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[Besançon] Mariage de Caton et d'Eldrid

Albin.
[Et quand avec un Ar Sparfel c'est panique à bord]

Serait ce le printemps qui approche qui fait que l'amour bourgeonne et que les mariages se font?
Les beaux jours ne vont pas tardé à faire leur apparition et pourtant c'est lors de cette période printanière que tout le royaume voir l'empire décide de se marier.

Au printemps ce sont les fleurs qui fleurissent mais en ce moment ce sont surtout les invitations pour des mariages.
Parler de mariage ce n'était pas forcément la bonne période pour Albin, lui qui venait de perdre il y a quelques semaines sont épouse morte en couche, d'un mariage qui aura été un échec jusqu'au bout mais comment dire non à certaines personnes.

C'est avec un pli dans les mains que Podrick, le page d'Albin, alla trouver son jeune, qui a la vingtaine passé quand même, maître.


Maître, je dois vous remettre ceci de la part de demoiselle Lysmee.

Donne moi ça Pod.

Albin s'en empara et resta presque sans réaction en voyant qu'il était convié à un mariage par sa belle italienne mais pas n'importe lequel, celui de son parrain dont il avait entendu de nombreuses fois parlés et dont le nom avait déjà auparavant été entendu des oreilles d'Albin.
Reportant ensuite son attention sur le petit page, l'Ar Sparfel lui dit alors :


Bien fait savoir à Lysmee que je l'accompagnerais...

Albin regarda de nouveau le pli et tilta en voyant la date..le 14 !!!

Podrick attends ! Va prévenir Quentin, qu'on prépare les chevaux, le carrosse et que l'on fasse préparer Gaelant on part à l'aube.

Dois je faire venir demoiselle Sarah pour qu'elle garde messire Gaelant?

Non inutile pas le temps et je ne pars pas aussi loin sans mon fils.

Albin parti trouver de beaux vêtements à se mettre pour l'occasion, les femmes du Domaine chargées de faire la toilette et habiller Gaelant s'activent aussi, en réalité c'est tout Entrammes qui est au pas de course afin de préparer le départ pour Besançon, route très longue et périlleuse de traverser la France d'ouest en est afin d'arriver en Empire même si traversée une partie du Domaine Royal serait chose aisée niveau formalité douanière mais après la Bourgogne rien n'était moins sûr.

Et puis vint le moment du départ, Quentin, l'homme de main d'Albin, avait préparer les chevaux, le carrosse et comme souvent faisait office de cocher.
Toutefois un vide se faisait sentir, Albin regardait ses mains vides, l'intérieur du carrosse et pas de couffin.


Mon fils! Où est mon fils ?

Et voila qu'une dame amenait Gaelant un peu tardivement. Albin récupéra alors ce qui reste comme le reflet de Mary tellement que Gaelant ressemblait fortement à sa mère avec quelques petits cheveux roux et le même regard.
Hésitant un petit instant à être cruel et sévir, Albin finalement renonça menaçant juste la dame.


A mon retour je m'occuperais de votre cas.

Le page de l'Ar Sparfel en avait profité pour prendre place à l'intérieur de la voiture car il allait venir aussi mais faisait figure pâle surtout depuis qu'il a su comment son prédécesseur avait fini et qu'à la mort de la Mirandole la servante de celle ci avait plier bagage par peur de ce qui aurait pu lui arrivée si elle était restée à Entrammes sous les ordres d'Albin.

Le carrosse prit donc la direction de chez Lysmee, le temps de la récupérer et départ pour Besançon.


[Vous êtes arrivés à destination, l'église de Besançon est sur votre droite]

Route calme, route agréable, Albin qui n'avait pas lâché la main gauche de Lysmee du voyage essayant de la calmer devant la précipitation du fait que l'invitation est parvenue tardivement et surtout le calme général parfois la froideur de l'Ar Sparfel pouvait faire du bien à Lysmee sans compter que même si les deux récents tourtereaux se montrent un peu en public ensemble, Albin était au courant des échanges épistolaires entre Lysmee et son parrain,que l'homme dont l'italienne parlait dans ses lettres allait apparaître aux yeux "du vieux solitaire", le mystère allait être levé.

Le premier a descendre du carrosse était Albin puis, qui faisant preuve de galanterie, tendit une main à Lysmee pour l'aider à descendre, puis récupéra son fils.

Comme lors de chaque mariage, beaucoup de monde et Albin suivait le regarde la Di Campiglio qui malgré tout semblait un peu paniqué encore à cause de la précipitation rejetant tout le poids sur l'ancien ambassadeur royal.
Ancien? Oui car même si Lafa à valider la démission le 15 mars, Albin l'a présentée le 11 et c'est depuis cette date que l'Ar Sparfel ne se considère plus Ambassadeur Royal.

S'adressant à Lysmee.


Vous connaissez du monde?

Et puis le regard d'Albin se déporta sur Melissandre et les Vandimion, Anaïs et Nerval. Anaïs qu'Albin avait rencontré aux Ambassades Royales quelques semaines avant qu'il démissionne et qu'il avait été souhaiter la bienvenue.
Toutefois le jeune Baron ne savait pas trop quoi faire de plus, une bonne bouffée d'air et fallait prendre les devants.


Suivez moi Lysmee.

Tenant bien dans ses bras son fils, Lysmee juste à côté de lui, Podrick suivant un peu derrière, Quentin rester au carrosse, Albin pris le choix d'aller voir son amie la plus chère et l'attachée d'ambassades.

Altesse ! Excellence Anaïs !

Albin tentait de les interpellés.
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Satineduval
Le jour d'avant)

Oulà, ben c'était moins une de beaucoup de choses, de décisions. Déjà qu'elle avait appris que son ami Reki se faisait anoblir par sa marraine de cœur, Ella et qu'elle n'avait vu aucune invitation à s'y rendre, la Noiraude en avait grimacé de déception.

Puis des rumeurs que son ami Caton allait se marier, mais là non plus, aucun mot pour le lui annoncer personnellement, à croire qu'elle avait été oubliée dans un coin obscur du Royaume, et même si elle était partie depuis longtemps, son cœur restait lorrain, pour ses amis qui y résidaient encore, et par amour de sa terre d'accueil.

Et pourtant, comme les nouvelles de là-bas se faisaient de plus en plus rares, mis à part celle de Caton justement, Satine se détachait petit à petit de sa belle lorraine, n'y voyant presque plus d'intérêt à y retourner.

C'était donc dans cet état d'esprit, qu'elle faillit déménager ses affaires en mandant de braves et costauds bonhommes pour apporter tout son barda ailleurs, là où depuis plusieurs jours, on tentait de la convaincre du bienfondé de ce repli stratégique, Bourg était près d'un village portuaire, à 4 jours de Marseille par voie fluviale, point de rassemblement de son armée, village très animé et qui plus était, elle avait à présent de nombreux amis en Savoie.

Dernière hésitation, ayant parcouru de long en large le village savoyard, elle ne trouvait pas l'endroit idéal pour y construire une petite chaumière, aucun emplacement ne lui donnait ce petit coup au cœur, qui poussait une décision difficile à prendre, vers une évidence ou une certitude incontournable. Par coup du sort, au dernier moment, le pigeon de son ami Caton était arrivé, alors que la jeune lorraine commençait à perdre patience avec elle-même, s'énervant de sa propre hésitation, de ses doutes, de ses questionnements.

Un grand ouf de soulagement, suivant la lecture de l'invitation au mariage, Satine s'empressa d'abandonner pour le moment sa petite torture mentale, la bonne excuse pour reporter toute cette histoire de déménagement à un autre jour, là, la Noiraude devait expressément filer à Besançon.

Illico presto, elle fit une boulette du petit mot, l'enfila dans le bustier de sa robe orientale, puis fila d’un pas rapide jusqu’à sa roulotte pour sortir une autre robe, bleu roi celle-ci, au bustier clair brodé de nacre et à la taille serrée par des plis bleutés et soyeux l’emprisonnant jusqu’aux hanches pour finir pas s’évaser en un tissu fin et vaporeux, retombant souplement jusqu’au sol , ouais..parfait pour un mariage, avec une étole blanche pour couvrir les épaules dénudées, un peu de bonne tenue dans un église était de mise, et le tissu léger masquerait le haut de son corps sans alourdir la mise, en ce jour de célébration, un minimum d’élégance était exigé, pour une fois.

Satine en avait parlé à Vic, afin de savoir s’il avait envie de la rejoindre à la cérémonie, mais le voyant peu motivé, ce dont elle s’était déjà doutée, le sachant peu fervent des mariages, la Noiraude lui avait expliqué son soucis pour lacer la robe qui comprenait des liens de satin noir dans le dos, mille avait-elle dit, à croire qu’elle devenait marseillaise à son tour, lui avait répliqué qu’il préférait les défaire, alors en représailles de son absence au mariage, Satine lui rétorqua que ce ne serait qu’avec les dents qu’il pourrait le faire à son retour..Et toc, rien n’était forcément facile dans ce monde.

Et bien sûr, bien sûr..Personne à la roulotte alors qu’elle déboulait fissa, trouvant sa belle tenue, l’enfila tant bien que mal, surtout mal, se battant pour la passer autour d’elle, cheveux en bataille, bras coincé dans le tissu, tiraillant au mieux sur celui-ci, tentant de ne rien déchirer, voilà ce qu’il advenait quand on n’avait pas d'aide à disposition pour se vêtir, alors, râlant, pestant, elle avait pris sa cape blanche offerte par Gui bien longtemps auparavant, était repartie à moitié habillée en taverne où elle avait par chance, vu Marsaly, Yiliana et Jason assis à l’intérieur, au travers du carreau.

Hop, sans autre, entrée rapide puis la voilà qui se précipitait vers Marsa, laissant tomber la cape sur une chaise, pour que celle-ci puisse serrer fortement les lacets, Satine accrochée au pilier de la taverne, encourageant son amie à opter pour des nœuds marins, pas sécurité que la tenue resterait bien en place aussi longtemps que nécessaire. Jason, en homme bien éduqué, avait observé longuement les araignées au plafond, n’entendant que le bruitage des rouspétances et des criailleries, alors que Satine semblait s’étouffer dans son corsage.

Compatissante Marsaly, qui placidement lui répétait qu’il fallait souffrir pour être belle, merci bien..et Jason qui commençait à protester de son côté, d’avoir mal à la nuque. Les remerciant d’une bonne tournée, la Noiraude finit par prendre la poudre d’escampette avec le cheval tout fraichement acquis par son ami War, qui n’y verrait que du feu.

Et de tracer la route avec le canasson fringuant neuf, pour se retrouver à la nuit tombée à Besançon, aviser une auberge confortable, un lit douillet si possible et tomber d’un sommeil profond sans demander son reste après cette journée très active, bien trop fatiguée, à s’endormir tout habillée, la faute aux nœuds marins.


Au petit matin du mariage..jour de gloire pour son ami !)


Tête dans le coussin, cheveux en pagaille, mauvaise nuit alors qu’elle avait eu froid, la Noiraude eut vite fait de remettre quelques coups du plat de la main à ses vêtements, lissant sa robe au mieux pour la défroisser, puis, personne n’irait mettre son nez sur les plis, alors elle n’y accorda pas trop de temps.

S’empressant pour un déjeuner rapide mais consistant, pas question d’entendre son ventre cirer famine au moment fatidique du *oui* du couple, non mais..la honte, puis, ayant retrouvé mine joviale, yeux brillants de plaisir pour la journée à venir et une petit idée derrière la tête, Satine sortit et s’arrêta un moment à discuter avec quelques gamins mal fagotés non loin de l’auberge, leur expliqua une ou deux choses, petite mission pour eux, et quelques écus à la clé si tout jouait comme elle l’entendait.

Enfin..plus détendue que la veille, la jeune lorraine remonta avec son cheval jusqu’à la Cathédrale de Besançon, là où se déroulerait le mariage de Caton et Eldrid, pour le plus grand plaisir de la Noiraude. Même si elle ne connaissait pas du tout l’épousée, elle faisait confiance à son ami pour avoir suivi ce que lui dictait son cœur.

Elle se souvenait de lui, alors qu’il était seul à Epinal, plus d’un an auparavant, et qu’il se désolait de ne pas trouver la personne qui illuminerait sa vie. Voilà que le grand Jour d’épouser celle qu’il aimait était arrivé, Satine descendit du cheval, dans un bruissement de cape et de robe qui se frottaient, pour aller l’attacher à un arbre à l’opposé du parvis.

Ce faisant, elle remarqua une silhouette qui lui était un peu familière, et s’en approchant alors qu’elle voulait sangler le cheval, la lorraine reconnu Seed, l’ami voyageur.

Clignant des yeux de surprise, elle le salua d’une voix un brin médusée :


OH…mais Seed !! Que fais-tu ici ? Tu t’es égaré ou quoi ?

Passant du jeune homme à l’observation de la Cathédrale, elle se demandait bien s’il était aussi invité et surtout s’il connaissait les époux. Puis Seed n’aimait pas plus les églises que Vic, il s’était lui aussi bien gardé de participer à un mariage à Marseille, alors, son étonnement ne faisait que redoubler.

T’aimes les églises, à présent toi ?

Puis de finir de lier la sangle au tronc d’arbre, pour que le cheval ne fugue point, elle était feignasse, parfois et se voyait mal lui courir après en robe longue.
Amelliane
Le voyage avait été long, normal puisque voyager de la Bretagne jusqu'en Empire ce n'était pas la porte à côté. La veille du départ, la demoiselle avait passé un temps fou pour trouver une robe et puis sa décision fût enfin prise. Bors avait accepter de l'accompagné, elle en était ravie, la demoiselle craignait qu'il ne veuille pas venir mais pour une fois elle s'était tromper. Elle avait finalement bien fait de risquer à le lui demander.

Ils étaient arrivée devant la cathédrale de Besançon, elle se rappelait encore il y a quelques mois, Amelliane et Eldrid s'écrivaient puis après cette dernière se fit baptisé. Aujourd'hui c'était différent puisque son amie allait se marier, un jour des plus importants et c'était normal qu'elle soit présente.

Amelliane était tout sourire et rêveuse devant l'église, allez savoir à quoi elle pensait à ce moment. Elle attrapa un pan de sa robe puis entra dans la bâtisse au côté de Bors. Il y avait quelques têtes connues, d'autre moins, quelques Lorrains aussi. Son attention se concentra de nouveau vers le beau brun qui l'accompagnait en désignant des places un peu au milieu.


- On va s'assoir par là bas, qu'en penses-tu ?
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Bors
Bors était dans sa boulange quand Amé le dérangeais pour lui demander s'il voulais l'accompagnée a un mariage en empire qui plus ait. Bors avais horreur de l'empire se rappelant les trois guerres auquel il avais assisté contre l’Helvétie. durant la journée après avoir accepter Bors ce rendit dans sa chambre pour y prendre quelque vêtement et les rangea dans une malle.


Le voyage semblais durée une éternité, mais au moins il n'étais pas seul, sa ravissante amie était avec lui. Bors se demandais toujours s'il allais lui demander sa main un jours et a quel point il aimait Amé.

Voyant la Cathédrale, Bors se demandais s'il avais vraiment fait le bon choix en venant a ce Mariage. Voila a quoi ressemble Besançon se dit-il.

Marchant a coté d'Amé, lui ouvrant la porte, et entrant après elle, n'y connaissant personne, resta sur ses gardes. la regardant qui lui pointa des places.

Où tu veux de toutes façons je connais personne en ce lieux, oublie pas j'ai surement combattu certain durant les guerres en Helvétie.
Domdom
D’un mariage à l’autre.
De Rome à Besançon, avec un crochet par Gênes, où il avait laissé sa petite famille en convalescence, après l’attaque de l’armée Milanaise aux portes d’Alessandria.
Décidément, l’encapuché était un adepte du grand écart ,en cette fin d’hiver 1463.

Les lieues furent avalées en quelques jours , avec un malin plaisir pour déjouer ces maudites armées Italiennes ,si promptes à dégainer l’épée sans sommation.
Puis , après avoir traversé le Piémont Italien, les vallées Savoyardes et enfin la Franche Comté, la cathédrale de Besançon fut enfin en vue, au grand soulagement du conteur.

Le grand brun avait été surpris de recevoir une invitation pour le mariage de son ami Caton, mais surtout ravi que cet homme qu’il tenait en haute estime ait enfin trouvé celle qui l’accompagnerait devant l’autel.
Il se souvenait avoir assisté au baptême de ce dernier à l église d’Epinal.
Il ne connaissait pas la future mariée, mais qu’importe : si Caton l’avait choisie comme épouse, c’est qu’elle devait bien avoir quelques qualités, non ? Ou bien une dot conséquente, allez savoir…

Lorsque Domdom passa le lourd ventail de bois de la cathédrale, il s’aperçut avec soulagement que la cérémonie n’avait pas encore commencé et surtout que pas mal de monde était déjà sur place.
Un rapide coup d’œil panoramique le renseigna sur la présence de têtes connues, d’autres moins, d’autres pas du tout.

Le passeur d'histoires se glissa discrètement sur un banc , attendant le début de la cérémonie , tout en pensant avec un peu de culpabilité à Bellha et sa petite Sila qu’il avait laissées si loin, là bas, alors que lui , courait à nouveau les routes.
Comme il l’avait toujours fait.

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Lilly_de_troy
Lilly sorti pour monter dans le carrosse quand elle remarqua Julien dans la cour à regarder perplexe le dit carrosse et les malles qu'elle avait fait installés pour elle. Elle sourit et elle s'approcha de lui doucement.

Ah vous voilà mon ami, il est temps de prendre la route. Cette dernière est longue avant d'arriver pour le Jour J et surtout ne pas le louper. Ce qui serait alors pour moi un drame sans nom étant mandaté par son Altesse expressément pour cela. Je vois que vous avez votre monture, vous allez donc faire la route tout seul sur votre destrier? Je peux le comprendre vous n'avez pas envie de passer votre temps à me compter fleurette toutes ces heures de route. Je le conçoit. Bref, je vous invite à l'alléger en déposant votre baluchon avec mes malles ainsi elle sera moins fatiguée par le poids de ce dernier et allons y. Cette église est à des lieux d'ici.

Puis, sans lui laisser le temps d'en placer une, elle gravit les marches du carrosse et se posa sur la banquette en attendant au final de savoir ce qu'il allait entreprendre de faire. Allez t il monter ici ou pas. Elle avait palé vite, trop vite mais elle devait rapidement se poser, ces jambes tremblaient et elle ignorait un peu pourquoi.

Elle déposa alors ces émeraudes qui étaient très claires sur le visage de Julien. Elle ne quittait pas cet homme des yeux ne sachant pas quoi penser. Elle était intrigué par l'homme comme envouté par lui et cela trop rapidement depuis leur première rencontre. Elle avait eu quelques contacts écrits et lorsqu'il avait quitté Toulouse pour Castres, elle avait ressenti un vide. Et elle n'osait croire que son coeur avait loupé un battement en le voyant au sein de la grande cours y'a pas deux minutes.
Elle avait été directrice pour masquer son mal être soudain qu'elle ne serait expliquer.

Elle tapota d'impatience le borde de la porte et lui dit


Bon c'est pour aujourd'hui ou demain... Je vous en prit faites vite Julien.
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ellesya
Le temps des anciens amants dolois était passé avec l’été. Ce jour, ils revenaient pourtant en Franche Comté. L’un de Bretagne, l’autre de France, pour répondre à l’aimable invitation que la duchesse avait reçu de Caton. Le d’Acoma avait d’emblée inspiré un sentiment de sympathie chez la cheffe de meute, lors de leur étrange rencontre à Coussey, à cause ou grâce à Catherine. Alors si depuis son divorce, l’ex-princesse ne courrait pas avec enthousiasme les mariages, aucune hésitation n’était née dans son esprit. Elle irait. Puis Catherine y serait probablement aussi.

Ils étaient parvenus la veille en la cité bisontine, lovée dans une boucle du Doubs. Arrivé l’avant-veille en éclaireur, un serviteur de la Walkyrie avait ainsi pu trouver un logement où ils s’établirent dès leur arrivée.
Le retour du beau temps avait largement fait apprécier les longues chevauchées à la licorneuse, attirant son attention sur les hameaux, bourgs et paysages variés. Etrangement, en devisant avec Mike, la jeune femme avait toutefois évité un sujet qui ne lui quittait guère l’esprit et se déclinait en milles questions sur ce qui les liait vraiment. D’ailleurs, le simple fait qu’il ait accepté de l’accompagner la laissait perplexe. Il y avait bien une demande de mariage et une enfant dans le tableau de leur liaison mais quoiqu’il en soit, elle ne savait toujours pas ce qu’elle représentait vraiment pour lui. Si dissemblables, et pourtant.

A défaut, ce mariage était l’occasion de le voir autrement que tout nu sous les frondaisons, arbalète à l’épaule, ou en plein ébat dans les draps qu’ils soient ambaciens, salzbourgeois ou dolois.
Son regard d’acier scrutait pensivement le Nauériels tandis qu’elle achevait de ceindre sa ceinture d’orfèvrerie sur sa robe de soie bleue qu’elle étrennait pour l’occasion.

L’auberge de bon aloi donnait directement sur la cathédrale, aussi n’avaient-ils qu’à en sortir pour rejoindre le parvis où les cloches avaient déjà attirés une foule non négligeable.
Sa main gantée se resserra un peu plus sur le bras de son compagnon tandis que la presse se faisait plus forte dans le goulot de l’entrée où elle salua brièvement son confesseur.


Monseigneur. Le bon jour vous va.

Enfin, il était temps de chercher une place parmi la foule. Elle crut entrapercevoir la tête d’Albin et de Lysmee, sans certitude.
Trop de monde, trop peu de repères. Désignant des places en bout de rangée, près d’une allée extérieure, songeant déjà à s’esbigner de la foule, elle lui glissa :


Peut-être y aura-t-il ma cousine Catherine. C’est par elle que j’ai fait la connaissance du futur marié.

Tiens, en parlant de femmes… Elle ne put s’empêcher de se demander si il y en avait dans l’assistance qu’il avait « troussé ».
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OR de la Licorne et Séminaire de Tours
Mike.de.naueriels
"Koc'h."

"Me revoilà en Franche comté"

C'était la première pensée qui traversa la Nauériels lorsqu'il arrivèrent en Franche comté. A peine parti qu'il était déjà de retour. Bref, il était là pour accompagner, tout simplement. Il connaissait à peine les mariés, si pas du tout mais Sya avait tellement tenu à ce qu'il vienne qu'il avait décidé de faire un effort.

Bref. Il était dans une auberge. Bref, l'avantage ce qu'il aurait le temps après la cérémonie d'aller s'occuper avec sa compagne à l'auberge qui donnait directement sur le parvis de l'Eglise.

Après s'être habillé, de manière fort sobre, reluquer la walkyrie qui s'habillait après une nuit passer dans les draps avec elle, à faire en sorte que se déplacement ne soit pas juste une cérémonie fastidieuse.

Le lendemain, la cérémonie commençait et les invités se succédait. Il en connaissait quelques uns dont notamment la baronne Tuatha qu'il salua d'un sourire.

- Dame la baronne, vous allez bien ?

ET bien bas, il salua les autres. Certains visages qu'il connaissait. Il écouta ensuite Ellesya discuter avec les gens qu'elle connaissait, saluant le prélat qui officierait plus tard.

Bref, la vie est belle. Il était vrai qu'il était dans une nouvelle situation avec sa louve, une situation où il s'affichait devant le monde et non pas dans les pièces des différents châteaux, dans les bois, dans des grottes, dans la calèche en venant. Bref, là, il devait se tenir sans s'accoupler et écouter chastement une cérémonie.

Il eut un sourire à Sya en la serrant contre lui et attendit la suite. Du moins les réponses !
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Elektra.
Les invitations changèrent de mains. A peu de choses près, elles étaient identiques. Ils n'avaient pas besoin de parler, un simple regard et ils se comprenaient. Réticente ? C'était le moins qu'on puisse dire. Elle n'avait jamais aimé assister à ces mascarades et étalages en tous genres. Si il y avait bien une place où elle n'avait pas la sienne, c'était dans ces simulacres de sensationnel.

J'aime bien Caton.

Ca veut dire que vous allez m'y trainer de force ?

Elle n'a pas encore perdu la manche, mais gagner contre Dacien, elle sait que c'est peu probable. La discussion dévie sur un autre sujet, puis un autre, pour finalement revenir à la charge.

Qu'est ce qu'on fait pour ce mariage ?

Si cela vous ennuie, on n'y va pas.

Puis il ajoute, de cette voix profonde et régulière, de cette voix qui l'enveloppe comme une protection contre tout ce qui pourrait venir de l'extérieur et la toucher.

Mais j'aimerais bien y aller.

Comment lui refuser ? Elle ne peut pas. Il sait. Elle le sait aussi.

On pourrait ne pas s'ennuyer....Parfois il s'en passe des choses.

Il a une imagination débordante. Il la fait rire de toutes ces choses qui n'arriveraient surement jamais si ils n'étaient pas tout les deux, s'ils n'étaient si proches. Elle l'entraine dans le choix d'une robe. Il apprécie, il réfute, il se lance dans une étude du choix, et elle se sent bien, elle se sent en confiance. Et puis, peu importe la robe, car à ses yeux, Mirabelle restera toujours le plus beau des fruits.



Besançon, la ville dont certaines ruines revivent par moments choisis.

Ils sont en retard de toutes façons. Un peu plus, un peu moins, qu'est-ce que cela peut bien faire. Elle se dit même qu'elle ne devrait pas être là. Mais la main de Dacien fermement posée sur la sienne, elle-même posée sur le bras de son cavalier, lui intime l'ordre de continuer d'avancer. De temps en temps, elle porte son regard sur lui, reprend un peu de cette confiance qui lui fait tant défaut et dont il l'imprègne jour après jour.

Arrivés sur le parvis, les yeux sombres et silencieux lui murmurent un seul mot : "Prête ?"
Elle hoche légèrement la tête, retient presque sa respiration, et le pas franchit la dernière limite avant la foule rassemblée dans la cathédrale.

O Solitude ! Une grande bouffée la frappe de plein fouet à peine ses yeux ont-ils scruté l'assistance et, malgré sa main prisonnière de son reflet, elle sonne la retraite et tente un repli stratégique vers l'air libre.

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Amelliane
Amelliane fit une légère moue mais elle le comprenait. Elle leva son regard vers lui et lui sourit.

- Ne t'inquiète pas, je connais du monde mais que de vue mais en revanche je connais la mariée, on a liée amitié grâce à des échanges de courrier. Tu te rappelles du pigeon borgne avec une seule patte qui m'apportait des courriers lors de notre voyage ben c'est le sien. Et depuis on a toujours garder contact.

Alala sacré Alphonse qui s'était tromper de destinataire. Une bonne idée qu'il avait eu sinon elle n'aurait pas pu trouver sa chère amie Eldrid.


Elle lui saisit la main pour le guider jusqu'aux places désignées et se rendit compte de son geste quelques minutes après, ces joues commençaient à être de la même couleur que sa robe. La demoiselle trouva une excuse ben voui il en fallait une : heu .. c'est au cas ou si tu te perdais en route. Se perdre dans une église .. ben voyons.

La demoiselle s'assit tout en lissant sa robe. Elle allait dire quelque chose mais malheureusement aucune idée lui venait. Que dire dans ce moment .. pas grand chose et puis la cérémonie allait peut-être débuté.

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Julien1
Toujours en train de tourner autour du carrosse, l’accueil fut…tout sourire et je défie quiconque de ne pas voir cette lueur typique dans l’œil de l’apprenti portier !

La porte du carrosse….ouverte…la main tendue, présentée comme il faut pour aider la demoiselle, et là…


- Chère Lilly, votre excell………………


- Ah vous voilà mon ami, il est temps de prendre la route. Cette dernière est longue avant d'arriver pour le Jour J et surtout ne pas le louper. Ce qui serait alors pour moi un drame sans nom étant mandaté par son Altesse expressément pour cela. Je vois que vous avez votre monture, vous allez donc faire la route tout seul sur votre destrier? Je peux le comprendre vous n'avez pas envie de passer votre temps à me compter fleurette toutes ces heures de route. Je le conçois. Bref, je vous invite à l'alléger en déposant votre baluchon avec mes malles ainsi elle sera moins fatiguée par le poids de ce dernier et allons y. Cette église est à des lieux d'ici.

Bon, ça, c’est fait…un courant d’air, que dis-je, un vent. Ca, c’est ce qu’on appelle un vent, et Julien commençait à regretter de n’être mieux couvert, l’enrhumage étant proche ! La demoiselle a du caractère…mmmmmmmmmmmh…le sourire avait mué à « amusé », puis « intéressé ».
Julien héla le palefrenier qui passait, lui tendit les rennes d’Ishtar sa vieille complice à qui il flatta l’encolure en lui expliquant qu’elle avait aussi mérité des vacances…et qu’il y avait un beau brun dans le pré d’à côté…il récupéra son maigre bagage, qu’il jeta et arrima sur les malles…


- Bon c'est pour aujourd'hui ou demain... Je vous en prie faites vite Julien.

Là, il éclata de rire en s’engouffrant dans la voiture à la suite de Lilly et se posa en face d’elle, yeux dans les yeux (noisettes dans émeraudes quoi !)

- Voilà, j’arriiiiiiiive…alors p’tit ange venu de je ne sais où…je vous remercie de cette tendre attention que vous avez pour moi…le voyage sera ainsi infiniment plus agréable et moins fatigant…vous êtes tout à fait charmante ce matin, très jolie…je mesure la chance que j’ai d’être assis là, face à vous…à vous compter…fleurette dites vous ? Au fait, vous ais-je dis bonjour ?

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Dacien_de_chenot


L'invitation leur parvint alors qu'ils étaient tous deux tranquillement installés à l'Abreuvoir Moussant. Arrivés la veille de Lorraine après une étape à Dôle, ils s'adonnaient au plaisir de ne rien faire en sirotant la dive mirabelle et en discutant des derniers événements de l'Empire.
Ils savaient ces moments-là précieux et les faisaient durer jusqu'au bout de la nuit, lorsqu'entre chien et loup l'aube l'emporte.
Entre eux la fusion était totale, et plus frappants encore que les regards qui s'accrochent et les mains qui se frôlent, en témoignait cette similitude de pensées qui les faisait dire la même chose au même moment sur des sujets pourtant qui ne s'y prêtaient pas forcément.

Ni l'un ni l'autre n'aimaient ces cérémonies, néanmoins il ne lui fallut que quelques mots pour qu'elle accepte de l'y accompagner. S'en étaient donc suivi une séance d'essayage à laquelle il s'était prêté de bonne grâce pour le plaisir des yeux et celui non moins grand, de tout partager avec elle.
Leur choix se portèrent sur une élégante robe de la couleur du fruit qu'ils aimaient tant et qui mettait sa fine silhouette en valeur. Et c'est ainsi qu'ils entrèrent dans la cathédrale de Besançon, elle de mirabelle vêtue, et lui, comme à son habitude, portant l'uniforme de l'Ordre Impérial des Lames.
S'il connaissait peu la future, Caton était quelqu'un avec qui il avait plaisir à passer du temps. Tous deux, fervents latinistes aimaient à débattre lorsqu'ils se croisaient lors des missions de l'Ordre.
Ils s'étaient mis en route l'avant-veille pour Besançon, s'arrêtant dans de sombres auberges qui les abritaient pour la nuit, avant de repartir au petit jour.
Enfin au bout de trois jours de chevauchée, ils aperçurent le dôme comtois au jour même du mariage.
Il décidèrent de prendre une chambre à l'auberge la plus porche du parvis afin de faire une rapide toilette et de revêtir leurs atours.

Beaucoup d'invités étaient déjà là et au moment d'entrer dans la cathédrale, Le Ténébreux sentit l'hésitation d'Elektra.
Il couvrit sa main de la sienne dans un geste qui se voulait encourageant et rassurant, et s'inclina pour glisser à son oreille : Vous êtes merveilleusement belle.
Sans doute dans ses yeux se verra t'elle marchant dans la lumière.
Quelques signes de têtes pour saluer tous ceux qu'il connaissait puis il lui indiqua un banc libre non loin de la porte :

- Mettons-nous là, voulez-vous ?

Dans le regard qu'il posa sur elle était tout l'amour du monde.

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Heloise
La brune garda son air sévère quand la future finit par décider à sortir son museau de sous les draps. Elle souriait intérieurement mais il n'était pas question de montrer son contentement.

Elle alla l'aider à se frictionner le dos et les cheveux avant de l'envelopper dans un linge et de la planter devant l'âtre le temps qu'elle sécha bien. Il fallait éviter de la refourguer Caton avec une pneumonie foudroyante, ça le ferait moyennement aux yeux des Vandimions et des d'Acoma. Sauf que la brune elle avait pas prévu à court terme de se faire haïr par deux familles impériales.

Elle supervisa ensuite l'habillage puis le coiffage ainsi que le maquillage, fallait tout de même rien oublier!


- Oui c'est très bien...

Répondit la brune qui trouvait sa vassale décidément superbe dans cette tenue. Il faudrait être fou ou stupide pour oublier de venir voir Eldrid ainsi vêtu. Elle avait beau avoir un caractère pas toujours évident à suivre il n'en restait pas moins qu'elle avait un coeur en or.

- Bien nous allons peut-être pouvoir y aller qu'en penses-tu?
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Eldrid
    Eldrid était là, dans sa robe qui se voulait jolie mais qui certainement ne serait pas à la hauteur des robes de reines ou de comtesses. Bien heureusement, pour l'heure, elle n'avait guère connaissance que des personnes de ce rang là seraient présentes à son mariage. Pauvre pinson. La seule chose qui la dérangea lors de son habillage vu de remarquer une légère gêne au niveau de sa poitrine. Comme si dans sa robe, il n'y avait plus la même place qu'il y a déjà six mois. Non pas qu'Eldrid préparait son mariage depuis si longtemps mais disons qu'elle gardait cette tenue pour une grande occasion et cette dernière semblait se présenter. Bref. Revenons brièvement à cette histoire de poitrine, le Pinson semblait avoir pris un peu de volume, elle qui pensait avoir terminé sa croissance et tout ce qui va avec émit un petit soupir. Bien évidemment, sa robe ne laissait pas vraiment entrevoir ses formes. On est Pinson ou on ne l'est pas !

    Car malgré tout, la petite chose était assez prude, assez peu portée sur l'aspect au plus grand regret de son entourage. Si elle pouvait arriver avec des carottes dans les ch'veux, elle l'aurait peut être fait, qui sait ! Ses prunelles se posèrent sur Héloïse et elle lui serra la main, comme pour se rassurer qu'elle ne serait pas toute seule. Pour l'heure, Eldrid pouvait encore jouir de sa longue chevelure libérée, et elle en abusa. Il était temps de prendre la route pour la cathédrale...! Une cathédrale se dit-elle, alors qu'une église aurait amplement suffit ! Enfin bon, certaines personnes aimaient voir grand et après tout, cela ne pouvait pas trop lui faire de mal. Du moins, elle l'espérait. Ça augmentait juste hypothétiquement le nombre de regard si elle venait à manger le sol sans élégance. Elle voulait que tout se passe bien et sans vague, et elle croisait les doigts pour ça.

    Ils arrivèrent alors, et planquée dans la voiture, le Pinson voulait qu'Héloïse la rassure sur la présence de Caton. Parce qu'on n'sait jamaiiiiiis!


      _ Je... Il y a l'air d'y avoir beaucoup de monde non... ? On ne s'est pas trompé d'endroit ?
      Par hasard...?

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    Cœur cœur.
    A la base, j'avais pas prévu d'être une bâtarde. Sympas les vieux.
Seed
OH…mais Seed !! Que fais-tu ici ? Tu t’es égaré ou quoi ?

Le jeune homme manqua de sursauter. Merde ! Découvert ! C'est pas possible à la fin ! Il allait protester, s'insurger envers la rousse comme quoi il faisait chaud au soleil et que les ombres des églises, par nature, sont fraîches, et que de toute façon ils allaient bientôt pénétrer dans l'édifice alors il valait mieux de un : s'en rapprocher s'ils voulaient une bonne place (loin d'être le souci premier du brun pâlichon), et de deux : s'acclimater à la fraicheur qui régnerait entre quatre murs. Mais toutes ses plaintes s'évanouirent lorsqu'en relevant la tête il ne vit pas la miniature rousse à laquelle il s'était attendue, mais une noiraude pas si petite que ça. Plissant les yeux, il la reconnût presque, à contrejour.

Satine ?

T’aimes les églises, à présent toi ?


Ouais, ouais, c'était bien elle, pour mélanger naïveté et sarcasme à ce point. Cela devait faire... quoi, une année qu'ils ne s'étaient pas vus, depuis qu'elle s'était décidée à visiter l'Alexandrie par tous les moyens. Lui avait préféré des destinations plus terre à terre, se contentant de faire un long, et lent, tour du pays, jusqu'à atterrir dans le Nord, un soir, où il avait rencontré son futur, sans trop le savoir sur le moment. Il sourit ; ils avaient néanmoins échangé beaucoup de lignes de courriers, à la fois pendant et après le voyage.

Nan, toujours pas... Mais y'a des trucs auxquels on peut pas échapper ! J'suis un peu la belle famille de la sœur du cousin de la mariée, quelque chose comme ça. Même s'il ne savait pas vraiment qui c'était, ni même leurs noms. Devant son regard un peu sceptique... Carensa 'fin, Anaïs et moi, on b- toussote. S'aime. Ouais voilà.

Toujours pas habitué à ce prénom par lequel tout le monde appelait la rousse. Elle semblait en avoir deux : un pour l'intimité, l'autre pour les airs. Il croisa les bras, adossé aux pierres, un pied nonchalamment contre le mur, avant de retourner l'interrogation sur elle.

Et toi ? J'avais d'jà entendu le nom de "Satine" s'balader depuis que je traine avec Car- Anaïs, mais j'imaginais pas que ce serait toi. Tu connais quelqu'un dans c'lot ? Moi j'avoue, t'as raison, j'suis un peu perdu. Il rit doucement, histoire de pas trop se faire remarquer.
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