[RP]Présentons nous.

Bienvenue amis, à la taverne de l'Irraison.

Autour d'une chope apprenons à nous connaitre.
Je vais commencer si vous le voulez bien.

Je suis Kachina. Originaire du sud. Fille d'Armagnac et Comminges. J'y ai passé ma jeunesse. Fille d'Aurore morte en prison et de Royce mort pendu alors que j'avais 14 ans, j'ai une soeur jumelle Théa. Un demi frère Tynop.

Unie par un druide à celui qu'on surnommait le Loup, Joran d'Ascazan, je suis devenue la Louve. Il était le chef d'un groupe de joyeux brigands, les Lycans.
Lorsqu'il est mort, assassiné à Saumur en pleine guerre d'Anjou, j'ai essayé de maintenir le groupe. Sans vraiment y parvenir.

Mariée par la suite au chef du clan du Joker, Boulvay, je suis partie vivre en Bourgogne, puis en Savoie.

J'ai eu un fils de Joran : Arthur, disparu. Et un de Boulvay : Edouard-Royce. 3 ans.

J'ai pillé quelques villes, essayé quelques cachots, été mairesse, tribun, chef de port, conseillère ducale sans titre.

J'ai toujours eu ce rêve : Chevaucher au côté d'un homme aimé, avec une bande d'amis sincères. J'ai aujourd'hui les amis, dites moi juste pourquoi je dors avec un chat.
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A boire! Armagnac ou Génépi, j'pense qu'en c'moment on a les deux!
Bon allez, les brunes d'abord. Parce que.... c'est comme ça, na!
Moi c'est Néo, dicte la Sauvageonne, la Sans cœur aussi parfois.
M'demandez pas d'où j'viens, j'm'en souviens pas. Juste une immense forêt, une mère morte d'bonne heure, un père qui a voulu que j'la remplace, bref, rien d'bien excitant.
J'me suis sauvée donc, j'ai volé pour vivre, pis j'ai surtout aimé ça, piquer aux braves villageois trop sûrs d'eux et de leurs murailles.
J'ai été adoptée par un mercenaire, un Oncle donc, un bourru, Eddard. Il est maintenant marié en Flandres. Mais surtout, il m'a amené à Kachi, et ça, jamais j'l'en remercierai assez.
Dans le groupe des Lycans, j'y ai trouvé un frère, Micka.
J'ai vadrouillé pas mal, j'ai eu des hauts, beaucoup de bas. J'suis toujours là.

J'ai envie d'pas grand chose moi, juste marcher avec une bande d'amis, m'sentir bien quand j'suis bien entourée.
En c'moment, j'suis un peu trop sur les nerfs, j'm'en excuse, mais vu que j'ai retrouvé un agaceur, j'devrais aller beaucoup mieux!
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Un homme visiblement un peu plus âgé que les autres se décide à prendre la parole.
Il n'aime pas trop ça, parler de lui, il a toujours été plus à l'aise dans l'écoute, l'attention aux autres.

Je m'appelle Bibus et ai déjà une longue vie derrière moi et, paradoxalement, j'ai si peu vécu.

Je suis né à Tarbes, il y a environ 30 ans. J'ai grandi dans un monastère, un de ceux où il est agréable de vivre. Les moines vivaient leur foi paisiblement, l'austérité n'était pas de mise.

Je dois avouer qu'ils m'ont mis dehors presque malgré moi, largement passé la vingtaine. Leur croyance n'était pas la mienne mais je serais toujours reconnaissant à ces hommes qui, ayant vite compris que je ne serais jamais des leurs, m'ont appris ce qu'il fallait pour me débrouiller dans cette nouvelle vie qui m'attendait.

Certes, Bibus savait lire et écrire, possédait quelques connaissances scientifiques, mais il échouait bien souvent quand il s'agissait de s'inscrire dans un cercle de personnes.
Fixant son regard sur un souvenir lointain, presque gêné, il continue.

Je suis nul en matière de femme, je veux dire quand il s'agit de moi, gauche et maladroit... Je... j'ai essayé une fois... une blondinette, elle a fini par partir un matin sans rien dire, mais ce n'était pas la peine, je savais bien pourquoi. Je n'ai pas renouvelé l'expérience.

J'ai promené ma carcasse sur les routes, profitant de l'hospitalité des monastères maintes et maintes fois.

Et voici qu'il y a un bon mois de ça, à Belley, je suis sorti boire une bière en taverne et je me suis trouvé face à une brune, effrontée, impertinente, au regard noir et aux joues roses. Inamicale par dessein, adorable par nature.
Je suis donc revenu à plusieurs reprises, croisant ses amis, appréciant leur compagnie sympathiquement folle. Et me voilà, Ombre de deux Couleurs.

Sa voix s'amenuise. Il n'a pas l'habitude de ce genre d'exercice. Ses yeux balayent l'assemblée, sourit à chacun avant de retourner s'asseoir devant une chope.

Elle les a écouté, souriant souvent, grave parfois.
Les épaules de chacun sont lourdes, les mots parlent, les silences encore plus.
Les chopes ont circulé.
Adossée à un tonneau, le séant posé sur une chaude peau de mouton, bras posé sur un genou relevé, Néo s'amuse des ressemblances des parcours, des vides et des pleins de la vie.

Mais comme elle est sage et devine que l'instant de se dévoiler n'est jamais évident, elle n'ira pas rétorquer que 30 ans c'est très vieux.
Par contre, elle restera à se poser la question, longtemps....
C'était laquelle des deux, la fameuse brune?
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Dans un coin de la taverne, sus nommée de l’Irraison, se terrait jusque là en silence un hirsute personnage, enfoncé dans une chaise en équilibre sur deux pieds. Seuls quelques sursauts d’intensité des chandelles et de l’âtre révélaient sa présence aux autres convives, non pas qu’il soit invisible ou caché, loin de là, aveugle et privé d’odeur serait celui qui n’aurait pas compris qu’il était présent.

Sur son visage creusé et couvert là de barbe, ici de mèches vagabondes, ses yeux reflétaient les multiples flammes vacillantes qui peinaient à éclairer la pièce. Encore vifs, ils sautaient de personnes en personnes, dirigeant son regard désabusé à chaque prise de parole.

Solidement ancrée à sa main droite se tenait fièrement une chope en bois dont le cerclage de métal patiné brillait par instant. Nombres de ses cousines gisaient, vides, sur une table attenante.

Il s’envoya une longue et bruyante gorgée après que le trentenaire Bibus eut fini son intervention. Il jaugea l’homme d’un air morne et se pencha en avant, laissant le cercle de lumière révéler son visage abimé et sa crinière encore blonde mais grisonnante.

Très émouvant, il laissa un rictus se dessiner sur ses lèvres et il balaya l’assemblée d’un geste de la main, tous à la vie si triste et déprimante, ponctuée de sursaut d’orgueil et de semblants de joie de vivre.

Mirael but une interminable succession de gorgées de bière et posa sa chope vide sur la table, aux côtés ses congénères. Il regarda les convives, goûtant déjà l’inimitié que sa remarque aura pu causer.

Je suis Maloeil, parfois Soleil, normalement Mirael, il pointa un doigt vers Kachina, Kachi me décrira comme un de ses vieux amis, je l’ai connue quand j’étais encore un tant soit peu jeune. Elle et le Joran, ainsi que sa soeur Théa et d’autres personnes dont j’ai noyé le nom.

Le blond marqua une pause pour se passer une main sur la barbe, plongeant dans de lointains et brumeux souvenirs.

Eux, c’était une bande d’amis pour moi, ils se nommaient les Justes, les Lycans ou je n’sais quoi encore, il leva les yeux. J’ai jamais fait partie de tout ça, les clans et autres joyeusetés, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. De toutes façons, ça finit toujours par se casser la gueule. Vot’ Clan du Joker en est le dernier exemple en date.

Ceci dit, ensemble on a passé un bon p’tit moment de vie à Saint Bertrand, ponctué de bière fraiche, de bonne bouffe, de doux rêves et, j’ose le dire, d’amour et d’amitié, il sourit, légèrement amer. Bien évidemment, ceci appartient au passé. Nos routes se sont séparées, retrouvées, certains ont disparus… Mais une chose tient toujours et tiendra toujours entre Kachi et moi, c’est l’Irraison.

Et c’est ça qui m’a fait revenir jusqu’à elle aujourd’hui, Mirael sourit à la brune. Elle m’a demandé de lui tenir compagnie, j’espère qu’elle s’accrochera.

Il regarda sur la table à ses côtés s’il ne restait pas une chope encore pleine. Après un instant trop long, il finit par en trouver une qu’il attrapa et s’envoya une longue rasade.

Tout ça pour dire, moi les clans, le Joker, je connais pas et j’en ai rien à foutre. Si ça tourne dans ce genre de trucs, j’en prends un pour taper sur l’autre et je me casse. Et je dis pas ça pour Kachina, mais plutôt pour les innombrables mâles qui pourraient se sentir les couilles prendre trop d’ampleur dans ce groupe.

L’hirsute marqua une pause, sirotant sa bière, les coudes sur les genoux en observant l’âtre et ses flammes paresseuses.

En dehors de ça, si y’a d’la bière et des femmes, tout m’va.

Il se renfonça dans sa chaise et cala ses pieds sur le coin d’une table tout en continuant de boire sa bière.
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Assise sur une vieille malle, dont elle ne veut pas savoir le contenu. Dos calée au mur, jambes repliées qu'elle entoure de ses bras, elle écoute les uns, les autres. Un sourire parfois, alors qu'elle est là , paresseuse et tranquille à les regarder arriver les uns les autres.

Ce n'est que lorsque Mira a fini sa tirade, qu'elle relève le menton, et y va de son couplet.

- Mira a raison ! Les clans enchainent. Je ne veux plus me sentir obligée, d'en attendre un, d'aller là parce que celui là le veut.
Je ne veux plus que me laisser guider par mes envies, ou l'amitié.
Nous ne sommes pas un clan, juste des amis. Tous libres d'aller, venir, partir ou rester.

Elle se lève, vient réchauffer ses mains au dessus de l'âtre, se penche pour rajouter quelques sarments. Il fait bon dans la pièce. Elle s'y sent bien. Sa voix à nouveau résonne dans la salle, alors que le chat vient se frotter à ses jambes.

- Certains s'ennuiront très vite, iront voir ailleurs, chercher de quoi trembler , se faire peur. D'autres se poseront dans une ville un jour pour les yeux d'une belle. Brune ou blonde peu importe tant qu'il sera à sa place.
Je serai féroce avec ceux qui viendront pleurnicher qu'ils s'ennuient , sans avoir tenté quoi que ce soit pour nous proposer autre chose !

Elle s'accroupit , laisse ses doigts se perdre dans la fourrure sombre du félin, pour une caresse tendre. Et elle continue :

- Il y a parmi nous certains qui revent de pillages, de sales coups à faire. D'autres aspirent juste à rire, profiter de chaque instant. Je suis de ceux là. Et si un jour, j'ai envie de me battre, de risquer ma vie que ce soit par envie ou par......

La bouche se plisse en un sourire moqueur, alors qu'elle cherche du regard Mira.......Elle ajoute :

- Par Irraison ?

Elle se relève, les regarde tous, l'un après l'autre. Avant de terminer enfin sur quelques mots :

- Soyons vivants ! soyons nous mêmes. Je pense que pour l'instant, ça suffira. Si l'aventure passe nous la prendrons. Ensembles, séparés ou autre. Si l'amour passe, chacun avisera, mais laissons à chacun le choix de vivre ça ou pas !

Une chope pleine est choisie au hasard sur la table, qu'elle entrechoque avec chacun se déplaçant de l'un à l'autre...
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Un jeune homme dans la vingtaine, les cheveux brun, le teint pâlichon, l’air svelte et tout de noir vêtu somnolait dans un coin sombre de la taverne. Il écouta chacun se présenter à sa manière sans dire un mot, même si les expressions imagées de Maloiel et les histoires de jambons d’Anzelme lui arrachèrent un sourire. Voilà, ça allait être à lui et il ne savait que dire. Bon ben tant pis, il n’allait pas rester muet éternellement, et décida de se lancer malgré tout.

Bonjour tout le monde !

Sans s’en rendre compte il s’était laissé emporter et avait crié si fort qu'il avait dû réveiller tout le voisinage.

Ouhlà, désolé, je vais parler normalement ça ira mieux.

Confus et légèrement rougissant, le brun reprit son petit laïus.

Bonjour tout le monde, je suis Albius mais tout le monde ou presque m'appelle Bibi. Alors que dire de moi. Tout bébé j’ai été trouvé sous le porche d’une église à Albi, d’où mon nom, et j’ai donc été élevé à l’orphelinat par les sœurs. Quand j’ai eu l’âge, je suis parti sur les routes pour finalement me poser à Saint-Lizier dans le Comminges. Un soir dans une taverne de la ville j’ai croisé Néo et Kachi. Cette dernière m’a proposé de la suivre et je l’ai suivi. Bon sang, que sa charrette fut lourde à tirer cette nuit-là ! En plus elle a voulu prendre un raccourci, je ne vous en parle même pas ça va m’énerver. Bref on a été faire un tour à Saint-Bertrand de Comminges puis ensuite on est parti en Bourgogne, et peu après j’ai décidé de suivre ma propre route pour finalement poser mes valises à Arles. Enfin poser mes valises c’est vite dit puisque je passe pas mal de temps en voyage sur les routes ou sur les mers. Oui, j’adore voyager.

Le jeune homme marqua un temps d'arrêt autant pour reprendre son souffle que pour songer aux nombreux voyages qu'il avait déjà effectué et rêver à ceux qu'il effectuerait un jour. Puis délaissant ses pensées, il en revint à son auditoire et continua sa présentation.

A part ça je suis marié à Perrette, la meilleure épouse du monde même si parfois elle râle un peu. On a trois enfants, les faux jumeaux Louane et Arthur, et le petit dernier Aymeric. Bon ils sont encore tout bébé hein. Sinon je possède deux champs de maïs, je suis maçon, et j’étudie la navigation et surtout la médecine pour éviter d’avoir de nouveau à me faire charcuter par des ivrognes autours d’un feu de camp.

Tout en prononçant ces derniers mots, il avait lancé un regard accusateur en direction de Kachi et Néo.

Alors je ne vous cacherai pas qu’avant de vous retrouver j’ai un voyage à terminer mais j’espère pouvoir vous rejoindre au plus vite pour vivre plein d’aventures passionnantes. Voilà, c’est pas mal déjà. Mais si vous voulez en savoir plus n’hésitez pas à me poser des questions. En attendant profitons de la vie et buvons avant que Néo ne siffle tous les tonneaux.

Conclut-il tout sourire avant de saisir sa chopine et de trinquer avec les personnes présentes.
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Assise dans l'ombre, sur un fût en chêne bien trop vide, les esgourdes à l'écoute mais l'minois occupé, elle griffonne.
Des formes audacieuses, tortueuses, alambiquées, qui s'emmêlent et se démêlent.
La plume gorgée d'encre glisse et esquisse sans vriller, sans crisser et sans broncher.
Projet en cours de création pour de futures peaux à orner.
Voilà ce qu'elle fait la blonde, tatoueuse tatouée.
Le cerveau toujours en ébullition, le regard en quête perpétuelle de l'esthétique. Chaque peau est une hypothétique toile à apprivoiser. C'est délicat et ferme à la fois. Piquant.
Un peu comme elle.

Les présentations s'égrainent au fil des visages, laissant transparaître des connivences ou des indifférences, de l’intérêt ou de la curiosité.
Elvia se tait, comme à son habitude. Cela n'veut pas dire qu'elle s'en balance, seulement qu'parler c'est pas son truc. D'autant plus lorsqu'il s'agit de raconter sa vie.
Si les gens ont des questions, ils lui en poseront.
Si ils doivent savoir des choses, elle leurs en fera part.
Mais pour l'heure, elle estime qu'il n'y a rien de particulier à dévoiler.

Rapide et concise, elle se lance. Pour pas non plus donner l'air d'une pierre.

B'soir, moi c'est Elvia, vadrouilleuse en vadrouille. Pyromane, ivrogne et bien vivante.
Présente par pure folie. J'ai suivi l'autre cramé après un soir de beuverie, et de concours d'poigne, que j'ai gagné, accessoirement. Héhé. Toussotement fière et railleur envers l'supposé Soleil, mon c** oui.
Comme j'me suis point ennuyée d'puis, j'ai suivi. Et j'suis ravie d'mes dernières rencontres. Regard porté vers Kachina et Néo.
J'suis toute ouïe à la découverte et à l'aventure. Surtout si y'a en prime des dégustations d'spiritueux sur l'chemin.

Pour le reste, on verra plus tard. Ceux qui voudront en apprendront plus. Faut pas dévoiler son jeu avant d'avoir commencer la partie !
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Arrive tranquille et tel un fantome, bein oui, se cale sans bruit dans un coin sombre. Écoute, regarde du coin de sa capuche, se marre tout seul sans raisons puis laissant sortir sa capuche de l'ombre prend la parole :

B'jour à tous. Parait qu'avant d'avoir le droit de picoler bein faut se présenter donc me v'la.

Je suis Quercus dict Ghost, le seul, l'unique. Il y a pas mal de temps maintenant naquit durant la nuit un superbe enfant. Ses parents décidèrent de l'appeler Quercus et... Bein quoi ? Faut pas remonter aussi loin ? Arf, dommage hein vous allez rater tous les trucs intéressants comme la première tété au sein de ma mère, femme superbe en plus et une poitrine j'vous dis même po. Mes premiers pas, premiers mots, premières dents, premières conneries... Bref tant pis pour vous. Donc on avance et on se retrouve peu avant une nuit de merde. P'tit gars sympa, un peu porté sur la bouteille mais pas trop encore, plein de vie, joyeux, se démenant pour son village des montagnes. J'allais même me marier, pfiouuuuuu. Bref un p'tit branleur sympa avant la fameuse nuit merdique.

Pis la nuit merdique arriva et depuis le ptit branleur à laissé sa place à une ombre, un fantôme. Le fantôme de ses Dames et Damoiselles, niammmmm ! Suis deux en un et ça c'est un sacré bordel car deux pas d'accord entre eux, une partie de celui que j’étais avant la torture puis celui que je suis devenu depuis. Toujours la tronche sous ma capuche, bouffon alcoolo mais pas que, mais ça seuls ceux qui me connaissent le savent.

Suis pas du groupe j'viens juste faire un p'tit coucou et picoler.
Voila pour en savoir plus faut prendre un ticket et faire la queue, fin façon de parler hein, hummmm !!!
Bon c'bon j'peux picoler maintenant ?

Laisse son regard se porter sur tous et sourit sous sa capuche.
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Le pourquoi (rp) des cicatrices http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2173906

Cré nom d'vindiou........Qu'est ce qu'ils ont tous à rappliquer. Fallait y , que c'soit aujourd'hui. C'est bien sa veine à la Ninon.

Pochtron a promis d' faire sa d'mande au père et à la mère. Les vieux sont sur leur trente et un à attendre dans leur ferme et elle....Elle, elle sert à boire à tous ces boit sans soif, qui palabrent et discourent à tout va.
Ils ont tous la mine avenante, ça c'est sur. Mais quand est ce qu'elle va pouvoir disposer et filer r'joindre son futur promis.

Parce que Mouaaaaaaaaaa, qu'est c'qu'il est beau le Pochtron. Avec sa petite bedaine et ses mots qu'il lui sussure à l'oreille , le soir derrière l'église, il est parfait. Pas comme le Victor qui savait qu'essayer d'la peloter dans tous les recoins.....
Quoique le Pochtron, l'est pas manchot, mais bref...Rev'nons en aux clients....

L'Albius, tiens. Parlons en de l'Albius. Suffit de le voir dévorer du regard sa Perrette pour comprendre que ces deux là filent le parfait amour. C'est vrai qu'elle est plutôt gironde la Perrette. Mais encore un peu et dans quelques mois, on me d'mandera d'aider madame à accoucher.
Nan, mais parce qu'avec ceux là, on peut s'attendre à tout...

Le Bebert par contre, l'est plutôt mignon, l'mioche. Mais s'il pouvait éloigner l'clebard qui le suit partout , ça la rassurerait la Ninon. En plus si le molosse s'attaque au chat de Kachi, ça va chauffer dans la salle.

J'vous jure, être serveuse à l'Irraison, c'est pas d'la tarte, cré nom de nom.

- Pourquoi ne suis je pas princeeeesseeeeeee avec mille baladins à mes pieds... !!!!

Ah tiens, v'là l'Elvia. Celle là, l'est bien trop jolie pour être honnête. La reine des tatouages, comme la nomme Kachi. N'empêche qu'elle connait bien l'Mira, la blonde. Et l'Mira, comme dirait la Jeanneton, c'est de l'or en barre.....Enfin, quand il roupille pas.

- Encore une p'tite mousse dame Elvia ?

Ouh là.Et l'dernier là. L'est pas vraiment d'la bande. Mais parait qu'il a ses entrées ici. Un mystérieux, lui. Charmeur en plus. Le genre à cacher sa tronche pour que les donzelles n'aient plus qu'une envie, le voir se décapuchonner au plus noir de la nuit. Un filou, lui, j'vous l'dis, ventredieu.

- M'ssire Ghost ! Pouvez piccoler, oui. Une chope d'un litre pour vous ?

N'empêche, faut que j'voie la Kachi...Ou la Néo.......Qu'elles me donnent congé pour la soirée.......Sinon, j'rends mon tablier, mouè...L 'Pochtron est chaud pour les épousailles là, faudrait 'y pas que je l'rate, mon gros tendre...

- Oncques ne vis chevalier à mon bras,
Oncques ne revêtis robe de soie,
Oncques ne chevauche alezan dans les bois,
Oncques oncques oncques.*

Toujours en retard, Clovis vint se présenter.

- Moi je me nomme Clovis, ou la Vieille Canaille pour Kachi. Je suis d'ici et d'ailleurs, de là-bas, enfin surtout ou je pose mon postérieur. .
Depuis pas mal de temps avec les charmantes Kachi et Néo,
bref je suis,
je suis,
je suis,
je suis le groupe avec du mal.
Parfois je me perds en route, ou j'oublie de suivre,
mais bon je fais de mon mieux.
Des fois je reste sur place,
car des donzelles me font les yeux doux,
et je rattrape avec du mal.

Chevalier sui de cest pais,
vostre hom serrai e vostre amis.

ou en clair:

Je suis chevalier de ce pays,
je serai votre serviteur et votre ami.




https://www.youtube.com/watch?v=S29w5WgYC5M

https://www.youtube.com/watch?v=8XGMUvvN4WY&index=22&list=PLZcG3Ylcy6lnbpntKlQ7mse52Cxe6ITWe

Pour rire un peu. Desolé Ninon je copie un peu sur toi.
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