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[RP] Les festivités se terminent toujours par un BAL !

Lysmee_ana
La blonde avait pataugé un bon moment dans le baquet voire un peu trop prenant du retard.
Albin avait donc pris de l’avance et l’attendrait au bal

Frictionnée, rincée, toilette terminée pour enfiler une robe carmin, couleur de l’Ar Sparfel et de finir par mater la tignasse dorée en la modelant dans un chignon

Quand elle arriva le bal avait déjà commencé. Avant de s’avancer elle lissa un pan de sa robe d’une main nerveuse et lança son regard ambré vers les personnes présentes.
La vision du baron lui arracha un fin sourire et laissa ses pas arpenter la salle jusqu’à lui.
Elle ne le dérangera pas dans sa discussion avec une demoiselle, restant silencieuse juste ses lèvres étirées qu'elle offre à celui qu'elle porte dans son coeur.
Lisa_de_niraco
Tout s'accélérait, les gens s'agitaient et les choses se précisaient à l'intérieur. Et toujours pas la silhouette attendue. Sans prétention, bien sûr, parce qu'elle était lucide et savait très bien ne pas être du genre de celles sur qui on se retourne.
Bien sûr, un peu de déception au fond des yeux, mais au final, sans doute était-il mieux avec les filles faciles et très entreprenantes. Dévergondées.
Et l'ébène était loin de tout ça, sa dignité, elle y tenait, et une jeune fille éduquée n'agissait pas ainsi...

On nait seul, on vit seul, on meurt seul non ? Alors pas de raison pour la Rose de ne pas répondre à ce précepte...

Un soupir de lassitude, synonyme de sa vie.

L'attente encore, toujours....

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Art.II Rien n'est plus beau qu'un Niraco, sauf deux Niraco.
Carensa.


Pas de cavalier..pouarff tant pis, elle avait juste envie de prendre un peu de bon temps, histoire de le faire passer aussi..

La Vandimion s'approcha du bal puis, se glissant parmi les invités, rejoignit un buisson vers lequel elle se planqua, ainsi elle pourrait voir sans être vue ! Si si je vous assure qu'un buisson pour une donzelle d'un mètre cinquante suffit amplement !

Parée d'une délicieuse robe, la rousse resta un instant tranquille jusqu'à ce qu'un serveur passe avec un plateau emplit de verres, il s'arrête, tourne la tête et ni vue, ni connue, la rousse de piquer deux verres. S'eusse été dommage de rater l'occasion !!

Puis se tournant vers son voisin, le buisson, elle trinqua

- A la tienne mon buisson rond ! santé et euh..bourgeonnement à toi ..c'est ça qu'on dit dans ta langue j'imagine.

Un sourire aux lèvres et le verre de s'y porter pour laisser filer quelques gorgées.

- C'est meilleur qu'un coup de pied où je pense, pas vrai l'ami ?

Oueh..parfois Carensa a quelques soucis de personnalité mais elle n'est pas bien méchante..

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Bannière en cours de passage au marbre
Arnarion
[Avec Mélissandre et Amarante]

La petite princesse sursauta, l'effet voulu. Il ne put alors s'empêcher de lâcher un léger ricanement de satisfaction. Sa taquinerie avait marché Hin, hin.
Arnarion balayant de ses yeux perçant la tenue de la princesse. Ah! Les cheveux blancs qu'il se faisait grâce à elle...Alors que prenez Léanore : elle était si décente dans sa tenue. Chaste et pourtant ravissante. Il y avait à voir ce qu'il y avait à voir et ce qui devait rester intime restait...intime. Brave Léanore, si vous voilà en quête d'une nouvelle vocation, venez chez nous, vous y serez bien accueillie. L'Abbé comme ses frères détestaient l'Amour courtois qui était à l'opposé de l'Amour divin, d'où son sévère jugement. Pourtant la robe de la princesse était, pour une fois ... conforme à ses attentes. Il sourit et se dit qu'elle était sur la bonne voie. Charmante Mélissandre, pour une fois vous m'avez écouté. Et que vous paraissez charmante dans ces atours décents ! Une vive crainte le saisit et aussitôt il tourna la tête vers Philippe pour apercevoir son accoutrement. Hmm... non, ça va. Décent.


Voici qu'une convive venait se joindre à eux. Son nom était inconnu, mais son visage non... Inclinaison du chef...Peut-être se seraient-ils croisés au campement ou à la cérémonie de bénédiction.
Le plaisir est pour moi, madame.

Il observa Légèrement la nouvelle venue afin de ne pas la troubler par un regard trop appuyé, ce qui là, cette fois, aurait été indécent de sa part. Son regard n'en eût d'ailleurs pas l'occasion puisqu'il fut perturbé par le verre que lui tenait sous le nez la princesse. L'odeur rappelait celle du vin chaud assaisonné à la cannelle et au poivre... et Arnarion n'aimait pas le vin chaud.

A son tour Mélissandre le taquinait. Juste retribution. Déjà qu' elle l’appelait Révérend... le prenait-elle pour un prétendu réformé ou quoi, là? Soupir forcé. Mais oui, vous pouvez le boire. je ne suis pas un bourreau non plus, assimilez ceci. Se tournant vers Amarante. Non, je ne suis pas un tortionnaire, madame. Puis revenant à sa protégée. Buvez, buvez en rajoutant néanmoins avec retenue et précaution... Boire en soit n'est pas une action peccamineuse. En revanche, boire trop vous met en situation de péril pour votre âme, étant à la fois péché de gourmandise et une incitation à en commettre d'autres. Car comme le disent les Saints Archanges Gabriel et Sylphaël...Mais Mélissandre n'écoutait déjà plus et l'Abbé ne pouvait lui en vouloir. Ce soir était fête et non Messe, même si chaque minute passée est une prière au Très-Haut... voilà qu'il poursuivait son sermon dans son fort intérieur, s'enfermant dans sa bulle qui éclata par l'affirmation innocente d'Amarante. Hein ? Vous dîtes ? ... rien d'autorisé? Pour la princesse ? Haussant les épaules Ah, vous savez, moi j'interviens pour réparer après, mais j'essaie toujours en amont de lui prévenir une fâcheuse situation se tourne vers Mélissandre et lui décoche un sourire qui se voulait bienveillant. Le Libre arbitre, madame, le Libre arbitre, preuve de l'Amour inconditionnel de Dieu pour nous.

Il crut voir un éclair vert du coin de l’œil.
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Leandra.
[Dans la chambre, mise à disposition par le Prince]


-Non non non et non ! Je n’irais pas, un point c’est tout !
-….
-Ne me regarde pas ainsi Linette bon sang, j’ai dit non !
-….

A peine sortie du bain alors que Linette me sèche promptement, je la fustige du regard dans le reflet du miroir. Oh je l’ai bien vue cette robe prête à devenir l’écrin de ma peau que ma dame de compagnie/chaperonne/ nurse et muette masse d’huile parfumée venue d’Alexandrie, offerte par mon frère disparu depuis au moins une lune. De mauvaise humeur ? Non, juste contrariée par certains événements, certaines nouvelles qui ne me plaisent guère. Je grimace, Linette se venge en démêlant mes cheveux humides à grands coups de peigne. Je serre des mâchoires sans dire mot, déterminée à ne pas faire honneur de ma présence au bal, puis je n’aime guère danser d’abord. Linette tapote affectueusement une fesse douloureuse, dont je vous passerais le pourquoi de cet état, puis y dépose un onguent destiné à atténuer la meurtrissure. Je ronchonne, l’impression désagréable qu’elle me considère encore comme une petite fille alors qu’elle brandit la robe devant mon minois. Je soupire et rends les armes la laissant m’habiller et me parer de bijoux, la regardant s’affairer avec les mêmes gestes tendres et précis, je détaille son reflet et me pose la question pertinente sur son âge, ne la trouvant aucunement changée après toutes ces années.

L’habillage terminé, je rejoins mon bureau afin de ranger les dernières missives reçues dans le petit coffret essayant une nouvelle tentative de reculer l’instant d’aller rejoindre le bal, quand Linette me tend un parchemin sur lequel elle a écrit un prénom. Je me mordille la lèvre, je sais qu’elle a raison, il m’a invitée et je ne peux refuser, d’ailleurs elle est pénible, elle a toujours raison et elle est d’une grande sagesse contrairement à moi. J’acquiesce et ce sans soupirer, ce qui la fait sourire tant elle est ravie alors qu’elle me tend la fiole de cristal contenant mon parfum. Quelques gouttes du savant mélange de Myrrhe et de Jasmin au creux du cou et aux poignets et me voici enfin parée pour rejoindre celui qui m’accompagnera au bal.


[Salle de bal sous un ciel étoilé]

L’on peut dire que le Prince de Cetzes sait recevoir, il m’a traitée comme une Princesse, chambre et bains à disposition, mets délicats, petites attentions à savoir si tout allait bien, m’apportant son aide dès qu’il le pouvait. Car il faut dire que ces joutes sont impressionnantes et le travail absolument éreintant. Enfin l’heure de la détente est venue et c’est au bras de mon Champion que nous rejoignons les premiers convives, non sans avoir observé le ciel étoilé tentant de reconnaître le nom de certaines apprises en cours d’astronomie, les pointant du doigt et soufflant leur nom à l’oreille d’Humbert de Saint Just. Vêtue de la robe que Linette m’a préparée avec une attention particulière, il est vrai qu’il est tellement rare que je rejoigne ce genre de mondanités que c’est avec une légère appréhension que nous entrons sous le magnifique chapiteau éclairé de flambeaux et installé sur ce qui était il y a encore peu, la lice.



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June
Ah, dure époque que celle-ci ! Si on était au XXIème siècle, June aurait passé le temps à consulter son smartphone avec son profil "Face de book" et autres "Snap de chat". Hélas, pour cette année 1463, il n'y avait pas grand-chose à faire à part regarder les gens, ou l'orchestre éventuellement. Il avait mangé assez au banquet, peut-être même trop vu qu'il avait goûté à tout - curiosité oblige -, et il était repu. Pis, aucune donzelle ne s'apprêtait à lui servir de cavalière ; s'il avait été Duc ou Comte, ça se serait pressé au portillon, mais bon, là, avec une pauvre seigneurie dans un trou paumé en Bourgogne... Maudites femelles vénales. Il jeta un œil à la robe de Léandra qu'il trouve très élégante, originale du moins.

Bon, qu'allait-il faire, du coup ? Il fit quelques pas vers l'orchestre pour aller l'écouter, bien décidé à rester le temps qu'il faudrait pour s'amuser correctement.

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Albin.
[Avec Sofja]

Il ne s'attendait pas à faire peur comme cela. Ne plus faire peur comme cela ce sera le prochain des douze travaux de l'Ar Sparfel.
Un petit sourire envers celle qui n'était pas très loin d'être sa belle soeur même si indirectement ils ont un petit lien du sang à travers un enfant via une Jagellon reniée.


Cela va et toi? Mon épouse? Tu parles de Marylune? Elle ..euh..

Albin prit Sofja part le bras pour quelle se rapproche avant de lui glisser quelques mots à l'oreille.

Elle est près du Très Haut..

Juste le temps de dire cela, que l'Ar Sparfel aperçu Lysmee qui s'approchait. Albin lâcha un petit sourire en direction de l'Italienne avant de faire une petit présentation.

Sofja, je te présente Lysmee Ana Di Campiglio et puis ben Lysmee je vous présente Sofja Jagellon Vicomtesse de Bellegarde sur Marche et la soeur de ..euh tante d'Enguerrand.

D'ailleurs c'est là l'interrogation qui venait d'un coup à Albin.

So, il est encore ton neveu au moins? Et Galaad il va comment?

Albin en profitait pour proposer son bras à Lysmee.
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Diatessaron

    𝓒'était d'un pied léger que la meschine progressait entre leurs hôtes, la dextre armée d'un creusequin de Gaillac et la senestre retenant un pan de sa robe; mais le plus parlant était sa frimousse ravie, tant son oeil semblait briller d'un éclat nouveau. Celui-là même qu'on lui trouvait d'ordinaire tandis qu'elle lisait, et qui prenait vie pour l'occasion d'un bal - le premier auquel elle assistait vraiment. Elle se posait donc en spectatrice, et s'appliquait à graver chaque détail, chaque couleur, dans sa mémoire de jeune fille. Dans le même temps, la petite demoiselle de Cetzes s'assurait que leurs domestiques fussent toujours chargés d'outres ou de larges hanaps pour remplir les godets secs de leurs invités ; il eût été dommage que l'air frais du soir les rendît malades.

    𝔈lle reconnut dans la foule un groupement qu'elle connaissait, Léanore et ce qu'elle supposait être la famille de son champion & fiancé, leur bon Arnarion, la Princesse de Malemort et la demoiselle Amarante qu'elle se promit d'aller saluer plus tard, pour ne pas couper la conversation, quoiqu'elle en eût l'envie. La petite blonde s'amusait grandement de ces musiques, ces danses, les hésitations, les timidités, tout ce que l'on pouvait lire sur les visages des invités tandis qu'elle n'aimait qu'à sacrifier aux traditions de leur siècle. Elle vint plutôt flanquer son cousin, dardant la foule de son regard bleu satisfait, et prit son bras avec un grand enthousiasme. Laüstic inclina enfin la tête vers lui, comme en confidence : Comme vous avez bien travaillé, Philippe ! Voilà qui fut grandiose, et j'ai bien hâte que se fasse la remise des prix. Et de vous voir danser. Assurément vous danserez, n'est-ce pas ? La première danse devrait revenir à quelqu'un de grand, voilà une règle qu'elle avait assimilée bien rapidement; et il était après tout le domaine des lieux. Elle sourit encore, et enfin retint une exclamation admirative. Cette robe est si belle ! Il s'agit n'est-ce pas de notre juge diseur avec qui vous avez passé tant de temps ? Il faudra bien me la présenter !

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♫ ♪✎✉ ❋♕
Amarante.
    [ Avec Melissandre, Arnarion et ... Jenifael..Luna ? ]




Le plaisir est pour moi, madame.

La brune sourit et hocha un peu la tête. Un regard du Père sur sa personne et visiblement pas de foudre noir à son encontre. Elle devait être correctement vêtue ... Comme à chaque fois d'ailleurs ... Jamais de grand décolleté plongeant, pour notre brune ... Toujours vêtu correctement et dans la limite du raisonnable. Jamais d'extravagance ...

Alors que Melissandre jouait de sa chope de vin, le Père répondait du tac au tac ... Il avait de la réparti ...
Un regard vers elle et d'ajouter ...


Non, je ne suis pas un tortionnaire, madame.
Je n'en doute point Mon Père ...

Et la brune de sourire amusée, mais de soupirer quand il partit dans un sermon qui assommerait n'importe qui ... Elle avait l'impression d'entendre sa cousine Ysil qui s'était mis en tête de lui faire reprendre le chemin des églises le plus régulièrement possible ... Elle qui était plus ou moins fâchée avec le Très Haut ... Pour le coup, elle regrattait qu'Ysil ne puisse venir au bal, elle lui aurait présenté le Père et ils auraient parlé de chose commune tous les deux ... Puisque femme d'église ...

Elle fut sortie de ses pensées par le Père ...


Hein ? Vous dîtes ? ... Rien d'autorisé? Pour la princesse ?

La brune sourit et ne fit aucun commentaire ... Elle savait très bien que l'interdit était une chose très attirante. Et même si cela paraissait improbable, elle savait que Melissandre était une jeune femme comme les autres, avec ses caprices et ses envies ...

Ah, vous savez, moi j'interviens pour réparer après, mais j'essaie toujours en amont de lui prévenir une fâcheuse situation.

Le sourire de la Brune s'agrandit et pas contrariante pour deux écus confirma ...

Mais vous faites bien Mon Père ... Comme dit, l'adage, « mieux vaut prévenir que guérir »...

Intérieurement, elle se dit que son âme était définitivement perdue puisque cela des années et des années qu'elle ne s'était pas confessé ... Et qu'elle n'avait pas vraiment envie de le faire ...

Elle jeta un coup d'œil aux personnes qui allaient et venaient. Elle vit entrer Léandra qu'elle avait vu au Mans et lui décocha un petit sourire ... Et aussi, la « petite » Damoiselle Diatessaron qui se dirigeait vers son cousine le Prince, et avec qui elle avait passé de forts agréables moments et qu'elle espérait bien revoir avant la fin de la soirée ...

Et si elle avait lu dans les pensées d'un petit Seigneur blond montré sur un cheval gris et vêtu comme un Prince, elle lui aurait répondu qu'il n'avait pas à se plaindre, que c'était encore pire pour une femme non titrée comme elle ... Naméo ! De qui se moquait-on ?

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Sofja
      [Avec Albin & Lysmee]



Et voilà Miss Boulette en pleinne action. Bien évidement à ne pas s'intéresser aux gens, à ne pas avoir une curiosité débordante, on finit par ce genre de situation, plus que fâcheuse. A cet instant la blonde aurait préféré pouvoir se cacher sous le plateau qui faisait office de table. Mais encore, risquerait elle de cogner un tréteau et de faire écrouler "l'édifice culinaire". Elle resta donc sur place, les yeux écarquillait et rouge de honte.

    Hoo toutes mes excuses... heu mes condoléances.


Puis à peine fini, une jeune femme fit son apparition. Sofja transforma sa gêne en à un grand sourire afin de l'accueiilir. Etais ce la nouvelle compagne d'Albin ? Ou juste une amie. Au vu du regard de la demoiselle aux milles étoiles, la réponse était claire. En tous cas pour la femme.

    Enchantée Lysmee Ana Di Campiglio.


Puis vint le sujet délicat, qui forcement devait tomber. Anna et Enguerrand. A priori si Albin en parlait ouvertement devant son amie, c'est qu'elle était au courant.

    Et bien dis toi, que cela fait très longtemps que je ne l'ai pas vu. Faut dire que ces dernières années, je me suis écartée de la famille, le temps de me remettre de mes "problèmes". Et lors que je suis arrivée en Savoie, j'ai repris contact avec elle et c'est là qu'elle m'a annoncé sa décision de renier la famille.
    Donc si déjà en tant que père, tu ne le vois pas, dis toi que comme ex-tante, j'ai très peu de chance. D'ailleurs je ne connaitrai surement jamais son dernier non plus.
    D'ailleurs, t'as t'elle donnait une autorisation pour le voir ou toujours pas ?


Que de blabla mais c'était ça quant on ne se voyait pas souvent. On avait des choses à dire.

    Galaad pousse beaucoup, il est formé actuellement chez un Seigneur Savoyard. Son rêve est comme bon nombre de jeune garçon, devenir un chevalier.


C'est le sourire fière du mère qui enivra le corps de la Jagellonette.
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Dicte Mlle Liberté

[Bannière en construction]
Riese
Un bal ... mais avec de l'alcool déjà dans le sang ça promet .... ♫ ♪ ♫ ♪

Du rhum, des femmes et d'la bière nom de dieu
Un accordéon pour valser tant qu'on veut
Du rhum des femmes c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux


La blonde avait donc perdu rapidement. Avait du déposer les armes rapidement et faire "tapisserie" dans l'environnement de l'organisation du ptit fils du ptit Comte Princier. Elle avait donc passé son temps sous l'arbre à faire la sieste, à boire du vin d'ici. Les marins qui passaient sur le fleuve lui avait mis une chanson assez "paillarde" dans la tête et elle avait du mal à s'en défaire.
Mais elle avait goûter du vin et un très bon vin, tellement bon qu'elle avait demandé à Sebastian d'en trouver des caisses à remonter en FC. Un bal allait donc clore tout cela. Un bal!! merveilleux. Mais sans cavalier compliqué et son ptit Comte Princier avait disparu. Ah oui, impossible de mettre la main sur lui. Donc elle avait enfilé une robe, il faut être belle qui sais. Vicomtesse d'Empire, elle trouverai peut être un mari ici. Allez savoir, sur un malentendu tout est possible. Elle colla son plus beau sourire sur son visage angelin. Elle avait arrangé ces cheveux blonds et mis en avant ces yeux bleu gris. Elle devait essayer de faire sensation malgré tous les Princes et Princesses qui étaient présents.


Ça fait une paye qu'on n'a pas touché terre
Et même une paye qu'on s'fait des gonzesses en poster
Tant pis pour celle qui s'pointera la première
J'lui démonte la passerelle, la cale, la dunette arrière


Elle avait eu des images à cause de cette chanson qu'elle ne pourrait pas répéter à voie haute et Sebastian qui avait demandé de ne pas la retenir. Trop tard. Le rhum, elle ignorait le goût de cette boisson mais faut avouer qu'ils lui avaient donné l'envie de connaître. Mais d'autres idées lui venaient et elle devait essayer de ne pas sauter sur le premier homme charmant qui allait lui parler. Sauf si le ptit Comte Princier lui tombait dessus avant. Mais pas dit car il devait être fort occupé ailleurs. Elle fit donc une entrée, discrète.... Non que Nenni. Elle fredonna gentiment ce couplet qui en disait long sur les idées des marins Toulousains. Elle passa donc entre les murs des Tribunes pour "pénétrer" dans la salle de bal.

Elle ne connaissait personne et donc ne prit la direction d'aucun groupe qui étaient déjà là. Elle remarqua le buffet et la boisson. Un peu plus un peu moins, au point ou elle en était pourquoi pas. Mais pas trop cela serait mal venue de venir vomir sur les pieds d'une Altesse qui était dans les parages. Elle se plaqua un sourire et regarda tout le monde. Tous avaient l'air de se connaître ou faisaient genre, elle ignorait vraiment. Elle guettait pour voir si le mini Comte allait passer la "porte" si on peut dire. Et la gronder car elle avait l'air d'une fille déjà bien "éméchée".

Tout est gravé quelque part sur ma peau
Tellement que j'en ai les bras comme des romans photos
Blessure de guerre, cul d'bouteille, coup de couteau
Tant qu'y aura des comptoirs on aura des héros


Et alors, oui elle avait bu avant de venir et continuerai. Elle avait besoin de se vider l'esprit. Elle n'avait pas encore dit au mini Comte qu'elle comptait un jour partir. Il allait lui dire que cela serait bêtise mais elle n'en voit plus du tout l’intérêt car même lui avance sans elle, et ça depuis toujours en même temps. Elle se dit donc qu'elle pourrait donc allait connaître le monde maintenant sans aucune arrière pensée. Profitez de sa liberté de femme seule pour voyager et profiter.
Voilà, l'expédition dans le sud touché à sa fin et elle devait retourner au sein du Nord et dans ces terres froides qui lui pesaient encore plus. Mais foi d'Adams de Melicour, elle ferai honneur au Prince en buvant son délicieux vin et en fêtant ici avec les autres, hein, cette magnifique organisation. Et qui sais, peut être qu'elle en dormira pas seule ce soir.


Du rhum, des femmes et d'la bière nom de dieu
Un accordéon pour valser tant qu'on veut
Du rhum des femmes c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux

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Sega


Un bal... Quelle idée il avait eue là.

Sega eut un sourire amusé. June était parti profiter de la soirée dansante après lui avoir ramené quelques mets du buffet. Il savait bien ce qu'elle aimait, depuis le temps qu'ils étaient ensemble ; et il savait qu'elle n'était pas très attirée par les rendez-vous mondains. Il l'avait même raillée là-dessus, se moquant de son calme légendaire et de son habitude de rester cachée, critiques faites en riant qu'elle avait reçues avec un sourire en coin, amusée. S'il savait...

La jeune femme avait décidé de changer son habitude pour une fois et de surprendre son protégé. Car le Sidjéno était ce qu'elle avait de plus cher au monde, et si elle était née, c'était pour lui. Telle était la tradition familiale, le chef de famille des Loups se devait d'avoir protection avec une garde rapprochée, discrète mais présente, presque invisible aux yeux des autres mais importante aux yeux de la famille. June n'avait jamais vraiment donné son avis sur la question, appréciant la présence de Sega à ses côtés, et parfois celle de son comparse Kenaï, mais il semblait bien s'y faire. S'il était parfois un ennemi redoutable, ou un amant violent, jamais il n'avait dit ni fait de mal à sa Gardienne. Dans la vie de tous les jours, il était un homme doux, attentionné, soucieux du bien-être des autres. Et elle fermait les yeux sur son attitude lorsqu'il n'était pas tout ça. Et ça se passait bien.
Lorsqu'il lui avait annoncé qu'il irait aux joutes de Lévis, elle avait acquiescé, précisant qu'elle descendrait de cheval et l'accompagnerait à pied, si bien qu'on ne la remarqua pas à l'entrée, parmi la foule de spectateurs.
Elle enfila une robe de couleur or pâle aux manches légèrement échancrées, qui lui arrivait jusqu'aux chevilles. Sous la robe, elle avait gardé ses traditionnelles bottes qui, sous le tissu, paraissaient être des chaussures tout à fait normales. Elles étaient en fait gorgées de poignards et autre minis engins de torture, bien rangées pour que ça ne fasse pas gling-gling quand elle marche. Hé, bal ou pas, fallait assurer le boulot. Elle prit un châle blanc qu'elle posa sur ses épaules, caressa le sablier d'or qu'elle portait autour de son cou en pendentif. Habilement, elle attrapa ses cheveux et, mèche par mèche, en fit une longue tresse qu'elle fit passer sur son épaule. Un peu de poudre blanche, emportée en secret dans ses affaires, vint compléter la transformation.

Satisfaite de son coup après un dernier regard dans le miroir, elle se dirigea vers le lieu de la fête, et essaye de repérer June. Était-il déjà en train de séduire une donzelle dans un quelconque recoin ? Non, il était là, l'air apaisé, et il écoutait l'orchestre. La musique semblait lui plaire. Elle s'approcha à pas de loups - c'est dire - et posa une main sur l'épaule du Loup.


"Alors, beau blond. On ne se déhanche pas, ce soir ?"

Et un sourire satisfait qui marche.

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Shirine
Et voici Shirine, née Zoé Lisreux, qui entre seule dans la salle de bal, sans cavalier.
Fraîchement entrée dans la grande famille de la noblesse, elle n'en connait pas encore très bien les codes et les habitudes.

Elle a sorti le grand jeu, enfin de son avis. Elle s'est vêtue de sa tenue la plus coûteuse : une robe à tassel de brocart verte à fils d'or, aux manches évasées et col tous deux de fourrure noire. La traîne est courte et le bas de la robe est fait de la même fourrure que le col et les manches. Pour tout bijou, elle a enfilé autour de son cou, retenue par une chaîne en argent, un pendentif camée simple au fond de pierre d'agate mauve, sur lequel se dessine une sirène blanche. Elle a fait attacher ses cheveux flamboyants en une longue tresse qui coule dans son dos, entrelacée de rubans verts.

Ses émeraudes balayent la salle, dans l'espoir vain de reconnaître quelqu'un ou d'attirer un ou plusieurs regards, tandis qu'elle s'avance en essayant de faire preuve de détachement et d'aisance. Pourtant, elle est crispée. Devra-t-elle approcher un homme pour lui proposer une danse ? Cela se fait-il ? Ou doit-elle attendre que l'un d'eux le lui propose, au risque de rester seule dans un coin ?

Elle commence par aller se chercher un verre. Pour le reste, il faudra aviser...

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June
Il aimait bien la musique. Il aimait l'écouter et il aimait en jouer. Il était doué sur plusieurs instruments, si bien qu'il aimait s'en jouer à lui-même. C'était là une façon de se faire plaisir à soi-même, une sorte d'onanisme musical, en somme. Et c'était aussi plaisant que glorifiant, il fallait le souligner. Il écoutait donc l'orchestre avec intérêt, enchaînant les musiques plus entraînantes les unes que les autres. Il tapait du bout de sa botte en rythme, ne se souciant plus guère du reste du monde. Enfin, jusqu'à ce qu'une blonde lui tapota l'épaule. S'apprêtant à grogner comme à son habitude lorsqu'on le dérangeait dans ses moments intimes, il se retourna et ouvra la bouche, cherchant quelques patronymes d'oiseaux dans un champ lexical du genre fleuri. Et il n'eut pas le temps de sortir un moineau ou une galinette cendrée qu'il restait bouche bée devant la femelle qui s'amenait à lui. Elle était plus jeune que lui, dix ans tout pile de moins, déjà d'habitude il aimait la regarder, m'enfin là, c'était un appel au crime. Sans hausser la voix :

"... Sega ?!"

C'est à peine s'il la croyait capable de se grimer en femme et de venir jusque là, jusqu'à lui ! Voilà qu'elle lui envoyait une phrase charmeuse dans la poire, en plus, la garce ! June allait avoir du mal à se retenir. Il la considérait comme une presque sœur, mais si en plus d'être sympathique elle devenait bonne, il allait se sentir obligé de lui conter fleurette assez rapidement. En attendant, il fallait garder son calme. Elle n'était pas la plus belle des gonzesses présentes ici, mais elle était pour l'instant la plus accessible. Il bredouilla quelque chose d'incompréhensible, le temps que l'esprit se remette en marche. Chuchotant :

"Euh, euh... Sega, tu es sûre, là ? Mais, tu es en femme ! Enfin, je veux dire, ça change, mais pour ta mission, euh, tu es sûre ?"

Voyant qu'elle semblait aussi fière que sûre de son coup, il se rassura. Elle devait avoir la culotte remplie d'armes jusqu'à la dentelle, et pour sa propre sécurité il n'allait pas aller vérifier. Bon, ben puisqu'elle était là et qu'elle était chopable, pourquoi pas y aller.

"Eh bien, j'attendais qu'une magnifique créature s'approche, c'est chose faite. Mademoiselle, je vous emmène danser."

Il prit son bras et, devant l'orchestre, se mirent à enchaîner quelques pas.
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Humbert.
Inviter Léandra au bal ? Voilà le genre de témérité dont s'était surprit Humbert. Ce n'était pas le genre à s'adonner à de telles mondanités, et encore moins à y venir accompagné. Pourtant, les mots avaient échappé d'eux même à ses lèvres, au moment de formuler son invitation, et ses joues empourprées avaient trahie toute l'honnêteté de son propos.
Se rétracter ? Non, cela n'aurait été ni convenable, ni souhaitable... et il faudrait désormais se présenter, avec toute l'appréhension qu'une telle apparition en public pouvait compter. Car son Altesse et cousine ne manquerait pas de souligner cet événement avec le même sourire en coin qu'elle arborait lorsqu'elle apprit que le savoyard serait le Champion de la Dame de Vanoise à ces joutes.

Mais de réticences, il n'en demeurait que peu lorsqu'au moment de pénétrer sous le chapiteau, se tenait à son bras la ravissante Juge-diseur et sa robe somptueuse.
Il réalisa par ailleurs que le pari qu'il avait fait avec sa cavalière, dont l'enjeu était une robe issue d'un atelier chic parisien, pourrait être plus périlleux que prévu. Cela lui traversa rapidement l'esprit, car il se sentait plutôt gêné de n'être vêtu que d'un sobre pourpoint vert bien que de bonne facture.
La Dame n'avait pas semblé en prendre ombrage pour autant, discutant plutôt d'un ton passionné de la voûte céleste. Entre deux amateurs d'astronomie, Humbert s'était prit au jeu de l'énumération des étoiles et des constellations, soulignant la couronne boréale, qui est à proximité de la Grande Ourse et qu'il affectionnait particulièrement.

Une fois sous le chapiteau, les lueurs des torches, le tumulte des musiciens et des convives coupaient court à cet instant de quiétude. Humbert aurait volonté troqué ces festivités contre un feu de camp au bord du Tarn. Il garda cependant cela pour lui, entraînant d'un pas assuré sa cavalière un peu plus en avant.


- Vous m'aviez promis la première danse, mais que diriez-vous plutôt de commencer par goûter à ce vin de Gaillac ?
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