Albin.
[Et quand avec un Ar Sparfel c'est panique à bord]
Serait ce le printemps qui approche qui fait que l'amour bourgeonne et que les mariages se font?
Les beaux jours ne vont pas tardé à faire leur apparition et pourtant c'est lors de cette période printanière que tout le royaume voir l'empire décide de se marier.
Au printemps ce sont les fleurs qui fleurissent mais en ce moment ce sont surtout les invitations pour des mariages.
Parler de mariage ce n'était pas forcément la bonne période pour Albin, lui qui venait de perdre il y a quelques semaines sont épouse morte en couche, d'un mariage qui aura été un échec jusqu'au bout mais comment dire non à certaines personnes.
C'est avec un pli dans les mains que Podrick, le page d'Albin, alla trouver son jeune, qui a la vingtaine passé quand même, maître.
Maître, je dois vous remettre ceci de la part de demoiselle Lysmee.
Donne moi ça Pod.
Albin s'en empara et resta presque sans réaction en voyant qu'il était convié à un mariage par sa belle italienne mais pas n'importe lequel, celui de son parrain dont il avait entendu de nombreuses fois parlés et dont le nom avait déjà auparavant été entendu des oreilles d'Albin.
Reportant ensuite son attention sur le petit page, l'Ar Sparfel lui dit alors :
Bien fait savoir à Lysmee que je l'accompagnerais...
Albin regarda de nouveau le pli et tilta en voyant la date..le 14 !!!
Podrick attends ! Va prévenir Quentin, qu'on prépare les chevaux, le carrosse et que l'on fasse préparer Gaelant on part à l'aube.
Dois je faire venir demoiselle Sarah pour qu'elle garde messire Gaelant?
Non inutile pas le temps et je ne pars pas aussi loin sans mon fils.
Albin parti trouver de beaux vêtements à se mettre pour l'occasion, les femmes du Domaine chargées de faire la toilette et habiller Gaelant s'activent aussi, en réalité c'est tout Entrammes qui est au pas de course afin de préparer le départ pour Besançon, route très longue et périlleuse de traverser la France d'ouest en est afin d'arriver en Empire même si traversée une partie du Domaine Royal serait chose aisée niveau formalité douanière mais après la Bourgogne rien n'était moins sûr.
Et puis vint le moment du départ, Quentin, l'homme de main d'Albin, avait préparer les chevaux, le carrosse et comme souvent faisait office de cocher.
Toutefois un vide se faisait sentir, Albin regardait ses mains vides, l'intérieur du carrosse et pas de couffin.
Mon fils! Où est mon fils ?
Et voila qu'une dame amenait Gaelant un peu tardivement. Albin récupéra alors ce qui reste comme le reflet de Mary tellement que Gaelant ressemblait fortement à sa mère avec quelques petits cheveux roux et le même regard.
Hésitant un petit instant à être cruel et sévir, Albin finalement renonça menaçant juste la dame.
A mon retour je m'occuperais de votre cas.
Le page de l'Ar Sparfel en avait profité pour prendre place à l'intérieur de la voiture car il allait venir aussi mais faisait figure pâle surtout depuis qu'il a su comment son prédécesseur avait fini et qu'à la mort de la Mirandole la servante de celle ci avait plier bagage par peur de ce qui aurait pu lui arrivée si elle était restée à Entrammes sous les ordres d'Albin.
Le carrosse prit donc la direction de chez Lysmee, le temps de la récupérer et départ pour Besançon.
[Vous êtes arrivés à destination, l'église de Besançon est sur votre droite]
Route calme, route agréable, Albin qui n'avait pas lâché la main gauche de Lysmee du voyage essayant de la calmer devant la précipitation du fait que l'invitation est parvenue tardivement et surtout le calme général parfois la froideur de l'Ar Sparfel pouvait faire du bien à Lysmee sans compter que même si les deux récents tourtereaux se montrent un peu en public ensemble, Albin était au courant des échanges épistolaires entre Lysmee et son parrain,que l'homme dont l'italienne parlait dans ses lettres allait apparaître aux yeux "du vieux solitaire", le mystère allait être levé.
Le premier a descendre du carrosse était Albin puis, qui faisant preuve de galanterie, tendit une main à Lysmee pour l'aider à descendre, puis récupéra son fils.
Comme lors de chaque mariage, beaucoup de monde et Albin suivait le regarde la Di Campiglio qui malgré tout semblait un peu paniqué encore à cause de la précipitation rejetant tout le poids sur l'ancien ambassadeur royal.
Ancien? Oui car même si Lafa à valider la démission le 15 mars, Albin l'a présentée le 11 et c'est depuis cette date que l'Ar Sparfel ne se considère plus Ambassadeur Royal.
S'adressant à Lysmee.
Vous connaissez du monde?
Et puis le regard d'Albin se déporta sur Melissandre et les Vandimion, Anaïs et Nerval. Anaïs qu'Albin avait rencontré aux Ambassades Royales quelques semaines avant qu'il démissionne et qu'il avait été souhaiter la bienvenue.
Toutefois le jeune Baron ne savait pas trop quoi faire de plus, une bonne bouffée d'air et fallait prendre les devants.
Suivez moi Lysmee.
Tenant bien dans ses bras son fils, Lysmee juste à côté de lui, Podrick suivant un peu derrière, Quentin rester au carrosse, Albin pris le choix d'aller voir son amie la plus chère et l'attachée d'ambassades.
Altesse ! Excellence Anaïs !
Albin tentait de les interpellés.
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Serait ce le printemps qui approche qui fait que l'amour bourgeonne et que les mariages se font?
Les beaux jours ne vont pas tardé à faire leur apparition et pourtant c'est lors de cette période printanière que tout le royaume voir l'empire décide de se marier.
Au printemps ce sont les fleurs qui fleurissent mais en ce moment ce sont surtout les invitations pour des mariages.
Parler de mariage ce n'était pas forcément la bonne période pour Albin, lui qui venait de perdre il y a quelques semaines sont épouse morte en couche, d'un mariage qui aura été un échec jusqu'au bout mais comment dire non à certaines personnes.
C'est avec un pli dans les mains que Podrick, le page d'Albin, alla trouver son jeune, qui a la vingtaine passé quand même, maître.
Maître, je dois vous remettre ceci de la part de demoiselle Lysmee.
Donne moi ça Pod.
Albin s'en empara et resta presque sans réaction en voyant qu'il était convié à un mariage par sa belle italienne mais pas n'importe lequel, celui de son parrain dont il avait entendu de nombreuses fois parlés et dont le nom avait déjà auparavant été entendu des oreilles d'Albin.
Reportant ensuite son attention sur le petit page, l'Ar Sparfel lui dit alors :
Bien fait savoir à Lysmee que je l'accompagnerais...
Albin regarda de nouveau le pli et tilta en voyant la date..le 14 !!!
Podrick attends ! Va prévenir Quentin, qu'on prépare les chevaux, le carrosse et que l'on fasse préparer Gaelant on part à l'aube.
Dois je faire venir demoiselle Sarah pour qu'elle garde messire Gaelant?
Non inutile pas le temps et je ne pars pas aussi loin sans mon fils.
Albin parti trouver de beaux vêtements à se mettre pour l'occasion, les femmes du Domaine chargées de faire la toilette et habiller Gaelant s'activent aussi, en réalité c'est tout Entrammes qui est au pas de course afin de préparer le départ pour Besançon, route très longue et périlleuse de traverser la France d'ouest en est afin d'arriver en Empire même si traversée une partie du Domaine Royal serait chose aisée niveau formalité douanière mais après la Bourgogne rien n'était moins sûr.
Et puis vint le moment du départ, Quentin, l'homme de main d'Albin, avait préparer les chevaux, le carrosse et comme souvent faisait office de cocher.
Toutefois un vide se faisait sentir, Albin regardait ses mains vides, l'intérieur du carrosse et pas de couffin.
Mon fils! Où est mon fils ?
Et voila qu'une dame amenait Gaelant un peu tardivement. Albin récupéra alors ce qui reste comme le reflet de Mary tellement que Gaelant ressemblait fortement à sa mère avec quelques petits cheveux roux et le même regard.
Hésitant un petit instant à être cruel et sévir, Albin finalement renonça menaçant juste la dame.
A mon retour je m'occuperais de votre cas.
Le page de l'Ar Sparfel en avait profité pour prendre place à l'intérieur de la voiture car il allait venir aussi mais faisait figure pâle surtout depuis qu'il a su comment son prédécesseur avait fini et qu'à la mort de la Mirandole la servante de celle ci avait plier bagage par peur de ce qui aurait pu lui arrivée si elle était restée à Entrammes sous les ordres d'Albin.
Le carrosse prit donc la direction de chez Lysmee, le temps de la récupérer et départ pour Besançon.
[Vous êtes arrivés à destination, l'église de Besançon est sur votre droite]
Route calme, route agréable, Albin qui n'avait pas lâché la main gauche de Lysmee du voyage essayant de la calmer devant la précipitation du fait que l'invitation est parvenue tardivement et surtout le calme général parfois la froideur de l'Ar Sparfel pouvait faire du bien à Lysmee sans compter que même si les deux récents tourtereaux se montrent un peu en public ensemble, Albin était au courant des échanges épistolaires entre Lysmee et son parrain,que l'homme dont l'italienne parlait dans ses lettres allait apparaître aux yeux "du vieux solitaire", le mystère allait être levé.
Le premier a descendre du carrosse était Albin puis, qui faisant preuve de galanterie, tendit une main à Lysmee pour l'aider à descendre, puis récupéra son fils.
Comme lors de chaque mariage, beaucoup de monde et Albin suivait le regarde la Di Campiglio qui malgré tout semblait un peu paniqué encore à cause de la précipitation rejetant tout le poids sur l'ancien ambassadeur royal.
Ancien? Oui car même si Lafa à valider la démission le 15 mars, Albin l'a présentée le 11 et c'est depuis cette date que l'Ar Sparfel ne se considère plus Ambassadeur Royal.
S'adressant à Lysmee.
Vous connaissez du monde?
Et puis le regard d'Albin se déporta sur Melissandre et les Vandimion, Anaïs et Nerval. Anaïs qu'Albin avait rencontré aux Ambassades Royales quelques semaines avant qu'il démissionne et qu'il avait été souhaiter la bienvenue.
Toutefois le jeune Baron ne savait pas trop quoi faire de plus, une bonne bouffée d'air et fallait prendre les devants.
Suivez moi Lysmee.
Tenant bien dans ses bras son fils, Lysmee juste à côté de lui, Podrick suivant un peu derrière, Quentin rester au carrosse, Albin pris le choix d'aller voir son amie la plus chère et l'attachée d'ambassades.
Altesse ! Excellence Anaïs !
Albin tentait de les interpellés.
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