Falco.
Le départ d'une rousse volubile et qui ne passait pas inaperçue avait permis à notre faucon de reprendre son poste d'observation habituel.
Son regard était posé sur l'horizon, au nord-nord-est de sa position. Ses yeux clignaient rapidement, quelques cris sortaient de son gosier, ses pattes et ses ailes semblaient mues par quelque force surnaturelle, du moins échappaient à son contrôle.
Un coup d'oeil vers la rivière, et il vit son ami humain plonger dans l'eau, sous le regard goguenard de Champagne et de Chantilly, deux fort sympathiques canards qui lui rappelaient Ducky et Liesel. qu'avait-il donc à essayer de se prendre pour un palmipède ?
L'air était calme mais il ressentait du changement. Manifestement, l'air était porteur de nouvelles.
Hésitant entre rester au côté de son ami, et attendre sagement la suite des événements, ou prendre son envol et tenter d'en apprendre davantage, de savoir ce qui lui causait cet émoi. C'est que les derniers événements avaient été préoccupants.
Voyant son ami sous bonne garde, en langage inter-espèces des oiseaux, il le confia à la garde des deux canards. De toutes les façons, vu l'heure, il était fort probable que Nannou, qui progressait de jour en jour dans leur langue, ne tarderait pas à arriver. Quelques degrés de course encore pour le soleil, et elle serait là.
Cédant finalement à cet irrépressible besoin qui le parcourait d'une aile à l'autre, il poussa quelques cris, quatre, et les ailes déployées, une petite poussée sur les pattes, il s'envola vers l'inconnu. N'arrivant pas à croire ce qu'il ressentait comme une évidence.
Déjà, Mortemer ne devait plus apercevoir qu'une ombre qui rapetissait à vue dil.
Son regard était posé sur l'horizon, au nord-nord-est de sa position. Ses yeux clignaient rapidement, quelques cris sortaient de son gosier, ses pattes et ses ailes semblaient mues par quelque force surnaturelle, du moins échappaient à son contrôle.
Un coup d'oeil vers la rivière, et il vit son ami humain plonger dans l'eau, sous le regard goguenard de Champagne et de Chantilly, deux fort sympathiques canards qui lui rappelaient Ducky et Liesel. qu'avait-il donc à essayer de se prendre pour un palmipède ?
L'air était calme mais il ressentait du changement. Manifestement, l'air était porteur de nouvelles.
Hésitant entre rester au côté de son ami, et attendre sagement la suite des événements, ou prendre son envol et tenter d'en apprendre davantage, de savoir ce qui lui causait cet émoi. C'est que les derniers événements avaient été préoccupants.
Voyant son ami sous bonne garde, en langage inter-espèces des oiseaux, il le confia à la garde des deux canards. De toutes les façons, vu l'heure, il était fort probable que Nannou, qui progressait de jour en jour dans leur langue, ne tarderait pas à arriver. Quelques degrés de course encore pour le soleil, et elle serait là.
Cédant finalement à cet irrépressible besoin qui le parcourait d'une aile à l'autre, il poussa quelques cris, quatre, et les ailes déployées, une petite poussée sur les pattes, il s'envola vers l'inconnu. N'arrivant pas à croire ce qu'il ressentait comme une évidence.
Déjà, Mortemer ne devait plus apercevoir qu'une ombre qui rapetissait à vue dil.