Aesa
Il s'était levé et marchait à son coté et cela lui fit penser qu'elle était soit petite ou lui ...grand. Tout étant relatif elle évacua cette pensée, rabattant davantage ses longs cheveux sur son visage d'un léger mouvement de tête qui était devenu un réflexe. Et paf! Elle avait encore parlé à tort. Mais pourquoi avait-elle posé cette question.
Pardonnez moi Raimbert, je ne.. Je suis maladroite parfois. Bien sur cela ne regarde que vous.
Elle glissa son regard de biais vers lui et vit qu'il souriait. Il venait de se moquer d'elle et il avait raison. La prochaine fois elle attendrait qu'on lui parle au lieu de forcer les choses. Elle sourit légèrement.
Parfois il est bon de prendre un peu de recul.. On a des moments de doute ou bien des envies de solitude. Mais le principal est de savoir que quelque part il y a des compagnons toujours à accueillir et que l'on peut revenir quand on le veut ou quand on est prêts à le faire...
Nous y voila. Asseyez vous où vous voulez.
Un feu éteint, une couverture roulée devant, deux grands sacs de toile épaisse, un vieux cheval qui n'en pouvait plus attaché à un arbre, tel était le "chez elle" d'Aesa. Elle alluma le feu avant tout, puis entreprit de plumer le volatile tout en continuant à parler.
Oui, il y a des nouveaux, mais j'avoue ne pas les connaitre. Je ne me mêle pas trop aux autres non plus, seulement quelques uns que je connais davantage... Nous verrons à l'usage. J'ai seulement toujours la crainte qu'un parmi eux ne soit une taupe.
Son visage se rembrunit et se durcit un instant et le tadorne fit les frais de sa nervosité Plumé elle lui ouvrit le ventre pour le vide imaginant que c'était l'autre assassin.. Elle se leva, secoua sa chemise et rinça la bestiole avant de revenir et l'embrocher sur un bâton et de la caler devant les flammes..
Pensez vous rester avec nous ou repartir ?
Elle coupa le lard salé qu'elle posa sur de larges tranches de pain et lui en tendit une.
Pardonnez moi Raimbert, je ne.. Je suis maladroite parfois. Bien sur cela ne regarde que vous.
Elle glissa son regard de biais vers lui et vit qu'il souriait. Il venait de se moquer d'elle et il avait raison. La prochaine fois elle attendrait qu'on lui parle au lieu de forcer les choses. Elle sourit légèrement.
Parfois il est bon de prendre un peu de recul.. On a des moments de doute ou bien des envies de solitude. Mais le principal est de savoir que quelque part il y a des compagnons toujours à accueillir et que l'on peut revenir quand on le veut ou quand on est prêts à le faire...
Nous y voila. Asseyez vous où vous voulez.
Un feu éteint, une couverture roulée devant, deux grands sacs de toile épaisse, un vieux cheval qui n'en pouvait plus attaché à un arbre, tel était le "chez elle" d'Aesa. Elle alluma le feu avant tout, puis entreprit de plumer le volatile tout en continuant à parler.
Oui, il y a des nouveaux, mais j'avoue ne pas les connaitre. Je ne me mêle pas trop aux autres non plus, seulement quelques uns que je connais davantage... Nous verrons à l'usage. J'ai seulement toujours la crainte qu'un parmi eux ne soit une taupe.
Son visage se rembrunit et se durcit un instant et le tadorne fit les frais de sa nervosité Plumé elle lui ouvrit le ventre pour le vide imaginant que c'était l'autre assassin.. Elle se leva, secoua sa chemise et rinça la bestiole avant de revenir et l'embrocher sur un bâton et de la caler devant les flammes..
Pensez vous rester avec nous ou repartir ?
Elle coupa le lard salé qu'elle posa sur de larges tranches de pain et lui en tendit une.