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[RP] Campement Fatum à Bourges

Desirade
L'homme à la canne n'avait pas eu le temps de répondre que Désirade se sentit soulevée de terre. D'abord surprise, elle ouvrit la bouche pour protester avant de réaliser ce qu'il se passait. Fermement tenue par le bras du colosse, elle n'avait plus qu'à se laisser porter jusqu'à sa tente. De toute façon, il ne lui laissait pas vraiment le choix. La donzelle nettoya ses pieds avant d'enfiler ses bas, puis une première botte. Et tandis qu'elle laçait la seconde, des cris accompagnés de bruits étranges lui parvinrent aux oreilles.

- Hum? Se passe quoi encore...


Elle adressa un regard interrogateur à Kerwan qui aussitôt partit en direction de ce qui semblait être une bagarre. Le temps de terminer son laçage, Désirade se lança à sa poursuite, en boitant, son orteil abimé coincé dans la botte lui rappelant douloureusement qu'il ne faut pas courir pieds nus.

Désirade courait, donc, en émettant de discrets "Aïe.. Ouille.. Erf...", quand arrivée à leur hauteur elle s'arrêta, un peu essoufflée, pour regarder les trois hommes tour à tour. D'abord perplexe, elle finit par éclater de rire devant la situation.

- Dürer... Dundun! Pourquoi je ne suis pas étonnée...


Malgré les nouveaux évènements, elle n'avait pas oublié le lanceur de glands à qui elle espérait bien régler son compte.

_________________
Maodun
Alors que le combat continuait, Dundun se sentit soudain soulever de terre. Il commença à se tortiller, pensant qu'il s'agissait là d'un moyen pour Dürer pour remporter cette lutte, mais cessa lorsqu'il vit que ce dernier était dans la même situation.

Après quelques échanges de regards noirs, Maodun leva les yeux pour regarder qui les tenait : un géant ! Bwaaah, ça fait peur ... S'apprêtant à crier à l'aide, Maodun vit Desirade arriver : parfait ! Elle allait pouvoir les libérer de ce type et ils pourraient finir de régler leur différend !

Mais non ... Pourquoi n'était-elle pas étonné ? Bonne question, Maodun fronça les sourcils, toujours tenu par le bonhomme qui grognait. Pas évidente comme question : parce qu'elle avait déjà vu ça ? Possible, mais pas avec Maodun ... Parce qu'elle avait deviné que ça se finirait comme ça ? Possible également ... Parce qu'elle avait un don de prémonition ! Boudiou, il fallait à tout prix l'installer sur un marché pour gagner des pièces !

Dundun haussa finalement les épaules, préférant ne pas exposer ses hypothèses. Alors, bien qu'il savait que Dürer risquait de faire de même, il pointa ce dernier du doigt et, la mine bougonne, un son sortit de sa bouche en cul de poule :


C'est lui qu'a commencé !

Maodun regardait Désirade, contrarié d'avoir été interrompu dans sa protection de la forêt.
Durer
Tenace. C’était le premier mot qui venait à Dürer en voyant la réaction du freluquet, peut-être même avant idiot. Mais la ténacité n’était pas suffisante dans un combat, et ce n’était pas avec une simple charge qui allait mettre à terre l’Helvète.

-Dis donc, c’est que t’es prétentieux. Toi et quelle armée allez me mettre une pâtée ?

L’espace d’une seconde, Dürer baissa sa garde, et il se prit un caillou en pleine face, et il pissait littéralement le sang. Et v’là que l’autre essayait de l’étrangler avec sa petite rame que tenait ses petites mains au bout de petits bras sur un petit corps.

Avant qu’il ne puisse contre-attaquer, une main puissante le souleva de terre. Pendu par le licou, tel un chaton attrapé par sa mère. Contraint de se voir désarmé de sa torche, Dürer gesticula des bras et des jambes à quelques centimètres au dessus du vide, tentant de faire lâcher prise le colosse. Bien sûr, le résultat était tout à fait misérable, et l’ennemi des arbres ne parvint qu’à se rendre encore plus ridicule. Ça ne pouvait pas être pire songea-t-il. Au moins, Maodun était-il lui aussi dans une situation semblable.

Et bien si ! Il suffisait que Désirade survienne. L’Helvète ne pu s’empêcher de rougir légèrement.


-C’est lui ! C’est Dundun. Il m’a agressé sauvagement avec sa rame. Il désigna la rame, toujours recouverte en partie de son sang. Je courais au secours de la personne qui criait à l’aide quand il m’a sauté dessus.

Dürer gesticula encore une fois au dessus du sol, sans plus de succès que précédemment. Il lança un rapide coup d’œil à son confrère qui se trouvait dans la même situation que lui. En un regard, il essaya de lui faire comprendre que, à eux deux, ils pourraient peut-être se libérer, et ensuite peut-être reprendre là où ils avaient été interrompu. Oui, en un simple regard, ce n’était pas gagné de faire comprendre ça, surtout avec le bestiau qu’était l’écolo.
Nora.
Perdu dans le fil de ses pensées malgré le boucan qui se produisait dans le Camp, des " a l'attaque !! " des " je l'aiiiii " et un gros Waiiieuuuh " retenti...ça était le vilain avait certainement couché au sol non gentillement ou c’était pris un coup sur la tête, voyant quel que glands venir finir leur chemin dans le feu.Elle leva la tête avec curiosité vers la personne qui venait à l'instant de la questionner.Elle n'avait pas eu peur, car le fait de l’appeler comme la personne l'avait fait ne pouvait qu'être un qui fessait chemin avec elle depuis un moment maintenant.

--Le_Blond_Balafre a écrit:
.......
Eh bien l'usurpatrice !!! On se dore les orteils au coin du feu ?!


Un sourire se dessina sur son minois, ce n’était pas Nox, lui il y serait allé plus franco et pour sur qu'il lui aurait un baiser non chaste par surprise pour lui dire le bonjour, comme à chaque fois qu'il l'a voyait, quel malin celui là. Son sourire se changea en un sourire amusé, c’était Bébert, son ami, elle ne s'était pas trompé pour la personne qui fessait chemin avec elle depuis de lustre maintenant.


Mes orteils ? Non ils sont bien au chauds dans mes bottes ! Ça fait plaisir de te voir, vient ! prends place je t'en prie. Tu t'es pas pris de glands en venant ? Car ça vol ce soir dans le Camp.

Un p'tit rire.

Mais j'crois qu'ils ont chopés quelqu'un j'ai entendu des bruits de douleur.
Kerwan83
Harckos tenait toujours fermement les zigotos qui gesticulaient sans cesse pour tenter de se libérer. Il resserra donc légèrement sa poigne et se tourna vers Désirade.

- Je fais quoi d'eux maintenant ? A mon avis ils n'ont rien à voir avec ton attaque de gland, mais si il continue ils vont démolir le camp... Je peux les assommer si tu veux, comme ça on se met à la recherche de ton agresseur.


Pendant qu'il parlait il vît un mouvement discret à la limite de son champ de vision. Son ami était arrivé et il pourrait démasquer l'agresseur de Dési, si celle ci n'avait pas trop peur de son ami.

- Dési, tu te souviens de l'ami que que je t'ai présenté et dont tu étais terrifié ? Hé ba il est là.
Harckos


Harckos avait entendu l'appel de son grand Frère de meute. Etant le mal dominant, il devait obéir à cet appel, mais il faisait aussi par respect et amitié. Le loup à deux pattes l'avait sauvé par le passé et depuis une relation forte c'était lié entre lui et le deux pattes.

Il se dirigea donc vers l'origine du sifflement. Il reconnu tout de suite par les lumières vives et l'odeur qu'il approchait d'un village de deux pattes. Il continua sa route et s’arrêta deux seconde à l'entrée du village fait de maison en peau. Il en avait déjà vu par le passé mais celui-ci était vraiment grand... Il renifla pour capter l'odeur de son Frère de meute et se dirigea silencieusement et discrètement vers son origine.

Ce qu'il vît le déconcerta... son Frère de meute tenait deux autres deux pas par la peau du dos comme des bébés loups... mais ils n'avaient plus l'air de bébés... à moins que c'été des casse-croûte pour lui... il s'en lécha les babines mais se ravisa... ça ne pouvait pas être ça... il n'avait jamais mangé de deux pattes... croquer oui mais pour se défendre pas pour se nourrir... Alors pourquoi son Frère l'avait appelé ?

Ho il y avait aussi la jeune louve à deux pattes que son Frère lui avait présenté... il avait d'ailleurs l'air de tenir à elle et Harckos s'était promis de la protéger si cela lui était possible. Il vît donc la jeune louve s'approcher en boitant... comment s'était-elle blesser ? un piège tendu par des chasseurs ? non... pas possible elle boiterait plus que ça... elle parlait en langage loups à deux pattes, il n'y comprenais pas grand chose d'ailleurs... pourquoi ne parlait il pas en grognement comme les loups ? Encore un mystère...

Enfin bref son Frère l'avait appelé et il était là, il avança donc à la lumière des petits soleils et sorti de la nuit pour.
Maodun
Dundun fronça les sourcils : de quel droit Dürer osait l'accuser ? C'est lui qui l'avait percuté ! Sans ça il n'y aurait jamais eu ! En plus il avait planter sa hache dans un arbre, devant Maodun ! Or tout les Fatum savaient que Maodun aimait les arbres !
L'écologiste multipliait les regards noirs à Dürer qui ne le regardait pas. Soudain, il lui jeta un coup d’œil qui laissa l'ardent défenseur de la forêt perplexe ...

Ce n'était pas un regard "je vais te tuer", pas non plus "je t'adore Maodun, j'veux une dédicace" ... Voyons voir ... Peut-être "Épouse-moi Maodun" ? Braaaahh, non quelle horreur beurk ! Dundun savait qu'il fallait répondre quelque chose à ce regard ... Puis la signification du message sembla s'imposer d'elle-même dans l'esprit Dundun, qui laissa échapper un mystérieux "Bloubaloupboum !" avant d'adresser un coup d'oeil à Dürer pour lui signaler qu'il acceptait ses excuses et qu'il voulait bien enterrer la hache de guerre !

Hache ? Ah oui mais non, il lui fallait des excuses pour l'arbre aussi ! C'était à prendre ou à laisser ! Il s'apprêtait à le préciser lorsque le colosse parla d'un ami qui terrifiait Dési : bah ! On s'en fiche de Dési, tout le monde préfère connaître les aventures de Maodun et de Dürer : y a de l'action avec de beaux combats, de nouveaux antagonistes avec le colosse, du suspens avec une situation tendue, de l'humour avec la débilité criante de Dürer, bref tout était réuni pour que, lorsqu'il serait vieux, Dundun couche tout ça sur un parchemin, le fasse copier et le vende à des milliers d'exemplaires par le Royaume ! Peut-être le traduirait-on en germain, en anglois, en hispanique ?

Donc, tout ça pour dire que Désirade ne nous intéresse pas ici, et que Maodun se le disait justement lorsqu'il vit un gros truc à quatre pattes approcher :


Euh ... Siouplait m'sieur l'colosse ? C'est pas que j'veux vous déranger mais ... Comment dire ? Y a un gros tas informe avec des jambes qui s'approche de nous ... On voit même deux yeux dans la pénombre, c'est ...

Le visage de Maodun perdit de nombreuses couleurs avant d'ajouter, d'une voix fluette :

C'est *gloup* marrant hein ?
Kerwan83
Kerwan sourit en voyant arriver Harckos, il était comme son frère et le revoir le faisait plaisir. Il sourit d'autant plus en entendant se bougre de Moadum

- Tu le trouve marrant ? Il pourrait te croquer en un rien de temps...

Il relâcha les deux belligérants et se tourna vers Désirade.


- Si on partait à la recherche de ton agresseur ?

Il fît sentir le gland qu'il avait ramassé et le fît renifler à Harckos. Celui-ci partit entre les tentes ayant trouvé une piste.
Shanara
Elle avait vu le camp de loin et puis tout le royaume les savait ici donc point difficile de les retrouver en faite.
C'est comme si elle de rien n'était qu'elle avança à l'entrée de celui ci et regarda le groupe et ne peu que sourire.


Je vois que l'on s'amuse bien par ici... Elle remarqua une tête connue et haussa les épaules en voyant qu'elle est toujours aussi entourée de ces abeilles. Je verrais si je vois la rouquine dans la journée tiens.

Elle fit demi tour puis alla s'installer dans une taverne pour se rafraîchir le gosier.
Maelick
Première soirée à Bourges parmi fatum, un peu en retrait au début puis petit à petit reconnaissant certaines personnes je me sentis plus à l’aise.
Je suivis le conseil de Dürer venir au camp ce que je fis à ma sortie de tavernes.
J’en fis le tour rapidement avant de me trouver un coin un peu isolé.
J’installai ma tente et mes affaires dedans pris juste de quoi me couvrir des hanches au genou pis me rendirent à la rivière.
La serviette ôtée j’étais nu dans l’eau à me prélasser malgré sa température fraiche le petit rituel de purification étais de nouveau repris.
Je restais donc dans l’eau pendant un bon petit moment profitant du calme du coin pour méditer.

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Shanara
[Au sec]

Elle l'avait reconnu tant dis que lui était passé à côté d'elle l'esprit bien loin pensa t'elle. Ni une ni deux fit demi tour fronçant les sourcils et le suivit de loin, le regarde monter sa tente et trouve cela d'un ennui mortel. Allait pour s'en aller n'ayant point envie de se retrouver face à certain, mais le revoir sortant de la tente et ne peut qu'admirer le corps musclé. Elle remarque quelque chose et sourit.

[Début d'un nouveau désir]

Toujours en le suivant discrètement sourit en voyant le drap de bain tomber au sol et le voila sans gêne dans l'eau. D'un pas silencieux s'approche du lieu ou la serviette est laissée sans surveillance et la met dans un buisson.

Tout en se déshabillant en se redressant se montrant enfin le regarde.
Il y a une place pour une vieille amie....

Sourit et son regard se pose sur son torse s'avançant dans l'eau lentement. Bah oui elle est vachement fraîche cette eau et puis cela remettait les idées en place..
Maelick
Les yeux fermés repensant à ma journée loin de l’agitation du campement quelques bruits se firent entendre.
Ne prêtant pas attention cela devais être surement des petits animaux je commençais à me frotter le corps à l’aide d’un bout de tissu et de savon.
Soudain une voix familière se fit entendre.


« Il y a une place pour une vieille amie.... »

Je me tournais doucement et vit Shanara nue.

Y a toujours de la place pour une amie.

Je lui souris tendant une main pour l’aider à rentrer dans l’eau.
Admirant son corps s’immerger doucement.
La voyant frissonner légèrement j’eu pour réflexe de l’attirer vers moi pour la réchauffer avec la chaleur de mon corps.

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Shanara
Prend la main tendue et entre encore plus dans l'eau quand un long frisson la parcours la faisant claquer des dents un instant. Puis se retrouve dans ces bras dans sa chaleur. Reste un moment ainsi appréciant l'instant puis se recule un peu.

Le regarde et n'en perd pas une miette, un sourit amusée et un regard admiratif sur sa condition physique.


Le jeune homme est devenu plus homme à ce que je vois. Passe ce doigts sur son torse et s'arrête sur certaines de ces cicatrices tout en se mordant la lèvre réfléchissant à ce qui aurait pu faire ces marques et pense avoir trouvé.

Il faudra que l'on parle de cela devant une bière, j'aime bien savoir d'ou vienne les cicatrices des autres..

Lève le regard vers lui une petite étincelle dedans.
Durer
-Aaaaahhh ! Dürer cria comme une fillette en voyant s’approcher la bête sauvage. Au loup ! Au loup ! Vite, il y a une bête sauvage dans le camp !

Il n’appréciait pas les loups, étrange n’est-ce pas ? Pourquoi avoir peur d’un animal qui mange les troupeaux et qui, à l’occasion, mange les humains quand il n’a rien d’autres à se mettre sous la dent ? L’Helvète se souvenait d’une histoire à propos de cela : une femme, prénommée Gwendoline, était morte dévorée par les loups parce que son mari, qui était parti pour boire à la taverne de Duchnot, avait crevé gelé dans l’étang à cause de son pied-bot.
Certes, il fallait bien avouer que, de manière générale, Dürer n’aimait pas les bêtes sauvages… en dehors de son assiette cela va sans dire, et celle-ci de bête n’avait pas l’air particulièrement pressé de s'y retrouver, au contraire, il semblait même que, une fois n’est pas coutume, se serait l’ogre helvétique qui servirait de repas cette fois-ci.

Mais la bête ne lui prêta pas plus d’attention qu’à un morceau de pain rassis, et disparut entre les tentes, sans aucun doute pour trouver proie plus facile. Dürer ne savait pas s’il devait se sentir rassurer d’être épargner, ou s’il devait mal prendre le fait d’avoir été ainsi ignoré : n’était-il pas assez bon pour un loup ?

L’Helvète s’agita à nouveau entre les doigts du géant qui le tenait par le col de son mantel, mais cette fois il réussit à se glisser hors de son vêtement et ses pieds reprirent contacts avec le plancher des vaches. Ni une, ni deux, il se lança à la poursuite du loup, bien décidé à l’occire. Seul un détail lui échappait : il n’avait rien pour tuer la bête immonde, ni épée, ni dague, ni couteau à tartiner ! Autre petit détail, Dundun était toujours entre les pattes du géant. Malgré sa querelle avec lui, Dürer ne pouvait le laisser dans une telle posture. Déjà parce qu’il voulait finir l’ardent débat sur la nature qu’il avait commencé avec le nabot, ensuite parce qu’il voulait tenter de prendre sa revanche sur le géant.

Perdu dans ses réflexions, il n’avait pas remarqué qu’il s’éloignait déjà du camp et approchait de la rivière à proximité de laquelle le camp avait été dressé pour un approvisionnement en eau plus aisé. Il s’était complètement trompé de direction, il fallait qu’il retourne en arrière. Néanmoins, son attention fut captée par le bruit d’une personne qui se baignait… non, deux ! Avec un peu de chance, ils avaient laissé leurs affaires sur le bord de l’eau. L’Helvète s’approcha, mais hélas il n’y avait qu’une serviette et des vêtements de femmes… oh si ! Il y avait une dague là.


-‘xcusez, je vous emprunte juste ça. Lança-t-il à l’adresse des deux personnes de baignant tout en montrant la dague. Sans même attendre de réponse, il commença à tourner des talons, avant d’ajouter. Oh ! et j’vous conseille de rabouler au camp, y a un loup qui se balade librement, on aurait besoin d’aide. Et cette fois, Dürer repartit en courant vers le camp.

Il avait dû faire vite, ou le géant ne devait pas être bien malin, car ce dernier servait toujours de porte mantel.
L’Helvète c’était facilement laissé prendre la première fois, c’était à cause de l’effet de surprise, et on ne l’y reprendrait pas une seconde fois. A bonne distance, les mains placées sur les hanches, fermement campés sur ses jambes légèrement écartées, la lumière d’un des feux de camp l’éclairant par derrière, ne manquant à ce tableau qu’une cape flottant au vent, tel un super-héros, il lança à l’homme qui tenait toujours Maodun.


-Eh toi ! Lâche-le et plus vite que ça !
Maelick
Tranquillement installer je me laissais admirer.
Un an étais presque passé depuis leur dernière rencontre j’étais plus le petit enfant filiforme qu’elle avait connu.
Mes nombreux voyages et travaux divers avaient former un corps solide.
Marquer par diverses cicatrices et brulures du a son enfance pour certaines d’autre du aux batailles dans les tavernes.
La plus imposante se situais au niveau de son abdomen partant du flanc gauche jusqu’au flanc droit, faite lors sa mort fictive.
Ses bras étais meurtris par les brulures de la forges, son cou étais marquer par une cicatrice partant d’un côté a l’autre large de l’épaisseur d’une lame d’épée laisser par Érinne lors de la tentative d’assassinat de Gorgias Jenkins.
Mon visage avait pris des traits inspirant la sournoiserie légèrement relever d’un soupçon d’innocence à la lueur de la lune laissant mes yeux couleur émeraude devenir perçant.
De mon côté je ne pus qu’admirer son corps frissonnant en entrant dans l’eau.
Je découvrais son aspect très existant que je n’aurais jamais regardé avant.
Ses formes me donnais envie de la caresser, je sentis ma verge se gonfler sous l’eau, malgré sa froideur.
Puis je sentis ses doigts venir caresser mon torse descendant sur la plus grosse des cicatrices.
Je la regardais droit dans les yeux la voyant se mordiller sa lèvres je ne pus que constater que le désir étais réciproque.


« Le jeune homme est devenu plus homme à ce que je vois.
Il faudra que l'on parle de cela devant une bière, j'aime bien savoir d'où viennent les cicatrices des autres... »

Je lui répondis sans hésitation.

Oui pas de problème sa donnerais l’occasion de se raconter un peu ce qu’il c’est passer de notre côté depuis le temps.

Je lui fis un sourire montrant clairement mes intentions.
Pris dans mes pensées ou toutes perversions étais de mise je ne fais pas attention au bruit environnant.
Quand soudain j’entendis une voix nous parler.


« ‘xcusez, je vous emprunte juste ça. Oh ! Et j’vous conseille de rabouler au camp, y a un loup qui se balade librement, on aurait besoin d’aide. »

Cela me fit sortir de ma réflexion.
Je regardai Shanara pis lui annonça.


Je crois qu’ils ont besoin de nous.


Regrettant déjà le fait de devoir abréger cet instant.
Je me levai de l’eau montrant ainsi toute mon anatomie à la femme qui m’accompagnait.
Je voulu attraper ma serviette mais la trouvant pas à sa place je commençais à chercher à proximité d'où je l'avais mise, je hurla.


Enfoirer encore un de ses écureuils voleurs de serviette !!!!

Énerver après ses stupides animaux, je fis signe à la charmante dame de me suivre, tendant une main pour l’aider à sortir de l’eau.
J’attendis qu’elle se rhabillait la pris par la main et l’emmena à ma tente lui fournissant ma dague et mon bouclier tandis que moi je prenais mon épée.
Dans un élan de tendresse je l’embrassai avant de me mettre à courir la main près à combattre.
Allant rejoindre le vacarme au pas de course j’arrivais à proximité de Dürer nu l’épée prête à servir.


Dürer besoin d’un coup de main !!
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