Vincent.diftain
Messe du Mercredi 23 Mai 1455.
Tandis que Vincent Diftain se préparait dans la sacristie pour une nouvelle Messe, les cloches de l'Eglise commencèrent à sonner l'appel des fidèles.
Vincent Diftain revétit alors les habits liturgiques et se dirigea vers le porche de l'Eglise pour ouvrir les portes et accueillir les premiers paroissiens venant à la messe. Il dit à ceux qui étaient déjà à attendre :
Paroissiens de Tonnerre, la porte de la maison de Dieu vous est ouverte, entrez donc pour la messe et soyez les bienvenus.
Vincent Diftain salua les paroissiens qui venaient assister à la Messe, puis remonta la nef de l'Eglise et se plaça devant l'autel.
Bonjour à tous et Bienvenus dans notre Belle Eglise Saint Thomas de Tonnerre.
Je suis très heureux de vous accueillir pour une nouvelle Messe, en ce beau mercredi vingt troisième jour du mois de mai de l'an de grâce 1455.
Notre vie paroissiale a été un peu faible ses derniers temps et certains de nos membres assidus sont parti de notre ville.
Cependant, de nouvelles personnes arrivent dans notre ville et certaines m'ont demandé de procéder à leur baptême, c'est le cas par exemple de Messire Zicka le Grand et de Powl.
Un petit mot pour féliciter notre nouveau Maire, Sire Cambronne, qui je l'espère rejoindra un jour prochain notre communauté des baptisé de Tonnerre. Que Dieu l'inspire dans la gestion de notre ville.
Pour commencer notre célébration, Prions Dieu pour qu'il nous pardonne nos péchés.
Mes chers paroissiens, je vous invite également à vous rendre au confessionnal de temps à autre, car la confession étant plus personnelle, la pénitence n'en est que plus efficace.
Maintenant, nos âmes étant plus légères, proclamons notre foi en récitant le credo.
Répétez après moi :
vincent.diftain se dirigea alors vers la chaire, il grimpa les quelques marches, puis ouvrit le Livre des Vertus et dit :
Aujourd'hui, je vais vous lire dans le Livre II du Livre des vertus, Le Chapitre II des Dialogues d'Aristote.
Tandis que Vincent Diftain se préparait dans la sacristie pour une nouvelle Messe, les cloches de l'Eglise commencèrent à sonner l'appel des fidèles.
Vincent Diftain revétit alors les habits liturgiques et se dirigea vers le porche de l'Eglise pour ouvrir les portes et accueillir les premiers paroissiens venant à la messe. Il dit à ceux qui étaient déjà à attendre :
Paroissiens de Tonnerre, la porte de la maison de Dieu vous est ouverte, entrez donc pour la messe et soyez les bienvenus.
Vincent Diftain salua les paroissiens qui venaient assister à la Messe, puis remonta la nef de l'Eglise et se plaça devant l'autel.
Bonjour à tous et Bienvenus dans notre Belle Eglise Saint Thomas de Tonnerre.
Je suis très heureux de vous accueillir pour une nouvelle Messe, en ce beau mercredi vingt troisième jour du mois de mai de l'an de grâce 1455.
Notre vie paroissiale a été un peu faible ses derniers temps et certains de nos membres assidus sont parti de notre ville.
Cependant, de nouvelles personnes arrivent dans notre ville et certaines m'ont demandé de procéder à leur baptême, c'est le cas par exemple de Messire Zicka le Grand et de Powl.
Un petit mot pour féliciter notre nouveau Maire, Sire Cambronne, qui je l'espère rejoindra un jour prochain notre communauté des baptisé de Tonnerre. Que Dieu l'inspire dans la gestion de notre ville.
Pour commencer notre célébration, Prions Dieu pour qu'il nous pardonne nos péchés.
Mes chers paroissiens, je vous invite également à vous rendre au confessionnal de temps à autre, car la confession étant plus personnelle, la pénitence n'en est que plus efficace.
Maintenant, nos âmes étant plus légères, proclamons notre foi en récitant le credo.
Répétez après moi :
vincent.diftain se dirigea alors vers la chaire, il grimpa les quelques marches, puis ouvrit le Livre des Vertus et dit :
Aujourd'hui, je vais vous lire dans le Livre II du Livre des vertus, Le Chapitre II des Dialogues d'Aristote.
Citation:
Chapitre deuxième.
Un jour le jeune Aristote, agé seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.
Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui ce passait, il se retourna vers la ville pour appeller sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.
La terreur commencait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.
Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentie dans l'esprit d'Aristote; elle disait: "Voilà ce que ma puissance réserve aux idoles qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".
Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui: " Mon fils, que t'est'il arrivé ? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparut ? Qui a détruit le temple ? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.
Enfin il pris la parole: " Mère chérie, je vous en prie, dites moi: qu'est ce que la Vérité ? "
La pauvre femme était bonne, mais hélas son âme était encore pleine des erreurs paiennes, et elle ne sut répondre à cette question. Elle se pencha sur le front de son fils, l'embrassa et lui ferma les yeux avec douceur.
"Je t'aime mon fils, n'est ce pas la seule chose importante? Dors maintenant; demain ton père revient de guerre et il faut que tu sois reposé pour le recevoir dignement."
Et se levant elle quitta la pièce, l'esprit rempli d'angoisse.
Un jour le jeune Aristote, agé seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.
Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui ce passait, il se retourna vers la ville pour appeller sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.
La terreur commencait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.
Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentie dans l'esprit d'Aristote; elle disait: "Voilà ce que ma puissance réserve aux idoles qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".
Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui: " Mon fils, que t'est'il arrivé ? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparut ? Qui a détruit le temple ? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.
Enfin il pris la parole: " Mère chérie, je vous en prie, dites moi: qu'est ce que la Vérité ? "
La pauvre femme était bonne, mais hélas son âme était encore pleine des erreurs paiennes, et elle ne sut répondre à cette question. Elle se pencha sur le front de son fils, l'embrassa et lui ferma les yeux avec douceur.
"Je t'aime mon fils, n'est ce pas la seule chose importante? Dors maintenant; demain ton père revient de guerre et il faut que tu sois reposé pour le recevoir dignement."
Et se levant elle quitta la pièce, l'esprit rempli d'angoisse.
C'est ainsi qu'à cinq ans, Aristote, le Grand Prophète, fut pour la première fois mit en présence de Dieu.
En cette époque, les hommes croyaient en une multitude de faux dieux, mais le Vrai et l'Unique Dieu choisit alors de reprendre sa place sur Terre et choisit Aristote pour cela.
A ceux qui ne croit pas en Dieu, sachez le, leurs faux dieux connaitront le même sort que ce temple d'Appolon.
Nous tous devont chercher en nos coeurs la vérité et la proclamer au monde. Dieu est unique, c'est le créateur du ciel et de la terre, et notre créateur.
Il nous regarde avec bonté, nous a donné le libre arbitre, mais si on ne vit pas dans la vertu, son jugement sera terrible.
Vincent Diftain refermit le Livre des Vertus, redescendit de la chaire et retourna devant l'autel.
Amies, Amis, communions ensemble :
Mes Chers Paroissiens, notre Messe se termine, je vous rappelle que je suis à votre disposition au presbytère pour vous recevoir pour toute demande de Baptème, Mariage ou malheureusement, inhumation et pour toute autre demande concernant notre Eglise et son enseignement.
Cet après midi, à partir de 15 heures, je serai ordonné prêtre en notre Eglise par Monseigneur Anthony de Cléret, Evêque de Nevers. Je vous invite à venir pour cet évènement qui sera pour moi très important.
Allez en paix, mes enfants ! Que le Très-Haut vous garde !