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[RP]Cérémonie de l'Alérion

Scapin
Regarda le rouquin se demandant si le collier ne lui serrait pas de trop hésitant à l'aider pour se relever.
Scapin
Retournant vers l'estrade que pour continuer la cérémonie.

Fessant face à l'assemblé

Sieur Louis Track de Lioncourt
Le_g.


Son cousin recevait un alérion. Louis sourit, sincèrement heureux pour lui, il la mérite largement cette récompense ! C'est qu'il avait bossé comme un fou, le roux, depuis plusieurs mois. Son regard se perd dans la chevelure rousse, alors qu'il reste près de lui, se retenant de plonger ses doigts dans cette masse soyeuse, de jouer avec une mèche... Le Gaucher l'observe, amusé, et lorsque vient son tour d'être appelé, il se sent plutôt mal à l'aise. Pas vraiment un habitué des récompenses, mais plutôt de devoir toujours être sur la défensive. Pour une fois, il observe Scapin, de cet air qu'on lui connait parfois, genre défiance envers le Scapiducpitaine... Inspirant profondément, il finit par s'agenouiller près de son cousin, prenant instinctivement la main du renard dans la sienne, comme pour lui faire savoir qu'il a besoin de lui.

Les deux Ecorcheurs agenouillés, ça doit valoir le tableau, se dit-il en lui-même, mais pour une fois, il ne ressent pas de honte à être ainsi. Son passé tente de refaire surface... Il se revoit, gamin, sous le fouet, avant de chasser cette idée de sa tête. Non, décidément, ce jour n'est pas comme tous les autres. Ce jour, la Lorraine les voit à genoux, mais pas pour subir un quelconque châtiment. Le regard se fait plus brillant, lorsqu'il lève les yeux vers Scapin. Serait-ce une ondée qui brouille la vue mordorée ? Ce n'est peut-être qu'un effet d'optique, du à la fumée, aux lampes à huile ou à quelque chose comme ça... C'est même certainement ça nan ? Ouaip, forcé, ça peut pas être autre chose qu'une poussière dans l'oeil... Mauvaise foi, quand tu nous tiens. Il toussote et d'un revers de main tente de virer cette fameuse poussière... ce qui a pour effet de mouiller sa main. Malin...


Z'étiez pas obligé de sortir toutes les lampes à huile hein... C'fume dur.

Serait-ce une sorte de râle qui vient de sortir ? Toujours est-il que la voix est rauque, pas très sûre, alors qu'il essuie une main moite dans ses braies, l'autre étant occupée à broyer celle de Lest.
Lglvh
Fallait croire que la position me plaisait bien parce que je ne bougeais pas d’un poil laissant mon esprit vagabonder sur le chemin parcouru en un an.
Mon cousin prit place, genoux fléchis à mes côtés, sa paluche se saisissant de la mienne que j’empressais d’y entrelacer les doigts exerçant une pression avec la paume. Qu’il était bon d’avoir sa présence…
SI aujourd’hui j’en étais arrivé là, si on me remettait une récompense, c’est bien grâce à ce géant dont la voix semblait se briser à mesure qu’il parlait.
Il avait cru en moi et il m’avait poussé à faire ressortir en moi ce côté que je croyais mort depuis longtemps, consacrant ma vie à la destruction et au pillage.
Les débuts du changement avaient été durs, bordés de doutes et maintes fois j’aurais baissé les bras et tout envoyé valdinguer si je n’avais pas assister à l’acharnement de mon cousin à faire les choses au mieux. Il m’avait soutenu, usé d’une patience d’ange pour me réexpliquer maintes fois les choses et bon dieu..là j’étais fier de ne pas avoir basté.

Je relevais le museau, gratifiant Scapin d’un franc sourire reconnaissant et tournant la tête vers mon cousin, humant l’air qui nous séparait, en quête de Son odeur, celle qui me rassurait luttant pour ne pas plonger dans son cou et y mordiller la peau avec délice.
Au lieu de ça, un glapissement muet,


Mes doihahahailleuh !

tu es en train de me les briser les cinq, Lou.
Qui aime bien châtie bien, n’est-ce pas ? je resserais plus fort ma main sur la sienne faisant fi du broyage en règle, comme pour dire, je suis là mon cousin et j’suis pas prêt de te relâcher.

Je me relevais enfin, paume contre paume, épaules contre...coudes...différences de taille assez conséquente..ouaip et j'inclinais respectueusement le nez vers le SCapitaine.


Mes remerciements..c't'un honneur...vraiment
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Scapin
Voyant Louis avancer, le blondinet détourna un peu le regard que pour prendre le collier.
Le tenant à deux mains, il faillit éclater de rire voyant les deux cousins côte à côte et genoux en terre.
Pas possible ils devaient se tromper de lieux, ils ressemblaient à deux enfants de cœur à l'heure de la prière.

Ou deux pêcheurs venu se confesser, secouant doucement la tête, léger tintement métallique du collier.

Non pas moi je ne veux rien savoir, .... .
Se mordillant les lèvres

Regardant la salle et vrai que la fumée commençait à prendre plus de place que les Lorrains. L'odeur n'était pas si désagréable que cela ayant déjà connu pire en campagne militaire.
Bhen y paraît que la viande fumée ca conserve plus longtemps

Et de planter son regard dans celui de Louis, y discernant une couleur qu'il n'avait jamais vue, le blondine. Pourtant le Louis il l'avait côtoyé quelques temps au sein du Castel et même enfermé dans une salle.
La brute qu'il était avait presque tout démoli

Surtout celle qui n'est plus très jeune paraît aussi que ca l'attendri, ... a moins que se soit les coups qui l'attendrisse

Haussant doucement les épaules
Se sont les cuisiniers qui dissent cela.

Voyant le rouquin se lever? Et de répondre d'un signe de tête à ces paroles de remerciement.
Secouant doucement le collier que pour attire l'attention de Louis


A nous deux et promis je ne vous gratifierais pas d'un coup de pied cette fois. Enfin pas de suite, ... hein, ....
Se souvenant d'une clé de bras autour du cou du blondinet, lors d'un conseil de guerre Oui oui il avait de la mémoire le troubadour

Soufflant un peu, que de se faire disperser la fumée


Long moment de silence regardant le rouquin
Sieur Louis Track de Lioncourt, .... S'est avec honneur, .....
Montrant le collier aux Lorrains

Que je vous remets l’alérion de Bronze.
Déposant doucement le collier autour du cou tout en le maintenant.

Cet acte n’est pas de mon seul vouloir mais bien aussi l’expression de Lorrains, que pour vous récompenser.
Pour votre engagement au sein de la Lorraine dans les domaines militaires et économiques

Voilà plusieurs mois que vous êtes arrivés en Lorraine et y avez pris résidence,
A mainte fois vous avez aidés économiquement plusieurs villes de Lorraine et que de citer votre ville de résidence Epinal lors des mandats désastreux du Sieur Alta . Vaudémont lors de mon premier mandat de maire.
Nombre de fois ou vous avez apporté votre aide au Duché en dons en nourriture et denrées nécessaires au prestige
.

De reprendre sa respiration
Toujours présents avec vos hommes sur les remparts de la Lorraine épée à la main que pour défendre les Lorrains.
Capitaine de Lorraine dans des circonstances on ne peut plus difficile, vous avez apporter votre connaissance et savoir à tous les membres et militaires du Conseil de Guerre.
D'une aide et d'un' appui indispensable lors de la création des FDL.
Qui est un peu votre enfant aussi.


Prêt à tous les sacrifices, même celui le plus difficiles, celui du sang que pour respecter votre parole donnée et défendre ce Duché de Lorraine qui est votre.
Feu notre Empereur Ludwig et son épouse seraient fière de vous.


Et en souriant et tout bas
Homme de sale caractère et d'une humeur d'ours parfois, ... Pas trop inconfortable la position, .... ?

Lâchant le collier
S'est pour ces raisons que Je vous fais Escuyer de l’Ordre Lorrain.
Que cet ordre qui vous récompense soit aussi une récompense pour tous les écorcheurs qui vous accompagnent sur nos routes de Lorraines.


Se recula d’un pas laissant Louis se redresser
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Le_g.


VA CH*ER SCAPITADUC ! Voilà ce qu'il répondrait au murmure de Scapin, mais là, il est limite tremblant... Inconfortable la position ? Pour sur ! C'est pas tous les jours qu'il se met à genoux. Il aurait pu répondre quelque chose de cinglant mais Scap' venait de lui donner le coup de grâce. Le sauvage était tout ému, et ça se voyait certainement. Son cousin lui avait lâché la main pour se lever et s'éloigner, évoquer l'Empereur qui lui avait donné la chance de pouvoir changer de vie, de faire quelque chose de bien pour une fois, l'avait entraîné sur les lieux du castel de Hayanges... là où bien des portes avaient claqué parfois, là où ils s'étaient parfois pris le bec, Ludwig et lui. La fierté peut se lire dans le regard du fauve, dont le regard voilé d'humidité, pourtant il n'y a pas vraiment d'embruns dans la salle, lui donne aussi des rougeurs sur le visage buriné par la vie au grand air.

Il se lève enfin, lorsque ses jambes toutes flagadas et molles arrivent de nouveau à le porter, et prononce quelques mots, en râleur invétéré qu'il est.


Je vous remercie pour cet honneur.

Bravo Louis... Tu te ramollis. Une récompense, et t'es plus toi-même ! Même pas que tu vas lui dire quelque chose! Dans la tête du loup du bestiaire Lioncourt, c'est la bringue. Il y a des étoiles, des cris, ça tambourine et ça lui fait une impression trop étrange. Il s'essuie les mains dans les braies, arrivant à tenir debout sans trop se dandiner d'un pied sur l'autre, et regarde Scapin dans les yeux.

Vous êtes pas encore arrivé à me ... ouaip, ta tronche le louis, lui dit pas qu'il a pas réussi à te mettre à genoux, il vient de t'y voir, alors dis pas qu'il t'a pas plié, il t'a eu, jusqu'au trognon... à me... Mais encore ? Tu vas y arriver à finir ta phrase ? à me foutre votre pied au fion. Ouf ! On a cru que t'avais perdu ta langue ! C'était plutôt laborieux, Lou' Ah, faudrait vraiment songer à faire des économies sur l'huile des lampes hein. Héhé, on te retrouve, le râleur ? T'y es presque, mais on dirait que ça manque d'entraînement.

Louis incline la tête, en regardant Scapin, et s'écarte, pour rejoindre son cousin, ses doigts parcourant ce collier qui vient de leur être remis. Il inspire profondément, et se redresse un peu. Pas pour dire, mais il a vraiment pas l'habitude de recevoir des honneurs. En fait, c'est la toute première fois... C'est la première fois qu'il reçoit autre chose que des remontrances ou des coups de la part d'une personne extérieure aux Ecorcheurs, et ça lui remue les tripes, au Gaucher, et sa main droite vient de nouveau essuyer une poussière dans l'oeil, à moins que ce soit les fumées des lampes qui provoquent ça.

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Scapin
Inclinant doucement la tête le troubadour était heureux de ce qu'il venait de faire.
S'est vrai escuyer des économies sur les fumerolles.

Amusé à l'idée s'en retournant vers les colliers.
Des gardes avec des miroirs que pour renvoyer la lumière pourquoi pas.


Dame Sixtine pour la deuxième fois
Prenant le collier en regardant les Lorrains
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Scapin
Et d'une dernière fois
Dame Sixtine
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Reki_de_grimaud
Reki attendait aussi son épouse à la cérémonie, elle lui avait promis de passer. Aussi était-il un peu surpris d'attendre si longtemps.
Il espérait que leur petit dernier ne lui avait pas oublier cet honneur que de recevoir cette médaille.

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Scapin
Voyant le frère réki au sein de l'assemblée. Ce qui ne pouvait être que normal. Le blondinet s'avança vers lui.

Baissant un peu la tête, pas pour se confesser mais bien que ces paroles ne soient pas entendues.

Mon frère votre épouse est elle souffrante ?
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Reki_de_grimaud
haaaaa, Scapin je ne sais trop que te répondre. Ma chère épouse se confine dans notre chambre avec notre petit dernier, je lui apporte ce dont elle a besoin et tu sais comme les Hautes Responsabilités Parentales sont parfois une contrainte à ses envies.
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Sixtine_de_grimaud
Sixtine avait été entrainée par son époux à la cérémonie.
Cela faisait plusieurs fois qu'on l'appelait, paraissait-il.
Alors elle se présenta devant Scapin, et arrivée à sa hauteur, elle lui glissa ceci :


Cher Scapin... Avec tout le respect que je vous dois.... Je vous avais dit que je ne voulais pas cet alerion. Parce que j'ai toujours considéré que je n'avais jamais eu aucun mérite à faire ce que l'on attendait de moi. Je n'ai jamais fait que mon devoir...




erfff, j'avais répondu ce matin quand je suis rentrée, vers 3h, mais visiblement... j'ai du m'endormir avant d'envoyer... donc désole pour le retard

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Bannière en cours de réfection car obsolète. Merci pour votre compréhension.
Scapin
De se pencher vers la procureur
Cela n'est pas que de mon chois mais bien, des Lorrains.... .

Et amusé.
Vous ne passerez pas autrement dame Sixtine ployez genoux
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