Soraya.
Après s'être délectée de ce bain des plus appaisant, Soraya avait les idées quelques peu plus claires... Elle se retourna et verifia que personne ne l'observait puis sortit de l'eau.
Après avoir regagner ses vêtements, elle sortit des étuves et remercia encore le tavernier qui lui indiqua le chemin de sa chambre.
Merci mais je vais déjà trouver, vous n'avez pas besoin de m'accompagner...
Petit sourire gênée puis la baronne se retrouva à nouveau seule avec son silence et ses pensées...
Traversant le couloir qui menait à sa chambre, elle vit de la lumière filtrer au travers d'une porte. Un murmure s'en échappait. Un homme en prière... Théognis...
So baissa la tête et posa sa main sur le bois de la porte. Elle savait que tout ceci n'était que chmère. Après tout c'est bien connu, les hommes perdus cherchent toujours refuge aupèrs de Dieu ou des femmes... L'intensité du regard qu'avait posé le comte sur elle n'était qu'un leurre... Il allait se battre, vivre ou mourrir et ensuite, s0il échappait à la faucheuse, il redeviendrait raisonnable et oublierait surement la jeune fille et ses yeux d'émeraude.
Se sentant impuissante face aux événements et à l'attitude de rejet de Théognis, Soraya sentit la révolte la gagner.
Bien! S'il était destiné à l'oublié, autant profiter de cet absence de raison pour ne serait-ce que gouter à ses lèvres...
Inspirant, elle laissa sa main glisser le long de la porte pour s'arrêter sur la poigner. Un léger grincement, la pote s'ouvrit...
Théognis se retourna et dévisagea la jeune femme. Elle n'était vêtue que d'une simple robe de lin, une fine ceinture sur ses hanches amoureusement dessinées et son épaisse chevelure d'ébène ondulant le long de son dos. Même peau de miel, même parfum de jasmin que sa mère et ce regard intense qu'il connaissait...
Sans qu'il n'ait eu le temps de sermonner la jeune femme, Théognis se retrouva avec son corps chaud blotti contre le sien et ses lèvres enlaçant les siennes...
Après cette ultime étreinte, So retira ses mains du visage du comte et le regarda une dernière fois avant de reculer et de partir, quittant la pièce, le coeur battant à tout rompre pour rejoindre sa chambre...
Le dos au mur, ses sens troublées, elle ferma les yeux... Non ce soir elle ne dormirait pas... Impossible. Alors c'était cela la passion? Merveilleux sentiment si proche de la folie qui l'avait poussée au péché de gourmandise pour un simple baiser... Théognis...
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Après avoir regagner ses vêtements, elle sortit des étuves et remercia encore le tavernier qui lui indiqua le chemin de sa chambre.
Merci mais je vais déjà trouver, vous n'avez pas besoin de m'accompagner...
Petit sourire gênée puis la baronne se retrouva à nouveau seule avec son silence et ses pensées...
Traversant le couloir qui menait à sa chambre, elle vit de la lumière filtrer au travers d'une porte. Un murmure s'en échappait. Un homme en prière... Théognis...
So baissa la tête et posa sa main sur le bois de la porte. Elle savait que tout ceci n'était que chmère. Après tout c'est bien connu, les hommes perdus cherchent toujours refuge aupèrs de Dieu ou des femmes... L'intensité du regard qu'avait posé le comte sur elle n'était qu'un leurre... Il allait se battre, vivre ou mourrir et ensuite, s0il échappait à la faucheuse, il redeviendrait raisonnable et oublierait surement la jeune fille et ses yeux d'émeraude.
Se sentant impuissante face aux événements et à l'attitude de rejet de Théognis, Soraya sentit la révolte la gagner.
Bien! S'il était destiné à l'oublié, autant profiter de cet absence de raison pour ne serait-ce que gouter à ses lèvres...
Inspirant, elle laissa sa main glisser le long de la porte pour s'arrêter sur la poigner. Un léger grincement, la pote s'ouvrit...
Théognis se retourna et dévisagea la jeune femme. Elle n'était vêtue que d'une simple robe de lin, une fine ceinture sur ses hanches amoureusement dessinées et son épaisse chevelure d'ébène ondulant le long de son dos. Même peau de miel, même parfum de jasmin que sa mère et ce regard intense qu'il connaissait...
Sans qu'il n'ait eu le temps de sermonner la jeune femme, Théognis se retrouva avec son corps chaud blotti contre le sien et ses lèvres enlaçant les siennes...
Après cette ultime étreinte, So retira ses mains du visage du comte et le regarda une dernière fois avant de reculer et de partir, quittant la pièce, le coeur battant à tout rompre pour rejoindre sa chambre...
Le dos au mur, ses sens troublées, elle ferma les yeux... Non ce soir elle ne dormirait pas... Impossible. Alors c'était cela la passion? Merveilleux sentiment si proche de la folie qui l'avait poussée au péché de gourmandise pour un simple baiser... Théognis...
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