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[RP] Les festivités se terminent toujours par un BAL !

Philippe.de.cetzes
A lire s'il vous plait !

J’anticipe la fin mais c’est pour jouer les préparatifs de notre côté et vous laisser la possibilité du votre et donner matière à jouer de suite à tout le monde. Genre l’habillement, l’impatience ou l’absence totale d’envie, la recherche du cavalier ou de la cavalière, le questionnement fatal « mais avec qui vais-je ouvrir le bal ?!! ». Voilà, libre à vous donc d’investir le topic et le RP ! Le postulat de départ c’est qu’il y banquet avant le bal, mais on ne le jouera pas histoire de pas faire quelque chose à rallonge. Mais on peut évidemment s’en servir pour la narration. Ainsi le RP que je poste s’insère juste après le banquet

Le tempo du RP est donc a priori le suivant :

- Préparatif
- Banquet
- Bal
- Remises des prix (dans l’ordre d’achèvement des trois activités)
- Clotûre

Le tout se déroule au même endroit (je l’écris là histoire d’éviter la lecture de ce qui suit à ceux qui ont la flemme hinhin) : sur le champ de tournoi d'où a été enlevé la lice et sur lequelle a été installé des planches et qui a été couvert pour l’occasion par une grande tenture accrochés aux toits des deux tribunes.

Vous pouvez donc dès à présent faire venir vos personnages et les faire s'apprêter à danser ou à regarder, faire tapisserie ou s'arsouiller dans un coin en bande organisée. D'ici le 3/4 mai Philippe ouvrira le bal.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser par mp ou sur le topic de régul.


[Avant le bal, après le banquet, au moment de récompenser les participants victorieux !]

Toutes les joutes s’étaient achevées. Il y en avait eu des rires, des chutes, des applaudissements, des blessures, des victoires aussi et de belles. Des défaites et d’honteuses, comme la sienne. Eliminé au premier tour il avait eu la déconvenue de suivre les traces de son père. Deux joutes, deux défaites au premier tour. Qu’importe, il avait eu en contrepartie le plaisir d’assister en bonne, excellente même, compagnie, à la suite des activités.

La question s’était longtemps posée de savoir où le bal devrait avoir lieu. On avait d’abord pensé à le faire se dérouler au château, à l’abris des murs. Mais le temps clément et la distance qui séparait le campement de la aula principis avaient emporté quelques légitimes doutes sur le bienfondé du choix. Finalement, à l’initiative des femmes de la maison - elles ont toujours de bonnes idées - il avait été décidé et acté que le bal se tiendrait en extérieur. Aux Flambeaux. Alors tout un mécanisme avait été imaginé par les ingénieurs de Lévis. Assez simple en vérité et connu depuis l’antiquité. Mais les propositions étaient imposantes et il avait fallu toute l’habileté d’une dizaine de couturières pour venir à bout de la chose.

Sur la lice, après la dernière joute, après que tous aient été invités à regagner le campement, fut installé un sol de bois semi-précieux et bien plat pour qu’aucun danseur ne trébuche. Plus de 20 ouvriers s’activèrent pour le poser, et le sable épais et tassé par les joutes fut un heureux atout pour stabiliser l’ouvrage. Sur celui-ci furent ensuite dressés de nombreux tréteaux pour le banquet. Car une bonne fête sans un grand banquet de clôture ne pouvait être même imaginé chez des gaulois qui dévoraient les sangliers à la douzaine. Les jongleurs avaient diverti les goinfreurs, alternant avec les trouvères récitant quelques poèmes, et avec les parades d'animaux exotiques qu'il avait promis à sa ronron. Une girafe venue d'Afrique avait même été exhibée,en souvenir des plaisirs de l'un de ses bisaïeuls qui aimait à entretenir toute une ménagerie dans un palais parisien. C’est après ce grand banquet au cours duquel avaient été servis de quoi nourrir un village pendant plusieurs semaines que le bal pris place sous un immense toit de tissu qui était suspendu d’une tribune à l’autre, abritant les invités des rigueurs des rares bourrasques de vents printaniers et de l’intrusion non voulu de quelques nocturnes volatiles. Le tout était éclairé par des flambeaux incandescents et la couleur blanche de la tenture prenait des reflets orangés du plus bel effet. C’est ainsi sous cette sorte de chapiteau plan que les convives se levèrent à la fin du banquet, achevé sur le service d’une ultime boisson, et que les valets s’affairèrent à enlever les tréteaux et les tables mises l’instant d’avant, et que chacun commença à chercher le ou la partenaire qu’il voulait étreindre au cours d'une première bourrée.

Pendant ce temps Philippe se plaçait afin d’appeler à lui les plus méritants des participants. Ceux qui avaient gagné bien sur, mais peut-être ceux qui avaient marqué de leur emprunte l’évènement. Les pages s’avançaient pour se placer derrière lui avec les récompenses bien en vues sur des coussins de velours noirs brodés de galons d’or, aux mêmes motifs que la tenue qu’il avait revêtue pour son plus grand confort, tant face aux outrances de la consommation de libations, pas très aristotéliciennes, faites en l’honneur des vainqueurs, que face à la perspective de devoir remuer son popotin sur une musique endiablée qui avaient déjà résonné aux oreilles des convives toute la soirée durant pour les préparer à la dépravation courtoise - bel oxymore non ? - des corps. Le vin de Gaillac avait coulé à flot pour préparer ce que certains jugeraient comme la dépravation de la jeunesse dorée des Royaumes et de la vieillesse décadente de l'Europe. Qu'importe pourvu qu'on s'amuse.

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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Diatessaron
[Elle est super motivante, cette musique ! ]


    Une girafe ! Une girafe ! Une girafe !

    𝔄 la vue de l'animal étonnant, Laüstic avait sursauté bien malgré elle et s'était aussitôt signée, par réflexe. La bête avait éclipsé à ses yeux toutes les autres, et tous les divertissements. Elle avait manqué s'étouffer avec sa gorgée de Gaillac - c'est qu'elle avait sacrifié bien vite au renoncement qu'elle s'était imposée d'éviter d'en boire trop, puisqu'enfin l'occasion était trop belle et il lui semblait que son hanap n'avait de cesse de se remplir mystérieusement sitôt qu'elle le terminait, et ce tout au long du banquet. Ce qui faisait pour finir beaucoup de hanaps, pour une jouvencelle."Philippe ! Mon cousin, comme cette bête est étrange, et belle !" L'idée s'était implantée dans la caboche blonde, et elle voulait maintenant voir des girafes partout; on aurait l'occasion de le comprendre plus tard.

    𝔄 la fin du banquet, la petite demoiselle était donc passablement émêchée, et la musique entraînante contribuait à élargir le sourire enjoué étalé sur ses lèvres. Elle avait maintenant quelques rougeurs sur sa peau diaphane, qui par ailleurs contrastaient d'autant plus avec la robe satinée d'or et de noir mêlés qui représentait les Cetzes. Diatessaron avait doublé la référence de la fibule ornée du sceau familial et de l'oiseau qui était sien qu'elle avait arborée plus tôt, et qui avait retrouvé sa place - épinglée sous sa clavicule droite pour retenir le bandeau blanc passé sur ses épaules et rappeler son identité. Tout le banquet durant elle n'avait que picoré, puisqu'à manger elle préfèrait bien pépier avec son entourage; de sorte qu'elle ne fût cependant pas fâchée tandis que le repas s'achevait, et que chacun ou bien sacrifiait au coup de fatigue qui suit les grandes bouffes ou terminait son verre de vin pour se lever avec énergie; comme toute jeune fille, elle se refusait presque à admettre comme le claquement des chausses fémines sur un plancher pouvait avoir quelque chose de satisfaisant. Du reste, il y avait nombre de personnes qu'elle souhait voir encore, féliciter ou saluer, remercier ou engager à la danse; et c'était la conclusion, l'apothéose des nombreuses journées qui avaient vu la jeune demoiselle vaciller complètement dans son comportement. A défaut de douceur timide, elle était à présent fébrile et impatiente, prompte à sourire et accompagner les musiciens de sa voix juvénile lorsqu'elle connaissait l'air invoqué par eux. Elle avait hâte, ô combien, que chacun terminât sa tache et que l'on pût commencer les festivités finales, quoique la chose lui semblait aussi teintée de tristesse : les joutes toucheraient donc à leur fin.

    𝔐ais avant cela, ils avaient toute la nuit encore puisqu'elle commençait à peine; et le temps avait été si pur, si parfait, les étoiles semblaient si proches dans le ciel d'Avril que rien n'aurait su entâcher la bonne humeur toute adolescente de la meschine.

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♫ ♪✎✉ ❋♕
Leanore
Elle avait nettoyé, pansé, recousu, replacé des membres, tartiné des peaux, rassuré, préparé des infusions..... Les mains étaient un peu rougi d'avoir été désinfectées à outrance, son dos lui lançait au niveau des reins de s'être penchée, ses bras étaient lourds d'avoir manipuler, ses pieds gonflés d'avoir tant arpenter la tente pour chercher ce dont elle avait besoin.

POuvait-on dire que ces joutes avaient été une réussite ? Sans doute que oui tant les visages autour d'elle certes un peu tirés par la fatigue semblaient heureux. Même les perdants souriaient. Et même si cela n'avait pas été la victoire chacun avait du trouver quelque chose pendant ces quelques jours.

Aussi malgré la fatigue, Léanore souriait aussi. Pour mille raisons.... Il fallait encore donner pendant quelques heures, et aussi profiter de ce dernier évènement. Et surtout échanger son uniforme de médecin sage contre une jolie robe. Elle profita du petit temps de repos accordé par le "bourreau de travail" du coin (entendez Philippe de Cetzes) pour un bon bain réparateur, une infusion dynamisante, et une crème odorante sur sa peau.

Lorsqu'elle fut prête elle put rejoindre Arnaud pour entrer à son bras.



En compagnie de la délégation Rouergate, ils avaient dîné sur le champ de la lice transformée en salle de banquet pour l'occasion. Bien que la nourriture était à la hauteur de tout ce qui avait été présenté jusque là, elle avait peu mangé, ce qui lui valu les remontrances gentilles de son fiancé et de Margot. Tu ne vas jamais tenir jusqu'au petit matin à ce rythme là. Ce à quoi elle avait rétorqué presque scandé d'ailleurs comme une complainte moderne JE NE SUIS PAS FATIGUEE Au fait oui ..... comment faisait-elle pour encore être au top de sa forme ?

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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Arnaud_giboint
Les festivités s’achevaient dans la bonne humeur, après avoir copieusement ripaillé pour le banquet de clôture en compagnie de ses amis Rouergat et de Léanore qui s’était tout naturellement joint à eux prenant place à son côté. Arnaud avait rejoint sa tente afin de s’apprêter pour le grand bal, une plongée dans un baquet d’eau chaude des plus voluptueux ou il se serrait facilement endormi, il revêtit une tenue propre du genre de celle qu’il ne porte jamais

Ainsi vêtu il rejoignit Leanore afin de faire son entrée au bal non sans l’avoir au préalable complimentée sur sa tenue et octroyer un baise main dans la plus pure tradition de la noblesse

Madame vous êtes vraiment ravissante, je pense que plus d’une dame va vous jalouser quant à moi je crois bien que je vais faire des envieux.
Voulez-vous que nous y allions


Il lui présenta sa main pour qu’elle y pose la sienne comme cela était de tradition
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Amarante.
    « Tout a une fin, même les meilleures plaisanteries. »
    Citation de Alphonse Allais




Pour le coup, il ne s'agissait pas de plaisanteries, mais bien de « bonnes choses » ... Car oui, tout avait une fin, même ses magnifiques festivités, malheureusement ... Même si la brune savait qu'elle allait rester dans les parages pour un certain temps, voir plus, elle avait picoré plus qu'autre chose, même si c'était la toute première fois qu'elle voyait un tel banquet ... Son frère qu'elle avait enfin retrouvé, n'avait pas été très loquasse et pour le coup, ça l'avait refroidie. Lui qui était si « Oursinesque » quand il la voyait, là, avait été plus que distant, voir froid ... Décidément, rien n'allait dans la vie de la brune ses derniers temps ... Et c'était donc dépité qu'elle avait regardé les tréteaux faire place à une piste de danse ...

Vêtu d'une houppelande et d'une surcote bordeaux, ourlet d'un peu de fourrure, qui en cette nuitée encore fraiche lui tiendrait chaud, elle attendait, un peu en retrait ... Elle savait très bien qu'elle ferait le pied de grue, comme chaque fois ... Elle regardait les gens s'amuser, alors qu'elle, prenait racine telle une plante verte qui jonchait les couloirs des Conseils Ducaux ... Elle n'était pas assez désespérée pour aller demander une danse au Prince de Clichy ou au Marquis de Dol, encore moins à son frère ... Non, non, elle n'en n'était pas à ce point-là ... Et puis, à part les farandoles et les danses du peuple, elle ne connaissait pas les pas de danse des Grands de ce Monde ... Comme à chaque fois, elle s'évertuerait à regarder ...

Un lourd soupir s'échappa de ses lèvres alors que la musique faisait déjà entendre ses premières notes, tout en suivant du regard leur hôte se placer en bout de cette estrade improvisé ...

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Arnarion
Une fois sa Messe dîte et la vile jagellonerie reglée, l'Abbé crû bon de venir se divertir mesurément au bal donné pour clore les festivités. Y demeurait une très bonne humeur et, malgré la nostalgie qui pointait déjà en cette fin d'excellent temps de fêtes, tous dansaient, dames et sieurs, main dans la main au son d'une musique profane que jouaient les troubadours embauchés pour l'occasion par le Prince. Arnarion ne restât pas indifférent à cette musique, bien qu'il lui préférât les cantiques et les chants monastiques plus calmes et plus profond.
Il s'était rhabillé, quittant ses habits de cérémonie pour revenir à son habit ordinaire. Seule touche de nouveauté : une cape rouge surplombant sa soutane.


Tout en s'avançant dans la salle de son regard inquisiteur, cherchant la moindre épaule dénudée, le moindre rapprochement trop suspect, il salua certaines têtes connues et d'autres moins connues.

Il alla d'abord saluer le Prince qui, par chance, n'était pas trop entouré, ce qui permettait de le voir dépasser et de le saluer en s'inclinant. Mon Prince...

En arrivant au niveau de Léanore et de son cavalier, ils leur sourit et s'approcha. Léanore, Messire, le bonsoir... Je n'ai pas l'honneur de vous connaître lui sourit et pourtant vous êtes en compagnie d'une fidèle qui m'est chère. Laissez-moi me présenter, je suis Arnarion, père thomiste.
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Leanore
Lorsqu'il arriva à sa tente pour l'emmener au bal, Léanore ne put s'empêcher de le trouver très beau et très élégant. Il semblait si sûr de lui et en sa présence elle se sentait protégée. Et cette façon qu'il avait de l'entourer de sa tendresse et de sa courtoisie.
Le baise-main fut appuyé plus que de raison et la fit doucement frissonner lorsque ses lèvres effleurèrent sa peau. La nuit s'annonçait douce et agréable et l'espace d'un instant elle eut l'envie fugace de ne point rejoindre le banquet et le bal, et tous ces gens pour aller se promener sur les bords du Tarn et avoir un peu d'intimité avec son fiancé. Mais voilà, elle ne devait pas déserter les rangs au risque de se sentir mal et culpabiliser pendant au moins une semaine. Sans compter la confession qui suivrait et la pénitence et.....

Bref.... Elle posa sa main sur celle d'Arnaud et ils purent faire leur entrée sur le plancher du bal.



IL y avait déjà plusieurs personnes à l'endroit où les corps non encore fourbus après tous ces jours de sport intensif, de ripaille trouvaient encore la force de bouger, de manger, de boire. Il y en avait pour tous les styles et tous les goûts. En entrant Léanore saluait de la tête, fière au bras d'Arnaud, si fière que s'en était presque inconvenant. Elle aperçut Diatessaron qui semblait s'amuser et Léanore sourit en voyant l'agitation et la frénésie que la jeune femme ne lui connaissait pas. Dans un coin se tenaient les jeunes femmes un peu plus timides ou non accompagnées. Léanore eut un petit pincement au coeur en les voyant, se revoyant jeune adolescente dans la même situation. SErait-elle devenue égoïste ? Il faut croire que le bonheur rendait un peu ainsi. Elle cherchait déjà du regard un jeune homme dans le même cas qu'elle enverrait vers Amarante mais ce fut le père Arnarion qui se présenta devant elle. Elle voyait mal lui demander d'aller inviter une jeune dame à danser d'autant qu'il engageait déjà la conversation. Il posait un regard insistant sur Arnaud, presque inquisiteur et Léanore s'empressa de le présenter.

Mon père....Belle soirée n'est-ce pas et surtout ces joutes ont été réussies, dans leur ensemble. De votre bénédiction à ce bal. Mais permettez-moi de vous présenter Arnaud Giboint, Comte de Rodelle et surtout mon fiancé.

Voilà, la chose était faite. IL était donc le premier à qui Arnaud était présenté comme officiellement son fiancé si l'on ne compte pas la démonstration de galanterie faite au premier tour des joutes. Le second serait sans doute le Prince. Pour l'heure elle sourit doucement lorsqu'il avoua qu'elle lui était fidèle importante à ses yeux, sentiment partagé pour sa part car elle aimait et appréciait ce père. Elle avait d'ailleurs l'intention avec l'accord d'Arnaud de lui demander de les marier.
Elle rosit un peu également se sentant prise la main dans le sac en plein excès de bonheur et d'amour envers l'homme qui lui tenait la main.

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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Arnaud_giboint
C'est ainsi Leanore à son côté qu'ils firent leur entrée au bal alors que déjà quelques personnes s'essayait à la danse. Traversant quelque reng ils se retrouvèrent devant le prètre qui les saluait.

Léanore, Messire, le bonsoir... Je n'ai pas l'honneur de vous connaître

Pas le temps de répondre que déjà Leanore faisait les présentations, ce qui fit naitre un sourire sur les lèvres d'Arnaud, la damoiselle serait elle si fière est pressée de faire savoir à la ronde qu'il était son fiancé ? Toujours était il qu'il lui fallait tout de même répondre.

Mon Père mes respects, et bien je crois que les présentations sont faite à l'initiative de ma très chère et tendre Léanore.
Si je puis vous rassurez n'ayez crainte j'entends prendre grans soin d'elle.


Sourire espiègle et oeil malicieux pour poursuivre.

D'autant plus qu'elle pourrait, pourquoi pas, se vanger en me soignant de quelques blesssures dues à des joutes, pour le cas ou j'oublierais de lui être agréable.
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Arnarion
Léanore parassait irradier de bonheur, et le voir sourire n'avait que pour effet d'augmenter l'ambiance festive qui s'animait autour d'eux. D'un coup, le regard inquisitorial de l'Abbé disparut pour laisser place à une regard pétillant.

Votre fiancé ? Mais Léanore, ma fille, vous m'aviez caché cela ! Les regardant tour à tour. Sans vous faire un sermon sur le mariage, je suis ravi d'entendre cela !

Se tournant vers le comte de Rodelle. Vous avez entre les bras une bonne âme, sire comte. Oui ... prenez en soin, prenez en grand soin. Car si le but principal du couple est de s'élever spirituellement vers le divin, nul doute qu'avec elle à vos côtés, la tâche n'en sera que plus plaisante.

L'Abbé sourit à la plaisanterie espiègle. Oh, je sais Léanore de réputation assez habile de ses doigts pour pouvoir appuyer là où ça guérit et là où ça fait mal, ou les deux.
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Arnaud_giboint
Sourire amusé d'Arnaud aux dires du prètre, tandis que Margot venait de les rejoindre faisant se détourner certains homme sur son passage, ce qui permis à Arnaud de la présenter

Mon père il est sur qu'un medecin connait les points sensibles, mais permettez que je vous présente ma très chère Fille Margot qui est Dame de La Roquette.
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Margot_giboint
Margot n'avait pas trop envie d'aller au bal. Après avoir festoyé avec ses amis rouergats et sa famille elle avait plus envie de se glisser sous sa couverture que d'autre chose. Mais elle avait promis à son père d'aller y faire un tour.

Un bain parfumé plus tard la jeune fille se prépara, enfila une robe qu'elle pensait correcte pour l'occasion et se rendit sur le lieu du bal.

En arrivant elle chercha des yeux son père et Leanore, saluant au passage d'un signe de tête et d'un sourire les personnes qu'elle croisait.

Les apercevant elle se fraya un chemin jusqu'à eux alors qu'ils étaient en conversation avec un sire qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle avait vu à la bénédiction des heaumes puisque c'est lui qui les avait béni. Mais avant qu'elle ne dise un mot son père l'avait déjà présenté

Papa ... Leanore ... vous êtes magnifiques! dit elle en souriant

Puis s'inclinant devant l'homme d'église elle le salua à son tour.

Mon père mes respects !
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Leanore
Arnarion ou l'art de faire un compliment sans en avoir l'air. Il commença pour louer sa spiritualité propre à la jeune femme pour plaisanter ensuite voire lancer une petite taquinerie.
Aussi un froncement de sourcils barra son front sans se départir de son sourire. Ah Arnarion, crois-moi que Léanore se souviendra de cette remarque lorsque tu viendras la consulter pour une mauvaise digestion. Sûr qu'elle appuyera fortement sur le foie !


Sur cet entrefait arriva Margot toute en fluidité. Elle était vraiment ravissante et nul doute qu'elle trouvera facilement cavalier pour la faire danser. Arnaud présenta sa fille fièrement au père.

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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Arnarion
Une jeune fille venait de s'incliner devant lui et c'est tout naturellement que l'Abbé inclina du chef.

Bonsoir, ma Dame, enchanté de faire votre connaissance

Un petit regard furtif et discret à une Léanore qui fronçait du sourcil tout en souriant. Sûrement était-elle songeuse au fond d'elle mais désirait en paraître le contraire. Bien, elle démontrait sa maîtrise des bases de la vie en Cour pensât-il en souriant. Enfin en Cour... à Rome c'était aussi la même chose et il devait parfois lui aussi s'exercer à cet art. Mais Léanore regardait Arnarion avec un regard dans lequel on pouvait lire une douce menace de vengeance. Contre lui ? Impossible à savoir, mais vaut mieux prendre ses précautions. Un Abbé averti en vaut deux.

S'adressant à ses interlocuteur.

Léanore et moi allons bientôt œuvrer de concert, vous en a-t-elle fait mention ?
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Arnaud_giboint
l'air légèrement interrogatueur l'abbé regarda Léanore et son air désaprobateur de sa dernière remarque pui vint cette remarque de l'éclésiastique

Léanore et moi allons bientôt œuvrer de concert, vous en a-t-elle fait mention ?

Non elle ne lui avait rien dit d'une eventuelle collaboration avec un représentant de l'eglise, et cela le prenait au dépourvu, sans doute la chose etait elle en soi extémement banale et n'avait elle pas pensé lui en parler.

Ce que je puis vous dire c'est qu'elle ne ma point faire part d'une envie d'entrer dans les ordres. Mis à part cela non elle ne ma point mentionné quoique ce soit, ceci étant elle fut très occupée auprès du Prince ces derniers temps avec la préparation des joutes, aussi a t elle pu omettre de me faire part d'un éventuel projet de collaboration avec vous mon père, sans doute, la chose étant possiblement encore au stade de projet, comptait elle m'en parler le moment venu. Mais sachez que cela ne me choque nullement j'ai grande confiance en celle avec laquelle j'entend partager mon futur.
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Arnarion
L'Abbé sourit

Oh, ne vous inquiétez point, je ne songe pas (plus) à la faire entrer dans les ordres. Non, mais en sa qualité de médecin dirigeant l'Hôtel-Dieu et moi d'Abbé, nous allons travailler ensemble pour les malades et nécessiteux de tous genres. Une bonne âme, je vous disais, sire comte.
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