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[RP] Joutes de la Saint Patrick - Campements - Mars 1463

Margot_giboint
[Campement des Rouergat en ballade]



Pour ses premières joutes sa marraine avait remporté une première victoire. La chance était avec elle et il fallait bien sur fêter ça. Moins de chance pour son père qui s'était blessé... Quoi que ça lui donnerait l'occasion de revoir Dame Leanore et Margot se demandait si dans le fond il ne le faisait pas un peu exprès pour avoir une excuse afin de l'approcher plus souvent.

Bravo marraine ! dit elle en levant son verre... Père vous n'avez pas eu de chance mais ... Hum ... Dame Leanore sera ravie de vous revoir...

Puis se penchant vers Lola elle lui dit à voix basse alors que déjà son père s'éloignait en boitant plus que nécessaire.

Ne le répète pas mais je crois que papa a un coup de coeur pour le médecin des joutes.

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Lolafemina
[Campement des Rouergat en ballade]




Les amis, vous m'avez préparé une vrai fete là, mais je ne suis pas sure de la mériter

J'ai eu énormément de chance, et je me suis trouver en face d'un Monsieur trés galant

Mais oui Margot, ça existe ça ...

Il a préféré tomber que de taper dans mon écu.

Il a été trop gentil

On verra bien au tour suivant ce qui va se passer... mais je trouverai pas toujours des adversaires aussi gentils.

Mais ça n’empêche qu'on peut lever nos hanaps pour faire la fête


Lola se penche vers Margot

J'ai vraiment l'impression que ton père exagère son mal à la cheville ... mais on ne le dit pas, on verra bien ce que dira la belle doctoresse
Philippe.de.cetzes
[Toujours avant les joutes. Tente Cetzes.]

L'idée d'un devoir plaisant disparue bien vite. Philippe se redressa et même se raidit avant de lâcher une réponse qu'il pensait être assez cinglante.

Monsieur, si je souhaitais connaitre votre opinion sur mon père le Roi je vous l'aurais bien fait savoir. Dénigrer ainsi dans la mort celui qui fut aussi votre suzerain, puisque l'Impératrice ma mère en fut l'épouse, et en insultant le Royaume de France et sa noblesse est une attitude inqualifiable, impardonnable & indigne d'un homme courtois. Aussi je vous conseille de quitter rapidement cette tente et de ne jamais plus y repaitre. Vous pourriez finir dans une cage en fer, tout chevalier d'apparat que vous êtes.

Philippe fit un signe à Tara-tata pour lui indiquer que si l'impertinent se faisait récalcitrant elle pouvait bien le mettre dehors manu militari avec les hommes de la garde. Il saisit pour sa part son épée, encore au fourreau, pour la planter devant lui. Au cas où l'homme ajoute la folie à l'infamie.
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Maylis
(campements des D'O Urden)



Après un voyage long et pénible , ils étaient enfin arrivé au campement .

En compagnie de son époux ils circulèrent dans le camp et cherchèrent un endroit ou ils pourraient monter leur tente .

Ils le trouvèrent sous un bouquet d'arbres et firent monter les tentes et dresser leur couleurs .
Puis au bras de son doux cœur ils allèrent se promener dans le campement.

peut être rencontreraient ils quelques visages connus




elle avait décidé de ne pas se laisser aller
malgré ses successifs échecs et ses blessures elle allait tenter

du moins encore une fois

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Badak
[Toujours dans la tente du Prince]


Réponse plutôt agressive de sa part. C'était prévisible, la folie princière touché bien les princes de France. Quoi qu'il en soit le chevalier qui était présent, avait légèrement sourit à ses paroles. Dénigrez, son père ? non surement pas, il avait simplement dit qu'il ne l'aimait c'est tout. D'ailleurs cela le rappeler qu'il avait eu l'occasion de croiser sa lance avec ce Roi à des joutes.
Quoi qu'il en soit Philip ne dérogé pas la règle qu'il en avait conclu, d'abord Namay puis un autre et maintenant lui.
Il le regarda et esquissa un sourire avant de répondre.


- Votre Altesse, je suis fort navré de constater que vous ne compreniez pas le sens de ma venu. Quoi qu'il en soit pensez ce que vous voulez. Sachez tout de même que nul insulte n'était dans mes paroles. Étant peu intéressé à séjourner en cage, le chevalier d'apparat que je suis sans l'ombre d'un doute, se retire laissant votre Altesse à ses occupations.
Ken emberr, que le Très-Haut vous accompagne.


Ses dernière paroles dite le chevalier sortait de la tente sans en rajouter, "tous comme les autres" avait-il pensé. Bref c'est donc dans un pas lent et assuré d'avoir eu réponse à ses doute qu'il regagnait sa tente.
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Albin.
[Campement du fils Ar Sparfel]


C'est bien ce qui les avaient rapprochés le plus au départ, l'envie de voyage, le besoin de se dégourdir les jambes sans compter le Maine, les histoires de familles, une histoire de tante de la belle fille dont elle ignorait l'existence pour cause d'un frère Italien trop absent et peu causant pour aborder le sujet et même s'occuper de ses soeurs.
Il y en avait tellement à raconter sur ce qui fait que depuis quelques mois Lysmee et Albin sont devenus inséparables.

Le tirage au sort tant redouté des éliminatoires était cruel pour l'Ar Sparfel fils puisqu'il allait affronter le médecin des joutes et lointaine connaissance, Leanore. Promis Albin ne ronchonnera pas mais en regardant "la fleur" on pouvait voir l'inquiétude sur le visage de celle ci.


Albin donna un baiser à Lys et glissa quelques mots rassurants.

Tout va bien se passer même si je perds, je reviendrais entier.

Et puis il abandonna un instant une Lys pour retrouver la lice.

[Après les éliminatoires, retour au campement]

Une défaite plus tard, Albin retrouva Lysmee au campement, le regard interrogateur de celle ci en disait long. D'accord Albin a perdu contre une femme mais ça lui arrive souvent et puis pas la première fois qu'il perd contre Leanore mais la réelle question était..

Tu veux savoir ce que l'on fait? Tu veux profiter des festivités? On va rester un peu alors.

Albin adressa un sourire à Lys et d'ajouter.

Mais avant je vais me faire une toilette pour m'enlever ce sable collant sur le visage.
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A venir
Elektra.
[Campement de l'Ordre des Lames]

Il avait fallu se débarrasser de tout son harnachement, et sans lui elle n'y arriverait pas, mais c'était autant de temps de perdu. Et malgré qu'il assurait que tout allait bien, elle voyait bien que la blessure saignait. Elektra se débattait avec ses pièces d'armures sous son regard amusé tandis que les doigts du jeune homme, bien plus aguerris à cette tache que les siens, la dévêtaient avec plus d'efficacité.

Après un temps qui lui sembla démesurément long, ils se rendirent enfin à la tente du médecin des joutes. Rassurée, Elektra le laissa y aller seul, elle n'aurait pas mis à mal sa dignité toute masculine en le couvant comme une mère poule, et elle profita de ce moment pour préparer quelque chose.

La jeune femme se dépêcha. Car même si son ténébreux était parfois bavard comme une pie, elle savait qu'il ne resterait pas longtemps loin d'elle. Maline et rusée, elle fit le tour des campements, usant de sourires et de politesses, de petits mensonges aussi parfois, allant jusqu'à une installation locale où plusieurs cuisiniers, appartenant sans doute à la maison organisatrice, rôtissaient en plein air différentes grosses pièces de viandes. Elle récupéra finalement bien plus qu'elle n'avait imaginé, et la boisson ne posa aucun probleme lorsque l'on se trouvait en pleine Bourgogne.

Elle alla tout installer derrière le campement des Lames. Une large couverture étendue au sol, elle déposa les deux paniers sur chaque coté pour la maintenir provisoirement. Un instant, sous l'ombre éparse d'un feuillage en plein renouveau, elle admira la tranquillité du paysage. Puis un sourire se dessina sur ses lèvres, il était temps qu'elle aille le retrouver, ou sinon il remuerait tout le campement des joutes pour la dénicher.

A peine fut-elle arrivée devant la tente du médicastre, que son fier combattant en sortait, l'air plus vivant que jamais.


Hé bien ... Je vois que vous avez affronté un autre terrible adversaire médical et que vous en sortez triomphant.

Elektra posa sur lui un petit regard moqueur, mais s'empressa d'attraper son bras pour vérifier le soin. Gardant une main dans la sienne, elle commença à l'entrainer a travers leur propre campement.

Vous savez quoi ... Vu que finalement nous avons beaucoup de temps à présent ....

Ils arrivèrent devant le campement de l'ODL mais elle l'attira sur le coté de leur tente au lieu d'y entrer.

Et si nous en profitions ?

Ce qu'elle aimait avec Dacien, c'est que le temps ne s'égarait jamais. En fait, les journées n'étaient même pas assez longues, elles passaient à toute vitesse, et déjà la suivante s'annonçait, l'attente, l'envie de se retrouver, pour vivre encore cette communion dans laquelle ils se sentaient si bien.

Elle savait qu'il n'allait pas se retenir bien plus longtemps de poser des questions, de froncer ses sourcils l'air de "qu'est ce que vous avez manigancé encore?", alors elle continua de l'entrainer jusqu'au bord de la rivière. L'air était doux, le murmure de l'eau apaisant, l'ombre du grand arbre idéale pour une retraite stratégique à deux.

Sur les derniers mètres, elle l'obligea à fermer les yeux, serrant son bras pour le guider, jusqu'à ce que sa voix haute et claire annonce.


Surprise !
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Dacien_de_chenot


[Près de la rivière, campement des Lames]

Exit la douleur de son bras que la contention rendait insignifiante. Aussitôt de retour dans l'arène, il la chercha des yeux. Leur piètre performance respective aux joutes venait de les libérer et s'il aurait préféré combattre jusqu'aux phases finales, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, il avait bien l'intention de profiter de ce temps qui leur était imparti pour rendre cette escapade des plus agréables. La Bourgogne avait tant à offrir qu'il voulait lui faire partager !

Un sourire instinctif éclaira son visage dés qu'il la vit là, à l'attendre. Jamais, depuis qu'il la connaissait, ne s'était démentie cette sensation d'un coeur qui bondit quand elle entrait dans son champ de vision ou qu'il l'évoquait en son absence.
Et aussitôt les mains se cherchent, se trouvent, se lient... et ne se lâchent plus. Elle est sa complétude. Il est la sienne.
Sa main le guide.
Et lui, le meneur, se laisse alors docilement entrainer un peu surpris de voir qu'elle tourne le dos à la lice pour le conduire vers leur campement. Est-ce à dire que son combat l'a épuisée et qu'elle souhaite prendre un peu de repos ? Aussitôt les sourcils du Ténébreux se froncent tandis que, du coin de l'oeil, il cherche les signes de fatigue sur son visage. Il sait qu'elle est capable de puiser en elle pour donner et donner encore sans jamais se plaindre jusqu'à l'épuisement. Pourtant, nul signe de lassitude sur son visage, il ne décèle que ce petit air moqueur et quelque peu mutin. Et une fois encore lui vint cette pensée fulgurante : je suis heureux.

Mais voilà qu'elle se détourne des tentes pour l'entrainer sur une sente qui descend en pente douce vers une rivière paisible qu'il devine entre les branches basses tandis qu'à chaque pas les rumeurs de la fête s'épuisent.

- Or ça Chevalier ! Où donc me conduisez-vous ?

La question est pure rhétorique car peu lui importe la réponse. Et puis vient l'injonction : Fermez les yeux !

Une fois encore il se prête au jeu et ferme les yeux se laissant diriger tandis que le sang que conduisent ses veines lui semble soudainement bien plus chaud et qu'une émotion nouvelle nait au creux de ses reins. Très vite il la sent s'arrêter et fait de même, ouvrant les yeux pour découvrir la surprise.

Le cadre est magnifique et sans doute n'a t'elle pas choisi l'endroit au hasard sachant qu'il entretenait avec l'eau un rapport tout particulier. Cette attention toute personnelle l'émeut.
Ainsi donc, pendant qu'il subissait les soins du médecin royal lui avait-elle ménagé cette surprise. D'un regard il embrasse l'horizon.

- C'est un endroit magnifique, Elektra...

D'un mouvement il s'incline pour déposer un baiser qui va se perdre non loin de son oreille tandis que dans un souffle il murmure un pudique et laconique : merci, amour, tant les mots sont décidément impuissants parfois à exprimer les ressentis.
Puis, plus légèrement et enjoué comme il sait l'être pour dénouer l'émotion qui souvent les étreint il poursuit dans un éclat de rire :

- Vous saviez que j'aurais grand faim !

Et c'est lui maintenant qui l'entraine et l'invite à s'asseoir. Faim ! Il a faim ! Boulimie de la vie qui les attend et dont il veut profiter seconde après seconde, sa main dans la sienne, jusqu'à la fin des temps.

Il a pris place près d'elle et le regard véronèse est trouble lorsqu'il ajoute plongeant dans ses lacs :

- Avez-vous faim Elektra ?

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Lysmee_ana
[Campement Ar Sparfel fils]




Oui restons Albin !!

Envie de s’amuser plutôt que de rentrer en Touraine et se retaper le voyage du retour

Lys laissa le baron s’éclipser pour ôter les grains de sable qui décoraient son visage et peut-être éventuellement ceux infiltrés dans les vêtements pouvant lui gratouiller certaines parties de son corps.
Ils allaient peut être retrouver sa mère qui n’avait pas fini les joutes contrairement à son fils éliminé, elle avait une belle technique pour vaincre ses adversaires.

Haussant la voix pour que l’ar Sparfel l’entende derrière le rideau qui les séparait le préservant de son intimité


Albin ??!!! Une idée où en est votre mère ? ??
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Elektra.
[Au bord de l'eau - Campement de l'Ordre des Lames]

Son sourire s'élargit. Elle est simplement heureuse que sa surprise lui plaise, même si elle n'en avait guere douté. Mais si souvent c'était lui qui la surprenait, que pour une fois elle est contente d'avoir pu lire ce plaisir sur son visage.

Vous saviez que j'aurais grand faim !

Avez-vous faim Elektra ?


Elle se laisse entrainer sur la couverture. Bien sur il a faim ! Ils ont toujours faim. Enfin, elle non, pas de cette faim nutritive, souvent elle ne l'accompagne qu'en grignotant un peu, mais ce qu'elle aime c'est partager avec lui. Partager l'instant autant que le pain, partager le regard autant que le verre. Ils piochent chacun leur tour dans le bol, leurs mains se frôlent. Elle croque un fruit, que lui finit. Le vin fait un peu tourner la tète, bien moins que lui, moins que cet air de fête.

Elle soupire doucement en dérobant un biscuit et s'allonge sur la couverture. La tête se pose sur le bord de la cuisse virile qui devient un coussin ferme et relevé juste comme il faut. Le regard se perd sur l'onde tandis que le biscuit fond entre ses lèvres.


Restons un moment ... Puis nous irons voir la finale, si vous le voulez.

Les cheveux blonds, relâchés après l'épreuve du heaume, s'éparpillent en étoile alors qu'elle penche la tête en arrière pour venir chercher son regard qu'elle sait posé sur elle.
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