant celle de Zelenka porte une autre bouche au bras, blessant Zelenka qui lâche son épée. La blessure l'empêchant de continuer le juge arrête le duel.


Par abandon avec 3 touches contre aucune, Maud Saint Anthelme est déclarée vainqueur !



Té! Bien sûr que Maud avait emmené son Falco au Mont. Il suivait dans une barcasse juste derrière elle. Pauvre bête soumise à la volonté de sa maitresse. Mais il avait été bichonné dans les écuries de Hélène. Frétillant, l'oeil brillant, il vit donc arriver sa maitresse ou plutôt la reconnut au cliquètement de son armure près de la lice. Ca grouillait de monde, et du beau monde . Des bourguignons aussi. elle avait souri en lisant les noms de Keltica et Do sur le panneau. Tiens donc, l'ex première secrétaire d'Etat était là aussi. Bon, les mondanités, ce serait après et comme chaque fois, Maud caressa le chanfrein de sa monture et lui murmura son refrain qui ne changeait pas beaucoup en fonction des rencontres. " Fonce mon Falco! je la connais pas" Bah non, elle ne connaissait son adversaire ni d'Adam ou Eve. Un coup d'éperons au signe de l'arbitre . Un coup de chauffe pour évaluer la vitesse et la dextérité en face. Fini de rigoler, on recommence.

Crac! Boum et pas hu!

Deux femmes à terre et Maud sent comme une douleur au bras. Elle grimace un peu quand même. Un médecin qui se pointe et les médecins de joutes, ce sont pas des médecins comme les autres: sont experts en blessures de toutes sortes graves ou pas.

Et sous son heaume, elle le rassure presque . Parce que c'est bien son orgueil qui est touché avant tout.


J'ai rien du tout!

Manquerait plus qu'elle ne puisse pas prendre sa revanche; Et elle prend une des épées pour en finir. C'est pas la sienne légère et tranchante comme un bon mot mais ça fera l'affaire. Son bras gauche est légèrement touché. Ca ira. son adversaire attaque la première, tant mieux, Maud esquive et en profite pour la toucher au bras. Profitant de son avantage, elle continue et cette fois vise le coude.

Nah!

Pas très protocolaire, mais on n'est pas dans un boudoir. Tant pis

Et renah!

Eh oui, pas question de laisser la jouteuse reprendre ses esprits, Maud veut la désarmer. Le troisième assaut sera le bon. Rassemblant ses forces malgré son bras qui lui fait mal, elle revient au même endroit d'un revers avec le plat de son épée. Un coup donné à toute force et le résultat est là. Zelenka lâche son épée.

Maud est essoufflée. Le duel a été rude. Elle enlève son heaume qui découvre ses cheveux collés par la sueur et s'approche de Zelenka en la saluant avec un sourire:


Fichtre, ma dame, on peut dire que ce premier combat a été à la hauteur du Mont. Merci à vous. J'espère que votre blessure n'est pas grave et que vous vous remettrez vite.

Et Maud de se dire que si toutes ses rencontres sont aussi dures, elle ne durera pas longtemps dans le tournoi.
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Della


Della de la Mirandole, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly.

affronte

Michalak de Valdesti, Seigneur de Cazalis et de Anhaux,
Champion de Sofja Jagellon, Vicomtesse de Bellegarde en Marche

Michalak...elle avait souri en prenant connaissance du nom de son adversaire. Elle l'aimait bien, Michalak même si elle l'avait renvoyé, elle l'appréciait vraiment, il lui était sympatrique. Le rencontrer en duel était autant un plaisir qu'un honneur.

De son côté de la lice, Della adressa un grand signe de la main au Seigneur de Cazalis.
Puis, bien campée sur sa monture, elle guetta le signal du juge et aussitôt, talonna l'animal qui s'élança rapidement. Cible en vue, ne pas baisser un instant, ne pas quitter du regard l'écu visé et...bang ! Touché, brisé ! Michalak les fesses à terre !
Heureuse, la Duchesse d'avoir encore une fois réussi sa passe !!! Un vrai miracle !

Vous n'avez pas trop mal, messire Michalak ? Le heaume retiré évidemment, elle lui sourit, aimablement. Merci, pour ce duel.

Et de lorgner vers les gradins pour vérifier que son rejeton a bien assisté à sa victoire.
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Helene.blackney
    Citation:
    Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives
    affronte
    Hélène Blackney Guérande, Vicomtesse du Mont Saint Michel, et d'Ecotay, Dame de Jugy.


    Le discours terminé, saluant les participants, je filais terminer de m'habiller. Mon mari m'accompagna car lui aussi joutait. La veille, on avait fait le spécial régime "viande", se gavant comme des oies. Je l'embrassais avant de mettre mon heaume et en disant:

    - Bonne chance, que Saint Michel soit de nostre côté!

    Je rencontrais Dame Keltica, je la connaissais peu mais pour avoir participé à de nombreuses joutes, je la savais redoutable en lice. Je me fis hisser sur mon destrier, malgré le froid ambiant du Mont, j'avais chaud en dessous de mon heaume. En général, je me chauffais avec un premier tour mais là, c'est sûrement le régime viande car je filais vite et c'est sans hésiter que je touchais l'écu de mon adversaire, la faisant chuter. Je savais bien que cet entraînement serait payant. Je tournais la bride pour venir saluer la dame et vérifier que tout était en place.
    Mon écuyer me fit descendre, je retirais mon heaume et avec une démarche raide, je dis:


    - Saint Michel semble veiller sur moi pour ce jour. Merci d'être venue jusqu'à ma terre reculée, si vous avez le moindre mal, sachez que sa grâce Adeline de Courcy a installé une tente pour remettre en place les os et faire diverses atrocités médicales.
    Profitez bien de vostre séjour ici, nous irons pêcher les moules si vous le souhaitez.


    Pour la suite des duels, j'eus le plaisir de les suivre sur le bord de la lice. Je vis que mes amies en grande majorité avaient gagné, mais que mon tendre amour n'avait pas eu la fibre Saint Michel.

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Alix_du_vivier
Citation:

Wunderliche Glas Erementar, Seigneur de Bousquet sur Thoré.
affronte
Alix du Vivier, Vicomtesse de Biron, Baronne de Neauphle le Châtel, du Gros Theil, Dame de Mories, de Matécoulon, du Mont d'Astarac, de Molies, des Aix anguillon, Connétable de France



Le duel qui va suivre clôturera cette série des seizièmes. Les prunelles du juge se fixent d'abord sur la Vicomtesse de Biron qui compte parmi ses amis, et comme toujours il se contente de suivre les mouvements des deux cavaliers imperturbable.
Les jouteurs son prêts. Sonnez buccines !

Première lance.
Encore une lance d'observation. Les lances s'abaissent mais aucune ne touche.

Deuxième lance.
Cette fois ci les deux lances touchent leur cible et volent toutes les deux en éclats. Mais Alix semble perdre l'équilibre et ne parvient pas à rester en selle. Elle chute assez lourdement sur le sol et se blesse derrière le genoux. Le juge fait signe et le médecin vient aider la Vicomtesse.


Par chute de son adversaire, Wunderliche Glas Erementar est déclaré vainqueur !



Un regard à son ami Aimelin et voila cela commençait pour elle.
Comme son ami Leepo, Alix ne savait que perdre quand elle faisait des joutes, une des rares fois ou il avait gagné, forcément c'était contre elle.
Certains appellent ça la guigne, d'autre un non savoir faire, pour a
Alix c'était tout autre, juste une option qu'elle n'avait pas prise Gagnerrrrrrr......

Quand elle chuta sur la lance bien appuyée de son adversaire, son genoux craqua dans un bruit qui ne laissa aucun doute possible, une légère entorse surement, mais se relever lui était compliqué.


Merci, vous êtes un adversaire redoutable. J'espère avoir un jour ma revanche.

En lui souriant, elle tendit la main au Seigneur de Bousquet sur Thoré qui l'aida à se relever c'est en boitant qu'elle se dirigea vers le Médicastre.

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Torvar
[On r'commence ?]


Citation:
Della de la Mirandole, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly.
affronte
Michalak de Valdesti, Seigneur de Cazalis et de Anhaux,
Champion de Sofja Jagellon, Vicomtesse de Bellegarde en Marche



Le premier duel peut commencer et les jouteurs prennent place.
Le juge fait signe.
Sonnez buccines !

Première lance.
Une passe rapide, nette et sans appel. Le Seigneur rate sa cible mais la Duchesse touche et brise sa lance, entrainant sous le choc son adversaire au bas de sa monture.
Fort heureusement il se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Della de la Mirandole est déclarée vainqueur !


Cette fois-ci le cosaque avait pris le temps qu'il fallait pour aller observer sa suzeraine. Ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait voir des femmes au caractère bien trempé se confronter à des hommes. Et la blonde était une sacré Dame.
Se faufilant entre les personnes présentes, Torvar se mit au bord de la piste, retenant quand même son souffle. Ses prunelles se posèrent sur les chevaux, leur puissance, la dextérité des cavaliers et leur technique... et quand la rencontre se termina, Torvar, pas peu fière d'avoir vu sa suzeraine gagner l'applaudit lui qui d'ordinaire ne montrait guère ses opinions avant de s'en aller discrètement car bientôt serait son tour, à nouveau.



Citation:
Torvar Kedzia Nazarov, Seigneur de Cheny
affronte
Adeline Cyrielle de Courcy, Duchesse de Vire, Vicomtesse de Valogne, Baronne de la Haye du Puits et de Briquebec



Le Seigneur de Cheny et la Duchesse de Vire sont en place, les buccines résonnent et sonnent le départ.

Première lance.
Rien ne se passe pendant ce passage, les deux lances se croisent sans toucher.

Deuxième lance.
Encore une lance d'observation où ni l'un ni l'autre ne semble vouloir lancer une attaque. Aucune touche.

Troisième lance.
La Duchesse semble vouloir prendre les choses en main et abaisse rapidement sa lance. Elle touche l'écu adverse et brise sa lance alors que le Seigneur rate sa cible.
Mais il reste en selle.
Une lance brisée à ce troisième passage arrête le duel.


Par une lance brisée à aucune, Adeline Cyrielle de Courcy est délcarée vainqueur !



Et c'était reparti !
la Vicomtesse saluait lors de son arrivée lui ferait face aujourd'hui. Comme lors du premier face à face, il prépara Vorobeï lui-même. Le premier qui avait osé l'approcher s'était confronter à la colère du cosaque qui, dans sa langue natale, lui avait appris de ne pas toucher son cheval. Tradition oblige pour cet homme issu d'un peuple du cheval, il serait le seul à satisfaire aux obligations de la préparation. Et si quelqu'un y trouvait à redire, qu'on vienne lui balancer en face et il serait reçu...

Donc le cosaque avait fait attention à sa monture puis pour lui, il admit volontiers une aide... Pas évident de rentrer dans une boite de conserve tout seul quand même, après tout le slave n'était pas un surhomme mais simplement un homme vieillissant par rapport à la jeunesse qui l'entourait durant ces joutes... Inspirant profondément tout en chassant ce petit coup de nostalgie qui l'envahissait aux vues de cette jeunesse qui le fuyait, il se dirigea vers la piste d'où il devait s'élancer avec Vorobeï.
Et une passe pour rien... on s'observe, on se regarde, on s'attend pour mieux s'apprivoiser le temps d'une fraction de seconde, le temps de laisser l'adversaire prendre le dessus... et voilà que la vicomtesse est déclarée gagnante...

Torvar avait grimacé lors du choc de la lance contre son écu. Sans doute la force de l'impact avait fait plier le bras plus que d'ordinaire au loup des steppes ou simplement ses tremblements qui s'étaient réveillés au mauvais moment lui faisant lâcher prise sur l'écu. Bref, tout ce qu'il savait c'était que cela le lançait dans l'épaule et que sa main se faisait caractérielle. Toutefois, fier comme il l'était, le cosaque enleva son heaume tout en secouant sa chevelure grisonnante afin de la remettre en place puis offrit un léger sourire à son adversaire.


- Dame... c'est moi qui vous remercie pour cette belle rencontre... Peut être qu'une prochaine rencontre me permettra d'avoir ma revanche...

Le cosaque inclina doucement la tête pour la saluer puis donna un petit coup de talon dans les flancs afin d'indiquer à Vorobeï qu'il pouvait avancer. La douleur commençait à irradier l'épaule mais jamais il ne s'abaisserait à se plaindre.
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