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[RP] Le Moulin Bleu

Nannou
Nannou remonta la rivière pour rejoindre ses ruches.
Arrivée sur place, elle installa sa nouvelle ruche en bois :




Sur l'entrée elle avait gravé à l'intention des abeilles



Elle s'assit un moment, regardant les abeilles pendre possession de la ruche.

Elle se posait une question :

Et vous, vous la choisissez comment votre reine?
Avec une galette aussi?


Elle s'imaginait comme elles, avec ses amies. Elle n'avait pas trop le moral ces jour-ci, beaucoup de gens lui manquaient.
Puis commença écrire une missive à Meg, en espérant que les nonnes lui donnent son courrier.
Mortemer
Ce moment si doux...

Les couleurs d'abord. Le ciel est d'un gris tendre, il ne dit rien, il observe.
Point de soleil, trop violent, trop cru. Point d'ombre douteuse ou salissante.
Tout est ouaté de couleurs pastel. Les contours sont estompés dans un émouvant sfumato.
La rivière chuchote et du jardin dégringole des parfums discrets de menthe, de perce-neige et de fleurs impatientes .
Nannou a mis son tablier, pris sa corbeille d'osier et parle aux abeilles.
En lui ce désir d'amour qui l'enfièvre mais qu'il restreint pour ne pas brouiller le paysage.
Il écoute le bourdonnement inépuisable des abeilles, qui afflue, puis se retire, comme revient puis s'éloigne le lent mouvement des vagues,
comme cet amour qu'il sent pulser en lui et dont le rythme ne s'épuisera jamais.

Au-delà est affaire d'oreille, des froissements de songes et des rythmes
Venus du fin fond de la forêt, des bruissements et des murmures, certains dans la musique de leur chant,
toujours invoquant la joie, cherchant à toucher la source de la pensée.
Leurs concertos ne sont que des petites voix, si tenues soient-elles, elles viennent de dix mille lieux dans le ciel,
y volant à tire d'ailes, toujours remuant les ténèbres et toujours cherchant la lumière à travers les nuages gris.

Les lointains se cachent dans la brume. La ville, là-bas, essaie ses phrases, ses rires mouillés, ses clameurs déchirantes.
Elle trace sur son corps de longues cicatrices à l'encre indélébile.
Il voudrait bien les effacer, entrer en convalescence, se pencher sur l'épaule de sa bien-aimée pour y puiser sa tendresse
et croire que le malheur n'est qu'une erreur, un oubli vite réparé et rester dans ce moment si doux.

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Mortemer
Grand branle-bas...
quelque chose se préparait !
Les oiseaux, perchés sur les branches ou sur le toit se tenaient coi .
Champagne et Chantilly, les canards maîtres nageurs, s'étaient cachés dans les roseaux.
Les autres animaux observaient. Seules, les abeilles bourdonnaient inlassablement.
Elles avaient du pain sur la planche pour le grand jour à venir.

Mortemer, guilleret, posa un immense panneau le long de l'allée qui cheminait vers le moulin.



_________________
Grougrou_le_pigeon.
Margauth, sur les chemins en direction de Saintes avait bien reçu le faire part de Nannou et Mortemer.

Elle s'empressa d'y répondre afin de rassurer la future marier qui attendait tout en guettant sur les remparts de Saintes.




Ma très chère amie Nannou.

Nous sommes en chemin, si tout va bien, nous serons la samedi, Nadjka et Arylis vont bien toutes les deux, Arylis, bien calée entre sac du sucre et farine, tu l'as connais, elle est les voyages, une grande histoire. ^^

Ne t’inquiètes pas pour les gâteaux, j'ai chargé ma charrette de tout ce dont j'avais besoin pour les confectionner à mon arrivé, je passerai juste vite fait au marché chercher des œufs.

J’imagine comme vous devez être aux anges et enchantés à quelques jours de l'événement très important dans votre vie.

Je vous embrasse très fort tous les deux et je vous dis à samedi.

Amicalement, Margauth.


Margauth accrocha le parchemin à la patte de Grougrou et l'aida à prendre son envole.


Va vite Grougrou, va rassurer Nannou, tu l'as trouveras au "Moulin bleu" si tu ne trouves pas Nannou, tu peux donner le message à Mortemer et ne traine pas en route pour une fois.

Grougrou, pensait que pour une fois il allait lui aussi profiter de la charrette et une nouvelle fois se retrouve un message à la patte en direction de Saintes.

A peine le temps d'ingurgiter quelques grains de maïs, que le voila déjà dans les airs.


HO HO HO !!!!!!!! Doucement !!!!!! Bon, message à Nannou ou Mortemer, Nannou ???? Mais je la connais, c'est la douce dame qui c'est occupé de moi lors de mon dernier voyage!!!!!!

NANNOU !!!!! ME VOILA!!!!!!!
Mortemer
Vol de pigeon au-dessus du moulin bleu.
Mortemer qui bêchait son potager, leva la tête.
Grougrou... Le pigeon de Margauth volait à tire d'aile vers Nannou.
Il pressentit une bonne nouvelle.

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Grougrou_le_pigeon.


Grougrou avait bien trouvé Le Moulin Bleu, il tournait au-dessus cherchant la douce dame du nom de Nannou.

Et il tournait et il tournait sans la voir, quand tout à coup, il vit un homme travaillant dans un potager, Grougrou réfléchit à ce que Margauth lui avait dit.


Si tu ne trouves pas Nannou, tu peux donner le message à Mortemer.

Et bien voilà ce dit le volatile, ça doit être Mortemer que je vois la en bas, il décida d’amorcer la descente dans le but d’atterrir.

Il se mit en mode planeur, il espérait atterrir sans se ridiculiser devant cet homme qui l'observait déjà depuis un petit moment, il avait l'air très confiant, pour le moment tout ce passé bien, il voyait la terre arrivait peu à peu à lui, il redonna un petit coup d'aile pour ce remettre droit et continua à descendre tout en douceur.

Grougrou était très fière de lui, atterrissage s'annonçait bien, il mit ces petites pattes bien en avant pour freiner à l'arrivé, il sentit la terre ferme et pour une fois, pas de roulé-boulé, il était debout, face à l'homme, très fier de lui, Grougrou secoua ses plumes, gonfla son giron et avança vers l'homme qui devait être Mortemer, enfin il l'espérait.....
Mortemer
Mortemer, abritant de la main ses yeux de la clarté pâle du soleil d'hiver, observait Grougrou, le pigeon de Margauth.
Pas mal le vol plané en rase-mottes ! Pas mal l’atterrissage en douceur !
Grougrou s’avançait en se dandinant, fier de sa mission.
Mortemer se baissa vers lui. Il lui tendit quelques grains de blé qu'il venait tout juste de récolter, mûrs à point, gonflés d’énergie, à la fois croquants et tendres.

Nannou était à l'intérieur du moulin, surveillant sa meule, tout en lisant auprès de la fenêtre.
Elle faisait partie de ces personnes qui se passionnent, s’engagent à fond dans tout ce qu'elles entreprennent,
que ce soit leur métier, l'administration, les études où leurs relations amoureuses...
Certains ne pouvaient comprendre, mais lui, Mortemer, y trouvait beaucoup de plaisir.

Il détacha le lien qui reliait le message à la patte de Grougrou et en lisant le message, un immense sourire se dessinait sur ses lèvres. :




Ma très chère amie Nannou.
Nous sommes en chemin, si tout va bien, nous serons la samedi, Nadjka et Arylis vont bien toutes les deux, Arylis, bien calée entre sac du sucre et farine, tu l'as connais, elle est les voyages, une grande histoire. ^^
Ne t’inquiètes pas pour les gâteaux, j'ai chargé ma charrette de tout ce dont j'avais besoin pour les confectionner à mon arrivé, je passerai juste vite fait au marché chercher des œufs.
J’imagine comme vous devez être aux anges et enchantés à quelques jours de l'événement très important dans votre vie.
Je vous embrasse très fort tous les deux et je vous dis à samedi.
Amicalement, Margauth.


Ainsi, la cavalerie de jolies femmes était en branle et se dirigeait cahin-caha vers Saintes ! Elles seraient à l'heure pour la cérémonie !
Mortemer espérait que les oisons accompagneraient Margauth car ils feraient partie du cortège,
de plus, avec les piafs de Gez et Champagne et Chantilly, les canards maîtres nageurs du moulin,
ils ouvriraient le chemin, suivis d'Arrya, suivie elle-même par les futurs mariés, suivis par leurs témoins,
suivis par les demoiselles d'honneur et leurs cavaliers, suivi par tous leurs amis villageois

Mortemer eut un vertige.
Il n'était plus temps de baguenauder et rêver, une multitude de tâches l'attendaient encore.
Il installa Grougrou le pigeon sans la cabane du jardin.
Là, parmi les plantes il pourrait se remettre du voyage avant d'aller batifoler avec les autres oiseaux.
Il porta le message à Nannou, profitant pour lu donner un baiser.

L'intérieur du moulin était propre, point de toiles d'araignées ornant les murs, point de souris, ni chauve-souris, trottinant ou voletant de-ci de-là.
Il restait l'aménager, à le rendre plus accueillant encore.
Il avait ce qu'il fallait entassé dans un coin et Gezekell s'était proposé de l'aider.
Il allait arriver.
Une bonne journée de travail sans doute.

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Gezekell
Gezekell avait laissé sa rousse barrique à pattes se reposer et récupérer du long voyage qu'elle venait d'effectuer pour venir jusqu'à Saintes. Et, profitant des brumes du petit matin, il rêvassait en ralliant le Moulin Bleu.

Cela faisait un moment qu'il n'avait pas suivi ce chemin. Liesel et Ducky l'accompagnaient, heureux de revoir Chantilly et Champagne, les canards du maître des lieux. Mais ce jour, il avait une raison valable de parcourir le chemin séparant sa demeure et celle du couple qui allait être à l'honneur ce dimanche. Il avait proposé à son frérot de leur donner un coup de main et celui-ci avait accepté qu'il vienne l'aider à préparer la salle de réception.

C'est ainsi, chemin faisant, et en chantonnant, qu'il arriva au portillon qui marquait l'entrée du Moulin Bleu. Le jardin, habituellement bien entretenu, était proche de la perfection. Morty s'était donné bien du mal. Mais comment faisait-il pour avoir autant de si belles végétations en ce plein milieu d'hiver ?

Tandis que les palmipèdes s'ébrouaient dans la mare, Gezekell frappa doucement à la porte après avoir vérifié que la cheminée fumait et que de la lumière transperçait les volets encore clos. Pourvu qu'il ne soit pas arrivé trop tôt. Au cas où, il avait prévu une magnifique tarte aux myrtilles pour le petit-déjeuner.


Frérot, Nannou ? C'est Gezekell, livraison express de petit-déjeuner !

Attendant une réponse, il recula quelque peu et sourit en voyant les canards et l'oie se courser, une sorte de chat de palmipèdes sans doute.
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Mortemer
Un Mortemer ensommeillé, échevelé, à demi nu, les yeux en papillotes, vient lui ouvrir.
Il s'était réveillé aux aurores, mais une petite sieste en attendant Gezekell s'était imposée.
De quoi reprendre des forces pour la dure journée.


-MMM ? Mmm ?

Puis, il se souvient et un grand sourire orna son visage.

-Entre ! Entre !...ha ! Je suis en retard ! Je suis en retard !
Pose ta tarte sur la table ! Tu veux un peu de camomille ?


Tour en parlant, il donna un magistral coup de pied à un chat noir et hérissé qui rôdait par là.
Le chat fit un vol plané par la porte entrouverte et, se rattrapant gracieusement sur ses quatre pattes, se retourna vers Mortemer,
le menaçant par les éclairs de ses yeux rubis, puis entrepris de lécher son séant, avec grand mépris.


-Poses-toi là un instant, Gez, on arrive ! On a un sacré travail !

Un petit coup d’œil gourmand à la tarte et il se sentit tout a fait en forme. Nannou était déjà descendue, quand...

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Gwendolina


-Tirelireli ! Tirelireli !

Gwendolina à l'anatomie parfaite (d'après ses dires !) fit irruption au moulin bleu.
Elle était escortée de deux jeunes hommes, aussi beaux que faméliques, qui la suivaient dans son pas,
semblant se disputer avidement ses charmes, ses regards et la moindre de ses paroles.
L'un portait dans ses bras, comme un ostensoir, la fameuse lire irlandaise de Gwendolina, objet rare et précieux.
L'autre traînait, hissait, un énorme ballot contenant les dernières robes et tenues que Gwendolina avait achetées à la ville voisine.

Chantant et riant, Gwendolina à l'anatomie parfaite (d'après ses dires !), s'avança en ondulant des hanches vers Mortemer
et le prenant dans ses bras, lui planta un baiser fervent sur la bouche. Oui, c'était son habitude avec ses amis masculins
Puis, elle saisit Nannou par la taille et la fit virevolter de joie, démontrant le plaisir qu'elle ressentait à la retrouver.
Nannou pirouetta sur elle-même et fût projetée sur l'un des jeunes hommes, qui lâchant les paquets, la rattrapa de justesse dans ses bras avant qu'elle ne s'effondre.
Se tournant enfin vers Gezekell, elle le regarda en riant :


-Ho ! Mais Mortemer, quelle honte ! Tu m'avais caché cet ami si séduisant !

Et de la même façon qu'elle l’avait fait pour Mortemer, sans que Gezekell puisse faire un geste, elle colla sa bouche à la sienne dans un baiser passionné.
Puis se détournant, attirée par l'odeur de pâtisserie, elle engouffra une part de tarte aux myrtilles, répandant des miettes partout,
et dit, avec un rire enjoué, montant par là qu'elle allait récidiver et s'adressant aux deux jeunes hommes qui ne semblaient pas surpris de son comportement :


-Mmmm... délicieux et bienvenue car les voyages ça creuse (parlait-elle du baiser ou de la tarte?) !
Venez, mes chéris, prenez des forces, dégustez cette tarte ! Ha! au fait, voici Owyn, talentueux harpiste et Markaal, dont la voix est capable d'émouvoir les pierres.
Ils sont mignons n'est ce pas ?


Gwendolina se sentait comme chez elle dans le moulin.
Alors que personne n'avait encore pu ouvrir la bouche, tellement la consternation était grande, elle donna l'ordre à ses deux compagnons de la suivre à l'étage,
par l'échelle de meunier, où elle s'installa, ce qui veut dire qu'elle mit son grand désordre habituel.
Margauth
Margauth et sa "8ème compagnie" étaient bien arrivées sans encombre aux aurores à Saintes, le soleil était légèrement voilé, cela promettait une belle journée.

Après avoir déposé Nadjka, Arylis chez elles et ses compagnons de voyage à l'auberge souhaitant qu'il reste des chambres, le mariage avait du attirer beaucoup de monde à Saintes, Margauth passa par le marché chercher des oeufs et prit le chemin du Moulin Bleu.

En arrivant, elle reconnut avec grand plaisir cet endroit toujours aussi beau et serein malgré l'hiver.

Elle gara sa charrette bien chargée devant la porte de chez Nannou et Mortemer.


Toc, Toc, Toc, il y a quelqu'un?

La porte était entre ouverte, Margauth entendait des vois, elle entra, elle vit 3 personnes monter à une échelle, et prêt de la table Nannou, Mortemer et Gez.

Kikou, devinez qui sait ??? C'est Margauth !!!!

Elle prit Nannou dans ses bras et l'embrassa tout en la serrant très fort.

Comme je suis heureuse de te voir Nannou, tu as bonne mine, le bonheur te va à ravir.

Elle embrassa ensuite Mortemer et Gez.

Bonjour mes amis, toi aussi tu es superbe Mortemer, tu vas bien Gez ?

Je ne vais pas vous déranger trop longtemps, je souhaiterai juste savoir ou je dois m'installer pour la confection des gâteaux afin que je puisse vider ma charrette?

En attendant, je vais libérer Eugénie et Théodole, je pense qu'ils vont être heureux de retrouver leurs amis eux aussi.

Hummmm, jolie la tarte aux myrtilles......

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Mortemer
La joie de Mortemer décuplait.
Margauth ! Margauth était arrivée, avec sa clique d'amis et ses oiseaux !
Avec des intonations joyeuses dans la voix, il lui dit :


-Margauth, tu es là ! Quel bonheur ! Vite, assois-toi ! Tu dois être fatiguée du voyage !
Prends un peu de la tarte aux myrtilles de Gezekell, cela te revigorera ! Veux-tu un peu de camomille* ?
Je vais libérer Eugénie et Thodule, ils rejoindront les piafs de Gez et les maîtres nageurs.
Gez et moi nous allons vider ta charrette. Reste avec Nannou pour papoter, cela fait si longtemps qu'elle attend ce moment !
Tu as tout le temps ! Puis Nannou te montera la petite cuisine où tu pourras t'installer.
Nous allons prévoir une table pour les desserts, par là ! Mais rien n'est encore installé !


Baissant le ton :
-Hum ! Ne fait pas attention à ce qui se passe là-haut ! J'avoue que je suis dépassé !

Il montra du pouce le premier étage où des cris, des bruits de poursuite, des ahanements, des chants et des sons d’instruments de musique divers se faisaient entendre.

Puis donnant une tape sur l'épaule de Gezekell pour l'inviter à le suivre, il sortit en dansant.


*La quiescence des boissons pour Mortemer.

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Margauth
À peine le temps de dire bonjour que la Margauth se retrouve assise à la table, une part de cette belle tarte devant elle.

Veux-tu un peu de camomille* ? Je vais libérer Eugénie et Théodule. Gez et moi nous allons vider ta charrette.
Reste avec Nannou pour papoter, cela fait si longtemps qu'elle attend ce moment !


Margauth est très touchée par cet accueil très chaleureux, elle s'assoit et commence à déguster cette bonne tarte tout en pensant que Gez a vraiment un don pour la pâtisserie.

Oui, avec grand plaisir je veux bien un peu de ta camomille*

Margauth sourit.

Restant avec son amie Nannou, Margauth regarda sortir Mortemer et Gez qui allaient très gentiment libérer ses amis les oies et vider sa charrette, avec un doux sourire, elle s'adressa à Nannou.

Tu vas bien Nannou? Pas trop tressée? Si tu as besoin de quelque chose, tu sais que je suis la, demain est un grand jour, je suis tellement heureuse pour toi, pour vous, toi et Mortemer, vous êtes un exemple de l'amour, du couple, de la complicité, restez comme vous êtes et ne changez rien, je vous adore.
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Nannou
Un peu plus tôt
Voyant son fiancé entrer dans le moulin, Nannou avait fermé son livre d'un coup sec, stoppé sa meule et recueilli sa farine.

Voilà terminé les études et la farine pour quelques jours!
Elle enlaça son fiancé pour lui donner un baiser

Encore quelques instant de calme puis...

Gez et sa tarte aux myrtille apparurent, attirant à leur suite une foule de visiteurs!

Prise dans le tourbillon, Nannou embrassa son joli frère, à peine le temps de croquer dans la tarte qu'elle fut propulsée par les retrouvailles avec Gwen, toujours ébahie pas les mœurs étranges de celle-ci.
A peine le temps de réaliser qu'elle sautait au coup de son amie dont elle guettait le retour depuis des jours!

Margauth qui la couvrait de sa bonne humeur et de ses compliments!


Tu vas bien Nannou? Pas trop tressée? Si tu as besoin de quelque chose, tu sais que je suis la, demain est un grand jour, je suis tellement heureuse pour toi, pour vous, toi et Mortemer, vous êtes un exemple de l'amour, du couple, de la complicité, restez comme vous êtes et ne changez rien, je vous adore.

Nannou resta bouche bée et senti une petite larme se pointer aux propos de sa pâtissière.
Pas pleurer! J'ai dit que je ne pleurerais pas pour mon mariage!

Ne sachant trop quoi répondre :

Merci, c'est trop gentil Margauth!

Nannou pris enfin le temps de s’asseoir et de partager un morceau de tarte, tout en discutant avec son amie... Son fiancé, ses voyages, sa nouvelle vie, des nouvelles de Saintes...

Et tu sais nous allons partir en voyage de noces après le mariageprobablment que nous passerons par Bayonne...
Margauth
Et tu sais nous allons partir en voyage de noces après le mariage probablement que nous passerons par Bayonne...

Un voyage de noces? Mais que cela est romantique, vous avez déjà décidé de votre destination? Comme je suis heureuse pour vous.

À votre passage à Bayonne, une chambre sera réservée au Mas, pour vous rien que pour vous, Alans et moi, seront très heureux de vous y accueillir, en ce qui nous concerne, nous passons en ce moment notre pastorale, pour nous marier, le chemin a été long pour y arriver.

Çà va toi? Pas trop stressée? Ça va aller, je ne sais pas comment je serai à une journée de mon mariage, c'est l'aboutissement d'un grand amour, de votre grand amour.


Margauth sourit à Nannou.

Je vais te laisser un peu, je repasserai plus tard pour préparer les desserts pour demain.

On se retrouve chez Gez pour une bonne soirée avant le grand jour? A tout à l'heure et profite de tes derniers moments de célibat.

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