RPartage - [RP] Joutes de la Saint Patrick - Campements

[RP] Joutes de la Saint Patrick - Campements - Mars 1463

Badak

[Campement de Cetzes apres les éliminatoires]

Une passe qui ne le laissa pas de marbre à l'évocation du nom d'un des jouteurs, le double Prince de Cetzes, le fils de sa suzeraine l'Impératrice Jade de Sparte était dans la place.
Étrange de savoir que la descendance de la Duchesse Impérial de Salzbourg était proche.
Tellement proche qu'il pouvait apercevoir au loin l'étendard des Cetzes.
Décision plutôt compliqué à prendre. Bien qu'il soit un Prince impérial il en restait pas moins un Prince français et il faut l'avouer vu la fois où il avait côtoyer un Prince cela lui avait donné d'avantage mauvaise image de la noblesse française.

Mais soit décision prise, il s'était approché arborant fièrement ses couleurs de leur campement, épée au fourreau comme tout bon chevalier. Main sur le manche dès fois qu'il soit lui aussi prit de la folie Princière française. Il s'approcha donc d'un pas ni lent ni rapide, interpellant le premier venu.

- Demat, faite savoir au Prince que le chevalier de Salzbourg est ici pour lui présenter ses hommages.

Rapide, simple, direct. Pas besoin de plus, il était là pour une chose rien d'autre.
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Ishtara

Après les éliminatoires.

La Vicomtesse était heureuse de la passe de son cousin malgré sa défaite. Il avait offert un joli spectacle à l'assemblée. Elle discutait avec lui de ce moment, de ce qu'il avait ressenti, de ce qu'il devait encore améliorer pour être meilleur encore pour les prochaines joutes quand la Capitaine eut l'oreille qui se tendit en attendant un inconnu devant la tente.

- Demat, faite savoir au Prince que le chevalier de Salzbourg est ici pour lui présenter ses hommages.

Elle se redressa, car il était de son devoir de surveiller le Prince, joutes ou pas et peu importait d'ailleurs ou ils étaient, elle s'excusa auprès de son cousin et rejoignit le fameux chevalier.

Chevalier... Elle inclina légèrement du chef. Je suis Ishtara de Cetzes, Vicomtesse de Lautrec et Capitaine de la Garde du Corps du Prince, que puis je pour vous ?
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Badak

[Toujours au campement des Cetzes]

Il n'avait pas fallut longtemps au chevalier d'avoir un interlocuteur et par grâce de dieu ce fut une femme. Non pas que cela aurait été identique avec toute. Mais celle-ci avec quelques choses de spécial.
Une femme au long cheveux, blanche digne d'un blanc pur. Elle était de petite taille très fine, mais la nature l'avais visiblement gâté d'atout à en faire tomber tout les hommes à n'en pas déplaire le chevalier.
Il l'observait un instant, avant de sourire. Pourquoi ? Il l'ignorait ou pas en faite. Il la regardait donc avec sourire avant de lui répondre comme se devait.

- Enchanté de votre faire votre connaissance Vicomtesse.s'incline gracieusement face à elle Je suis Badak de Isthar van Mesmerenberg. Je souhaite présenter mes salutation au Prince, les salutation d'un vassal de sa mère, de sa Majesté Impérial Jade de Sparte.

Y avait pas a dire, la Vicomtesse était digne des plus ravissante femme qu'il avait pu croiser jusque là.
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Ishtara

Après les éliminatoires en compagnie du Chevalier Badak.

Le Chevalier osait la regarder, posant son regard sur son corps, s'attardant quelques instants sur ses attributs féminins, il était d'un sans gêne pas croyable tout de même, il se prenait pour qui le Van Mesme.. machin chose ?! Et bien, allons y et ce n'est pas ses émeraudes discrètes qu'elle posa sur lui, puisqu'il avait commencé, elle lui rendrait la pareille. De la tête au pied elle le détailla, ne ratant aucun centimètre du corps du brun fasse à elle, s'arrêtant sur son épée.

Chevalier, faites en sorte que votre lame reste dans son fourreau une fois que vous serez à l'intérieur. Veuillez me suivre.

Sa Blancheur souleva le pan de toile et entra sous la tente en faisant quelques pas vers le Prince.

Altesse, vous avez de la visite. Il se présente comme le vassal de votre mère. Parlant comme si le brun n'était pas à ses côtés.

Édit : Ajout de mot oublié
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Brunehaut_

[Chez les Ponsay-Navarot, Poitevins devant jamais ne se rendent]

La Bourgogne succédait au Rouergue et le voyage de noces s'annonçait sous les meilleurs auspices: pas de carrosse détérioré, pas d'attaque de brigands, pas de mauvaise auberge rencontrée, un tableau idyllique pour deux jeunes gens découvrant la vie commune au fil des semaines.

Caco Lérat avait eu beau retourner de fond en comble la charrette de ravitaillement, il lui fut impossible de trouver les couleurs du Vicomte, il n'avait sous la main que celles de son épouse. Devait-il les mettre à flotter sans encourir l'ire de son maître? Dans le doute il s'abstint, il avait déjà perdu une langue, il tenait à son intégrité physique restante.

Brunehaut se rendit directement au panneau d'affichage et en revint la mine contrariée: le couple devrait passer par l'exercice périlleux des éliminatoires.

Motep! Nous ne sommes guère chanceux, nous avons droit aux éliminatoires. J'affronte un seigneur dont le blason me dit quelque chose, je ne pense pas l'avoir déjà affronté, sans doute l'ai-je croisé lors de précédents tournois.
Quant à toi, Monseigneur, tu as l'honneur d'afronter le Baron Leepo Do Urden, un jouteur aguerri et difficile à battre.

Mettait-elle la pression à son CaCounet d'époux? A peine, à peine.

Caco!! Vérifie nos montures ainsi que notre équipement. Le Poitou doit être digne et avoir la tête haute.

edit

L'écuyer muet, après avoir vérifié l'état des montures destinées aux joutes, par acquis de conscience, ouvrit une malle qui était passée inaperçue et en sortit, triomphant, les couleurs du Vicomte.
Fier, comme le serait quelques siècles plus tard Artaban, Caco planta les couleurs de ses maîtres, un air iodé poitevin se mit à flotter.
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Jackouille

Jack arriva observant la forteresse qui dominé de vaste plaine , novice en joute il semblait des plus perdus mais trouva aprés un court instant le chemin menant au lieu de vie .

Certes la bourgogne été voisine du Lyonnais-Dauphiné et le voyage des plus court mais Jack été des plus pressé de pouvoir se détendre les jambes , il traversa une partie du campement déja aménagé par de vastes tentes tout en saluant les diverses personnes croisés et se décida pour une installation proche d ' un arbre .

Et comme Chuzelles ce n ' est pas l ' endroit le plus connu du royaume , il n ' y avait que Bernardo pour l ' accompagner , l ' avantage de l ' avoir avec soit il est muet donc pas contrariant , le désavantage il est sourd donc pour lui expliquer pas toujours évident mais bon pour monter une petite tente pas besoin de grande explication .

Le semblant de campement fait , Jack se décida pour un peu de repos contre l ' arbre écoutant au loin la rivière , le calme avant la tempête pensait t ' il .

Hoeldetrajan

Hoel, le breton, monté sur son lourd percheron, allait au-devant du campement de sa sœur, la bien aimée Xalta. Il portait les armoiries de la Bretagne, du Trégor surtout. Sourire en coin, il passa entre les différents camps, et non loin de jolies demoiselles. Parfois, on le regarde étrangement. Un Breton ici... Ce 'n'était pas des plus commun.
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Feodor

[Campement d'une lame]

Deuxième participation. Après quelques jours de chevauchées, Feodor fit son entrée dans le campement du duché de Montréal. Après quelques hésitation, il jeta son dévolu près d'un gros chêne.

Tentes montées, feu crépitant, odeur alléchante, la Lame n'alla pas voir qui il allait rencontrer préférant avoir la surprise et passer une bonne nuit.

Hersent

[Ar Sparfel le périple continue]

Mes macarons? Où sont passés mes boîtes de macarons? Sacrilège, un tournoi sans mes macarons, ce n'est tout bonnement inenvisageable!

Jeeehaaannnn! Ne me dis pas que tu as oublié le ravitaillement macaronnesque? Active-toi pour me trouver les boites ouvragées en noyer sinon je ne garantis pas que tu sortiras vivant du duché de Montreal.

La Baronne était accablée, des perles de sueurs brillaient à la racine de ses cheveux couleur jais. Le manque? Déjà? C'est qu'elle ne voulait pas admettre qu'elle était férue au point de devenir dépendante de ces "douceries", ces rondeurs délicatement croûtées, fourrées de pâtes aux goûts exquis, ces rondeurs appelées macarons.

Elle savait que son fils Albin joutait, elle savait aussi qu'il était accompagné, ayant fait connaissance avec la jeune femme en question en Rouergue. Elle savait que cette fois, elle se devait être discrète... aussi resterait-elle dans sa tente, entre fiole d'huiles essentielles, tisanes, baumes, bulles de Champagne et macarons.

Une fois délassée par une séance de baquet bienvenue, elle mit une tenue confortable pour se rendre au tableau d'affichage. Chemin faisant, elle aperçut les couleurs de sa Poitevine préférée. Et zut, elle était jeune épousée, donc fort occupée à prendre soin de son époux. Bigre, avec qui pourrait-elle papoter entre deux joutes?

Notant de passer saluer le couple poitevin, elle arriva devant LE tableau d'affichage et là, ce fut l'horreur horribilis dans toute sa splendeur: le juge avait osé programmé un duel Macaron - Meringue, il ne manquait plus que le Biscuit de Limoges et le tableau des desserts aurait été complet.

Dépitée, elle regagna son campement, maudissant le sort ironique qui mettait au programme l'épisode 2 de la Guerre des Gâteaux.
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Chevalier du Guet Royal

Xalta

Campement d'une famille élargie

Montréal tout le monde descend ! Un voyage en convoi de plus en plus grand, du moins c'est l'impression qu'elle avait. Quelques oriflammes furent plantés (familial lablanche, duché chateauneuf,, sigloy pour Elmer, familial d'Izard pour Ghost, la seigneurie de Belgarath et celle d'Octave) mais il en manquait encore. Le reste viendrait par la suite.
Une famille, des amis, des vassaux. Un joyeux bazar organisé il va de soi. Les tentes se montent rapidement, les chevaux sont conduits dans la pâture. Il est temps d'aller faire un tour et de trouver le maître des lieux.
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Ce w-e: service minimum assuré, soit seulement l'ig

Philippe.de.cetzes

[Tente princière.]

A peine avait-il décidé de quitter la tente pour rendre visite à Leanore pour la cheville d'Ishtara, et pour le plaisir de voir l'aimable baronne, qu'il fallait recevoir. Philippe détestait voir ses plans contrariés, mais il lui fallait faire bonne figure, malgré son caractère de cochon.

Un vassal de ma mère ? Bien, faites le entrer. Nous verrons bien de quoi il retourne. Après tout, peut-être dit-il vrai. Ne voyons pas le mal et le mensonge partout. Le Sans Nom nous entoure mais peut-être ne s'immisce-t-il pas en chaque être. Dieu nous garde.

Il se rassit dans un mouvement de pur adolescent, fâché de devoir faire ce qu'il n'avait pas voulu, contrarié de devoir parler à un inconnu. Il apprendrait plus tard que c'était un devoir, et qu'un devoir devait s'effectuer avec plaisir, en bon aristotélicien.
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Badak

[A la Tente princière]

Il était à l'entré de la tente et attendait son tour. Laissant entré cette femme intrigante en soit annoncé sa venue. Le moment était venu, l'heure ou il allait rencontré le fils de sa suzeraine. Entrant donc la tente restant non loin du Prince et surtout de la sortit. On ne sait jamais si la folie princière des Prince de France ressurgisse. Main au fourreau assez discrètement en soit il s'adressa au Prince.

- Demat votre Altesse, je suis Badak de Isthar van Mesmerenberg, chevalier de Salzbourg et de Pleubian, c'est un honneur de vous rencontrer. Bien que je ne portais pas votre père en haute estime et vous portez en vous du sang français, vous êtes tout de même le fils de sa Majesté Impérial Jade de Sparte, ma suzeraine. Et en cela je tenais à vous rencontrer.

Paroles dite, il posait son regard sur le Prince, comme pour attendre sa réaction. Après tout dire à un Prince qu'on ne l'aime et qu'on le respecte tout de même en face à face est pas tout les jours non plus.
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Hoeldetrajan

Enfin ! Xalta et le groupe d'amis étaient là tout le monde avait levé les bannières et les flammes... Hoel était arrivé avec son amie Madeleine. Elle portait ses couleurs, il aimait qu'elle soit ici.
Il fit installer une énorme tente pour y mettre un baquet et une énorme paillasse et bien entendu sa bannière bretonne !

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Eldrid

Comment vous dire qu'Eldrid avait déjà filé pour d'autre quête et que seul son valet était resté à sa tente de fortune. Il n'avait aucune gêne de se sentir là, greffé à une tente qu'il ne connaissait pas. Et bien qu'on lisait un mécontentement sur son visage, cela n'était plus un signe de colère à proprement parlé mais bien une façade usuelle qu'il arborait à presque tout les moments de la journée. Une fois le campement préparé, sachant le Pinson assez gloutonne, il se mit à préparer une bonne soupe au lard, du moins, il tentait de mettre le feu au monticole de brindille quand vint à lui une blonde, d'apparence jolie. Il s'agissait là de Diatessaron. Sauf que lui, il n'en savait rien. Car les blondes, il les aime, il lâche son air renfrogné pour une expression plus avenante. Enfin, ça, c'est une question de point de vue, téh !

- J'comprends ma p'tite dame, mais là, j'installe tout ça pour ma...
Ma...

Comment appeler ça...

Ma cheffe. Elle est partie repérer les lieux pour jouter.
Vous voulez lui laisser un message ? Non parce que je vais devoir la rejoindre, et bien que votre présence m'est agréable, il va falloir bouger !

Puis d'adresser d'un geste de main pas très élégant, toutes les directions sauf là où il se trouvait.
Qui c'est qui va se faire couper la tête ? C'est le pitit valeeeeeeeet !
Et peut être que le Pinson se prendra une torgnole. On en rediscutera.

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Reprise en douceur, n'hésitez pas à m'envoyer un mp si je vous oublie grave dans les jours à venir...

Arnaud_giboint

[Campement des Rouergat en ballade]

Arnaud resta un moment au bord de la lice afin d'assister à la victoire de son amie Lola qu'il félicita comme il se doit, puis il regagna leur tente en sa compagnie pour arroser cette victoire. pénétrant sous la tente il héla Marius.

Marius, débouches nous une bouteille et sorts les hanaps.
Lola pour ses premières joutes vient de remporter sa première passe, il faut arroser cela

Sitôt dit sitôt fait Marius s'empare d'une bouteille la débouche et remplit quatre hanaps puis tendant le sien à Lola lui dit.

Félicitation Dame Lola j'vous souhaite de passer le prochain tour.

Après avoir trinqué à la victoire de leur amie Arnaud se mit en devoir
de se départir de son armure, constatant qu'en fait le mal à la jambe était tout simplement du à sa cheville qui semblait avoir pris du volume, sans doute avait-il sollicité celle-ci dans de mauvaises conditions en tombant, toujours est-il qu'en riant il dit à ses amis.

Rassurez moi, suis-je se aussi imbu de moi-même au point d'avoir une de mes chevilles qui puisse gonfler à ce point ?

puis d'ajouter.

Bon de toutes évidences j'ai gagné un droit de visite à la tente médicale, Marius tu peux me passer un bâton de marche histoire que je m'appuie dessus. merci.

Bâton en main il sortit de la tente et se dirigea vers la tente médicale placé pas très loin de la leur.
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Joutes de la Saint Patrick - Campements - Mars 1463

Elektra.

[Au bord de l'eau - Campement de l'Ordre des Lames]

Son sourire s'élargit. Elle est simplement heureuse que sa surprise lui plaise, même si elle n'en avait guere douté. Mais si souvent c'était lui qui la surprenait, que pour une fois elle est contente d'avoir pu lire ce plaisir sur son visage.

Vous saviez que j'aurais grand faim !

Avez-vous faim Elektra ?

Elle se laisse entrainer sur la couverture. Bien sur il a faim ! Ils ont toujours faim. Enfin, elle non, pas de cette faim nutritive, souvent elle ne l'accompagne qu'en grignotant un peu, mais ce qu'elle aime c'est partager avec lui. Partager l'instant autant que le pain, partager le regard autant que le verre. Ils piochent chacun leur tour dans le bol, leurs mains se frôlent. Elle croque un fruit, que lui finit. Le vin fait un peu tourner la tète, bien moins que lui, moins que cet air de fête.

Elle soupire doucement en dérobant un biscuit et s'allonge sur la couverture. La tête se pose sur le bord de la cuisse virile qui devient un coussin ferme et relevé juste comme il faut. Le regard se perd sur l'onde tandis que le biscuit fond entre ses lèvres.

Restons un moment ... Puis nous irons voir la finale, si vous le voulez.

Les cheveux blonds, relâchés après l'épreuve du heaume, s'éparpillent en étoile alors qu'elle penche la tête en arrière pour venir chercher son regard qu'elle sait posé sur elle.
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Lysmee_ana

[Campement Ar Sparfel fils]

Oui restons Albin !!

Envie de s’amuser plutôt que de rentrer en Touraine et se retaper le voyage du retour

Lys laissa le baron s’éclipser pour ôter les grains de sable qui décoraient son visage et peut-être éventuellement ceux infiltrés dans les vêtements pouvant lui gratouiller certaines parties de son corps.
Ils allaient peut être retrouver sa mère qui n’avait pas fini les joutes contrairement à son fils éliminé, elle avait une belle technique pour vaincre ses adversaires.

Haussant la voix pour que l’ar Sparfel l’entende derrière le rideau qui les séparait le préservant de son intimité

Albin ??!!! Une idée où en est votre mère ? ??
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Dacien_de_chenot

[Près de la rivière, campement des Lames]

Exit la douleur de son bras que la contention rendait insignifiante. Aussitôt de retour dans l'arène, il la chercha des yeux. Leur piètre performance respective aux joutes venait de les libérer et s'il aurait préféré combattre jusqu'aux phases finales, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, il avait bien l'intention de profiter de ce temps qui leur était imparti pour rendre cette escapade des plus agréables. La Bourgogne avait tant à offrir qu'il voulait lui faire partager !

Un sourire instinctif éclaira son visage dés qu'il la vit là, à l'attendre. Jamais, depuis qu'il la connaissait, ne s'était démentie cette sensation d'un coeur qui bondit quand elle entrait dans son champ de vision ou qu'il l'évoquait en son absence.
Et aussitôt les mains se cherchent, se trouvent, se lient... et ne se lâchent plus. Elle est sa complétude. Il est la sienne.
Sa main le guide.
Et lui, le meneur, se laisse alors docilement entrainer un peu surpris de voir qu'elle tourne le dos à la lice pour le conduire vers leur campement. Est-ce à dire que son combat l'a épuisée et qu'elle souhaite prendre un peu de repos ? Aussitôt les sourcils du Ténébreux se froncent tandis que, du coin de l'oeil, il cherche les signes de fatigue sur son visage. Il sait qu'elle est capable de puiser en elle pour donner et donner encore sans jamais se plaindre jusqu'à l'épuisement. Pourtant, nul signe de lassitude sur son visage, il ne décèle que ce petit air moqueur et quelque peu mutin. Et une fois encore lui vint cette pensée fulgurante : je suis heureux.

Mais voilà qu'elle se détourne des tentes pour l'entrainer sur une sente qui descend en pente douce vers une rivière paisible qu'il devine entre les branches basses tandis qu'à chaque pas les rumeurs de la fête s'épuisent.

- Or ça Chevalier ! Où donc me conduisez-vous ?

La question est pure rhétorique car peu lui importe la réponse. Et puis vient l'injonction : Fermez les yeux !

Une fois encore il se prête au jeu et ferme les yeux se laissant diriger tandis que le sang que conduisent ses veines lui semble soudainement bien plus chaud et qu'une émotion nouvelle nait au creux de ses reins. Très vite il la sent s'arrêter et fait de même, ouvrant les yeux pour découvrir la surprise.

Le cadre est magnifique et sans doute n'a t'elle pas choisi l'endroit au hasard sachant qu'il entretenait avec l'eau un rapport tout particulier. Cette attention toute personnelle l'émeut.
Ainsi donc, pendant qu'il subissait les soins du médecin royal lui avait-elle ménagé cette surprise. D'un regard il embrasse l'horizon.

- C'est un endroit magnifique, Elektra...

D'un mouvement il s'incline pour déposer un baiser qui va se perdre non loin de son oreille tandis que dans un souffle il murmure un pudique et laconique : merci, amour, tant les mots sont décidément impuissants parfois à exprimer les ressentis.
Puis, plus légèrement et enjoué comme il sait l'être pour dénouer l'émotion qui souvent les étreint il poursuit dans un éclat de rire :

- Vous saviez que j'aurais grand faim !

Et c'est lui maintenant qui l'entraine et l'invite à s'asseoir. Faim ! Il a faim ! Boulimie de la vie qui les attend et dont il veut profiter seconde après seconde, sa main dans la sienne, jusqu'à la fin des temps.

Il a pris place près d'elle et le regard véronèse est trouble lorsqu'il ajoute plongeant dans ses lacs :

- Avez-vous faim Elektra ?

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Elektra.

[Campement de l'Ordre des Lames]

Il avait fallu se débarrasser de tout son harnachement, et sans lui elle n'y arriverait pas, mais c'était autant de temps de perdu. Et malgré qu'il assurait que tout allait bien, elle voyait bien que la blessure saignait. Elektra se débattait avec ses pièces d'armures sous son regard amusé tandis que les doigts du jeune homme, bien plus aguerris à cette tache que les siens, la dévêtaient avec plus d'efficacité.

Après un temps qui lui sembla démesurément long, ils se rendirent enfin à la tente du médecin des joutes. Rassurée, Elektra le laissa y aller seul, elle n'aurait pas mis à mal sa dignité toute masculine en le couvant comme une mère poule, et elle profita de ce moment pour préparer quelque chose.

La jeune femme se dépêcha. Car même si son ténébreux était parfois bavard comme une pie, elle savait qu'il ne resterait pas longtemps loin d'elle. Maline et rusée, elle fit le tour des campements, usant de sourires et de politesses, de petits mensonges aussi parfois, allant jusqu'à une installation locale où plusieurs cuisiniers, appartenant sans doute à la maison organisatrice, rôtissaient en plein air différentes grosses pièces de viandes. Elle récupéra finalement bien plus qu'elle n'avait imaginé, et la boisson ne posa aucun probleme lorsque l'on se trouvait en pleine Bourgogne.

Elle alla tout installer derrière le campement des Lames. Une large couverture étendue au sol, elle déposa les deux paniers sur chaque coté pour la maintenir provisoirement. Un instant, sous l'ombre éparse d'un feuillage en plein renouveau, elle admira la tranquillité du paysage. Puis un sourire se dessina sur ses lèvres, il était temps qu'elle aille le retrouver, ou sinon il remuerait tout le campement des joutes pour la dénicher.

A peine fut-elle arrivée devant la tente du médicastre, que son fier combattant en sortait, l'air plus vivant que jamais.

Hé bien ... Je vois que vous avez affronté un autre terrible adversaire médical et que vous en sortez triomphant.

Elektra posa sur lui un petit regard moqueur, mais s'empressa d'attraper son bras pour vérifier le soin. Gardant une main dans la sienne, elle commença à l'entrainer a travers leur propre campement.

Vous savez quoi ... Vu que finalement nous avons beaucoup de temps à présent ....

Ils arrivèrent devant le campement de l'ODL mais elle l'attira sur le coté de leur tente au lieu d'y entrer.

Et si nous en profitions ?

Ce qu'elle aimait avec Dacien, c'est que le temps ne s'égarait jamais. En fait, les journées n'étaient même pas assez longues, elles passaient à toute vitesse, et déjà la suivante s'annonçait, l'attente, l'envie de se retrouver, pour vivre encore cette communion dans laquelle ils se sentaient si bien.

Elle savait qu'il n'allait pas se retenir bien plus longtemps de poser des questions, de froncer ses sourcils l'air de "qu'est ce que vous avez manigancé encore?", alors elle continua de l'entrainer jusqu'au bord de la rivière. L'air était doux, le murmure de l'eau apaisant, l'ombre du grand arbre idéale pour une retraite stratégique à deux.

Sur les derniers mètres, elle l'obligea à fermer les yeux, serrant son bras pour le guider, jusqu'à ce que sa voix haute et claire annonce.

Surprise !
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Albin.

[Campement du fils Ar Sparfel]

C'est bien ce qui les avaient rapprochés le plus au départ, l'envie de voyage, le besoin de se dégourdir les jambes sans compter le Maine, les histoires de familles, une histoire de tante de la belle fille dont elle ignorait l'existence pour cause d'un frère Italien trop absent et peu causant pour aborder le sujet et même s'occuper de ses soeurs.
Il y en avait tellement à raconter sur ce qui fait que depuis quelques mois Lysmee et Albin sont devenus inséparables.

Le tirage au sort tant redouté des éliminatoires était cruel pour l'Ar Sparfel fils puisqu'il allait affronter le médecin des joutes et lointaine connaissance, Leanore. Promis Albin ne ronchonnera pas mais en regardant "la fleur" on pouvait voir l'inquiétude sur le visage de celle ci.

Albin donna un baiser à Lys et glissa quelques mots rassurants.

Tout va bien se passer même si je perds, je reviendrais entier.

Et puis il abandonna un instant une Lys pour retrouver la lice.

[Après les éliminatoires, retour au campement]

Une défaite plus tard, Albin retrouva Lysmee au campement, le regard interrogateur de celle ci en disait long. D'accord Albin a perdu contre une femme mais ça lui arrive souvent et puis pas la première fois qu'il perd contre Leanore mais la réelle question était..

Tu veux savoir ce que l'on fait? Tu veux profiter des festivités? On va rester un peu alors.

Albin adressa un sourire à Lys et d'ajouter.

Mais avant je vais me faire une toilette pour m'enlever ce sable collant sur le visage.
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A venir

Maylis

(campements des D'O Urden)

Après un voyage long et pénible , ils étaient enfin arrivé au campement .

En compagnie de son époux ils circulèrent dans le camp et cherchèrent un endroit ou ils pourraient monter leur tente .

Ils le trouvèrent sous un bouquet d'arbres et firent monter les tentes et dresser leur couleurs .
Puis au bras de son doux cœur ils allèrent se promener dans le campement.

peut être rencontreraient ils quelques visages connus

elle avait décidé de ne pas se laisser aller
malgré ses successifs échecs et ses blessures elle allait tenter

du moins encore une fois
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Badak

[Toujours dans la tente du Prince]

Réponse plutôt agressive de sa part. C'était prévisible, la folie princière touché bien les princes de France. Quoi qu'il en soit le chevalier qui était présent, avait légèrement sourit à ses paroles. Dénigrez, son père ? non surement pas, il avait simplement dit qu'il ne l'aimait c'est tout. D'ailleurs cela le rappeler qu'il avait eu l'occasion de croiser sa lance avec ce Roi à des joutes.
Quoi qu'il en soit Philip ne dérogé pas la règle qu'il en avait conclu, d'abord Namay puis un autre et maintenant lui.
Il le regarda et esquissa un sourire avant de répondre.

- Votre Altesse, je suis fort navré de constater que vous ne compreniez pas le sens de ma venu. Quoi qu'il en soit pensez ce que vous voulez. Sachez tout de même que nul insulte n'était dans mes paroles. Étant peu intéressé à séjourner en cage, le chevalier d'apparat que je suis sans l'ombre d'un doute, se retire laissant votre Altesse à ses occupations.
Ken emberr, que le Très-Haut vous accompagne.

Ses dernière paroles dite le chevalier sortait de la tente sans en rajouter, "tous comme les autres" avait-il pensé. Bref c'est donc dans un pas lent et assuré d'avoir eu réponse à ses doute qu'il regagnait sa tente.
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Philippe.de.cetzes

[Toujours avant les joutes. Tente Cetzes.]

L'idée d'un devoir plaisant disparue bien vite. Philippe se redressa et même se raidit avant de lâcher une réponse qu'il pensait être assez cinglante.

Monsieur, si je souhaitais connaitre votre opinion sur mon père le Roi je vous l'aurais bien fait savoir. Dénigrer ainsi dans la mort celui qui fut aussi votre suzerain, puisque l'Impératrice ma mère en fut l'épouse, et en insultant le Royaume de France et sa noblesse est une attitude inqualifiable, impardonnable & indigne d'un homme courtois. Aussi je vous conseille de quitter rapidement cette tente et de ne jamais plus y repaitre. Vous pourriez finir dans une cage en fer, tout chevalier d'apparat que vous êtes.

Philippe fit un signe à Tara-tata pour lui indiquer que si l'impertinent se faisait récalcitrant elle pouvait bien le mettre dehors manu militari avec les hommes de la garde. Il saisit pour sa part son épée, encore au fourreau, pour la planter devant lui. Au cas où l'homme ajoute la folie à l'infamie.
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Lolafemina

[Campement des Rouergat en ballade]

Les amis, vous m'avez préparé une vrai fete là, mais je ne suis pas sure de la mériter

J'ai eu énormément de chance, et je me suis trouver en face d'un Monsieur trés galant

Mais oui Margot, ça existe ça ...

Il a préféré tomber que de taper dans mon écu.

Il a été trop gentil

On verra bien au tour suivant ce qui va se passer... mais je trouverai pas toujours des adversaires aussi gentils.

Mais ça n’empêche qu'on peut lever nos hanaps pour faire la fête

Lola se penche vers Margot

J'ai vraiment l'impression que ton père exagère son mal à la cheville ... mais on ne le dit pas, on verra bien ce que dira la belle doctoresse

Margot_giboint

[Campement des Rouergat en ballade]

Pour ses premières joutes sa marraine avait remporté une première victoire. La chance était avec elle et il fallait bien sur fêter ça. Moins de chance pour son père qui s'était blessé... Quoi que ça lui donnerait l'occasion de revoir Dame Leanore et Margot se demandait si dans le fond il ne le faisait pas un peu exprès pour avoir une excuse afin de l'approcher plus souvent.

Bravo marraine ! dit elle en levant son verre... Père vous n'avez pas eu de chance mais ... Hum ... Dame Leanore sera ravie de vous revoir...

Puis se penchant vers Lola elle lui dit à voix basse alors que déjà son père s'éloignait en boitant plus que nécessaire.

Ne le répète pas mais je crois que papa a un coup de coeur pour le médecin des joutes.
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Arnaud_giboint

[Campement des Rouergat en ballade]

Hoeldetrajan

Eldrid

- J'comprends ma p'tite dame, mais là, j'installe tout ça pour ma...
Ma...

Comment appeler ça...

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Reprise en douceur, n'hésitez pas à m'envoyer un mp si je vous oublie grave dans les jours à venir...

Badak

Philippe.de.cetzes

Xalta

Campement d'une famille élargie

Ce w-e: service minimum assuré, soit seulement l'ig

Hoeldetrajan

Feodor

Hersent

[Ar Sparfel le périple continue]

Chevalier du Guet Royal

Jackouille

Ishtara

Brunehaut_

[Chez les Ponsay-Navarot, Poitevins devant jamais ne se rendent]

Badak

Ishtara

Badak

Ishtara

Nous pouvons y aller et par la même occasion l'inviter à nous rejoindre dès qu'elle aura du temps libre afin que nous profitions d'être tous ensembles pour vos première joutes mon Prince. Quant à ma cheville, ce n'est que pour me rassurer, je ne doute pas de sa guérison, j'ai suivi à la lettre les conseils de Leanore.

Elle se doutait qu'il se posait surement des questions sur lui et ses qualités à jouter, c'était un peu pour ça aussi qu'elle voulait le faire bouger et ne pas rester sous cette tente à ne penser qu'à cela.

Si nous ne croisons pas notre Hôte alors nous irons le saluer et le remercier de cet évènement qui semble avoir rassemblait nombreux nobles. Ça nous permettra effectivement de voir comment ici le campement et la lice ont été organisés, ça nous aidera pour celle que vous souhaitez organiser mon cousin.

Le mot sorti naturellement, elle inclina la tête légèrement, comme presque gênée de l'avoir appeler ainsi. Ses émeraudes se posèrent sur Dame Diatessaron qui semblait discuté à l'extérieur, mais la Blanche ne comprit pas tous les mots tout de suite.

Allons-y avant que trop de jouteurs n'arrivent.
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Diatessaron

"Hem. Je crois, mestre, que les campements des domestiques sont plus loin"

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Lysmee_ana

[ Campement Ar Sparfel fils ]

Usant mais enivrant que de voyager.
Elle aimait çà et partir pour traverser le pays ne la dérangeait guère surtout si c’était pour ne plus le lâcher.
Il allait à nouveau jouter..l’angoisse de le voir manger le sable, la boue ou bien l’herbe tel un mouton l’horrifiait.
Un jour ou l’autre il n’en sortirait pas entier, un membre se détacherait de son corps ou pire sa tête irait rouler jusqu’à buter contre une botte de foin.

Bientôt son tour.
Lys irait le voir ne serait ce que pour l’admirer perché sur son équidé car il avait fier allure…bien plus que quand il avait pieds au sol.
Mais elle ne disait rien elle connaissait que trop bien sa susceptibilité chronique.

[ Retour de lice ]

Lance brisée, chute…sans blessure heureusement.
L’ar Sparfel est vaincu. Déception de la blousse mais qui finalement est soulagée de ne pas le voir à nouveau blessé.

Que lui était-il arrivé ? Avait-il la tête ailleurs pour se laisser vaincre par une Dame ? Lys reconnaissait que l'adversaire était quand même douée.
Un départ de la Bourgogne plus tôt que prévu ?

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Lolafemina

[Campement des Rouergats en ballade]

Pour une première fois, c'était vraiment une première fois... Lola regardait sa filleule, elle était heureuse d’être là et elle profitait pour regarder partout et essayer de comprendre ce qu'il allait se passer

Elle entendit Arnaud les appeler pour monter la tente... un regard à Margot

Tu crois qu'on a raison d'aller nous promener ? Je ne suis pas sure que ton père apprécie ça, mais bon c'est tellement nouveau pour moi ...

Si tu veut on va l'aider vite fait et après on se promène

Je suis partagée entre ma hâte de tout voir, et le risque que nous courons de pas pouvoir nous coucher ce soir

Eldrid

Qui a dit que les nobles roulaient sur l'or ? HÉRÉSIE ! Pour Eldrid, c'était la crise et cela se voyait fortement. Déjà... Parce qu'elle était venue toute seule, comme une grande. Enfin, presque seule. C'était sans compter sur le valet du château de Dole qu'elle avait embarqué plus ou moins contre son gré. Après tout, elle avait décidé, maintenant, que c'était le sien ! Bien évidemment, elle n'en avait encore point discuté avec l'intéressé mais cela viendra bieeeen vite. Tout cela pour dire que la môme, peut être par souci d'indépendance, avait décidé de demander l'aide de personne. Elle s'était alors achetée une armure... D'occasion, osons le dire... ! Et une lance rafistolée tant bien que mal par un marchand itinérant. On a la classe ou on l'a pas, téh.

Du coup, assistée par son valet, la môme commence à installer la tente tout en râlant. Pas assez de piquet... Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche, elle s'approcha de celle qui lui semblait la plus solide, celle qui portait un oriflamme doré et noir avec un griffon ou un truc du style dessus. N'ayant pas envie qu'on la remarque de trop, elle se permet de s'appuyer à un piquet de cette tente pour monter la sienne. Ça fera l'affaire ! Mais ça, c'était sans savoir qu'elle tapait l'incruste du piquet d'une altesse, celle de Cetzes. M'enfin, pour l'heure, elle s'en tape grave et elle est plus ou moins contente du résultat. Elle accrocha son oriflamme tant bien que mal à un fagot de brindilles puis soupira légèrement. Maintenant, fallait trouver une couverture quelque part...

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Reprise en douceur, n'hésitez pas à m'envoyer un mp si je vous oublie grave dans les jours à venir...

Philippe.de.cetzes

[Campement Cetzes.]

Pourquoi ne l'invitons-nous pas plutôt à nous visiter. Cela sera plus agréable que dans une tente médicale. D'autant que ses assistants doivent être déjà en train d'examiner la moitié des nobles pieds qui fouleront la liste. Evitons la promiscuité et les odeurs. Tant qu'à faire. La guerre est bien suffisante pour ce genre de chose.

C'était ses premières joutes et à vrai dire la cheville d'Ishtara le préoccupait moins, à tord, que l'assurance de sa main dont il n'avait pas la certitude. Mais tout de même.

Si vous préférez vous rendre à la tente médicale je vous y accompagnerez cependant. Cela nous permettra de découvrir le campement, la lice et son sable, et aussi de croiser notre hôte. Il faudra penser à le remercier bien chaleureusement. L'organisation de ces rassemblements prends du temps. Mais vous le savez autant que moi puisque vous travaillez aussi sur le pas d'armes de Roland. J'espère que ces joutes seront un spectacle apprécié par les jouteurs.

Philippe posa le gantelet de fer qu'il tenait dans les mains, inspectant les lanières et se demandant s'il saurait manier, en situation réelle, quoi que ce soit avec cette armature.

Que voulez-vous faire alors ?
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Ishtara

Les premières joutes pour son suzerain, c'est inquiète que la Vicomtesse arriva à Montréal en compagnie de la mesnie. Le campement fut rapidement monté, les tentes des filles, prêtes, et celle du Prince également. Ishtara n'était pas sur que sa blessure soit complètement soignée, bien qu'elle n'ait plus de douleur, elle avait cette crainte maintenant que sa cheville soit fragilisée.

En arrivant elle avait pu observer les oriflammes qui flottait dans les airs, et elle pu reconnaitre celui d'Anthy. Il y avait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu, elle aurait surement l'occasion de le croiser dans le campement ou dans les gradins s'ils iraient au même moment.

Mon Prince, il me faudra aller voir Leanor pour qu'elle vérifie ma cheville, sait-on jamais, viendrez vous avec moi ?
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Anthy

[Campement d'Arden de Surgeres]

Des joutes se faisaient sentir a l'horizon et Anthy n'avait pas résisté longtemps a cette envie de participation; certes elles se trouvaient en Bourgogne, mais depuis le Languedoc la route était moins longue que depuis la Gascogne. Fallait dire que ces derniers temps, il voyait les choses d'un autre regard, se plaisant a profiter du calme et a savourer chaque instant de cette liberté.
Partis tôt ce matin là, car ne connaissant pas spécialement ou l'endroit se trouvait dans cette vaste province, il avait due demander après avoir passé la frontière a quelques personnes croisés en bord de chemin sa route..
Le temps semblait être au beau fixe quand il arriva en les terres dites de Montréal et une fois sur le terrain ou les campements peu a peu se montaient, il descendit de sa monture avant de laisser au soin de son écuyer le montage de la tente. Un regard vers la droite en direction des étendards qui flottaient déjà a proximité pour voir s'il en reconnaissait. Fallut pas longtemps pour qu'il voit celui de Victoire et qu'un sourire ne germe sur ses lèvres, cela faisait un bien long moment que leur route ne s’étaient pas croisés; peu être irait il la saluer a l'occasion.
Mais dabord, il alla se changer les idées en se rendant comme a son habitude quand il participait a des joutes; voir le panneau disant la liste des participants. Des habitués se mêlant a des gens encore inconnus pour lui a première vue. Sans attendre, il repartit a son campement qui n'avait pas mis longtemps a s’être monté afin d'aller se détendre avant le début des hostilités..
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Margot_giboint

[Campement des Rouergats en ballade]

C'était une première pour Margot d'être accompagnée de sa marraine pour les joutes. Il avait fallu tout le savoir faire et la diplomatie de son père pour la convaincre, mais cette fois elle avait dit "Oui" et c'est ravie que la jeune fille allait affronter une nouvelle fois ces joutes.

Arrivée sur place, elle observait un peu les alentours quand la voix de son père la sortie de sa rêverie. Mettre pieds à terre "oui" ! monter les tentes ... Il fallait qu'elle trouve une excuse pour y échapper.

Oui oui père j'arrive... Juste le temps d'expliquer un peu à marraine comment ça se passe et visiter un peu les lieux. Mais on sera pas longues..

Elle prit le bras de sa marraine et l'entraîna vers la lice

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Victoire.

[Campement Victorien]

Parce que la valetaille n'est plus ce qu'elle était !
Parce que la duchesse en avait assez de changer de cocher comme de bas.
Parce qu'en Rouergue, après une embardée spectaculaire, elle avait failli mourir étouffée dans le purin.
Et parce aujourd'hui elle était d'humeur joyeuse et qu'elle comptait bien le rester, elle se rendit en Bourgogne à cheval, seule, sa suite la précédent afin que tout soit prêt lorsqu'elle foulerait les terres de Montréal.

Le voyage se déroula sans la moindre embûche, et sans détails croustillants à vous conter, et qu'il fut bon d'avoir pris le risque de chevaucher seule.
Peu à peu apparaissait un ensemble bigarré de pavillons, il fallut peu de temps à Victoire pour repérer ses oriflammes. Les tentes étaient dressées, les chevaux près d'un point d'eau, visiblement tout semblait en place, afin que la bonne humeur de la duchesse perdure....du moins en l'instant.
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Badak

[Campement de Isthar van Mesmerenberg]

Des joutes tant attendu. Pas spécialement celle-ci mais des joutes. Ses défaites précédentes l'avait par la force des chose écarté de la lice. Frustré, maudissant ses performance. Il s'en était écarté. Mais aujourd'hui il était là après tant de mois d'entrainement.
Le fier chevalier de l'Empire et breton était là. dans ce campement qui regroupait tout le gratin de la noblesse française ou du moins une majeur partit. Il avait également pu reconnaitre certain noble de l'empire dont le Grand Maitre de la Lame.
Hésitant, son choix n'a pas été de les voir, les saluer et sympathisé. son choix fut de rester près de sa tente dresser affichant fièrement son étendard, son blason. Ne cachant nullement son appartenance à l'Empire, arborant les couleur de sa famille et surtout affichant clairement son lien de vassalité avec l'actuelle Impératrice.

La tente dressé. Son cheval aux petits soins de quelques individu qu'il avait ramené de Mönschberg pour l'occasion leur donnant une chance de prouver qu'il était capable de bien d'autre chose que de s'occuper d'une échoppe, d'un champs. Il préparait son armure, lourde cette fois. Laissant son armure légère de coté pour l'heure.
C'était bientôt l'heure l'heure de connaitre les premiers participants à s'affonter.
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Arnaud_giboint

[Campement des Rouergat en ballade]

Bon ce n’était pas la porte à côté la Bourgogne il avait fallu se mettre en route tôt et passer par le domaine d’Escandolières pour récupérer Lola dont ce serais les premières joutes en leur compagnie.
C’est donc tranquillement qu’ils firent route jusqu’au duché, de Montreal sans grands encombres,
Arrivé sur les lieux Arnaud repéra un endroit pour dresser leur campement, c’est qu’il allait y avoir de l’ouvrage vu la présence de Lola on avait pris une tente bien plus grande.
Ayant mis pied à terre, tandis que Marius s’affairait déjà à décharger les toiles, il regarda les filles qui attendaient stoïquement

Et bien les filles, faudrait peut-être songer à descendre de vos montures, il faut monter la tente, et l’abri pour les chevaux, vous ne pensez quand même pas qu’on va se taper tout le boulot avec Marius.

Allez hop pied à terre et venez dérouler la toile
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Elektra.

Des joutes. Ils en avaient longuement parlé, ils en avaient souvent espéré, parfois manqué, mais cette fois-ci Dacien avait eu l'information à temps et, ma foi, rien ne les empêchait de profiter de cette occasion.
Le matériel avait soigneusement été sélectionné, vérifié et chargé dans la charrette. Elektra avait eu beau tenter de faire croire à un oubli de heaume, le ténébreux était suffisamment méticuleux pour se rendre compte du dit oubli. Même leurs gourmandises préférées avaient été glissées dans les provisions, et bien que la météo ne soit pas au beau fixe, l'échappée promettait d'être mémorable.

Elle aimait voyager à ses cotés. Elle avait du se contenter du voyage en charrette sur les longs mois d'hiver mais il avait toujours été là, près d'elle, à veiller sur elle et à lui offrir la meilleure des compagnies. Mais elle retrouvait le plaisir de chevaucher avec lui, sensation exaltante de ne pas se rendre compte du temps qui filait, qui glissait sur eux entre leurs discussions et leurs silences plus expressifs encore.

Le chevalier connaissait peu la France, donc aucunement leur hôte pour ces joutes. Lorsqu'ils arrivèrent sur le domaine, il était encore tôt et cela leur laissait le loisir de s'installer et découvrir les environs. Elektra en profita pour se rafraichir un peu du voyage puis, à peu près satisfaite d'elle-même, elle rejoignit Dacien qui avait tout pris en main.

Allons saluer notre hôte, voulez-vous ?

Avec plaisir.

Un sourire éclaira son visage et, son bras enroulé au sien, elle le suivit au travers des campements qui se montaient.
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Niall

Le terrain avait été dégagé en bas de la forteresse montréalais et il était prêt à accueillir les nombreux jouteurs et leurs suites qui étaient attendu pour les festivités de la Saint Patrick.
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Dacien_de_chenot

L'Ordre rentrait de mission lorsqu'il fut attiré par une affiche annonçant que Niall de Rivien organisait des joutes sur ses terres afin de fester la Saint-Patrick. La décision de partir pour la Bourgogne voisine avait été rapidement prise et les ordres
rondement donnés en ce sens.
Quitter l'Empire, fut-ce pour quelques jours, leur ferait du bien après toutes ces semaines de tension. L'écuyer avait l'impression d'y vivre en vase clos. Certes l'Empire était vaste mais fractionné, de fait, par les langues multiples qui s'y parlaient. Du confins de la République Florentines aux eaux grises de la mer du Nord, le SRING avait beau s'étirer sur des milieux de lieues il avait la sensation de vivre confiné aux trois duchés de ce qui avait été la Lotharingie.

C'est donc avec un bel entrain qu'il fit préparer le convoi : armures, armes, tentes, vivres, rien ne fut oublié, ni des nonnettes ni de la dive mirabelle. Il y ajouta un tonnelet de vieux brandevin pour faire bonne mesure et se donner du coeur si par malheur ils devaient fréquenter la tente médicale.
Le jour dit, il fit seller Moonlight, monture du Grand Maistre de l'Ordre et Atlas, son destrier, un superbe frison noir de belle taille dans les fontes duquel il glissa quelques provisions de bouche et Inmitis, une dague d'estoc à fine lame triangulaire, conçue pour infliger de profondes blessures qui ne guérissait pas.
Comme à l'accoutumé, il chevaucherait auprès d'Elektra.
Le voyage fut des plus tranquilles si on omettait quelques passages rendus difficiles par les pluies abondantes de ce mois de mars quand les roues des chariots s’enlisaient dans des ornières profondes.Sans doute rendus circonspects par les oriflammes de l'Ordre qui exhortaient à la prudence, nul brigands ne s'aventura à leur barrer la route qui les conduisit à travers la Savoie jusqu'aux portes de la Bourgogne pour parvenir enfin chez Sa Grâce, le Duc de Montréal.

Peu de tentes avaient été dressées pour l'heure, ils étaient arrivées parmi les premiers. Se hissant sur ses étriers, le Ténébreux repéra un emplacement qui lui sembla convenir, un peu excentré et non loin d'un petit ruisseau.D'un geste il indiqua l'endroit à Elektra attendant son approbation.
Nul besoin de mots entre eux pour se comprendre. Chacun savait ce que l'autre pensait au moment précis où il le pensait.Cela donnait des phrases fusant à l'identique et des sourires complices face à la surprise des personnes qui étaient témoins de cet étonnant phénomène.
Ordres furent donnés de monter les tentes de l'Ordre. Chacun savait ce qu'il avait à faire.
Cela leur laissait le temps d'aller voir si le tirage au sort était déjà affiché.
Il confia la charge de l'intendance à Coligny et prit le bras d'Elektra.

- Allons saluer notre hôte, voulez-vous ?

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[RP] Joutes de la Saint Patrick - Campements - Mars 1463