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[RP] Le Moulin Bleu

Gezekell
La porte ne fut pas longue à s'ouvrir et un Morty encore à moitié endormi mais souriant fit son apparition.

Poses-toi là un instant, Gez, on arrive ! On a un sacré travail !

A peine le temps de poser sa tarte et de commencer à la découper en parts plus ou moins égales, c'est qu'il savait à qui il avait à faire, que les événements se succédèrent à une vitesse propre à donner le tournis.

Par ordre d'apparition, Gwendolina que Gez ne connaissait pas encore et qui avait des façons de faire bien à elle. Gezekell qui n'était pas un fervent des familiarités, si ce n'est avec son premier cercle, en restait bouchée bée. Non pas que ce fut désagréable mais pour le moins surprenant et inattendu. Heureusement, elle débordait tant d'énergie que son côté coi passa largement inaperçu. La tarte fut rapidement entamée et un tourbillon avec ses vents violents pris possession des lieux.
Puis ce fut au tour de Margauth d'arriver. Puis Nannou. La pauvre, elle était littéralement envahie.

Na sachant plus vraiment où se mettre, se risquant à les saluer pendant ce tumulte, Gezekell sentit soudain un petit coup sur l'épaule. Morty proposait d'aller vider la charette, avec un peu de chance, ils enchaineraient sur la préparation de la salle.

Entre deux mots de la conversation des deux amies qui se retrouvaient et les bruits qui descendaient de l'étage, il parvint à dire à Morty :


Je te suis.

Saluant tout ce petit monde de la main, il s'empressa de ressortir et de se diriger vers la charrette.
_________________
Mortemer
[Dialogue de frères]

-Un peu à droite ! – dessous ! – Passe moi le marteau ! – aie ! - pousse ! - plus bas ! – scie ici ! -
non là ! – raté ! - tend bien ! – Han ! Han ! - Non comme-ça ! – vers la gauche ! – dessus !
– pousse-toi ! – accroche ! – attention ! Attention ! Boum ! Aie mon pied ! – redresse ! - on recommence !
– par ici ! – non là ! – attend ! Attend ! Ça pend ! - ça tombe ! – boum ! - on y arrive ! – un peu trop juste !
- plus bas ! - non, plus haut ! - descends ! Refait ! - j'ai la crampe ! - ici ! Plus loin ! - Tiens l'échelle ! - Voilà ! - Non ! - oui !...


[Quelques heures après, quelques doigts écrasés après...]
L'intérieur du moulin était transformé.
Dans les tons délicats de vert, blanc et rosé, du lierre et ses tissus fins tendus, des éléments végétaux d'hivers, fleurs et feuillage,
des bougies, des tables pour accueillir les buffets, d'autres pour les convives, une estrade pour célébrer le mariage, puis pour l’orchestre,
et dans un coin, la fontaine à Hydromel.
Il ne restait plus demain, qu'à installer les mets, les vins, et la fête pouvait commencer !



_________________
Mortemer


-Je veux fixer dans les tréfonds de ma mémoire, ce qui a lieu...

Il règne sur la ville une nuit étoilée. Sur la terre comme au ciel, le temps s'est arrêté.
Au loin, la forêt bruisse de son murmure consentant. Un loup hurle.
Le grand cerf blanc et sa biche frissonnent et observent par-dessus l'aubépine.
Une aile obscurcit la lune, un instant. Quelques plumes d'oiseaux qui battent dans la brise.
Le parfum discret des végétaux sous le givre. Le jardin veille.
On entend un violon préluder dans l'ombre.


"♫ ♫ ♪ ♫ ♪ ♪ ♪ ♫"

-Cette nuit, t'en souviens-tu ? T'en souviens-tu ?

D'un geste ralenti, je tends ma main vers toi et tu me regardes.
Tes yeux sont si profonds que je crois m'égarer, mais une flamme y brûle,
une flamme qui ressemble à la mienne.
Un chemin se dessine, l'amour s'y réfléchit.
Il n'est rien de meilleur, de plus pur, de plus digne, que cette musique,
Et je chante l'amour car ainsi commence toute poésie.
Ta main un peu tremblante a pris ma main, à l'ombre du bouleau, nous nous somme assis.

Cette nuit, t'en souviens-tu ? T'en souviens-tu ?

La nuit se fait légère au-dessus du moulin.
Il y monte comme des pas pressés.
On dirait peu à peu qu'ils se précisent, s'approchent.
Le cygne de la nuit vient chercher nos amis,
La nuit, t'en souviens-tu, La nuit qui nous recouvre
Celle qui commence n'aura pas de matin,
car mille et une nuits sont peu pour des amants.

Cette nuit, t'en souviens-tu ? T'en souviens-tu ?

Viens, mon cœur, allons les accueillir,
nous leur dirons notre chanson secrète
qui fera hésiter l'aube à se lever.
Allons les attendre en bas de l'allée bordée de candélabres
qui mène au Moulin Bleu, le moulin de nos cœurs.


Ainsi en ce début de nuit du premier février 1463, Nannou et Mortemer attendent leurs amis dans l'allée qui mène au Moulin Bleu

_________________
Gezekell
[ Au Phenixtère, de bon matin, le coq n'a pas encore chanté ]

La soirée de la veille ne s'était pas bien passée et avait tourné au désastre.

La nuit avait été longue et sans sommeil. Il avait promis d'être là en ce jour particulier et il tiendrait parole. Il avait encore des choses à faire. Vérifier une dernière fois sa tenue, ne pas oublier les alliances qui lui avaient été confiées, préparer le petit coussin sur lequel il les déposerait avant que de les tendre aux tourtereaux, finir de préparer les piafs qui auraient leur rôle à jouer. Ils étaient impeccables, Gez passa un petit ruban de soie verte autour du cou de Liesel, c'est qu'elle devenait coquette en prenant de l'âge. Il ne put s'empêcher de penser, avec quelques frissons d'angoisse paternelle, qu'elle allait en faire tourner des têtes celle-là.
Et puis, il voulait être là de bonne heure, prêt à aider son ami et sa future épouse en cas de besoin.

Préparant un petit-déjeuner léger, il alla toquer à la porte de sa rousse amie, lui apportant de quoi se restaurer afin de bien commencer sa journée, une fleur dans un petit vase et quelque pâtisserie accompagnée d'une boisson chaude.

Après avoir déposé un baiser délicat sur la tignasse orange en désordre, il redescendit et alla fumer sa pipe, sur les marches de la maison.

Il était content pour son frérot. Son couple était extraordinaire à bien des propos et il avait l'air tellement heureux. S'il se réjouissait de ce qui allait suivre, un pincement au cœur le saisit. Il y en avait des mariages prêvus cette année et son esprit alla vagabonder quelques instants du côté des montagnes bavaroises. Vivement que sa rousse soit prête et qu'ils se mettent en route ...



[edit : orthographe et cohérence]

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Meggie
Arrivée au pas de course Meg voit enfin sa Nannou et son amoureux .
Fière de pas etre la dernière arrivée après une dure bataille avec sa crinière rebelle.


Bonjour a vous....que vous etes beaux main dans la main avec des yeux pétillants de bonheur.

Meg les bisouille affectueusement

Nous voila rendu a ce beau jour et comme promis je suis la ma Nannou
Isabelle_anne
[ Au Phenixtère]


Le coq avait chanté, et Gez avait monté son petit déjeuner, toujours pétrit de toutes les attentions pour elle.

Il était largement temps de se lever et de se préparer!

Elle fit comme la veille, et tenta de se débrouiller seule, de son mieux.

Finalement prête, elle descendit les escaliers son cadeau sous le bras.


Et bien quel chic cher Ami! vous m'en voyez toute éblouie! Nous sommes parfaitement assortis, cette fois nul doute que nous allons passer pour frère et soeur!

Glissant son bras sous le sien

Je te suis!




Nannou
Le temps peut-il se quantifier?
Les secondes et les minutes s’additionner comme une simple opération mathématique?

Cette minute qui paraissait si longue à son début semble finalement tellement courte une fois terminée...
Combien de temps lui avait-il fallu pour se rendre compte qu'il était fait pour elle?
Une heure, une minute, une seconde?
Si vite...
Combien de temps pour se décider lorsqu'il l'avait demandé en mariage?
L'immédiateté se mesure-t-elle?

Quelques minutes, intenses, là, au bout du chemin, à profiter de quelque instants d'intimité, à attendre leurs amis.
Au loin, la voix lactée avait commencé à honorer Imbolc
L'émotion de les savoir tous bientôt là, les futur mariés attendaient.



Lors des derniers essayages, Mortemer avait découvert la surprise concoctée par Nannou et Arylis. L'imagination de la bergère, le talent de la brodeuse, sur le gilet de Mortemer, de chaque côté une vipère et un colibri.





Et sur la robe de Nannou une biche et un cerf.




Nannou accueillit sa témoin, première arrivée comme il se doit.
Gezekell
C'est une longue colonne qui cheminait vers le Moulin Bleu.

Ach ! ma rousse barrique à pattes, tu es juste superbe !

D'abord les palmipèdes, impeccables, propres, les ailes lissées, un petit cordon de soie autour du cou de Liesel, les deux bipèdes qui avançaient en se chuchotant quelques anecdotes et en bavardant, entre deux rires francs, et les rapaces et la cigogne, au-dessus.

Le portillon du Moulin Bleu était maintenant visible.

Nannou parlait avec quelqu'une qu'il reconnut en s'approchant. Meggie était déjà là. Gezekell ne voulait pas arriver trop tôt, il n'était pas le premier, c'était parfait.


Nannou, Mortemer et Meggie, le bonjour ! nous n'arrivons pas trop tôt j'espère. Vous êtes tous très beaux.

Et de biser les dames avant d'offrir l'accolade à son frérot, en lui murmurant, avec un petit sourire on ne peut plus amical :

Allez, le grand jour est arrivé. Je serai toujours à portée de bras, à te soutenir. Tout va bien se passer, on se détend un peu ...

Puis de laisser la place à Yzy qui fit de même.
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Isabelle_anne
Attendant tout sourire que Gez eut fini de saluer les deux fiancés, elle s'approcha à son tour.

Je vous souhaite le bon jour à tout trois... même si sans nul doute, cette journée sera merveilleuse pour vous et débute sous les meilleurs auspices.

Je suis ravie d'être parmi vous, en ce jour, et d'être parmi les privilégiés qui auront le plaisir de vous féliciter. Teo regrette de ne pas être avec nous, mais il est avec nous par la pensée et par le coeur. Il espère avoir le plaisir de vous rencontrer au plus vite, lors d'une prochaine visite de votre part en Sicile, afin de vous transmettre ses félicitations de vive voix.

Je ne vous retiens pas plus longtemps... Vous avez largement mieux à faire!


Et souriant , elle s'éclipsa laissant les amoureux.

Arrya
[A l'aube, chez Arrya : le dimanche à Saintes, Poitou, c'est le jour de Mariage!]

Arrya avait cavalé tout la nuit, pour voir les toits de Saintes apparaitre à l'horizon au petit matin. Elle mit pied à terre devant chez elle où son père, revenu de Saint Loup pour l'occasion, l'attendait. Elle lui déposa une bise sur la joue en lui confiant les rênes de son cheval et fila à l’intérieur.

Elle se déshabilla et plongea vite dans le bain que son père lui avait préparé. L'eau était encore chaude et Arrya s'immergea complètement. Yeux ouverts, elle profita un instant du silence sous l'eau, repensant à ces dernières semaines agitées. L'absence de Gylo qui lui pesait, le brigandage qu'elle avait encore en travers, et l'escroc de Saintes, l'expert en magouilles, sur le trône comtal. Elle s'en voulait de ne pas avoir réussi à mettre en garde suffisamment de monde. Elle s'en voulait presque comme si c'était elle qui avait tout cramé. Elle émergea.

Heureusement, sa nouvelle famille et ses amis la soutenaient. Elle n'était pas seule, et sans eux, elle aurait surement déjà explosé face à cette situation intolérable.

Elle chassa ces pensées de son esprit pour attraper le morceau de savon qu'elle fit mousser entre ses mains humides. En se savonnant, elle repensa son discours. Ce mariage, c’était l’évènement de l’année à Saintes, et il reviendra à Arrya l’honneur d’unir ses amis. Pas question de bafouiller !


Pas question d’être habillée comme un sac à topinambours non plus. Elle s’était fait prêter une robe d’un discret bleu sombre qu’elle agrémentera d’une fine ceinture blanche. A ses pieds, des poulaines bleu nuit seront sobrement assorties.

Une fois séchée et habillée, elle cassa la croûte en compagnie de son père, pour finaliser les interventions de l’un et de l’autre. Puis elle releva ses longs cheveux en un chignon discret et s’en fut vers le moulin bleu.




[On y vient à pied, on ne frappe pas…]

Alors qu’elle approchait du moulin, elle s’aperçut qu’il y avait déjà du monde. Elle pressa le pas. Elle resta un instant admirative du lieu, que la décoration avait fait passer de magnifique à magique. Puis elle se ressaisit. Comme un petit lapin blanc, elle était toujours en retard.

Bonjour à tous ! clama t’elle à la cantonade en entrant, tout en cherchant Mortemer et Nannou du regard.
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Poitevin qui boit souvent, jamais ne rend!
Kaylalove
Kay s'était lever de bonne heure, avait pris un bon bain pour se relaxer et avait changer la plus belle robe qu'elle avait ainsi que le collier qui suivait avec la robe. Elle esperait qu'elle ne serai pas la dernière, en plus, elle doit lire le poème. Apres qu'elle se soit habiller et tenter de faire une coiffure (ses cheveux n'étaient pas habituer et 2 jours de suite, ca leur fait un peu beaucoup), elle prit la direction du moulin bleu accompagner du petit renard.



En arrivant devant le moulin, vit Nannou et Mortermer et leur dit:

Bien le bonjour a vous 2, en espérant que tout va bien se passer. C'est une jolie décoration que vous nous avez fait, j espere qu'il n'y a pas eu de blessures. A plus tard.

Elle se dirigea vers les autres invités et les salua tous par une bise
Mortemer
Mortemer aussi pâle que le givre, caressait de la main les charmantes broderies décorant son gilet.
Le colibri et le serpent, ses animaux totem ! Une délicate attention de Nannou et parfaitement exécutée par la brodeuse.
Nannou portait sur sa robe diaphane le cerf et la biche, le couple d’animaux, qui depuis leur rencontre et la naissance de leur amour, les accompagnaient en arrière-plan, même dans leurs voyages.
Ce soir, ils étaient là, en lisière du bois qui bordait le Moulin Bleu.

Les amis arrivaient peu à peu...
D'abord Gezekell avec Yzy à son bras, magnifiquement vêtus. Gezekell semblait si détendu, si heureux ! Gezekell qui venait pour... le soutenir ? Était-ce si terrifiant un mariage ? Pourtant, il n’épousait pas une succube !
Mortemer essaya de compter les boutons dorés qu'il avait sur le plastron, mais il abandonna.
Il lui était difficile de se concentrer.
Ysy, à ses côtés, qui avait toujours quelques mots si aimables, si délicats. Il lui promit de venir un jour avec Nannou en Sicile et de faire la connaissance de... Téo, le roi du cœur d'Yzy.

Puis Meg, la grande amie de Nannou, celle par qui il l'avait connu. Il se souvient de ce jour où marchant sur la route, une jeune cavalière l'enleva.
Elle avait perdu sa compagne en route, une chute sans gravité, et il restait une place sur la croupe de son azelan.
Le premier ''oui'' qu'avait prononcé Mortemer. Il monta derrière la cavalière et son destin en fut scellé.

Arrya, arriva, malgré ses soucis politiquesques, elle était là, toute de bleu vêtue et splendide  ! C'est elle qui devait procéder à la cérémonie de leur union.
Il s'avança pour saluer les présents, donnant des poignée de mains, des accolades ou des baiser, selon, heureux comme pas deux.

Autour d'eux les Piafs de Gezekell, bientôt rejoint pas Champagne et Chantilly, les canards maîtres nageurs de Moulin Bleu. Mortemer avait réussi à leur donner une apparence propre, mais en ce moment précis, ils se disputaient un énorme ver de terre qui explosa, lâchant sa boue sur leur bec.
Mortemer préféra ne pas regarder.

Il vit alors Kayka arriver, splendide dans sa robe aux couleurs de l'aube, son petit renard dans ses bras, et son poème à la main. Il lui sourit et alla lui donner une bise.

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Gwendolina


Gwendolina à l'anatomie parfaite (selon ses dires) sortit du Moulin, flanquée de ses deux acolytes,
Owyn, talentueux harpiste et Markaal, dont la voix émeut les pierres (selon ses dires).
Elle avait un petit air épuisé. Il faut dire que sa nuit avait été agitée.
Les jeunes gens, une fois rassasiés avaient retrouvé leur vigueur et à leur âge, il ne fallait pas leur en promettre.
Heureusement seuls les oiseaux et les animaux aux alentours avaient été témoins de leurs ébats.

Elle avait mis sa robe de couleur verduronette, assortie à l'amour inconditionnel que Nannou et Mortemer portaient à la nature.
Cela tombait bien, la couleur mettait en valeur sa chevelure amarante.



Elle s'avança vers les futurs mariés et leurs invités, un papier à la main, essayant de décrypter les pattes de mouche
que Mortemer avait écrite dans son stress de dernière minute : Les prescriptions pour la cérémonie.
Oui car c'était-elle le Maître de cérémonie. Héhé ! Et Responsable de la musique !
Tous ces titres n’arrangeaient pas la migraine qui lui serrait les temps.

Elle repéra les futurs époux, la personne en bleu qui devait présider la cérémonie d'union, les deux témoins, les oiseaux pour le cortège...
Et les demoiselles d'honneur et leur cavalier ? Point encore arrivées !

Elle avait le temps de se remettre, si ce n'est des deux idiots de troubadours, Owyn et Markaal, qui lui collaient au train.
C'était à celui qui l'effleurerait le plus près pour tenter d'obtenir quelques faveurs.
D'un geste brusque de la main, elle les chassa comme des mouches, leur faisant comprendre que ce n'était pas le moment de se livrer à de tels attouchements et se replongea dans ses partitions.

Ha! la jeune poétesse Kelalove venait d'arriver, très bien!

Margauth
Margauth avait passé la nuit à la confection des desserts, elle avait réussi à dormir à peine deux heures, mais quelle satisfaction, tout était comme elle l'espérait pour le bonheur et le plaisir de Nannou et Mortemer.

Tout était au frais au cellier, il restait plus qu'à les mettre en place le moment venu.

Elle était rentrée vite à la Tente d'Odin ou elle est Alans logeaient afin d'y prendre un bon bain et s'habiller, Alans avait lui aussi revêtu son bel habit qu'il réservait pour les grandes occasions.

Margauth était très déçue, Alans et elle avait commandé des tenues chez un grand tisserand, qui avait complètement oublié le bon dans un coin, pas grave le principal était d'être la pour assister à ce grand moment d'union et de partage.


Tu as pensé à prendre les cadeaux mon ange ? Tu es prêt? Allons-y.

Ils arrivèrent tous les deux, quelques personnes étaient déjà la, Gez et sa soeur, qu'ils avaient rencontrè la veille au soir chez Gez, Arrya, entre autres



Nannou et Mortemer étaient la, heureux à accueillir les invités, Margauth enlaça Nannou

Comme tu es magnifique Nannou, le bonheur te va à merveille.

Elle prit ensuite Mortemet dans ses bras

Tu n'es pas mal non plus toi.

Elle sourit aux deux futurs époux
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Alans
Margauth et moi arrivions au Moulin Bleu. Quelques personnes étaient déjà arrivées. Je suivais Margauth, ne connaissant pas encore tout le monde.

Arrivant face aux futurs mariés:

Mes hommages Dame Nannou.


Légère inclinaison, puis baise-main

Messire Mortemer mes respecte


Légère inclinaison

Je vous remercie pour votre invitation fort chaleureuse, cela me touche beaucoup.
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