Dacien2
Le tissu souvrit sous ses fines et de venir apposer sa dextre provoquant un léger frisson. Sa main fut tendre et sensuelle en venant rompre la mutisme luxuriant. La colère des jais sestompaient pour laisser place à fièvre légère davidité. La sensation prenante de ce désir venait à se partager entre lun et lautre pour ne laisser transparaitre que linflation de la volonté agonisante de ce péché originel quétait la chair. Dacien tressaillait lentement à mesure que la poitrine de la Noiraude savançait vers lui, sentir sa peau contre la sienne, ses tétons se durcissant à même son torse. Grisant était le moment et davoir cette emprunte caractérisant de décupler cette soif de frénésie. Faire plaisir. Se faire plaisir. Ne lire dans ses yeux que cette envie insatiable de choir tout barreau afin de lui permettre la satisfaction de lavoir secrètement posséder quelques heures pour lui parfaire cette douceur qui se dévoilait petit à petit.
Cette femme était bizarre. Une seconde avec lautorité dun homme quand la douceur se liait à chacun de ses doigts pour venir attiser la roideur de lArrogant. Quoi de plus naturel que déclore sous sa main quand celle-ci se faisait tendre et de faire tomber toute entrave tissulaire pour mieux arborer les épidermes et de les lier dans un élan soudain. Il ny avait pas une seule seconde où Dacien lâchait cette proie tellement habile de le garder atténué alors que ses phalanges se mettaient en uvre pour contourner lentrée de la grotte suprême, passant et repassant sur ses lèvres devenant humides et de pouvoir se délecter de chaque mesure prise pour instaurer cette confiance courtisane quil pêchait à tout soubresaut de sa Cliente. Pas dautres mots pour définir la lenteur de lacte préliminaire et denchainer les caresses divines pour mieux la sentir frissonner de cette envie de continuité alors que la ténacité de léloignement ne demandait quà revenir.
Sa main sarrêta soudainement quand la sienne vint chercher lenvie grandissante entre ses cuisses. Chaque phalange mesura, posa son grain de peau sur la sienne. Lélan de luxure se présentait à elle, autant quà lui dans ce vaste entourage chatoyant et lovant pour mieux enivrer la cadence et de vouloir développer cette tiédeur quémandée. Sa dextre sempara de lun de ses seins et de le tenir avec cette frénésie coupable de la désirer. Son cou qui se présentait pour mieux y déposer ses lippes dévorantes de chaque parcelle et de la retenir encore. Plus fort avait-elle soufflé. Comment un être aussi insolent pouvait se transformer en coton par le biais dune volonté amaigrissant les tourments. Rien navait plus dimportance que les demandes de la Noiraude quand il mettait tout son être à son service.
Ses bras semparèrent de ses jambes afin de lemmener jusquà la couche qui se trouvait au milieu de lInitiée. Indulgent fut-il de prendre autant soin delle. Et lallonger là, de laisser ses mains vagabondées sur ce corps maigre, frêle et meurtries par des blessures. Ses doigts filèrent le long de sa peau, trainant sur ses monts, dévalant lentre-sein et de se retrouver faisant le contour de son nombril pour sétoffer à son bas-ventre. Il releva ses jambes avec délicatesse pour naviguer au creux de ses cuisses et entourer dun cercle ce Graal qui tout homme aimait posséder. Doucement, ses lèvres sentrouvrirent, se retrouvant aux abords de lentrée propice à la sentence du plaisir et de déployer sa langue en faisant le contour de cette caverne humide. Malaxer lentement avec les phalanges se frayant un chemin et de la dorloter avec cet organe charnue afin de la retenir plus fort, comme demandé. La lenteur des gestes pour la faire tressaillir entre ses doigts et de lui insuffler le désir tant recherché quand sa langue se permettait de pénétrer de temps à autre auprès de la porte de la jouissance. Et de la regarder, avec ce vert envieux daccaparer cette féminité voilée quelle mettait en uvre sous ses mains quand il savait, au final, la mettre à jour.
Cette femme était bizarre. Une seconde avec lautorité dun homme quand la douceur se liait à chacun de ses doigts pour venir attiser la roideur de lArrogant. Quoi de plus naturel que déclore sous sa main quand celle-ci se faisait tendre et de faire tomber toute entrave tissulaire pour mieux arborer les épidermes et de les lier dans un élan soudain. Il ny avait pas une seule seconde où Dacien lâchait cette proie tellement habile de le garder atténué alors que ses phalanges se mettaient en uvre pour contourner lentrée de la grotte suprême, passant et repassant sur ses lèvres devenant humides et de pouvoir se délecter de chaque mesure prise pour instaurer cette confiance courtisane quil pêchait à tout soubresaut de sa Cliente. Pas dautres mots pour définir la lenteur de lacte préliminaire et denchainer les caresses divines pour mieux la sentir frissonner de cette envie de continuité alors que la ténacité de léloignement ne demandait quà revenir.
Sa main sarrêta soudainement quand la sienne vint chercher lenvie grandissante entre ses cuisses. Chaque phalange mesura, posa son grain de peau sur la sienne. Lélan de luxure se présentait à elle, autant quà lui dans ce vaste entourage chatoyant et lovant pour mieux enivrer la cadence et de vouloir développer cette tiédeur quémandée. Sa dextre sempara de lun de ses seins et de le tenir avec cette frénésie coupable de la désirer. Son cou qui se présentait pour mieux y déposer ses lippes dévorantes de chaque parcelle et de la retenir encore. Plus fort avait-elle soufflé. Comment un être aussi insolent pouvait se transformer en coton par le biais dune volonté amaigrissant les tourments. Rien navait plus dimportance que les demandes de la Noiraude quand il mettait tout son être à son service.
Ses bras semparèrent de ses jambes afin de lemmener jusquà la couche qui se trouvait au milieu de lInitiée. Indulgent fut-il de prendre autant soin delle. Et lallonger là, de laisser ses mains vagabondées sur ce corps maigre, frêle et meurtries par des blessures. Ses doigts filèrent le long de sa peau, trainant sur ses monts, dévalant lentre-sein et de se retrouver faisant le contour de son nombril pour sétoffer à son bas-ventre. Il releva ses jambes avec délicatesse pour naviguer au creux de ses cuisses et entourer dun cercle ce Graal qui tout homme aimait posséder. Doucement, ses lèvres sentrouvrirent, se retrouvant aux abords de lentrée propice à la sentence du plaisir et de déployer sa langue en faisant le contour de cette caverne humide. Malaxer lentement avec les phalanges se frayant un chemin et de la dorloter avec cet organe charnue afin de la retenir plus fort, comme demandé. La lenteur des gestes pour la faire tressaillir entre ses doigts et de lui insuffler le désir tant recherché quand sa langue se permettait de pénétrer de temps à autre auprès de la porte de la jouissance. Et de la regarder, avec ce vert envieux daccaparer cette féminité voilée quelle mettait en uvre sous ses mains quand il savait, au final, la mettre à jour.