Coligny.
Quelques petits incidents avaient été gérés efficacement pendant le voyage. Rien de grave. Une légère diminution des rations aidaient à calmer les esprits rapidement. Une remontée de ces dernières et hop le morale était au beau fixe. Malgré tout, les hommes étaient bien heureux de poser pied à terre et d'étirer leurs membres comme s'ils avaient dormi tout le long du voyage.
Coligny supervisait le déchargement des navires et l'alignement des hommes qui rejoindraient leur campement respectif au plus vite pour s'y installer et s'organiser en attendant les ordres de l'Impératrice. Les capitaines lui firent un signe de la main, plan en main et un guide pour traduire et tout ce petit monde se mit en marche.
Ne restaient que les hauts commandants et la garde rapprochée pour conduire Dacien De Chenot, fils de l'Impératrice jusqu'au palais. Coligny était très fier de cette responsabilité que de devoir protéger la famille impériale.
Il chevauchait aux côté de son ami enrubanné pour se protéger du soleil et déjà il avait très chaud. Quel était donc ce soleil dans ce pays pour qu'il brûle autant la peau ? Une sueur coulait le long de ses tempes et il allait devoir rapidement s'adapter à cette nouvelle température. Il irait auprès des autochtones pour comprendre comment eux se protégeaient sinon les hommes tomberaient comme des mouches avant d'arriver sur n'importe quel lieu de bataille.
Ils arrivaient bientôt au Palais. Une sorte d'effervescence montait un peu partout dans la colonne. Le palais face à eux étaient d'une beauté incroyable. Rien à voir avec les châteaux sombres et fortifiés qu'ils connaissaient. Ici tout était blanc ou crème, clair et doré comme de l'or. Jamais Coligny n'avait vu telle beauté d'architecture et de couleur. Il se tournait vers son ami :
- Un palais digne d'une Impératrice, lui dit il en souriant. C'est splendide.
Dacien dût le quitter rapidement, entraîné par des serviteurs auprès de sa mère. L'homme de confiance avait tant à faire de toute façon qu'il ne pouvait l'accompagner. Il était sous bonne garde dans ce lieu et de toute manière s'il ne prenait pas le temps de tout organiser, il serait incapable de bien le protéger.
Un homme à la peau plus que mat se baissait devant lui quand il descendait de cheval :
- Je vous conduis à vos quartiers, lui dit il dans un français presque parfait si ce n'était son accent.
Il y était. Dacien lui avait dit que sa vie allait changer et que ce que ses yeux découvriraient des beautés inégalables. Il disait vrai.
Coligny supervisait le déchargement des navires et l'alignement des hommes qui rejoindraient leur campement respectif au plus vite pour s'y installer et s'organiser en attendant les ordres de l'Impératrice. Les capitaines lui firent un signe de la main, plan en main et un guide pour traduire et tout ce petit monde se mit en marche.
Ne restaient que les hauts commandants et la garde rapprochée pour conduire Dacien De Chenot, fils de l'Impératrice jusqu'au palais. Coligny était très fier de cette responsabilité que de devoir protéger la famille impériale.
Il chevauchait aux côté de son ami enrubanné pour se protéger du soleil et déjà il avait très chaud. Quel était donc ce soleil dans ce pays pour qu'il brûle autant la peau ? Une sueur coulait le long de ses tempes et il allait devoir rapidement s'adapter à cette nouvelle température. Il irait auprès des autochtones pour comprendre comment eux se protégeaient sinon les hommes tomberaient comme des mouches avant d'arriver sur n'importe quel lieu de bataille.
Ils arrivaient bientôt au Palais. Une sorte d'effervescence montait un peu partout dans la colonne. Le palais face à eux étaient d'une beauté incroyable. Rien à voir avec les châteaux sombres et fortifiés qu'ils connaissaient. Ici tout était blanc ou crème, clair et doré comme de l'or. Jamais Coligny n'avait vu telle beauté d'architecture et de couleur. Il se tournait vers son ami :
- Un palais digne d'une Impératrice, lui dit il en souriant. C'est splendide.
Dacien dût le quitter rapidement, entraîné par des serviteurs auprès de sa mère. L'homme de confiance avait tant à faire de toute façon qu'il ne pouvait l'accompagner. Il était sous bonne garde dans ce lieu et de toute manière s'il ne prenait pas le temps de tout organiser, il serait incapable de bien le protéger.
Un homme à la peau plus que mat se baissait devant lui quand il descendait de cheval :
- Je vous conduis à vos quartiers, lui dit il dans un français presque parfait si ce n'était son accent.
Il y était. Dacien lui avait dit que sa vie allait changer et que ce que ses yeux découvriraient des beautés inégalables. Il disait vrai.
